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Temps de lecture estimé : 32 mn
13/06/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Finalement, c'est assez facile entre adultes consentants. Mais les rouages vont se gripper.
Critères:  fh extraoffre amour fellation cunnilingu pénétratio fsodo échange yeuxbandés confession
Auteur : ViolaFleur      

Série : Tempête de neige

Chapitre 02 / 03
Le dégel

Résumé de l’épisode précédent :


« Tempête de neige »

Pascal et Anaïs restent seuls alors que les autres participants du stage sont partis avant d’être bloqués par la neige. La formatrice Lise a laissé son ordi et ils regardent dedans. Ils découvrent des vidéos de la femme offerte et filmée par son mari à d’autres hommes. Cela les inspire, et tout en regardant deviennent amants.

De retour chez lui, Pascal est contacté par sa maîtresse d’une nuit. Elle propose de se rencontrer, son mari étant d’accord.


_________________




Il y a longtemps que je n’avais pas eu cette boule au ventre. Cela me rappelle des événements marquants de ma vie. Mon bac, ma première fille, mon premier entretien d’embauche, etc. Valériane ne semble pas beaucoup plus à l’aise que moi. Il faut reconnaître que nous nous apprêtons à vivre un tournant dans notre vie. Moi, en plus, je me demande si ce rendez-vous n’est pas un traquenard et que, lorsque je vais ouvrir la porte, ce n’est pas un mari complaisant que je vais rencontrer mais un mari ravi de tabasser celui qui a couché avec sa femme pendant cette nuit de tempête de neige.


Je cherche une idée positive pour chasser cette angoisse. Elle est vite trouvée. La vision de la chatte de ma femme, très fraîchement épilée, préparatif qui en dit long sur son attente. Mais aussi la nuit dernière où nous avons fait l’amour avec tendresse mais une sensualité bien affirmée, comme pour nous rassurer.


On sonne.

Les dés sont jetés. J’ouvre. Il est là, devant moi, plus costaud encore que ne montrait la photo envoyée à mon épouse. Mais le bonjour est franc. La poignée de main ferme et chaleureuse. Derrière lui, Anaïs attend, peut-être un peu inquiète.



Les prénoms sont échangés. Les femmes se font la bise. Elles s’examinent discrètement. Ma femme, ma maîtresse d’une nuit. Vingt ans les séparent, mais Valériane n’a pas à rougir de la comparaison. Par contre, moi, avec Alban, je fais moins sportif. Il en a fallu des circonstances pour que je baise sa femme !


Avec mon épouse, on s’était longuement interrogé sur "comment les recevoir". Finalement, on s’est décidé sur un scénario bien classique et surtout ne nous confinant pas à la maison avec le risque d’être mal à l’aise. Après tout, même si nous savons tous quel était l’objet de ce long week-end, ni eux ni nous n’avions l’habitude de ce genre de situation.

Donc après un rafraîchissement et les questions d’usage sur la route, le temps, etc. Valériane propose que nous allions en ville. T… est réputée pour ses magasins d’usine, et si Anaïs connaissait un peu, ma femme lui promet des découvertes.


Nous voici déambulant dans les allées. Les femmes devant, faisant connaissance, discutant comme de vieilles amies et disparaissant pendant "des heures" dans les boutiques. Alban et moi, on fait aussi connaissance. J’apprends qu’il est prof de sport et qu’il fait de la musculation. Je m’en serais douté. Il est sympa, et si on n’aborde pas le sujet de front, chacun fait des compliments sur l’épouse de l’autre. J’en profite pour parler de ma théorie sur le bonheur conjugal que peut apporter des tromperies assumées.



Voilà ce qu’il me dit, d’un air complice que j’apprécie. Une façon de me faire comprendre qu’il sait tout. Mais je signale que pour nous cela va être la première fois en couple.



Voilà un gentleman agreement qui m’enlève une épine du pied.


La visite des boutiques se termine au resto. Il y a beaucoup de monde, mais la disposition des tables entre banquettes permet une certaine intimité. Nous dînons légèrement. Chacun tient à rester "en forme". Nous buvons, mais juste ce qu’il faut pour se désinhiber en douceur. Pas question de trop boire et de "bander mou". Alban est à côté de ma femme, en face. Anaïs à côté de moi. Une certaine complicité s’installe. Valériane pose sa main sur la cuisse de son voisin. Il fait de même. Elle se penche pour lui accorder un baiser. Nous faisons de même. C’est délicat. Pas vulgaire. Je regarde, et je vois pour la première fois ma femme en "mode séduction". Elle a dû en conquérir, des hommes ! Un baiser n’est rien, mais chacun sait que c’est une offrande.


De retour à la maison, les femmes – que chacun de nous a prévenues – montent pour aller dans les chambres après un « Ne tardez pas trop… » de la mienne qui est le plus beau des aphrodisiaques.

