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n° 17421Fiche technique21306 caractères21306
Temps de lecture estimé : 14 mn
12/06/16
Résumé:  Une rencontre suite à plusieurs mois sur Internet.
Critères:  fh frousses fellation cunnilingu pénétratio tutu -amiamour -internet
Auteur : Cedric26            Envoi mini-message
Te voilà

Te voilà devant moi. Plusieurs mois que nous parlons sur Internet ensemble. Te voilà enfin à une vingtaine de mètres devant moi dans ce hall de gare immense. Il y a à peine 30 minutes que je suis descendu du train et j’ai déjà eu le temps de me perdre deux fois. Heureusement tu es là au milieu du hall comme un repère. Tu m’as dit de venir pour voir si nous aurions une affinité autour d’un resto et d’une ballade à pied. Chose que je n’ai jamais faite, moi qui suis de nature si timide. Je te vois, tu es comme tu l’as dit lors de ta description. Blonde tirant sur le roux, élancée sans être trop grande. Tes lunettes te donnent un air sérieux dans cette gare où les gens vont et viennent à toute vitesse…

Tu viens de me voir. Un peu tétanisé je reste sur place. Que vais-je te dire ? Que vas-tu penser ?



Tu me penses perdu. En vérité je suis tremblant. Tremblant avec la peur du vide face à toi, la peur du blanc.



Faire un tour ! Très bien. Je viens de faire deux heures de train à angoisser notre rencontre. Il est 19 heures, allons marcher.


Tu viens de m’emmener dans ce grand parc que tu aimes tant. Je me rends compte que tu aimes vraiment cet endroit et qu’il est même important pour toi. Quelle chance j’ai… Tu marches doucement en me racontant tes aventures entre ton accident de voiture de la semaine passée, ton père en conflit ouvert avec ta mère, et même ton amitié avec la nouvelle copine de ton ex… Tu es sidérante.


Pas un moment tu ne décroches de ce que tu dis, tout en me regardant parfois fixement dans les yeux. J’aime déjà tes yeux. D’une couleur inhabituelle pour mes goûts, je suis plongé dedans. Dedans et toujours trop profondément car tu dois me sortir de ma léthargie à chaque changement de sujet. Comme cette robe légère que tu portes et passes constamment à remettre en place. Une lutte volontaire mais infinie face au vent. Les pans de cette robe sont inégaux et légers. Une pointe de tissu tombe sur ton genou droit, une autre tombe derrière ton genou gauche. Et inversement pour l’angle de tissu sur le genou gauche et derrière le genou droit. Façon robe de soirée passée chez une couturière de Bohème. D’un violet léger et doux elle vient se poser sur le coin de tes épaules, laissant passer en évidence des bretelles de soutien-gorge grises. Ce gris que l’on retrouve à travers les ouvertures légèrement échancrées sous les bras, laissant deviner une faible poitrine soutenue.


Voilà la troisième fois que tu me sors de mon observation. Nous somme arrivés devant le fameux restaurant.

Tu rentres la première, à l’inverse de la convention qui veut que l’homme soit le premier à rentrer pour voir s’il n’y a pas de malfrat dans l’établissement. Tu viens de choisir la table, dans le fond de la salle, à l’opposé de celle proposée par la serveuse.

Je pose mon sac, lourd, que je porte depuis bientôt une heure en t’écoutant, bercé par ta voix. Cette voix faussement aiguë. Voix affirmée malgré une timidité décrite que je ne te trouve pas, et ce n’est pas sans me déplaire.


Te voilà étonnée que je commande un café en fin de repas. Tu n’as pas arrêté de parler et j’ai bu tes paroles tout au long. Mille sujets abordés, mille conversations différentes nous avons eues. Tu as été à seulement deux endroits avec tes yeux : ton assiette, ou les miens… Parles-tu vraiment toujours droit dans les yeux de ton interlocuteur ? C’est enivrant, et déstabilisant.


