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Temps de lecture estimé : 22 mn
23/06/16
Résumé:  Élodie est une barmaid sexy de 24 ans. Sa collègue est temporairement remplacée par un homme au corps parfait qui devient l'objet de ses désirs. La découverte de sa véritable identité risque de la refroidir... ou pas !
Critères:  fh collègues boitenuit travail collection vengeance entreseins fellation cunnilingu pénétratio glaçon
Auteur : Mara-Jade      Envoi mini-message

Concours : Concours "Twist final"
Je ne peux lui résister et pourtant

Je m’appelle Élodie, j’ai 24 ans. Je suis étudiante à l’université le jour et barmaid dans un club branché de ma région le soir. Je n’ai pas véritablement choisi cet emploi, c’est plutôt lui qui m’a choisie. Je fréquentais déjà l’endroit trois soirs par semaine avant d’y être embauchée. J’ai d’abord commencé comme shooter girl, puis j’ai passé de l’autre côté du comptoir, là où mes fesses sont un peu moins caressés par des mains baladeuses, mais toujours autant regardées cependant.


Ce bar, c’est mon territoire ! Je m’y sens puissante, forte et désirable ! Je butine, j’explore, je m’en mets plein la bouche. En une seule soirée, j’arrive parfois à introduire ma langue dans au moins cinq bouches différentes, et ça m’est même déjà arrivé de le faire avec des queues, surtout à mes débuts, mais aujourd’hui je suis un peu plus sélective…


C’est vendredi soir, mais pas n’importe lequel. C’est la fin de la session à l’université. L’endroit est donc bondé et je n’ai pas une seule seconde à moi. Ils ont tous très soif et je n’ai que deux mains. Ma collègue de travail vient de me lâcher et mon patron essaie d’appeler un ami à lui, un autre propriétaire de club, pour le sortir du pétrin.


C’est ainsi qu’il s’est retrouvé derrière le bar avec moi pour finir la soirée. Un torse parfait, moulé sous un t-shirt blanc. Son jeans foncé est un peu trop ample pour me laisser voir clairement la forme de son derrière, mais je suis certaine qu’il va de pair avec l’ensemble de son corps si bien entretenu. On me le présente très vite. Il s’appelle Ludo, ce que j’imagine être le diminutif de Ludovic, mais qui sait, de nos jours.


La soirée passe ensuite très vite et l’achalandage au bar diminue au fur et à mesure que l’état d’ébriété des clients augmente. Ludo est d’une efficacité comparable à un employé d’expérience, ce qui doit probablement être son cas. Mon patron a dû le payer le prix fort pour l’avoir à une heure aussi tardive, mais je n’en suis pas jalouse. Au contraire, il nous a bien dépannés.


À plusieurs reprise durant la soirée, nous nous sommes frôlés, mais rien de bien vilain ou déplacé. Vers 2 h 30 du matin, j’ai enfin la chance de discuter un peu avec lui.



Il a des yeux magnifiques, d’un bleu clair, perçants, dont il est difficile de se détourner. Ses cheveux sont noirs, légèrement ondulés et il les coiffe avec un style assez moderne, ce qui le rend encore plus irrésistible. Physiquement il m’attire, mais quelque chose m’empêche d’agir comme je le fais habituellement dans ces cas-là…


Mon blocage avec lui, je crois deviner d’où il provient. Il travaille dans un club de danseurs, s’habille avec des vêtements qui savent le mettre en valeur, il entretient son corps et sait se coiffer… C’est clair qu’il est gay, et c’est ce qui m’empêche de lui faire du rentre-dedans. J’ai toujours eu un sixième sens pour les déceler, et encore une fois je suis persuadée de viser juste.


Plus tôt dans la soirée, il a pourtant réussi à me faire frissonner un peu. Il s’était penché sous le comptoir vis-à-vis l’endroit où je me tenais pour aller chercher un bac de glaçons. À ce moment-là, je me suis mise à l’imaginer passant sa tête sous ma robe pour aller lécher mon entrejambe. Juste d’y penser, j’en mouille encore ; mais comme il est gay, impossible que cela se produise entre nous.