Pendant les quelques minutes que nous nous accordons avant de les rejoindre, Alban et moi échangeons les documents qui montrent que nous sommes clean. C’est Valériane qui a eu cette idée. Elle a raison : cela favorise une vraie liaison sans le souci de cette capote et des restrictions.


J’entre dans la chambre d’amis pendant qu’Alban pousse la porte de ma chambre. Tout se passe bien. Je vais retrouver ma maîtresse d’un soir que je rêve de reconquérir alors qu’à côté, juste derrière ce mur, ma femme va faire connaissance avec son amant.

Anaïs m’attend. Elle est en nuisette et semble soulagée que ce soit bien moi.



J’effleure ses tétons qui pointent comme une promesse et me précipite sous la douche.



De retour dans la chambre, je découvre Anaïs l’oreille collée contre le mur qui nous sépare de l’autre chambre.



C’est une adolescente qui me suit. Nous entrons dans la salle de bain. Il existe une petite trappe qui donne accès à celle de la chambre d’à côté. J’éteins notre lumière avant de l’ouvrir.

Bingo ! Dans l’autre aussi il fait sombre. En passant la tête, je constate que la porte de séparation est fermée, pas totalement car un filet de lumière passe par l’entrebâillement.


Je rampe. Anaïs me suit. Nous nous redressons. La pièce est grande. On peut bouger sans risque de se cogner ou faire du bruit. En effet, la porte n’est pas totalement close. La chance nous sourit car pas plus tard qu’hier j’ai graissé les gonds car ils grinçaient à réveiller un mort.

Je pousse tout doucement. Centimètre après centimètre, la chambre se révèle. Le lit est juste en face. On voit assez et je ne veux pas que les amants nous découvrent. Je fais signe à Anaïs de s’agenouiller. Nous nous partageons la place. Elle en bas, moi en haut de cette fente de vingt centimètres, pas plus.

On ne voit pas si mal. L’éclairage est tamisé mais suffisant pour les voyeurs que nous sommes.


L’homme est assis sur le lit. On le voit de profil. À ses genoux, mon épouse !

Combien de fois, alors que je couchais avec une maîtresse de passage, n’ai-je pensé comme une excuse que Valériane devait faire la même chose. Je sais que c’est vrai. Ces quinze derniers jours, depuis le message d’Anaïs, ma femme et moi nous sommes avoué nos faiblesses. Elle m’a confirmé coucher de temps en temps avec des hommes. Elle aussi a des besoins, et je comprends que comme moi elle les satisfasse aussi pendant mes absences. L’important n’est pas la coucherie avec un autre, mais le plaisir de retrouver son conjoint et lui garder son amour en profitant même du sentiment de culpabilité pour devenir encore plus attentif à l’autre.


La nuit d’avant, l’homme c’était moi, et ma femme – exactement au même endroit – me pompait. Elle se met toujours à cette place car un tapis protège ses genoux. Eh oui, le confort de la suceuse est important.


Elle explore le vit tendu. Sa langue est l’avant-garde de ses lèvres. Ses lèvres, le passage pour sa bouche. Sa bouche, une grotte où une queue aime se perdre.


Pour l’instant, seul le visage est entre les cuisses d’Alban. Les mains aussi explorent. Je comprends son intérêt. Déjà habillé, l’homme fait impression car sa silhouette n’est que muscles et puissance. Nu, c’est encore plus impressionnant. Le cou, les épaules, le torse, le ventre sont des publicités pour une salle de musculation. Il a bien de la chance de pouvoir allier travail et plaisir. Nul doute qu’il doit attirer le regard des femmes. Moi, à la place d’Anaïs, je le surveillerais comme le lait sur le feu. Mais après tout leur présence ici est peut-être une façon de garder son mari sous contrôle. Je suis même étonné qu’elle ait jeté un regard sur moi et accepté mes avances la fameuse nuit. Moi, sur mon ventre, ce ne sont pas des tablettes qui le parent mais une réserve de graisse pour les jours de disette.


Ma femme, agenouillée devant cet Apollon, me fait honneur. Elle est belle. Elle a gardé sa silhouette de jeune femme, et ses seins sont toujours de magnifiques fruits que j’aime déguster, appréciant toujours le galbe et leur vigueur. D’ailleurs, elle aussi porte une nuisette. On dirait la copie conforme de celle d’Anaïs, si ce n’est la couleur.


Elle me fait aussi honneur car sa fellation est du grand art. Elle sait comment gober les couilles. Elle sait lisser le dard de sa langue. Elle sait s’occuper aussi du sillon si sensible, séparation du gland avec son support. Et que dire de ses lèvres qu’elle sait faire coulisser le plus possible du haut vers le bas, du bas vers le haut. Je sais aussi que pomper n’est pas un vain mot dans sa bouche.