Quant à moi, je ne sais pas si tu m’as observé physiquement. Je suis plus grand que toi d’une tête. Tes talons de 5 cm sont comme inexistants pour moi. Mais cette robe… Je vois un tour de taille fin avec son tissu plaqué sur les hanches. Les épaules retiennent tout juste ce léger voile. Ton décolleté ne rivalise pas avec celui de la serveuse mais peu m’importe, je ne le verrai pas de près. Pourtant ce collier en or avec sa chaîne discrète est comme une invitation à aller voir ce qui est soutenu par la couleur grise…


22 heures. Te fais-je rire ou sont-ce nos Get 27 qui te font de l’effet ? Je te regarde avec insistance depuis maintenant une heure. Je sais que ce soir soit je prends le dernier train de 23 heures, soit je dors sur ton canapé vu sur Skype, celui sur lequel tu te mets le soir avec ton PC. Perso je suis fatigué, mais depuis quelques dizaines de minutes ton regard a changé, comme tes sujets de conversation…


Ton ex t’a lâchement quittée il y a six mois, et tu ne parles plus que de ça… Cela t’a profondément perturbée, c’est notre sujet de prédilection sur Internet, celui avec lequel tu as apprécié discuter. Voilà six mois qu’il est parti. Et un constat me vient : voilà six mois que je parle à une fille, à une femme qui me plaît. Mon regard a changé aussi. Je ne sais plus si je dois te regarder en amie ou comme une femme que je désire. Mais je m’interdis cela. Nous sommes amis.


Le but de ma venue est de se voir en vrai. En face. Mais tu ne m’avais pas prévenu. As-tu fait exprès de mettre cette robe ce jour. Je me mets à regarder ce décolleté… Tant pis pour celui de la serveuse et son supposé 90C voyant. C’est toi que je regarde. Je n’ai jamais fait ça. Je te regarde dans les yeux, comme pour jouer à ton jeu, sauf que pour toi ça n’en est pas un. Je te regarde en train de parler. Tes dents à peine visibles dans cette petite bouche. Bouche voluptueuse d’où sortent ces mots, mais non vulgaire avec laquelle tu ne m’as avoué qu’à demi-mot affoler les hommes. Information qui vient de me sidérer à l’instant. À priori tu as envie de changer de registre. Ceci me surprend. C’est tellement loin de ce que tu as dit jusqu’à présent…


Nous voilà maintenant dans la rue, nous marchons. Ton affirmation m’a laissé sans voix. Je bloque encore dessus, tout comme sur cette discrète chaîne en or qui s’arrête à la naissance des seins. Mon sac est lourd. J’espère vite me coucher pour vite oublier ces infos dont je ne sais que faire, sauf imaginer… Ceci me fait te regarder avec insistance. Comme par défi de tenir le regard fixe. Chose que tu commences à faire.


Tu m’ouvres ce portillon rouillé, dont tu m’as dit tant de fois qu’il fallait qu’il soit repeint. À ce moment-là le portillon m’importe peu. Je te fixe du regard, tes yeux, ta bouche. Soit je m’endors en quelques minutes, soit j’interviens.


Ton salon est grand, à limage de cette maison vide. Tu allumes le hall d’entrée. Je te regarde droit dans les yeux, je suis complément perdu. Et là… Clac ! La lumière vient de s’éteindre ! Seule la lumière fournie par le réverbère devant chez toi allume la pièce par les fenêtres et la porte d’entrée ajourée. Dans l’ombre je devine une épaule et son pan de tissu à peine posé… C’est comme un appel. Six mois de discussions, une réelle amitié construite, tu m’as dit aimer ma personnalité, et je ne veux pas tout casser…



Je laisse tomber mon lourd sac au sol, cela te fait sursauter. Je viens prendre ta main avec la mienne, mon autre main vient prendre ta taille sur le côté. Un peu surprise tu te laisses faire et regardes au sol. Je te fais reculer sur la marche du salon. Te voilà. Te voilà face à moi, me surplombant d’une marche. Me surplombant d’une marche, mais au même niveau que moi, au même niveau que ma bouche… Tu es là. Voilà que tu te rapproches avec ton visage…

Voilà ton visage face au mien, je ne sais pas quoi faire. Quand d’un coup tu viens à mon oreille me susurrer :



Mon esprit n’a fait qu’une analyse, ne vient d’obtenir qu’un seul résultat. Ma main quitte ta taille pour venir se mettre sur le côté de ton visage. Je t’embrasse la joue au loin, proche de ton oreille. Je me rapproche à mi-chemin, ta bouche n’est plus très loin. Mon pouce s’éloigne du reste de ma main sur ton visage, et vient tenir ta joue, tandis que mon autre main a lâché la tienne pour venir tenir l’autre côté de ton visage.