À la fin de la soirée, il m’aide à tout ramasser, et avant de partir il me dit « À demain ! » en m’embrassant sur les joues, ce qui fait que son parfum suave emplit mes narines et émoustille mes sens. Mon patron l’a réquisitionné pour les deux jours : je pourrai donc continuer de fantasmer encore un peu demain soir…


En arrivant dans mon petit appartement, je prends une longue douche plus froide que chaude, mais cela ne réussit pas à me calmer. Je fais alors la seule chose qui va pouvoir enfin me replacer les idées : je me masturbe en pensant à lui… Il est très rare que je m’abaisse à une telle chose en dirigeant toutes mes pensées vers une personne en particulier. Généralement, lorsqu’il m’arrive de le faire, c’est en regardant du porno sur Internet, et jamais en me focalisant sur un collègue de travail, gay de surcroît !


Au bout de quelques minutes de torture violente de mon clitoris, je jouis, mais ce n’est pas suffisant pour me garantir le sommeil dont j’ai besoin. Mon esprit se met à mélanger le fil de mes pensées avec des images de mon passé, m’amenant à voir en rêve des visages qui appartenaient à mon ancienne vie et dont je me souvenais plus ou moins depuis un moment…


Je me réveille en sueur ; il est 10 h 30 du matin, beaucoup trop tôt pour un samedi. Je décide tout de même de me lever, émergeant enfin de l’horrible cauchemar que je viens de faire et qui m’a mise dans un sale état. Sans trop comprendre pourquoi, j’ai rêvé de mon passé, de l’époque où j’avais 15 ans et que l’on me surnommait « Élodie la grosse truie ».


Il faut dire qu’en ce temps là, j’avais un surplus de poids ; rien d’irréversible, mais assez pour susciter quelques moqueries de la part des garçons de mon école. J’imagine que c’est un peu en partie pour cela que j’aime autant plaire aux hommes aujourd’hui. Je crois qu’inconsciemment j’essaie de me prouver – ou plutôt leur prouver – que je suis devenue une femme désirable, le genre qu’ils ne peuvent que rêver d’avoir mais qui leur sera toujours inaccessible…


C’est alors que j’ai un flash dans ma tête. Je file vers ma bibliothèque et j’attrape mon album de finissants du secondaire. Je tourne frénétiquement les pages et je le vois. La photo est en noir et blanc, mais l’intensité du regard est la même. Ludovic Martin, un des garçons qui m’intimidaient à cause de mon poids durant mon adolescence. C’était lui, le Ludo d’hier soir, celui de mes fantasmes ! Cela explique probablement pourquoi j’ai tout suite eu une sorte de blocage face à lui, et pourquoi aussi mon passé m’a si étrangement rattrapé cette nuit.


Dans mon souvenir, il n’était pas gay, bien au contraire. Peut-être a-t-il viré son capot de bord, ou peut-être qu’il sortait avec toutes ces filles à l’époque pour être accepté des autres ou encore essayer de se convaincre qu’il aimait les filles.


Je passe le reste de ma journée devant ma télé à mijoter sur cette découverte, me demandant s’il m’avait lui aussi reconnue. Outre ma perte de poids, j’ai maintenant les cheveux blonds au lieu de bruns, mes seins sont devenus plus visibles grâce à mon ventre plat, et bien sûr j’ai troqué mes horribles lunettes pour des verres de contact qui font ressortir mes beaux yeux irisés.


Le soir, en me préparant pour aller travailler, je décide de m’appliquer encore plus dans tous les détails de ma tenue. Je lisse parfaitement mes cheveux longs au fer plat, je mets une robe assez décolletée et qui ne nécessite pas de soutien-gorge afin de mieux exposer mes jolis seins bien ronds, et je me maquille de sorte que mes yeux ressortent davantage et rendent fou de désir n’importe quel homme qui croisera mon regard.