Je bande. C’est beau. J’aime cette première fois ou je la vois avec un autre. Juste au-dessous de moi, j’imagine qu’Anaïs se régale aussi. Ce serait bête de ne pas profiter du spectacle pour…

Sans bruit, je m’agenouille derrière elle. Lorsque je prends ses fesses dans mes mains et lui montre qu’elle doit quitter la position assise pour se redresser, elle comprend, mais son visage reste vers la chambre.


Là-bas, Valériane s’est levée. Alban s’est allongé et ondule un peu pour quitter le bord du lit. Ma femme l’enjambe. J’ai à peine le temps d’entrevoir le mandrin gluant et maintenu d’une main ferme bien vertical que Valériane se l’enfourne au plus profond de sa chatte. Elle aime cette position. Elle adore contrôler son plaisir. Elle sait qu’un homme jouira facilement alors qu’une femme doit ajouter une pincée de fantasme érotique.



L’homme ne répond pas ; ma femme s’active déjà. Je connais ses trémoussements pour s’exciter avant d’entreprendre de se baiser sur le pieu. La chambre bruisse des claquements de peau, des petits cris, des soupirs qui accompagnent chaque possession alors que la queue semble disparaître au plus profond.

C’est ce moment que je choisis pour me glisser dans le con d’Anaïs. J’aurais voulu la prendre d’une rude poussée, mais j’ai peur qu’elle ne puisse retenir un cri. Pas un cri de surprise car elle sait bien ce qui attend une femme en levrette avec un homme derrière. Mais de satisfaction. Enfin, j’espère…


Valériane se baise.

Je baise Anaïs.


Finalement, c’est facile. On fait tout un monde de l’échangisme, présentant parfois cette pratique comme une perversion. Oh, que non ! Laisser son conjoint avoir du plaisir avec un autre n’est que la preuve d’un amour très fort, d’un amour qui met l’autre en avant.


Voir ma femme se faire posséder ainsi est plus que bon. C’est excitant. Moi qui bouge doucement dans ma maîtresse pour ne pas prendre le risque de rompre cette harmonie, je sens bien que je suis extrêmement chaud et sensible. Je dois me retenir de jouir tellement le spectacle me plaît. Je coulisse dans une crème onctueuse. Manifestement, Anaïs aussi est troublée. Troublée au point que je sens qu’elle se caresse le clito, ses doigts s’égarant parfois sur ma tige.


Valériane n’en a pas terminé avec son amant. Elle se soulève et lui tourne le dos avant de s’empaler d’une chute sur la bite à peine entrevue. Une Tahitienne ne ferait pas mieux. Il en faut des heures de cours, yoga et assouplissements pour faire ce qu’elle fait ! Je sais pour l’avoir souvent vécu que le mandrin ne quitte pas d’un millimètre la profondeur du vagin, mais est massé et pompé de l’intérieur.


J’ai honte, mais sans avertissement j’ai lâché ma purée. C’est un peu comme si j’étais redevenu adolescent avec un contrôle défaillant. Heureusement, certains signes me font comprendre qu’Anaïs a son plaisir.


Dans la chambre, les amants, eux, peuvent parler et ne s’en privent pas. C’est étonnant car en regardant ce couple baiser, je me rends compte combien les amants sont bruyants. On n’a pas conscience de cela lorsqu’on le fait soi-même. Les « Oui, encore, c’est bon, continue, je viens, tu es bonne, tu es dur » sont noyés dans des soupirs, des feulements, des gémissements.


Je tire discrètement Anaïs pour lui faire comprendre que nous devons partir car ils vont redevenir sensibles à ce qui se passe ailleurs que dans la bulle des baiseurs.

De retour dans notre chambre, nous pouvons parler.



Elle recule. Elle s’allonge sur le dos. Mais sa tête reste dans le vide. Elle me regarde par dessous. Offerte, les yeux qui brillent, salope avec sa langue qui passe sur ses lèvres… Ma queue se redresse déjà. Je la lui propose. Elle l’accepte. Je me penche sur elle, la laissant maîtresse de sa gourmandise alors que moi je plonge entre ses cuisses. J’y découvre des traces de mon foutre qui a coulé. Mais la chatte en est encore imprégnée. J’y plonge avec délice. Mon sperme ne me dégoûte pas, et il y bien longtemps que je l’ai goûté. Comment refuser à Valériane qui, sa bouche pleine de mon foutre, oui, comment refuser ce baiser pervers mais si symbolique d’un partage total ?


Il ne faut pas longtemps pour que je tire des gémissements de plaisir de la femme qui me suce. Mais ce n’est pas tout. Je me redresse et redeviens le mâle qu’elle souhaite. Ainsi ma prestation cette nuit de tempête l’a marquée. Certaines femmes apprécient une certaine domination par un homme, pas obligatoirement en permanence, mais quelquefois.