Me voilà. Je t’embrasse la lèvre supérieure. Délicatement. Tu essayes de mordiller ma lèvre inférieure.



Après cette petite phrase que je viens de faire je reprends ma position initiale, maintenant mes lèvres sur les tiennes. Je t’embrasse fermement. Ta bouche ne peut pas s’échapper. Ma langue commence à chercher tes dents. Ces dents à peine visibles dans cette petite bouche qui peut dire tant de mots. Les voilà…


Je sens que depuis un moment tes mains sont comme perdues. Elles sont pourtant sur mes hanches mais sont hésitantes à entreprendre quoi que ce soit. Puis à l’instant tu viens de te décider. Ce sera mon haut, mon pull et tee-shirt que tu enlèves d’un seul mouvement, me faisant perdre ton visage des mains. Toujours dans la même pénombre, une partie de mes vêtements au sol, tu viens à l’instant de quitter tes talons pour descendre de quelques centimètres encore, mais pas seulement… Te voilà en train d’embrasser mon torse.


La seule fois où tu m’as vu torse nu en cam tu m’avais lâché un « Hum lol… » loin de mon vocabulaire je n’avais jamais considéré ce commentaire. Tu aimes être contre moi, m’embrassant désormais les alentours du nombril. Mais tu n’iras pas plus loin car mon jean est bien ceinturé… Pourtant les signaux montrent qu’il va falloir s’en débarrasser tôt ou tard…


C’est assez. Je craque. Te relevant d’un coup par le dessous des épaules, je soulève le haut de ton corps et te projette sur ce canapé tant vu sur Skype, te suivant au millimètre. Nous voilà tout deux allongés sur le côté, face à face. Je passe ma main sur ton visage, et viens t’embrasser, tandis que tu viens me passer ta jambe sur ma hanche comme pour m’agripper. En chuchotant d’une voix à peine audible, tu viens me dire au creux de l’oreille :



Au moment où je me remets debout pour enlever mon jean, tu te retournes, toujours couchée sur le côté sauf que tu ne me regardes plus. Je déboucle ma ceinture. Je sens que le bruit même de la boucle qui claque t’excite… Ton ordre délicat m’a boosté, je suis en marche pour nous faire du bien, pour te faire du bien. Depuis tes premiers regards de l’après-midi je suis en train de penser à la force que j’aurai avec toi. La force est là, puissante.


Je me recouche sur le côté, derrière toi. Je viens t’embrasser le derrière du cou, dégageant les cheveux perturbateurs d’une main, alors que la tienne cherche ce qui touche le bas de ton dos depuis quelque instant. Tu cherches. Je viens t’aider en te proposant ce que j’ai. Ma joie est grande quand au moment de toucher et prendre en main ce que j’ai à prêter tu lâches un fort soupir, comme celui d’un aller réussi mais sans retour possible. Avec une main je te tiens le dessous du visage, de l’autre je te tiens la hanche. Et toi de ta seule main disponible tu tiens ferment ce que tu ne veux pas perdre de la nuit…


Ma main lâche subitement ta hanche, pour venir délicatement chercher plus bas… En pénétrant sous cette robe que je viens de faire remonter, je découvre un string qui ne demande qu’à disparaître. D’un coup, en effleurant fortement cette idée que j’ai de ton intimité, je viens retirer et lancer ce string ailleurs, dans l’ombre de la pièce. Et tu me dis :



Mes mains lâchent leurs affaires. Je te prends à deux mains comme pour décoller ta taille vers le côté du canapé, comme pour moi descendre explorer ton bas… J’y découvre de la main une pilosité à peine existante, comme un trait partant du clito venant mourir en direction de ton nombril après 5 cm d’existence seulement. Ma main te relève alors l’arrière. Te voilà. Te voilà la tête en bas et sur les genoux, fessier en l’air. Je viens me positionner, tête allongée, la bouche sous ce que tu m’as demandé d’amuser. Ma langue va et cherche. Te cherche. Te trouve. Tu souffle fort. Très fort.