Satisfaite de mon apparence, je me rends au travail. J’arrive toujours une bonne heure avant l’ouverture du club pour faire quelques préparations d’avance, et je suis un peu surprise de constater que lui aussi est déjà sur place pour faire la même chose que moi. Il est rare qu’un suppléant se donne la peine de faire du zèle ; il faut croire que ce métier lui plaît véritablement.


À mon arrivée, il me donne deux becs sur les joues en me tenant d’une main par la taille. Cette même main semble s’attarder sur moi plus que de raison, mais je dois me faire des idées. Le fait de savoir qui il est, de repenser à ce qu’il m’a fait subir dans le passé n’est malheureusement pas suffisant pour faire taire ma libido qui ne demande qu’à être libérée. Je me rends compte que malgré tout ce que je sais, je le désire encore autant, et ça me perturbe.


Il me parle très peu, se contentant d’accomplir, tout comme moi, les tâches habituelles de préparation. Quand le DJ arrive ensuite sur place, il démarre sa console, pratiquant quelques mix, au grand plaisir des serveuses qui se déhanchent sur la piste de danse pour se mette un peu dans l’ambiance avant l’ouverture.


Pendant que tous les autres employés du club s’amusent sur la piste de danse, moi je reste derrière mon bar et je continue mes préparatifs minutieusement, tout en bougeant mes fesses et mes hanches au rythme de la musique.


Sans que je l’aie vu venir, Ludo décide de m’agripper par derrière comme pour danser avec moi, calquant mon déhanchement sexy. Je sens ensuite qu’il frotte son érection sur mes fesses, me donnant envie de plus, mais le club va ouvrir et le devoir nous rappelle à l’ordre un peu trop rapidement.


Maintenant, je sais au moins qu’il n’est pas gay. J’étais tombée dans le cliché de croire que tous les hommes qui travaillent dans les clubs de danseurs nus sont forcément des homosexuels. J’aurai dû y penser plus tôt. Il n’y a pas de meilleur moyen pour s’envoyer en l’air tous les jours que d’être entourée de femmes en chaleur excitées par des hommes nus et inaccessibles !


La soirée bat son plein, mais c’est un peu moins achalandé que la veille. Ludo passe sa soirée à me frôler, mais cette fois je sais que ce n’est pas accidentel. Au moment où je me mets à discuter plus longuement avec un client dont les intentions envers moi sont de plus en plus claires, il décide de se glisser sous le comptoir et de faire ce que j’avais rêvé qu’il me fasse la veille. À l’abri, sous le bar, il remonte légèrement ma jupe, tasse ma petite culotte de dentelle rouge et passe sa langue sur ma fente, s’attardant de plus en plus sur mon clitoris qui ne fait que gonfler davantage à son contact.


C’est à la fois inattendu, mais ô combien excitant. Mes sensations en sont plus que décuplées, et fort possiblement lisibles sur mon visage. J’ai du mal à garder un air normal face au client qui discute avec moi, et mes mains agrippent le bord du comptoir avec un peu trop de force pour que ça aie l’air naturel.


Le blond devant moi prend mon langage corporel comme une invitation envers lui. Je décide donc de le laisser mettre sa langue dans ma bouche pendant que mon partenaire de sous le comptoir s’occupe que trop bien de ma petite chatte qui doit maintenant lui inonder le visage de mouille, signe que ma fin approche. Je transpose les mouvements de langue de mon partenaire dans la bouche de mon client qui devient plus qu’insatiable. Je suis au bord de l’orgasme. Je gémis dans la bouche que je dévore, et comme s’il avait pu arriver à déceler le moment exact où j’allais exploser, Ludo m’abandonne et me laisse sur ma faim. Je me retourne vers lui, mais il évite de me regarder.