Si j’ai joui trop vite tout à l’heure, maintenant je me rattrape. Lorsque je me déverse dans cette gorge que je viens de baiser pendant de longues minutes, c’est une Anaïs épuisée que je regarde. Son visage n’est qu’un champ de bataille où salive, foutre et larmes ont tracé des sillons. Ses oreilles sont rougies de la pression de mes mains qui la guidaient, qui la forçaient à encore mieux m’accueillir. Ses tétons doivent aussi être douloureux, tellement je les ai tirés, tordus, pressés.

Un instant je me demande si je n’ai pas été trop loin. Mais elle se redresse et me sourit.


De la salle de bain je rapporte une serviette et j’efface avec tendresse les traces qui maculent son visage. Elle semble touchée de cette attention. Le « Merci » qu’elle me donne, je le prends autant pour ma rudesse d’avant que ma douceur actuelle.


Nous refaisons l’amour. Plus calmement, plus longuement, lui laissant toute latitude pour accumuler les jouissances en contrôlant ses envies. Envie de me chevaucher longuement, profitant de ma bite dure et infatigable, frottant son bouton alors que moi je lui caresse les seins et martyrise encore ses tétons. Envie que je la suce, sa fente encore ruisselante de mon jus, m’étouffant de tout son poids, transformant ma bouche et ma langue en appendices sexuels qu’elle utilise à sa guise. Et enfin me demandant de la finir, calmement allongée avec moi sur elle, en tranquille père de famille qui honore madame, mais une madame dont les cuisses emprisonnent la taille et me captive alors que dans un dernier gémissement elle jouit à nouveau.

C’est bon, et je remercie ma femme d’avoir demandé ces analyses ; oui, c’est bon d’éjaculer dans une grotte qui ruisselle de son plaisir et que mon foutre vient abonder en giclées sublimes.



_____________________



Le lendemain matin, Anaïs est lovée contre moi. Je sens son corps contre le mien. Je me retourne. Elle dort encore. Elle est chaude de la nuit. Je bande de la voir alanguie, elle qui s’est effondrée après l’amour sans même faire une toilette. Quel cadeau magnifique à un amant, cet épuisement des sens !


Délicatement, je passe ma main entre ses cuisses. La peau est tendre, et par endroits nos liqueurs ont séché. Naturellement, elle tourne sur le dos et ses cuisses s’ouvrent. Est-elle encore endormie ou bien déjà provocatrice ? Peu importe, son intimité m’attire. Je suce, lèche, déguste ce que la Nature nous a offert cette nuit. Elle ne peut plus cacher son trouble. Ses mains guident mon visage. Je suis à nouveau son fournisseur de plaisir. Elle gémit lorsque la jouissance arrive. Dès qu’elle me libère, je viens la couvrir et mon vit prend possession de cette grotte si accueillante. Je la baise lentement mais veux jouir assez vite. Le matin n’est pas propice aux longues baises. J’éjacule, et c’est bon.


À la cuisine, Valériane et Alban sont déjà en train de prendre leur petit déjeuner. Valériane porte la même nuisette qu’Anaïs mais en rouge. Nos femmes ont des idées qui sont de vrais enchantements. Alban est en tee-shirt et short de nuit. Il est impressionnant de force. Valériane en porte les traces sur son visage que je trouve marqué par le plaisir. Ai-je été à la hauteur, de mon côté ? Anaïs semble plus fraîche, mais j’ai l’excuse de sa jeunesse.


Les regards parlent plus que les paroles qui sont de courtoisie.

Cela semble normal que les couples restent comme la nuit.

Ma femme et Alban vont faire les courses.

Anaïs et moi restons un peu avant de les rejoindre. Nous tardons un peu. C’est agréable de se sentir seuls. Nous ne baisons pas, non, juste le plaisir de la complicité.


Mais on sonne à la porte. Pourtant je n’attends personne.

Un homme et une femme. La femme, je la reconnais tout de suite, c’est notre formatrice, Lise. La formatrice dont les vidéos ont été à la base de tout cela.



Ils entrent. Ils découvrent Anaïs qui vient aux nouvelles.



Elle, comme moi, sommes étonnés que cet homme la reconnaisse. Mais il continue :



Vraiment, je manque à mes devoirs.



Je comprends qu’il devient difficile de nier que nous avons joué les espions.



C’est Anaïs qui répond :



Le mec est soufflé.



C’est Valériane qui parle. Manifestement, ils sont revenus et nous ne les avons pas entendus. En tout cas, la menace tombe à l’eau. Elle reprend :



Valériane coupe la parole à l’homme :



Et on se retrouve six à table.

Mais au bout d’un moment Valériane demande :



C’est Valériane qui parle en questionnant Louis, le mari de notre formatrice, toujours un peu en retrait. C’est étonnant d’ailleurs alors que nous la connaissons très bonne pédagogue et avec de la "présence".



