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n° 17432Fiche technique9357 caractères9357
Temps de lecture estimé : 7 mn
16/06/16
Résumé:  Une forme de harcèlement de l'esprit incontrôlable. C'est plus fort que moi, je pense à elle...
Critères:  fh fellation pénétratio attache fantastiqu
Auteur : Silvio

Concours : Concours "Twist final"
Je pense à toi

Je suis dans un endroit inconnu. On dirait une très grande maison ou même un château. Je me lève de mon lit. Je ne remarque pas s’il y a quelqu’un à mes côtés. Je suis nu. Je sors de la chambre et je vois un grand corridor avec plusieurs grandes portes de chambres. Les portes sont pour la plupart ouvertes. J’avance dans le corridor. À mesure que je marche, j’entends des femmes qui disent : « Il s’en vient, cache-toi vite. » Il y en a plusieurs. En marchant dans le corridor, je ne me préoccupe pas outre mesure de ces voix mais je remarque qu’elles semblent avoir peur que je revienne dans leur chambre et elles se cachent de moi. J’entends le bruit de personnes qui trouvent refuge en dessous de leur lit ou dans leur garde-robe…


Je continue à marcher. Au fond du corridor, il y a une chambre avec sa porte grande ouverte. Je n’entends plus aucun bruit. Debout dans le cadre de porte, je regarde au centre de la pièce. Au sol, il y a une femme à quatre pattes qui me regarde et me demande de la détacher. Je la regarde dans les yeux mais ne la reconnais pas tout de suite. Je m’approche d’elle et je remarque que ses mains et ses chevilles sont enchaînées ne lui offrant que très peu de mouvement. Elle semble fatiguée d’occuper cette position inconfortable.


Jusqu’ici je n’avais pas réagi à la sensation que les femmes se cachant pouvaient avoir peur de moi et pourquoi, mais maintenant je pense comprendre en sentant mon érection et en constatant que cette jolie blonde, à la crinière racée est complètement vulnérable car je pourrais profiter d’elle. Je comprends aussi qu’elle sait pourquoi elle est là car on a déjà abusé de sa fâcheuse position. Qui sait? Peut-être je me trompe et elle a volontairement accepté de s’être soumise pour jouer avec un partenaire inconnu…


En m’approchant d’elle, je sursaute, c’est Johanne ! Celle qui vient tout juste de me larguer parce que je ne pouvais la satisfaire. Mais qu’est-ce qu’elle fait là ? Mais elle ne dit rien et me regarde avec un petit sourire que je connais bien. Elle voit bien que mon pénis est en érection et sait qu’il pourrait se passer quelque chose. Elle ne le dit pas, mais c’est clair qu’elle a envie. De quoi ? Je ne le sais pas mais moi je sais de quoi j’ai envie.


Autour d’elle, il n’y a qu’une petite chaise. Je la prends et la place devant elle à proximité de sa tête. Elle est nue. Je suis nu. Je m’assois sur la chaise et place mon pénis près de sa bouche et lui fait signe qu’elle doit me sucer. Elle accepte l’ordre sans broncher et enveloppe mon pénis complètement dans sa bouche. Elle est trop loin de moi pour qu’elle soit confortable mais je n’avance pas ma chaise. Je la laisse avoir de la difficulté à me sucer. Cela ne me dérange pas car je sais qu’elle aime sucer, et qu’elle est capable d’en prendre, des grosses comme des petites. Elle a de l’expérience et m’en a raconté plus d’une. Moi, j’en ai eu que quelques-unes lorsque nous sortions ensemble et j’ai bien l’intention de profiter pleinement de cette autre fellation.


Je regarde avec plaisir le mouvement de son corps en va-et-vient vers l’avant pour bien me sucer complètement. Elle a de la misère, c’est fatiguant pour elle, mais elle sait s’y prendre et continue de le faire énergiquement, la petite cochonne. Son corps et ses hanches se dandinent vers l’avant et vers l’arrière. Je peux voir ses seins se promener de tous les côtés. Elle n’est plus si jeune, la Johanne, mais elle est encore très bien conservée et certainement très excitante. Je pourrais lui caresser le dos, mais non, elle ne le mérite pas.


Elle se décrivait comme une femme aimant le sexe et c’en est vraiment une, vraie petite cochonne, qui aime et adore sucer ma queue car elle a hâte que je lui caresse le clitoris pour la faire jouir. Elle pourrait faire n’importe quoi pour qu’un homme lui donne enfin ce qu’elle désire tout le temps : avoir un clitoris excité en permanence et jouir à l’orgasme à volonté quand elle en a besoin, c’est à dire très souvent. Elle est prête à tout faire pour un homme à condition qu’il la fasse jouir en caressant, masturbant, léchant ou suçant son fameux clitoris.


Soudain, en sentant monter l’excitation de voir cette cochonne qui m’a « flushé » parce que je ne savais pas masturber son clitoris à son goût, « il fallait travailler fort » qu’elle disait, et alors que je pourrais lui éjaculer dans le visage puisqu’elle m’a dit qu’elle aimait manger du sperme, j’entends mon nom ! C’est Johanne qui m’appelle et me demande de venir ici tout de suite ! Je ne comprends pas. Johanne est là devant moi et me suce comme une déesse « Playmate » et même si sa bouche engloutit profondément ma queue, j’entends sa voix qui me parle.