Je vois ensuite mon client détaler vers la salle de bain, le pantalon humide. Ludo se met à rire. Il vient de comprendre, lui aussi, que j’ai réussi à faire venir le pauvre garçon dans son pantalon simplement en l’embrassant et en gémissant dans sa bouche.


Je m’éloigne de mon poste et je me dirige vers la salle de bain des employés pour me nettoyer un peu, et surtout me passer un peu d’eau froide dans le cou. Dans le miroir, je me vois, les yeux brillants, les lèvres enflées et les joues en feu. Je résiste à l’envie de me finir moi-même, voulant profiter à fond de l’excitation de cette expérience nouvelle. J’ai très envie de le sentir en moi, de jouir sur son membre bien dur que j’ai senti plus tôt sur mes fesses quand nous dansions…


Une part de moi cependant aimerait bien être capable de lui résister. Une sorte de vengeance à retardement en quelque sorte. J’aimerais bien voir la tête qu’il ferait s’il savait qui je suis ! Le problème, c’est qu’il y a une plus grande partie de moi qui n’a pas véritablement envie de lui révéler mon identité.


J’ai fui ma ville de naissance justement pour me reconstruire, loin de mes vieux démons. J’ai coupé les ponts avec pratiquement tout le monde de mon passé pour ne pas qu’on m’associe à Élodie la grosse truie, et voilà que surgit de nulle part, dans un corps des plus sexys, un garçon que je devrais haïr bien plus que désirer.


Tout cela, cette histoire, c’est devenu trop compliqué pour moi. Je ferais mieux de me laisser baiser par un client dans les toilettes plutôt que de continuer ce petit jeu de provocation avec Ludo…


De retour au bar, je décide de me concentrer sur mon travail, mais je sens de plus en plus s’attarder sur moi le regard de Ludo et ses mains quand il réussit à se trouver une excuse pour me toucher. Je suis au bord de la crise de nerfs !


Le pire, c’est lorsqu’il me glisse à l’oreille peu de temps après mon retour :



Je sais très bien ce qu’il attend de moi : il veut que je me glisse sous le comptoir et que je le suce avec avidité jusqu’à ce qu’il explose sa semence dans ma jolie bouche. Je ne lui ferai pas ce plaisir ! J’ai bien l’intention de tenir le coup, de me laisser désirer avant de le larguer pour un autre, un moins beau que lui ; ça, ça lui ferait peut-être mal, mais à moi aussi je crois… Je décide donc de laisser tomber les mauvais plans qui me trottent dans la tête et de laisser la soirée suivre son cours.


Plus tard, il revient à la charge ; se faisant plus insistant, il me murmure dans un souffle :



Durant tout le temps où il me parle au creux de l’oreille, je sens son souffle sur mon cou et ma petite culotte s’humidifier. Mon corps trahit mon esprit, mais il ne gagnera pas ; pas après qu’il m’ait dit cela !


Il est 1 h 30, l’heure où le DJ organise un stupide concours sur la piste de danse, ce qui détourne l’attention des clients du bar. Il fait s’aligner des filles et demande aux hommes présents de les noter. Plusieurs filles exposent même leurs seins pour avoir de meilleures notes, ce que je trouve ridicule vu que le prix à gagner n’est qu’une vulgaire bouteille de champagne bas de gamme !


Pendant que l’attention n’est plus sur nous, Ludo revient à la charge. Il se place derrière moi et empoigne mes seins sans retenue, les malaxe, pinçant leur pointe traîtresse qui se durcit sous l’intensité de ses caresses.



Il interprète mon absence de réaction comme une invitation et passe sa main sous ma jupe. Il tire sur ma culotte qui tombe en lambeau humide sur mes chevilles. Il entre ensuite deux de ses doigts dans ma chatte qui ne lui oppose aucune résistance. Je mets mes deux mains, les paumes à plat, sur le comptoir du bar et je me penche pour faciliter la caresse et en augmenter la profondeur.