Un petit silence s’installe après ces aveux. Mais Louis aussi veut savoir.



J’allais répondre mais c’est Anaïs qui parle :



J’imagine qu’elle parle de mon sperme qui avait dû couler sur le sol après notre baise.

Nouveau silence…



Décidemment, Valériane est pleine de ressources. Tout le monde imagine ce que ce couple pourrait apporter.



Nous nous séparons sur cette éventualité. Mais alors que Louis va monter dans sa voiture, il me dit à l’oreille :



Je vais parler, affirmer que ce n’est pas moi, mais il me fait taire.



Les trois s’y mettent pour m’invectiver. Oui, pendant qu’Anaïs dormait, j’ai fait une copie des vidéos. Oui, j’ai depuis deux semaines, à ma disposition, ces scènes de baise et je n’en ai pas parlé à ma femme. Pourquoi ? Oh, pas par pudeur. Depuis ces quelques jours, le barrage de la pudeur s’est rompu entre nous, et nous parlons de tout, de nos amants, de nos maîtresses, de nos fantasmes, de nos envies les plus secrètes avouées dans l’obscurité propice de la chambre. Mais j’ai honte de l’avoir fait. C’est une vraie violation, un vol, un viol de la vie privée. Profiter de l’occasion d’un mot de passe identifié est une chose ; en profiter pour regarder des vidéos et s’en servir pour baiser une collègue est à la limite excusable. Mais en faire sa propriété en les copiant, c’est innommable.

Mais Louis, d’une certaine façon m’a libéré de ce poids car lui aussi a quelque chose de très intime sur moi et sur Anaïs.



C’est le cri du cœur.

Valériane n’est pas la dernière. Elle entraîne nos amis dans la pièce où nous avons notre home cinéma avec un vidéoprojecteur qui sature tout un écran de la taille d’un mur. Heureusement, les vidéos sont en HD sinon nous n’aurions obtenu que des ombres aux contours indistincts et des mouvements assez flous. Merci à Louis !


Ils s’installent. Ils me suivent des yeux lorsque je sors la clé USB de ma poche et la glisse dans le connecteur. Le temps qu’elle soit reconnue, que la lampe chauffe, que je baisse l’éclairage, apparaît alors la liste des fichiers. Par la télécommande, j’en sélectionne un. On entendrait une mouche voler si ce n’était le bruit du ventilateur.

Deux petits canapés font face à l’écran. Un peu décalés l’un par rapport à l’autre, et celui où spontanément Anaïs et moi nous sommes installés est en retrait par rapport à celui de nos conjoints.


Le récit de Louis, de leurs premières fois en forêt, été 2004, m’a rappelé une vidéo que j’ai visionnée seul une nuit où Valériane dormait. C’est cette vidéo que je lance…


On voit Lise attachée par les bras à une branche d’arbre. Le sol est sablonneux. Elle est habillée d’une petite robe d’été, mais surtout elle a les yeux bandés. La caméra la détaille, en silence. Une main semble jaillir de nulle part, certainement Louis qui caresse tendrement le visage. La femme cherche la main en penchant la tête. C’est empreint de délicatesse. On devine un couple amoureux. Pourtant, si j’ai bien compris, quelques jours plus tôt ils étaient sur la corde raide. Le lien serait-il déjà retissé après si peu de temps ?

Mais la main descend et palpe avec plus de force le corps de la femme attachée. Les seins, le ventre, les fesses. Et puis elle se glisse sous la jupe, bouge.



Le champ s’élargit. Des feuillages bougent. Deux hommes en sortent. Ils sont jeunes. L’un d’eux doit être celui qui a été le déclencheur ; l’autre ne fait pas beaucoup plus vieux. Un air de famille. Des frères, peut-être. Ainsi, très vite le couple a eu à sa disposition un autre homme, en toute discrétion.


Les deux hommes ne regardent pas la caméra. Elle est transparente pour eux. Nul doute que ce n’est pas la première fois. Manifestement, Louis a voulu très vite garder un souvenir de ces moments. Ils avancent. Comme dans un scénario bien réglé, ils prennent possession de la femme. La robe est vite à terre. Lise est nue dessous. Quatre mains lui arrachent des gémissements. Les bouches s’emparent des tétons. De concert, les deux garçons enlèvent leur maillot de bain. Leur sexe est bien tendu. Merveille de la jeunesse où il suffit d’une pensée pour bander dur ! La capote recouvre bientôt chaque mandrin. Un des hommes se plaque derrière elle. Il doit lui faire sentir sa queue pendant que ses mains malaxent la poitrine. Peut-être un peu durement. Moi, je ferais… mais ce n’est pas moi. Pendant ce temps, l’autre s’est agenouillé et caresse le minou.


