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Temps de lecture estimé : 11 mn
19/06/16
Résumé:  Ils partent en quête d'un partenaire et le trouvent.
Critères:  fhhh hagé extraoffre cocus forêt jardin voir sandwich jeu
Auteur : Jezebel  (Couple de candaulistes confirmés)      Envoi mini-message
Ils ne s'y attendaient pas, mais apprécièrent

C’était le quatrième jour qu’ils venaient à cet endroit. On le leur avait renseigné comme étant très propice aux diverses rencontres, mais à chaque fois ils en revenaient bredouilles.

Peut-être auraient-ils plus de chance le soir ? En cas d’échec cet après-midi, ils reviendraient quand la nuit serait tombée.


Quand ils sont arrivés, comme à chaque fois, ils se sont séparés sur le petit parking situé à l’entrée. Ce parc fourmillait de buissons, grandes pelouses et bosquets bien arborés, le lieu idéal pour des promenades en amoureux et des amants cherchant un endroit discret.


Elle s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible par celui qui le voudrait.


Lui, son mari, se tenait à distance raisonnable, à plus ou moins trente mètres de sa femme.

Assis sur un banc public se tenait un homme qui regardait au loin et paraissant plongé dans ses pensées.

Il devait avoir dans les soixante ans, l’âge qu’elle préférait.


Elle regarda son mari qui lui fit un signe d’approbation tout en s’asseyant dans l’herbe. C’était le moment pour elle de faire connaissance avec le quidam. Elle alla s’asseoir sur le banc, gardant une distance respectable avec le vieil homme. Sa petite robe dévoilait ses jambes jusqu’à mi-cuisses, un vrai régal pour les yeux. Elle laissa passer quelques minutes puis adressa la parole à son voisin.



Elle enchaîna par quelques banalités sur le temps qu’il faisait, sur cet endroit si charmant. Tout en discutant, elle prenait soin de se caresser une jambe de manière douce et lente. Il fallait absolument attirer le regard de l’homme sur cette partie de son anatomie, le régaler et le tenter.

Ce fut vite chose faite, il se rinça l’œil sans complexe.


Prétextant de la chaleur qu’il faisait, elle dit au monsieur que le port du maillot devrait être autorisé dans ce parc, que ses vêtements l’étouffaient et qu’elle regrettait s’être vêtue aussi chaudement. Le bonhomme se mit à rire en lui faisant remarquer qu’elle n’avait pas grand-chose sur elle comparé à lui.



Se disant qu’il était peut-être celui qui deviendrait son repas du soir, elle s’enhardit et, d’une manière coquine, retira sa petite culotte.



De loin son homme suivait son manège et comprit que sa femme allait passer à l’étape suivante, celle qu’elle utilise régulièrement lors de ce genre de jeux.

S’adressant au vieux monsieur, elle tint ces mots :



Tout en parlant, elle s’était légèrement mise de côté et avait relevé un tout petit peu sa robe. Il ne devait plus rester que quelques centimètres pour empêcher l’homme de voir son petit abricot tout lisse.



La femme le regarda droit dans les yeux et lui répondit que l’âge avait peu d’importance, que beaucoup de jeunes n’avaient ni le tact ni le savoir des seniors.

Se rapprochant de l’homme, elle prit une voix plus faible et sensuelle.



Pendant qu’elle lui disait ça, elle avait pénétré sa robe par le décolleté et se caressait la poitrine. Ses mouvements étaient visibles et ne pouvaient échapper à l’homme qui devait se demander si cette jeune femme cherchait à l’exciter ou était d’une innocence totale.



Et elle continua en disant :



L’homme ne dit pas un mot, il la regardait et se demandait certainement où cette jolie demoiselle voulait en venir. Comme il restait immobile, elle s’enhardit et, tout en remontant encore le tissu de sa robe, lui dévoila son abricot.



Il en resta bouche-bée, fixant son entrejambe avec la bouche ouverte.

Un couple passa près d’eux, ce qui obligea la femme à dissimuler son abricot à l’aide de son sac à main.

Lorsqu’ils se retrouvèrent à nouveau seuls (à l’exception du pêcheur qui se retournait de temps en temps) elle retira son sac et demanda au vieil homme s’il souhaitait la toucher. Celui-ci ne se fit pas prier et, se collant contre elle, déposa une main sur sa cuisse. Quelques caresses innocentes, puis ses doigts s’aventurèrent jusqu’à son entrecuisse qu’elle avait déjà tout humide par l’excitation de la situation. Il inséra un doigt dans sa chatte et se mit à la masturber avec délicatesse. Coquine, elle aussi entreprit une visite dans le pantalon de l’homme. Avec dextérité elle y glissa une main qui rencontra un sexe gonflé, raide et dur. L’homme, maintenant en confiance totale, lui proposa d’aller dans le sous-bois. Elle se rajusta quelque peu et ils prirent un petit sentier pour se mettre hors de vue des passants.