Le plaisir monte en moi de manière incontrôlable, et je me laisse faire comme une vulgaire poupée. Je réalise que c’est maintenant moi qui bouge, moi qui baise ses doigts, mais je m’en fiche, c’est trop bon. Je veux sa queue ; mon enthousiasme le prouve, mais le concours s’achève et bientôt ils vont tous se ruer vers le bar une fois la gagnante révélée, m’empêchant à nouveau de jouir.


Je suis frustrée au point de me dire qu’il devrait peut-être me baiser devant tout ce monde au lieu de passer son temps à m’allumer, à me rendre au bord de ma finale avant de m’abandonner avec une dérangeante facilité. Le DJ annonce la gagnante ; c’est la fin. Ses doigts quittent mon antre chaud et il s’éloigne. Je vois son érection au travers de son jeans, et cette fois j’ai vraiment envie de le sucer, de faire ce qu’il m’avait demandé plus tôt, mais le moment est mal choisi : la foule arrive et le travail ne manque pas…


La soirée est interminable ; je me sens épuisée, et ça commence à se voir. Une serveuse que je connais depuis longtemps me demande si ça va. Non ça ne va pas, mais je lui mens : je lui dis que je suis juste un peu fatiguée, ce qui n’est pas totalement faux. Que devrais-je lui répondre ? Que j’ai envie que tout le monde disparaisse, que je veux que la queue de mon collègue barman me pénètre et me fasse jouir à répétition pour enfin pouvoir soulager mon sexe douloureux de désir qu’il a passé son temps à malmener tout au long de la soirée ?


Je me calme en faisant discrètement glisser un cube de glace sur mon entrecuisse. Je n’ai plus de petite culotte, sinon je crois que je l’y laisserais ! Je sais qu’il m’a vue faire parce qu’il rit de moi. Je mets le glaçon dans le cocktail d’un beau brun qui ne s’en doute pas, juste pour narguer Ludo qui me sourit de façon perverse, ce qui n’aide en rien ma résolution de mettre un terme à ce petit jeu.


À la fin de la soirée, le club se vide enfin et Molly me propose de faire la fermeture à ma place, mais je refuse, prétextant que j’ai besoin d’heures, que j’ai fait moins de types que d’habitude, ce qui est totalement faux. À tour de rôle les autres employés s’en vont, me laissant seule avec ma proie ou mon prédateur, ça dépend du point de vue. Je verrouille la porte derrière eux et retourne à mon poste.


Ludo est dans l’entrepôt arrière, il range quelques bouteilles vides. Toutes les lumières sont maintenant éteintes ; il ne reste plus que les encastrées au-dessus du bar. Je fais semblant de nettoyer les comptoirs, adoptant des positions suggestives. Je me sens un peu stupide, mais le manège fonctionne. Il sort du petit entrepôt et vient directement vers moi. Il m’attrape par derrière et sort mes seins de ma robe, les exposant à l’air libre pour la première fois de la soirée. Il me chuchote encore à l’oreille, même si nous somme enfin seuls. Ça fait partie du jeu, maintenant…



Je détache son jeans lentement, très lentement. Son sexe est probablement douloureux en ce moment d’avoir passé la majeure partie de la soirée en érection et à l’étroit dans sa cachette trop ajustée.


Il a maintenant le pantalon et le boxer aux chevilles. Je lui enlève son chandail car il n’est pas question que je rate la moindre parcelle de ce corps si parfait. Je l’embrasse sur la bouche et mêle ma langue à la sienne. Il me colle à lui, et je sens sa dureté le long de ma cuisse. Il n’en peut plus. Il essaie de détourner mon attention en m’embrassant plus fougueusement. Il tente de relever ma jambe afin de pouvoir mieux me pénétrer, mais je le vois venir de loin et je me recule.