Les gros plans succèdent aux gros plans. Après que Lise ait eu un premier orgasme, le corps tendu par le plaisir, les hommes ont changé. Celui de devant frotte sa queue contre le pubis, embrassant Lise avec une gourmandise évidente lorsque c’est à l’autre de caresser l’intimité, mais une intimité plus secrète. Les fesses sont écartées par des mains puissantes, et lorsque le visage recule, la caméra immortalise le petit cul ouvert et gluant de salive.


C’est par-devant que la première queue la pénètre. Son baiseur se saisit d’elle, et chevillée sur lui il la maintient suspendue, les jambes autour de sa taille. Lorsque l’autre se place et qu’il pousse pour l’enculer, tous manquent de tomber, et ce sont les bras attachés à la branche qui rétablissent l’équilibre précaire.


La suite n’est qu’une succession de plans larges et de gros plans.


Plans larges qui montrent ce trio insolite onduler et se balancer avec Lise comme fruit attaché à un arbre qui n’a pas dû voir souvent ce spectacle. Les trouvent-t-ils trop lourds, lui qui ne connaît que le poids des oiseaux ? Plans larges qui font deviner la dune, imaginer l’océan et la plage avec tous ces baigneurs qui ne se doutent pas !


Gros plans où les queues sont les stars. Des stars qui entrent et sortent en cadence de leur grotte pour mieux y replonger. Gros plans sur le visage de sa femme. Un visage marqué, ravagé par ce qu’elle subit, par ce qu’elle accepte, par ce qu’elle demande avec cette bouche aux lèvres soulignées de rouge démontrant, si besoin était, que le couple avait préparé dans le moindre détail ce qui se passe actuellement. Et de ces lèvres des soupirs sortent. Des soupirs qui accompagnent la puissance des bites. Des respirations. Des petits cris avec des mots mangés par le plaisir.


Louis arrache le bandeau de sa femme. Moi aussi j’aurais voulu, dans un moment pareil, voir le regard de mon épouse que j’ai offerte à ces deux hommes. Ce regard vitreux, perdu, aveugle. Les yeux qui se révulsent alors que… Oui, elle jouit. Elle jouit et le dit. Son corps parle aussi pour elle. C’est beau une femme qui jouit de cette façon.


Mais Louis n’en a pas terminé. Il n’a pas coupé au montage le mouvement de la caméra qui plonge vers le sol, et puis ça devient très sombre avant que l’automatisme ne corrige l’exposition. Il a dû se glisser sous le trio.


C’est d’abord une forêt de jambes qui sert de guide. Mais là-haut, c’est autre chose. Deux belles queues qui s’activent. Elles ne sont plus synchrones comme au début. Leurs propriétaires sont dans le sprint final et les couloirs sont si proches que chacun doit sentir la bite de son voisin. Un instant, il ne reste que deux paires de couilles. Des couilles qui vont balancer la purée. Au loin on entend un cri qui ne peut être que de Lise, mais qui va résonner dans les feuillages. Les hommes jouissent à leur tour. Ils semblent figés et ne veulent plus quitter la chaleur de ce nid douillet. Un long moment le trio semble soudé, riveté par deux tiges. Mais des tiges qui faiblissent, à moins que ce soit celui qui supporte tout le poids de Lise bien que l’autre l’aide en la soulevant des fesses.


Quelle impression cela doit être de suivre ce spectacle de si près ! Mais aussi de sentir des gouttes de foutre tomber. Tomber sur l’objectif, ce qui donne une impression surréaliste. Mais aussi tomber sur le visage de ce mari plus que partageur. Le foutre des amants qui viennent de labourer Lise et que les capotes libèrent dès qu’elles sont arrachées, avec l’envie de se frotter encore sur les chairs labourées.


Bien des choses ont changé dans la pièce depuis que Lise est apparue en proie consentante.

Au début, nos conjoints se sont rapprochés, embrassés, et nul ne doute que derrière le dossier qui nous les cache des mains explorent.

Anaïs vérifie que je bande. Je teste son humidité.

Devant, la tête de Valériane a disparu. Je l’imagine emboucher la bite de son amant et le préparer. Et puis elle réapparaît et c’est lui qui s’y colle. Cunnilingus, je t’adore.


La vidéo se termine. Automatiquement, le projecteur se met en veille, ne laissant qu’une lumière blafarde mais qui se réfléchit encore sur l’écran brillant. Ils ont disparu. Deux jambes reviennent et une culotte de femme retombe à terre. Valériane est allongée. Une jambe repose sur le canapé ; l’autre, ouvrant les cuisses de façon généreuse, repose sur le dossier. C’est ce que nous constatons en nous levant discrètement. Alban ne nous voit pas alors qu’il est tout occupé à pousser son gland dans la fente, avant-garde de la hampe qui est comme aspirée.

Valériane ferme les yeux. Alban s’active. Le canapé grince et ma femme pousse son ventre en avant.


