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n° 17431Fiche technique21017 caractères21017
Temps de lecture estimé : 13 mn
16/06/16
Résumé:  France-Roumanie, mes amis et leurs amis sont chez moi. Je reçois et je fais deux rencontres. Soirée animée, assez particulière dont le résultat m'a presque échappé. Mais qui n'est que le début d'une belle aventure.
Critères:  fh ff fête noculotte cunnilingu -occasion -fbi
Auteur : Tortue675            Envoi mini-message
Une soirée foot chez moi, vive l'Euro !

À chaque match de foot de la France lors d’une grande compétition, on a une tradition avec mes amis : le regarder sur ma grande télé dans mon appartement. Il est vrai que j’ai de la chance, un joli 50 m² dans un beau quartier parisien, trois petites pièces dont un salon très agréable.


Nous sommes neuf ce soir, deux couples, donc trois filles avec moi, donc six garçons. Soirée foot, début de l’Euro 2016, France-Roumanie, un match supposé facile. La testostérone est au rendez-vous.

J’aime recevoir, et mes amis ramènent souvent des amis plus ou moins proches. Ce soir, je connais très bien ce duo de couples et un de leurs amis, pour être vraiment très proche d’eux, mais les autres garçons ne sont que des connaissances.


Je ne travaille pas le vendredi après-midi, donc je l’ai passé à concocter des petits plats, à chercher des bières et du vin blanc qui attendent au frais. Il y a la possibilité de rassasier une garnison de soldats avec la quantité à manger et à boire. Mes amis le savent, je ne fais pas les choses à moitié, car je le répète : j’aime recevoir.


Les préparations sont terminées et comme j’ai du temps, j’en profite pour me relaxer avant cette soirée mouvementée. Je me fais couler un bain, quelques savons moussants et un verre de blanc parce que je l’ai bien mérité. L’eau est chaude et rentrer dedans me fait toujours frissonner de plaisir. J’aime sentir l’eau sur mon corps, je me sens comme dans une bulle protectrice.

Je m’assoupis quelques minutes et cela me fait un bien fou. Une semaine de boulot chargée, et une bonne soirée à préparer, je suis épuisée.


Le téléphone sonne dans une autre pièce, cela me réveille. Je me lave et me rince, le vin s’est évaporé, à moins que je ne l’aie bu dans ma somnolence ?


Les invités arrivent en trente minutes de temps, à 20 h tout le monde est là pour commencer l’apéro d’avant-match. Les débats ne tardent pas, passionnés. Ça dérive un peu, rapidement, les premières bières sont vite bues. Et déjà la Marseillaise retentit. Puis un peu plus tard ce que tout le monde attendait, le coup d’envoi.


Puis certains commencent déjà à faire des blagues, l’ambiance reste détendue. Pour le moment. Je ramène les salades et autres mets à se mettre sous la dent. On a le temps, mais j’ai une faim de loup. Étant célibataire, mes amis aiment ramener des mecs avec eux, au cas où j’aurais le cœur qui accroche. Je fais plus ample connaissance avec deux des mecs qui m’impressionnent. Un par sa beauté et sa classe, Stan. L’autre par ses connaissances, JP, comme il aime à se faire appeler.


À chaque fois que je cherche des bières ou des plats, chips, quelqu’un est toujours prêt à m’aider, mais c’est souvent Stan qui arrive à s’imposer pour arriver avec moi dans la cuisine. Je pense qu’il a le béguin pour moi, et j’aime jouer avec ça. Il ne me laisse pas du tout indifférente, mais je ne céderai pas facilement, et pas devant mes amis, ça c’est sûr.


À la mi-temps, le visage de la plupart des fans est triste. Ce n’est pas encore la catastrophe, mais match nul. Je sors quelques shots pour donner un petit remontant, tenter de garder un peu d’espoir. Tout le monde joue le jeu et les discussions reprennent.


Début de deuxième période, je m’éclipse dans la cuisine pour allumer le four. J’entends du bruit derrière moi en fermant la porte du four, je me retourne, mais suis surprise par Stan qui vient de poser des plats sur l’évier. Je tombe gauchement à même le sol. Dans un réflexe, Stan qui est juste à côté de moi essaye de me tenir pour amortir ma chute mais n’y arrive pas. Je tombe lourdement sur mes genoux et Stan est penché sur moi la main en bas de mon dos. Je me sens conne. En plus ma jupe est remontée sur mes fesses.



Je comprends, par la phrase inachevée, qu’il a une vue sur mes fesses. Je ne bouge pas. Je ne peux pas pour l’instant.



Je ne peux pas bouger et pas l’envie de crier.