Alors que son mari se relevait pour les suivre, il vit que le pêcheur avait déposé sa canne et remontait sur le chemin. Il prit le même sentier que le couple et précédait le mari qui, étonné, se demandait s’il allait faire un petit besoin ou s’il avait compris ce qui se tramait. Marchant derrière le pêcheur, il le vit s’arrêter et se dissimuler derrière un arbre. Mais ce n’était pas pour uriner : il regardait devant lui et ne bougeait plus.


Prenant un autre petit chemin, le mari distingua vite sa femme qui était à genoux et pratiquait une fellation au pépé. Jetant un œil sur sa gauche, il vit également le pêcheur se rapprocher du couple en pleine action. Il se rapprocha tellement qu’il finit par être juste derrière la femme qui, occupée, ne l’avait pas entendu. C’est quand il se trouva à quelques centimètres qu’elle prit conscience de sa présence. Elle cessa de pomper le vieux et se releva.



Ainsi donc le pêcheur se trouvait être le frère du vieux et avait suivi tout le manège de la femme dès son arrivée sur le banc !



Ainsi donc ils avaient vu le mari et avaient deviné tout. Les sagouins avaient même simulé être de paisibles messieurs qui ne se doutaient de rien. Entendant ça, le mari se rapprocha et leur dit :



Tous deux se mirent à rire et demandèrent si cela changeait quelque chose ou s’ils pouvaient continuer. Le mari les encouragea à poursuivre et ils ôtèrent la robe de la femme.


Nue, elle se fit caresser par les deux ensemble. Ensuite ils la firent se remettre à genoux et présentèrent leur sexe qu’elle masturba quelques instants avant de prendre en bouche celui du pêcheur. Tout en le suçant, elle branlait l’autre qui jouait avec ses seins. Il les parcourait, les pinçait, tirant sur les bouts qui devenaient de plus en plus grands et pointus.


Le pêcheur se raidit puis déversa son foutre au fond de la gorge de la femme. Elle avala, prit le temps de bien récolter la dernière goutte puis s’attaqua à la deuxième bite qu’elle engouffra goulûment. Pendant qu’elle s’activait, le pêcheur s’accroupit et, d’un doigt mouillé, pénétra l’anus de la salope. Il lui écarta les fesses afin de mieux y entrer puis se mit à aller et venir de plus en plus vite.


La femme aimait ça : plus le gars s’activait dans son anus, plus elle grognait en suçant l’autre. L’autre qui ne put se retenir longtemps et, à son tour, lui envoya sa giclée en pleine bouche.

Repue, elle se releva et embrassa les deux hommes.

Le vieux (celui du banc) remit son engin en place et dit à la femme :



Les deux frères se regardèrent puis le pêcheur s’exprima :



Le mari et la femme se regardèrent puis acquiescèrent. Le pêcheur alla rechercher ses affaires et tous les quatre s’en allèrent chez l’homme. Il habitait une belle maison tout de plain-pied. Le style d’habitation bourgeoise des années 80 mais meublée avec modernité.


Une fois chez l’homme, le couple prit place dans un canapé et l’hôte leur servit un verre de rosé. Ensuite il se rendit dans la salle de bain pour une douche qui s’imposait (l’odeur de poisson était un peu gênante). Quand il revint, son frère et la femme s’embrassaient avec fougue tandis que le mari avait pris place dans un fauteuil et se délectait du spectacle offert ; troussée jusqu’à la taille, elle se laissait masturber avec un plaisir non dissimulé.


Le pêcheur parla un peu avec le mari tout en se régalant aussi de ce qu’il voyait. C’est ainsi qu’il apprit que le couple avait la bonne vingtaine et que la femme était déjà libertine avant leur rencontre. C’est elle qui avait amené son mari au candaulisme ; elle l’aimait, mais ne pouvait se satisfaire de sexe en couple. Il n’avait pas été réticent très longtemps ; elle avait su trouver la manière de lui faire adorer ça. La seule réticence du mari était la crainte qu’elle ne soit trop séduite par un amant. En cela elle le rassura car ce qu’elle aimait et désirait n’était autre chose que des rapports avec des hommes de la soixantaine ou plus. Exception faite pour la gent féminine : là, c’était plutôt entre vingt et trente ans qu’elle les préférait. Le mari en était ravi : des vieux qui ne pouvaient mettre son couple en danger et des femmes jeunes qui le satisferaient également, ce n’était que du pur bonheur.