En deux temps trois mouvements nous nous déshabillons. Alban a encore son pantalon et sa chemise débraillée. Ma femme a conservé sa robe. On l’imagine remontée et froissée sous elle. Je pousse Anaïs afin qu’elle s’appuie contre le dossier du canapé. Je veux être au plus près de ma femme et voir sur son visage une jouissance qui n’est pas de mon fait. Et qu’elle nous voie également.


La vidéo et le reste ont fait de ma pine un tronc de chêne. Je vérifie juste d’un doigt que la fente est humide. Il y en a largement pour deux. J’enfile ma partenaire, me rappelant qu’un peu de rudesse ne lui déplait pas. La secousse ébranle le canapé. Valériane nous découvre. Son sourire me ravit. Son amant la baise tranquillement mais elle le repousse et vient s’agenouiller sur le canapé, les bras appuyés sur le dossier. Ainsi les deux femmes se font face, enfin presque, juste un peu décalées.


Alban a compris le message ; d’une poussée, il vient reprendre sa place dans le fourreau de sa maîtresse. La jupe me cache la possession. Dommage, ce sera pour la prochaine fois. D’ailleurs il va falloir que je pense à filmer, mais pour cela je devrai être uniquement spectateur. Le temps est pour nous. Nul doute que ce n’est que le début.


Je m’active. La chatte est ouverte, détrempée mais étroite, et les parois sont des caresses.

Alban aussi. Sans le vouloir, nous nous synchronisons. Ma queue brille avant de disparaître. Je ne vois pas la sienne. Et puis il s’immobilise et je vois sa main disparaître sous la robe.

Le visage de ma femme se crispe. Ses yeux chavirent alors qu’elle s’accroche au canapé à le rompre.



J’ai bien une idée, mais je veux lui laisser le soin de le dire.



Cette putain de robe me le cache, mais à la façon dont Alban est placé, j’ai bien l’impression qu’il l’a enfilée manu militari. Je ne suis pas inquiet pour le cul de ma femme : il y a bien longtemps que je la prends ainsi, et j’imagine que ses amants doivent en apprécier l’étroitesse.



Alban commence son mouvement de balancier.



La question qui dérange. Pendant notre nuit de tempête, j’ai eu l’impression qu’Anaïs refusait ce chemin.



C’est ma maîtresse qui répond à ma place. Mieux, elle se penche pour avoir la poitrine en appui sur le dossier et ses mains manucurées viennent écarter les lobes pour me faciliter la tâche. Rien de vaut la salive pour bien lubrifier. Je laisse tomber un filet du liquide miraculeux. Moi, j’ai une parfaite vision, et voir mon gland écarter les muscles qui résistent pour le principe est un bonheur. Que dire de celui qui, lorsqu’après avoir labouré le cul de ma partenaire, je me retire entièrement et découvre que l’anus reste ouvert, trou sombre, obscène, pervers, mais ô combien désirable et attendu ? Plonger à nouveau et voir toute sa queue disparaître dans ce gouffre profond mais si étroit qu’il vous enveloppe de ses muscles.


Les deux couples sont seuls. Et pourtant nous sommes les uns à côté des autres, les femmes enculées par leur amant, les amants enculant leur maîtresse, mais dans la dernière ligne droite, celle où la femme gémit, celle où la femme se caresse le clito ou se torture les seins et que les hommes sentent leur sève monter ; c’est du chacun pour soi.


Je comprends le candauliste qui n’est que spectateur mais qui, même si ses sens sont en émoi à la vision de sa femme qui baise ave un autre, garde assez de sang froid pour profiter de cet instant.

Les corps exultent, comme dit la chanson. Les liqueurs se répandent. La pression baisse, lentement, très lentement.


Chacun retrouve sa place. Alban et moi allons tout de même faire une petite toilette de nos bites enculeuses et sûrement moins goûteuses qu’avant.



Sa remarque, qui est plus une affirmation, m’intrigue.



Cette proposition amuse tout le monde. Valériane la première, qui se prête au jeu. Debout, on lui bande les yeux et on la fait tourner sur elle-même afin qu’elle perde ses repères.



Tous trois – en effet, Anaïs participe, et ce n’est pas le moins excitant – nous aidons la robe à tomber. La culotte n’est plus qu’un souvenir, mais reste le soutien-gorge. Comme la robe, il est l’excuse à ce que nos mains caressent le corps de ma femme, qui ne semble pas y trouver à redire. Elle aurait bien tort. Nous, les hommes, sommes aussi spectateurs de délicats attouchements de notre organisatrice.



Notre esclave aux yeux bandés attend. Les premières vraies caresses commencent.

Les seins et les tétons sont notre premier objectif. Alban commence. Il caresse. Il suce. Il tord. Il aspire… Qu’importe l’auteur, la femelle réagit.


Il cesse.