Je fais baisser l’excitation dans mon pénis qui est en train de rougir pour exploser et je lui prends la tête par la crinière pour lui faire comprendre que c’est terminé mon kiki. On reprendra cela plus tard car tu es bien attachée et tu n’iras sûrement pas très loin. Elle ne sourit pas et semble déçue de ne plus pouvoir avaler mon pénis. Oui, oui, tu es bien une petite cochonne. Je lui donne un petit coup de pénis sur le nez juste pour la taquiner en pensant que tu ne perds rien pour attendre ma petite Johanne…


Je me lève donc et sors de la pièce. En arrivant dans le corridor, je ne vois plus qu’une seule porte de chambre ouverte à côté de celle de mes filles qui sont heureusement chez leur mère actuellement. Les autres portes ont toutes disparu. La porte ouverte, c’est ma chambre et Johanne me demande d’y venir vite… Je l’entends très clairement. Je me retourne pour voir d’où j’arrive et regarder ma Johanne attachée mais elle n’est plus là et je ne vois plus que la porte de la salle de bain. Mais qu’est-ce qui vient de m’arriver? La petite cochonne attachée, était-ce un rêve? Je ne sais plus mais mon pénis cherche maintenant un trou où se cacher et j’avance rapidement vers ma chambre et je dis : « Oui, oui, j’arrive tout de suite ma chérie. »


Johanne est couchée sur le dos et se masturbe le clitoris depuis déjà longtemps. Elle est au bord de jouir et me crie : « Dépêche-toi de me pénétrer j’en ai tellement envie. »


Je me mets rapidement en position devant elle. Elle est placée sur le bord du lit. Elle avait hâte que j’arrive et je n’ai pas besoin de la bouger. Je n’ai qu’à m’approcher, lui relever les jambes légèrement, et son vagin sera facile d’accès. Au moment même où mon pénis s’apprête à la pénétrer juste devant sa vulve juteuse, tel qu’elle me le demande et en a envie, je la regarde encore se masturber et je vois ses yeux inquiets car elle a peur de perdre son excitation et son orgasme imminent, et me supplie de me dépêcher. Sur cette image, je la pénètre de toutes mes forces jusqu’au plus profond d’elle, pour bien lui faire sentir que je suis arrivé. Que je suis là, pour elle. Pour la faire jouir, comme elle le désire.


Je commence donc à la pénétrer à répétition lentement et profondément afin qu’elle puisse continuer à se masturber avec sa main agile et nerveuse. À mesure que je l’entends gémir de plaisir et que ses cris deviennent de plus en plus forts, j’augmente la cadence tout en poussant le plus loin que je suis capable. Je la pousse tellement, qu’elle monte dans le lit, elle se déplace vers le centre et je continue à la pousser car j’aime ça. Je la suis sur le lit à coups de bassin et de claquements sur ses cuisses si douces et musclées. Elle crie maintenant tellement fort que ça m’excite aussi.


Alors qu’elle jouit de tout son corps et vacille dans tous les sens, je peine à garder mon pénis dans son vagin mais je réussis malgré tout à le maintenir bien enfoncé en tenant fermement ses cuisses collées sur moi car je veux moi aussi jouir dans cette femme que j’aime tant. Elle me fait capoter cette Johanne et je veux la pénétrer jusqu’à la dernière érection possible de mon pénis qui vient d’éjaculer tout le sperme produit des dernières 24 heures dans son petit vagin musclé et spongieux que j’aime tant lécher.


Je la retourne sur le côté et je réussis à la pénétrer par derrière avec mon pénis qui commence à ramollir. Je place ma main sur sa nuque pour la mettre en cuillère devant moi pour la soumettre à mon énergie et je la pénètre encore plusieurs fois car mon pénis est encore humide de sperme et de l’humidité de sa vulve. Elle gémit à peine, mais je sais qu’elle adore ça. Son orgasme est passé mais elle prend goût à me faire plaisir et continue à ressentir l’extase de ce moment sublime.


Je relâche mon étreinte avec mes mains sur son corps mais je l’approche pour bien m’y coller. Nos respirations commencent à se calmer malgré les phéromones qui émergent de partout. Mon cœur bat encore fort mais mon cardio est excellent et ne m’inquiète pas du tout. J’adore ressentir une décharge d’adrénaline et faire l’amour à une femme ne me fait que du bien. Je ferme les yeux et tire un drap sur nos corps entremêlés. Il ne fait pas encore jour mais cela ne sera pas long. On entend à peine les oiseaux qui se réveillent. Mais moi je ferme les yeux car je veux dormir à côté du corps si doux et brûlant de cette femme. Elle ruisselle de sueur. Moi je n’ai pas transpiré mais je suis mouillé par son corps et mon sperme…


À mesure que l’aube se manifeste, les rayons du soleil font fondre les courbes de son corps sur mon lit. Malgré moi, elles disparaissent de mes draps mais je les conserve vivement dans mon esprit.