Je le sens venir déposer un baiser sur ma fesse gauche. C’est doux, agréable et osé. Il a remonté un peu plus ma jupe pour le faire.



Il se relève, me prend un bras, je ne sais où prendre appui avec la seconde main je m’agrippe sur lui mais je vise inconsciemment son entrejambe. Je sens sa verge toute dure au moment où il m’attrape le second bras. Je reste à ce niveau-là pour jauger la taille.



Je suis debout, face à lui. Les larmes coulent et je pense mettre ma tête sur son épaule pour prendre un peu de répit face à la douleur, mais lorsque je m’approche, il vient déposer ses lèvres sur les miennes et on s’embrasse ainsi. Et je lui chuchote :



Je sais que beaucoup m’apprécient, que certains ont essayé d’avoir mes faveurs. Je suis une femme indépendante, pas prête à se mettre en couple définitivement, mais je crois en l’amour, la tendresse et les relations.



À ce moment-là, JP entre. Il a besoin de ravitailler les fans qui sentent un match nul possible ou pire, une défaite ?



Il m’accompagne gentiment dans la salle de bain pendant qu’on entend les convives et leur mécontentement à la suite d’une énième action ratée.

La porte quasiment fermée, je le guide pour trouver le nécessaire pour me faire un petit pansement. Quand il a terminé son ouvrage, je me sens redevable.



Je suis debout, lui toujours assis sur la baignoire. Ma jupe retombe sur les cuisses, mes genoux sont abîmés mais je n’y pense même plus. Stan me regarde quelques secondes, d’abord droit dans les yeux puis il me dévisage du regard de haut en bas sans aucune gêne. Je me sens admirée, et ça fait un bien fou. On entend le brouhaha dans le salon mais ce jeu arrive étrangement à me désinhiber. Je me fous même du fait que l’on peut nous découvrir à n’importe quel moment. Cependant, on ne fait rien de mal, même si mon esprit est déjà parti vers des scènes érotiques, voire même bien plus que cela.


Stan ose enfin poser une main au-dessus du genou et remonte aisément sur l’intérieur de ma cuisse, sous la jupe. Il ne s’arrête pas et j’ai des frissons partout où il me touche. Je ferme instantanément les yeux, je ne l’arrête pas, comment le pourrais-je vu mon envie sans cesse grandissante ?


J’écarte légèrement les jambes pour lui laisser libre accès, il arrive enfin à mon entrejambe et il me caresse lentement, le dessous de trois doigts sur ma fente, en léger va-et-vient. Il a ma mouille sur tous les doigts. Il remonte et trouve d’une main experte mon clitoris avec lequel il joue tendrement. Plus haut, il sent mes poils rasés en triangle, puis repart avec la paume de sa main sur ma vulve. Ses doigts sont maintenant proches de mon anus et il me le caresse de manière toujours aussi douce. Je m’abandonne à lui, j’en veux plus, je me sens devenir comme une bête remplie d’envie, mon désir se transforme en nécessité, je ne vois aucune autre issue que d’accueillir sa verge toute dure. Mais Stan continue à me caresser, ses doigts reviennent sur ma chatte et je mouille de plus en plus. Je plie les genoux, même si cela me fait mal, mais je sens ses phalanges rentrer en moi. Il laisse juste le bout des doigts, je joue avec, j’en veux plus mais il résiste.



Et sur ces mots il s’en va, me laissant dans cet état d’excitation que je vais avoir de mal à cacher. Je m’essuie longuement, mais j’ai toujours très chaud. Je me passe un peu d’eau fraîche sur le visage, sur le cou, et sur mon entrejambe pour me calmer. Je réajuste ensuite ma jupe et retourne dans le salon.


Les mecs sont tous partis fumer et les filles me demandent si ça va mieux, et voient le pansement. Elles sont prises de compassion. Je m’assois en face de Patty, une amie de longue date, noire, avec qui j’ai souvent passé des soirées à raconter des histoires et rigoler à n’en plus finir. Tout le monde me parle, et quelques larmes coulent sur ma joue, mais je me reprends vite et on me ressert un verre pour faire passer la pilule.


Je vois que Patty ne réagit pas beaucoup à la conversation et je constate qu’elle a une vue sous ma jupe. Discrètement, sans même qu’on le perçoive, mes jambes bougent de quelques millimètres, centimètres. Elle peut certainement maintenant distinguer que rien ne cache mon entrejambe, que je suis nue sous cette jupe.