Le pêcheur se dirigea vers le couple formé par son frère et la coquine et leur proposa de se rendre tous ensemble dans la chambre d’amis. Très vite, le couple comprit pourquoi cette chambre ; elle était meublée d’un grand lit à baldaquin sur lequel étaient disposé tout un arsenal de gadgets sexuels : plug anal, menottes, cravache, masque, vibros de plusieurs tailles. Il y avait même plusieurs flacons d’huiles de toutes sortes et d’arômes différents.


Le couple expliqua ses limites ; il aimait et utilisait également divers jouets, mais la douleur devrait rester supportable et laisser le moins de traces possible.


L’hôte alluma quelques bougies disséminées aux quatre coins de la pièce, puis il ferma les volets. Une lumière très ténue permettait de tout voir, mais avec plus de sensualité qu’au grand jour.


Ensemble, les deux frères menottèrent la femme aux quatre coins du lit. Elle était couchée sur son ventre, les fesses rehaussées à l’aide d’un coussin qu’ils lui glissèrent sous le bassin. L’un d’eux s’empara de la cravache et commença de petits mouvements sur le fessier. Petits mouvements qui furent accompagnés de coups, d’abord légers puis de plus en plus forts. Pendant ce temps, le second la léchait sur le corps entier et lui marmonnait quelques mots salaces au creux de l’oreille. Le cravacheur s’arrêta, se saisit d’une bougie et fit tomber en goutte-à-goutte la cire sur les cuisses et les fesses de la femme qui poussa de légers gémissements. Après ça, il s’arma d’un plug qu’il huila et, avec d’infinies précautions, l’introduisit dans l’anus qui semblait n’attendre que ça.


Ils la détachèrent du lit puis lui passèrent les menottes aux poignets, mais dans le dos. Mise d’un masque lui obstruant toute vue ainsi que d’un collier et d’une laisse, puis ils la promenèrent dans toute la maison. Arrivés dans la cuisine, ils lui ôtèrent les menottes et la firent se mettre à quatre pattes. L’hôte prit un bol qu’il emplit d’eau puis le déposa à même le sol avant d’obliger la femme à laper. Le mari était aux anges ; voir sa femme transformée en caniche était une première. Décidément, les vieux avaient une imagination débordante !


Ensuite ils retournèrent dans la chambre et tous deux se couchèrent de part et d’autre d’elle. Quatre mains qui ne laissèrent aucune partie de l’anatomie de la femme sans une caresse. Tout ce qui peut se pratiquer se réalisa. Elle fut baisée, sodomisée, prise en sandwich. L’un des deux lui éjacula dans son cul tandis que quelques minutes plus tard le second lui envoya la sauce dans la bouche. Elle avait gémi, crié, hurlé de plaisir tout au long de ces pénétrations.


Le mari avait inondé son boxer ; il n’avait pu se retenir tellement le spectacle avait été jouissif. Mais il en voulait plus et, faisant exception à la règle, se dévêtit et alla les rejoindre sur le lit. Il fit mettre sa femme à quatre pattes et lui demanda de sucer à nouveau un des vieux tandis qu’il la sodomisait avec frénésie. La coquine n’en pouvait plus ; elle avait déjà joui nombre de fois, et elle hurla à nouveau de plaisir. Le mari se vida en elle puis se retira. Le vieux, n’ayant plus assez de forces, bandait mou ; elle cessa de le mâchouiller puis se laissa tomber, éreintée, sur le matelas.


Ils parlèrent tous quatre du moment qu’ils venaient de vivre, et la personne la plus enjouée fut la femme. Elle se rendit dans la salle de bain et se rafraîchit quelque peu.

Quand elle rejoignit les trois hommes, ils lui proposèrent de ne pas se séparer ainsi. Ensemble ils s’étaient mis d’accord pour continuer toute la nuit ; elle fut d’accord.


L’hôte prépara un plat de pâtes qu’il servit accompagné de rosé bien frais. Tout au long du repas, ce furent des petites caresses sous la table, des baisers échangés tant avec l’un qu’avec l’autre. Tous tripotèrent la femme durant la soirée en regardant des films érotiques. Le mari finit par s’endormir et ne profita pas de ce qui se passa pendant une partie de la nuit. La coquine partagea la couche des deux hommes qui ne lui laissèrent que peu de répit. Quand l’un dormait ou se reposait, c’était l’autre qui la baisait. Et quand ils n’étaient plus en état, ils se servaient des plugs et des vibros pour l’occuper.


Pendant les quelques jours qui suivirent, elle eut même du mal à rester assise ; son anus était devenu d’une sensibilité extrême tellement il avait été l’objet de pénétrations de toutes sortes.