Je suis là. Je suis là pour toi. Tout ce trajet. Toute cette envie et cette complicité parfois réfrénée. Je suis là. Je te prends à pleine bouche. Tu sursautes. J’adore ça. Ma tête entre tes cuisses, mes mains sur tes fesses pour te bloquer. Moi en dessous. J’aime ça. J’aime ça…


Le bas de tes jambes s’agite. Nous en sommes là. Un orgasme provoqué par une si petite langue que j’ai… Tu gémis. Tu le fais parfois avec force… voilà. L’ouragan sur le déclin. Tu as chaud. Moi aussi. Une pause s’impose, un peu de douceur fera du bien à tous… mais non. Cette fois c’est toi qui descends, encore et encore. Tu viens, à travers ta robe, frotter ton sexe contre le mien. Le mien est fort en cet instant. Motivé par tout ce qui vient de se passer. Par le contexte. Je ferme les yeux. Tu m’embrasses le torse, à 4 pattes tu descends encore. Ta langue explore désormais mon nombril, tandis que ton menton touche déjà le bout de ce que tu cherches…


Tu descends encore. Erreur. Ce n’est pas ça que tu cherchais, mais sa base. La base de quelque chose que tu embrasses délicatement. Comme si tu voulais susurrer un baiser. Ta main droite vient se poser sur mon torse. Tu remontes cette verge que tu as devant toi doucement. Ta main gauche vient la prendre, délicatement, pour la relever vers le haut de la pièce, et ainsi bien orientée tu commences ainsi à descendre autour d’elle avec ta bouche. Toute ta tête, ton visage se déplacent autour d’elle, comme pour la cacher au monde, la masquer avec ta bouche, et ta gorge.


Voilà que tu vas et viens. Délicatement, et de plus en plus loin. C’est exquis, délicat et terriblement excitant. Mais tu veux faire plus. Aller plus loin… À mon étonnement tu continues et insistes, en essayant de dépasser le stade de la bouche, de la langue, en allant utiliser le début de ta gorge… Ne t’arrête pas, mais fais-le pour toi. Pense à toi aussi. Pas besoin d’aller si loin. Avec ces événements voici que je suis au maximum de ma force. Tu le sens à travers tes émotions et mon souffle…


Il y a danger. Si tu continues tout va s’arrêter d’ici peu. Je ne veux pas et toi non plus je pense. Je n’ai pas encore vu de près cette chaîne que ton collier possède. Avec mes mains je t’arrête, alors que tu veux m’offrir ta bouche, je la refuse désormais, et te veux toi toute entière. Je te stoppe. Me mets debout et t’attends. Tu te lèves, excitée et en attente. Je m’approche de toi, tu heurtes mon torse. Tu es obligée de reculer à mon contact. Voilà le mur. Tu ne peux plus t’enfuir, mais le cherchais-tu vraiment ? Tu veux m’embrasser. Tu y arrives malgré notre différence de taille, tes mains autour de mon cou, les miennes sur tes hanches. Tu es effectivement bien bas… laisse-moi te soulever.


Mes mains te ressaisissent fermement les hanches pour te tenir, je te fais monter tes jambes autour de ma taille. Tu ne touches plus le sol. Tu m’enlaces tendrement tout en m’embrassant profondément. Je suis nu. Je te porte contre le mur. Tu es toujours avec cette robe légère… Je descends sur ton cou, sur une épaule. J’embrasse ta peau. Tu aimes ça, ne plus toucher terre, ne pas contrôler… Mais tu as senti ma virilité effleurer ta féminité. Selon les mouvements tu devines et sais que je suis en état avéré d’excitation. Tu viens à mon oreille et me dis :



Excitation augmentée. C’est donc possible… Je suis fort, je viens, je m’introduis. Sans bouger ton corps, je m’aide de ma main pour entrer en toi, toujours en l’air sans toucher le sol voilà que tu es investie. Ton souffle est épais, tu essayes de te cambrer malgré ce mur. Je suis raide, dur. Je vais en toi, au fond. Ça y est…