Elle est déçue. Je la comprends : nous la stoppons en plein vol. Elle se dépêche de dire un nom pour vite qu’un autre vienne. Mais le suivant, ce n’est pas moi : c’est Anaïs. Anaïs qui nous fait une démonstration de son savoir-faire. La coquine sait y faire, et je mettrais ma main au feu que ce n’est pas une première fois.


La douceur, puis la rudesse. Le sein cajolé, léché, le téton aspiré entre ses lèvres, et puis deux mains qui pressent les lobes pour en extraire le téton et le mordiller ou le tordre. Ma femme gémit, et si lorsqu’elle annonce que son bienfaiteur ce n’est pas moi, je n’en suis pas vexé.


On la pousse sur le canapé. Notre guide me propose la gorge, et j’y engloutis ma queue pendant qu’Alban plonge sa tête entre les cuisses. Pendant de longues secondes je lui baise la gorge et son amant lui suce le minou. Puis nous inversons. Je trouve sa chatte humide. S’y mêlent le foutre que son amant a abandonné dans le cul et qui a coulé, et la salive de celui qui précède. Encore de longues secondes, et chacun apprécie. Et puis Anaïs nous chasse.


Elle nous fait signe de nous asseoir de chaque côté de notre Vénus. Elle saisit une main de Valériane et la guide sur la queue d’Alban. Je vais faire de même pour l’autre main, mais d’un geste elle me l’interdit. Alors c’est elle maintenant qui va entre les cuisses de son amie. C’est elle qui continue nos caresses trop interrompues par notre changement. Valériane gémit. Son ventre ondule. Elle cherche la bouche, elle mendie la langue, elle supplie les lèvres, et sa jouissance arrive. C’est à cet instant qu’Anaïs me fait signe de guider la main sur mon sexe. Une main qui s’en empare, qui le presse, qui lui transmet un véritable torrent de plaisir.


La jouissance est longue ; la suceuse ne semble pas vouloir s’arrêter. Un voyeur aurait la vision d’une femme que l’on lutine et qui tient dans chacune de ses mains une queue bien raide comme on tient une dame de barque pour ne pas chavirer.

Valériane met un certain temps pour reprendre ses esprits, et c’est seulement qu’elle se rend compte que cela ne peut être ni Alban ni moi qui l’avons menée au paradis alors qu’elle nous tenait ferme.



Mais Anaïs n’en a manifestement pas fini, et heureusement car mon complice et moi bandons toujours. Elle fait allonger ma femme sur le canapé, et la première chose qu’elle fait est d’aller s’accroupir sur son visage, lui offrant, cuisses largement ouvertes, la monnaie de sa pièce.


La suite est un ballet.


Alban d’abord qui va soulever les jambes de mon épouse et glisser son mandrin dans la fente onctueuse. Combien de temps lui faut-il pour éjaculer en elle ? Je ne sais pas car le spectacle me ravit. L’homme qui baise ma femme voit sa propre épouse se balancer délicatement sur le visage, ce qui est propice aux caresses intimes. Ma femme gronde du plaisir reçu, du plaisir donné. Sait-elle qui la baise? Je le lui demanderai tout à l’heure car finalement, dans ces conditions, une femme peut-elle faire la différence ? Sait-elle que c’est ma queue impatiente qui prend la suite ? Une queue si dure qu’elle en est douloureuse. Une queue résistante qui patauge dans le foutre de son amant. C’est d’une perversité qui me fait comprendre Louis lorsqu’il vient fourrer sa femme après que d’autres en aient profité sous ses yeux. Le gargouillis est délicieux. Je n’accélère que lorsque je vois Anaïs jouir sous les caresses de son esclave d’un moment. Alors, après qu’elle ait libéré le visage de ma femme, je lui enlève le masque et c’est les yeux dans les yeux, en communion parfaite, que j’éjacule dans son ventre.


Chacun est silencieux. Chacun a conscience que dans cette pièce nous venons de vivre un moment parfait. Une première fois. Un échange. Un mélange. Chacun doit penser aussi que ce ne doit pas être une fin, mais un début. En tout cas, moi je le pense, et Valériane certainement aussi.


Soudain la sonnerie d’un téléphone nous surprend. C’est celui d’Anaïs qu’elle avait posé sur une table. Elle décroche, mais avant même qu’une voix lui réponde on la voit blêmir. Le nom du correspondant lui est familier.



En cachant le téléphone avec sa main, elle nous dit doucement :



Son mari ? Mais alors, ce n’est pas Alban ? Je comprends maintenant pourquoi sur le papier des analyses, les noms étaient différents. Sur le moment, j’ai pensé qu’Anaïs avait gardé son nom de jeune fille. La remarque de Louis à son sujet me revient. Il a raison : elle n’est sûrement pas aussi sage qu’elle le paraît. Un amant… Et puis cette manière de nous guider…



[à suivre]