Je me mets à genoux devant lui. Il approche son sexe tendu de ma bouche, le tenant avec sa main pour le guider vers mes lèvres toujours closes. Le liquide qui perle au bout les humidifie et je lutte contre mon envie de les ouvrir devant une telle invitation. Je pointe plutôt ma langue taquine sur le bout de son gland. Il essaie de pousser plus loin, mais ses tentatives échouent. Il est frustré, comme moi je l’ai été plus tôt, et ça m’amuse. Il ne se fait pas violence pour autant ; il est patient, et c’est moi qui finis par succomber à mon propre jeu pervers.


Je le gobe d’un seul coup, sans prévenir, entièrement, jusqu’à la garde. Il pousse un râle bestial ; je crois même qu’il va venir tellement il crie fort. Je ne le lâche pas du regard. Il a du mal à ne pas fermer les yeux, mais il ne veut rien rater du spectacle. Je sais qu’il ne durera pas longtemps dans l’état où il est, mais je suis certaine qu’il a de la réserve. Je redouble d’ardeur, agrippant ses belles petites fesses rondes à deux mains, suçant plus fort ma friandise qui commence à donner des signes avant-coureurs qu’elle ne tardera pas à me donner son précieux nectar.


Après quelques passages de plus il se déverse dans ma bouche. Je l’avale en entier tout en faisant un dernier tour de langue autour de son gland pour être certaine de ne rien laisser s’échapper, puis je me relève lentement avec mon regard des plus aguicheurs. C’est alors qu’il me soulève avec ses bras musclés et m’assied sur le comptoir. J’ai à peine le temps de comprendre ce qui se passe qu’il a déjà sa langue profondément enfoncée dans mon vagin. Il voulait me surprendre, me défier ? Il réussit parfaitement son coup.


Cette fois, je me laisse totalement envahir par le plaisir qui monte en moi de façon exponentielle. Je suis au bord de la jouissance, encore, et j’espère qu’enfin il me laissera l’atteindre. C’est alors qu’il aspire complètement mon clitoris dans sa bouche, ce qui a pour effet de me conduire directement vers mon paroxysme. J’agrippe sa tête à deux mains pendant que je jouis et je le sens gémir contre mon sexe, ce qui provoque quelques petits soubresauts de plaisir supplémentaires.


Il se recule. Je vois que son érection est revenue, encore plus forte malgré mon traitement de tout à l’heure. Il me veut et il ne cherche pas à me le cacher. Je me lève debout et je retire ma robe. Il m’embrasse de nouveau. Sa bouche goûte ma mouille, mais je m’en fous. Sa dureté me heurte la jambe alors je l’emprisonne entre mes cuisses, la collant contre ma vulve chaude. Il descend son visage vers mes seins, les suçotant, les léchant, me faisant voir des étoiles. Je sais qu’il me veut – je le sens très bien – mais il ne bouge pas. Il veut que ce soit moi qui le supplie ; il me l’a dit tout au long de la soirée. J’aimerais lui résister, gagner ce combat entre nous, mais ma conscience m’abandonne. Son gland bute légèrement contre mon clitoris, juste assez pour annihiler ma volonté.


Je lui tourne alors le dos et lui montre mes fesses, poussant vers l’arrière pour lui montrer qu’il n’a plus qu’à se servir. Il se place derrière moi, le gland verrouillé sur mon entrée, mais il ne bouge toujours pas. Il est aussi têtu que moi, même plus. Une de ses mains caresse mon clitoris pendant que l’autre titille la pointe de l’un de mes seins.



Je sais ce qu’il veut entendre, et je n’en peux plus d’attendre ; alors je le comble, je m’abaisse, je me soumets.



Encore une fois il pousse un râle libérateur en me pénétrant. Si je ne l’avais pas sucé d’abord, je ne suis pas certaine qu’il aurait été capable de résister aussi longtemps à son envie. Maintenant qu’il est en moi, je me laisse aller à mes plus bas instincts, laissant de côté mes principes et ma fierté, criant presque à chaque fois que ses couilles viennent buter contre ma peau, signe que la pénétration est très profonde.


Il me martèle, me pilonne avec frénésie, sans relâche et avec de vigueur, mais ce n’est jamais assez, ni pour lui, ni pour moi.