Me voilà arrivé au terminus. Demi-tour. Demi-tour. Encore. Encore. Je vais et viens en toi, doucement, entièrement. Tu relâches parfois complètement tes bras, ne tenant plus que par mon bassin contre le mur. Le mouvement s’accélère malgré ta position qui doit être difficile à tenir. Ton ventre fait travailler ses abdominaux. Tu aimes ça. Moi aussi. À la suite d’un coup de reins, je t’enlève ta robe par le haut, la jetant au sol, continuant le mouvement. Je suis face à cette chaîne en or, au milieu du passage pour t’embrasser ta poitrine. Je devine enfin dans la pénombre ce soutien-gorge gris. Je vais pour l’élever. Tes mains stoppent les miennes et tu me dis :



Voilà que j’augmente la fréquence. Ton souffle s’accélère. Je recule. Tu ne touches plus le mur. Tu ne touches plus rien. Tu es entièrement sur moi. Tu es entièrement à moi… Ton excitation est intense. Tu n’avais jamais fait cette position et ne l’avais jamais soupçonnée. Nous voilà au milieu de la pièce… Intense !


Du regard dans la pénombre, tu viens de me dire d’arrêter, pour changer. Je l’ai compris quand tu as bloqué ton bassin. Je te repose. Tu es à nouveau sur terre. Tu te diriges vers le canapé, commences à te mette à genoux dessus, dos à moi. Je sais ce que tu veux… Je viens auprès de toi. Je suis débout contre toi. Tu sens encore mon sexe dur sur ton dos. Tu viens de te basculer en avant. Ton corps entier me dit de venir, de me rapprocher, de rentrer…


Me voilà ! Mes deux mains sur tes hanches. Je vais et viens fermement dans ce terrain déjà entraîné depuis quelques dizaines de minutes. Tu n’as plus que ton soutien-gorge sur toi. Sans ménagement je le dégrafe et le balance. Ceci me permet de toucher tes seins des deux mains. Peut-être avais-tu peur que je ne les apprécie pas ? Un vrai-faux manque de confiance en toi, qui est terriblement motivant. Mes mains, grandes, te plaisent, disproportionnées vis-à-vis de ces seins à disposition.


Te voilà en levrette avec un homme, un ami, sur ton canapé. J’accélère le mouvement, plus vite et plus fort. Ton souffle est saccadé. Tu ne respire plus vraiment comme tu le souhaites. Tu sens en toi ma virilité à son apogée. Jamais ton ex ni aucun homme ne t’ont fait ressentir cela. Tu te sens forte, chaude, motivée, et honteuse…


Mes deux mains sont alors sur tes épaules, comme pour être sûr d’être enfoncé en toi comme tu le désires. Tu te cambres. Tu me surprends. Depuis quelques instants tu dessines un déhanchement droite-gauche hyper plaisant. Nouvelles sensations. Trop de sensations même. Je me vois obligé d’accélérer le mouvement. Nous montons en cadence. Tu commences à retenir ta respiration. Mes mouvements sont forts mais courts, dans la profondeur de ton être. L’une des tes mains quitte le canapé pour venir sur la mienne sur ton épaule. Tu viens de me dire d’y aller, de tout lâcher… Je sens que la pression monte, que ça se déplace, que ça ne va pas tarder, que j’arrive, que tu arrives aussi… Hummmm. Voilà tout ! Toute cette chaleur qui se déverse. Une explosion, pour moi, pour toi. Mouvements puissants, à sens unique mais partagés, le transfert de la force… Nos mains se tiennent fermement. Tu sens le mouvement continuer alors que nous ne bougeons plus… Tu trembles de plaisir. Tu gémis, tu hurles, je lâche un râle… Tu lèves la tête au ciel… et appuies ton bassin contre le mien pour ne rien rater… Oufffffffffff… Ralentissement… Je suis encore en toi, cela se termine, je suis encore volumineux malgré tout ça… et voilà que tu te déhanches encore comme pour me donner une deuxième fin. Sensations courtes mais dingues. Ouffff.


Je me retire avec douceur. Te voilà redescendue de tout ton long sur le canapé, allongée. Me voilà sur toi. Posé sur le côté te regardant dans l’ombre, tu es allongée sur le ventre. Tu me fixes. Je te regarde en te touchant le visage. Et viens te dire :