À ce moment-là, elle emploie la même technique en regardant Marie sur sa droite, et elle retourne la tête avec un sourire et un clin d’œil qui pourrait passer pour de la complicité pour la conversation en cours (les maladies et blessures de femmes). Mes yeux font le même voyage et découvrent un slip blanc, d’autant plus visible sur sa peau noire. Elle est enfoncée dans le canapé, ce qui fait que j’ai d’autant plus une belle vue et j’y distingue nettement une petite tache humide qui me fait un effet tout particulier aussi.


Quelques minutes plus tard, les hommes reviennent, et je pense que Stan a dû passer le mot, car les mecs ont les yeux qui deviennent un peu voyageurs et se positionnent dans le canapé afin d’avoir la meilleure vision. Mais je ne leur laisse rien.

Et quand Patty part aux toilettes, je me lève pour préparer des choses dans la cuisine. Je ne veux rien laisser aux mecs ce soir, après ce que Stan m’a fait. M’allumer et ne pas assumer, je n’accepte pas.


Et c’est avec un soulagement que tout le monde s’en va une heure plus tard, content de cette victoire arrachée à la dernière seconde. Au moment de faire la bise, Patty me glisse doucement à l’oreille qu’elle a trouvé un joli trésor dans les livres aux toilettes. Je la remercie de sa remarque sans comprendre et laisse tout le monde partir. Puis, prise de doutes, je vais voir aux toilettes et vois quelques livres qui ont bougé. Je scrute attentivement et passe ma main derrière, attrape un morceau de tissu. Oui Patty m’a laissé son slip blanc en cadeau, avec une jolie tache encore humide. Je le porte à mon nez et l’odeur m’excite immédiatement. Je décide de ne pas m’occuper de l’appartement mais d’aller dans ma chambre. Je garde ce slip à proximité de mes narines, et mon excitation ne cesse de grimper.


J’envoie un SMS à Patty : « Merci pour ta gentillesse. Magnifique cadeau pour l’imagination ! » à quoi elle répond quasi immédiatement : « De l’imagination au rêve et du rêve à la réalité, ça ne tient qu’à toi. » J’adore cet échange. Je m’allonge, je ferme les yeux et regrette d’être seule pour la nuit. L’odeur encore en moi, je lui réponds : « Quand tu veux P ! » puis des larmes coulent sur mon visage. Excitée, seule avec une excitation qui me ferait faire des choses si terribles qu’on pourrait en tourner un film X. C’est cruel d’être allumée par un mec et une fille dans la même soirée puis de terminer sous sa couette avec uniquement ses doigts experts en guise de conclusion.

Et la sonnette retentit.

Patty derrière la porte.



Je la laisse rentrer, referme la porte et à peine retournée, elle vient vers moi et m’embrasse avec un baiser que j’ai rarement eu. On s’enlace et immédiatement, cette tendresse, cette passion, ce désir sont partout.



Et je la dirige vers la chambre. Elle voit son slip sur mon lit et esquisse un grand sourire.



Elle passe alors la main sous ma jupe et s’en va vérifier mon excitation.



Et elle prend l’initiative de me déshabiller, la jupe puis le top, et le soutien-gorge. Nue devant elle, elle me pousse sur le lit sur lequel je tombe de dos. Elle me grimpe dessus et m’embrasse. Mes seins passent entre ses doigts, ses mains qui perdent de la tendresse pour l’expertise de la montée en excitation. Elle s’assoit sur moi. Je sens ses fesses nues sur moi. Je la caresse et tout d’abord ses fesses, qu’elle a charnues et très bien faites. Puis je lui enlève tout, méthodiquement, pour que l’on se retrouve nues toutes les deux.


Elle m’embrasse, me caresse, et s’occupe rapidement de mon entrejambe qu’elle s’en va laver à coups de langue experte. Mon bouton est complètement excité, elle le mordille sans même m’écouter lorsque je lui dis d’arrêter, je n’en peux plus, ma mouille est partout sur son visage, je la prends par les cheveux et la tire encore plus fort sur ma chatte et j’explose bruyamment pendant de longues secondes où ce bonheur m’envahit, les soubresauts partout dans mon corps et dans mon ventre. Quand elle sent mon ventre se calmer, les coups de langue se font plus tendre et bientôt sa main vient la remplacer, la paume sur mes lèvres toutes gonflées. Elle vient m’embrasser, toute gluante, toute pleine de mon excitation et de mon envie.



Quelques minutes plus tard j’ai enfin repris mes esprits. Si on peut dire. Car voir un corps de déesse black nue à côté de soi a tendance plutôt à inspirer mon imagination. Et là je sais que tout est possible.


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De courtes heures plus tard, Patty se réveille et va préparer un café, sans faire de bruit. C’est l’odeur qui me réveille. Elle revient de la cuisine avec deux mugs de café, dans le plus simple appareil.