Je viens de lui dire tout ce qu’il avait prévu me faire dire, mais je m’en fiche. Quand je suis dans cet état-là, je perds toute pudeur ; il n’y a que les besoins les plus primaux qui comptent. Je deviens l’esclave de mes sensations…


Je sens que les parois de mon vagin enserrent sa queue dans une série de spasmes réguliers qui le font un peu ralentir. En définitive, il veut que ça dure ; et je ne m’en plains pas, bien au contraire ! Il s’extirpe de moi et me soulève pour me poser sur le bar où il grimpe à son tour. Il se couche ensuite sur le dos, l’érection bien droite.



Je m’empale alors sur lui et je commence à rouler des hanches. Il fixe le mouvement de mes seins, comme hypnotisé pendant que je me laisse prendre au jeu et que je m’abandonne toute entière au plaisir qu’il me procure, à cet organe bien dur qui me donne bien du plaisir.


Cette fois, j’atteins encore plus rapidement l’orgasme, mais je décide de ne pas ralentir la cadence. Je continue de bouger, de me frotter à lui, de le faire glisser dans mon canal inondé. Mes mouvements sont désormais uniquement pour moi, et pour moi seule. Je vide mon esprit et m’abandonne une fois pour toutes. Je suis proche de ma fin, et je ne me gêne plus pour le dire.



Je prends alors conscience de ce qu’il vient tout juste de me dire, mais mon esprit n’est pas assez fort pour que je le repousse. Je me laisse donc aller vers le puissant orgasme que j’ai si savamment préparé, le plus fort de toute la soirée. Mes spasmes n’en finissent plus, venant enfin à bout de mon insatiable partenaire qui prend le relais de mes mouvements de bassin afin de pouvoir lui aussi profiter jusqu’au bout de l’aventure. Pour être certain que je ne l’abandonne pas avant qu’il en ait fini – surtout après ce qu’il vient de me dire, il me retient fermement par les hanches.



Je le sens qui se déverse en moi en moi avec de puissants jets. Une fois terminé, je décide de rester sur lui. Il en est assez surpris. Il devait croire que le fait de m’avouer m’avoir reconnue me ferait fuir ou piquer une grosse crise. Je veux le confronter, et rien de tel qu’une position comme celle-ci pour arriver à mes fins.



Son sexe est encore profondément ancré dans le mien. Son sperme me coule entre les jambes. Une goutte rejoint le bout de mon clitoris, et ça m’excite. Il touche mes seins et il bande encore. Je suis subjuguée par sa virilité et son endurance. Il m’attire à lui, m’embrasse, et je me remets instinctivement à bouger sans même y réfléchir Je suis épuisée, mais mon corps se laisse tenter par une dernière montée. Cependant l’énergie me manque. Il me soulève alors et je me laisse faire. Il me couche sur le bar ; sa queue sort à peine de moi durant le changement de position, ce qui me fascine.


Je reste là, inerte, presque sans bouger. Mes muscles me font mal, et lui il me baise vigoureusement encore et encore. De nouveau emportée par sa frénésie, il arrive à me faire jouir de nouveau, ce que je n’aurais vraiment pas cru possible dans l’état où je suis… Puis il sort de ma chatte et se positionne entre mes seins qu’il maintient ensemble à l’aide de l’une de ses mains. Il glisse son membre dans l’interstice en me disant :



Il éjacule pour la troisième fois de la soirée. C’est la première fois que je suis témoin d’un tel exploit. Il arrose de son sperme mon menton et mes seins en poussant un râle profond, aussi profond que le souvenir de son vieux fantasme enfin assouvi.


Les adolescents sont maladroits. Pour attirer mon attention, Ludovic Martin m’avait insultée alors que la seule chose dont il avait toujours rêvé, c’était de me posséder, d’utiliser toutes les parties de mon corps pour être enfin rassasié tout en me faisant jouir au passage plus que mon propre corps arrivait à le supporter…