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Temps de lecture estimé : 33 mn
27/06/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Après avoir accueilli l'amant, maintenant le mari. Mais lui, il faut le recevoir pour le rassurer sur la fidélité de sa femme. Pas si facile !
Critères:  fh hbi couplus boitenuit amour trans facial fellation fsodo hsodo échange confession
Auteur : ViolaFleur      

Série : Tempête de neige

Chapitre 03 / 03
Le printemps

Résumé des épisodes précédents :


« Tempête de neige »

« Le dégel »


Bloqués par une tempête de neige et excités par des vidéos découvertes dans un ordinateur, Pascal et Anaïs deviennent amants.

Ils se retrouvent avec leur conjoint, Valériane et Alban pour un week-end « découverte de leur sexualité ». Tout se passe très bien. Ils finissent dans une baise assez torride devant les fameuses vidéos, mais un appel téléphonique fait comprendre qu’Alban n’est pas le mari, mais l’amant. Le mari est au téléphone.



_______________________________________________




On retrouve Anaïs au téléphone avec son mari.

À voir la tête d’Alban et surtout celle d’Anaïs, voilà un appel téléphonique qui risque de faire des dégâts. On peut voir la femme réfléchir pour trouver une explication plausible à son absence de la maison.



Le regard d’Anaïs cherche une idée et soudain il se pose sur Valériane. On dirait un déclic.



Ma femme fait de grands gestes à son amie pour qu’elle lui passe le téléphone. Anaïs hésite à peine. Valériane s’en empare.



Valériane écoute la réponse de l’homme. Manifestement elle arrive à le convaincre, car après quelques nouveaux échanges, elle lui donne notre adresse et termine avec :



Et elle raccroche, pas mécontente de son petit effet. Pourtant ce n’est pas l’avis d’Anaïs.



Deux heures plus tard, Alban est dans son train. Un grand ménage a été fait dans les chambres, dans les salles de bain, dans le salon et dans le home cinéma. Même la cuisine est passée au peigne fin afin que ne subsistent que des traces de deux personnes, pas de trois et encore moins de quatre.

Moi, je suis dans ma voiture garée un peu plus loin, une valise à côté de moi, valise de celui qui est censé être parti et qui revient lui aussi plus tôt que prévu.

Je dois dire que ma femme a fait preuve d’une présence d’esprit stupéfiante en invitant ce Loïc, chassant ainsi le risque que le mari se doute de quelque chose. Cerise sur le gâteau, je dois attendre l’arrivée de l’homme à la maison afin qu’il intègre bien qu’Anaïs était effectivement depuis 24 h avec Valériane.


La friponne d’Anaïs nous a donné quelques détails. Son mari est lieutenant de gendarmerie. Une dizaine d’années de plus qu’elle. Ils vivent dans une sorte de caserne. Il est assez souvent absent, des semaines parfois. Elle nous avoue que pendant ces temps de privation elle avait trouvé Alban, dont le métier servait d’excuse et les amants pouvaient se rencontrer en toute discrétion, en ville.


Il arrive et se gare juste à côté de la voiture de sa femme. Il sort, un sac de voyage de son coffre. Il est en civil bien sûr. Il a tout du militaire en activité. Le port de tête, les cheveux très courts, les épaules assez larges. Décidément Anaïs a un faible pour les hommes costauds et avec Alban elle s’est trouvé un avatar de son mari.


La porte s’ouvre. C’est Anaïs qui le reçoit. Valériane est derrière. La porte se referme.

J’attends. Les minutes paraissent longues. J’aurais bien voulu voir la tête du gars, mais mon absence apporte une touche de vérité.

Vingt minutes et j’entre. Moi aussi j’ai une valise à la main. Ils sont dans le salon. Personne ne m’a entendu rentrer.



C’est vrai qu’il est 18 h passé.



Je m’avance. Je tends la main à Anaïs.



Après avoir bisé cette femme que je dois faire semblant de ne pas connaître alors que nous avons vécu ensemble des baises torrides, le mari me capte la main :



L’homme est sympa. Son humour me plaît.

Mais au bout de seulement quelques minutes, les femmes nous annoncent qu’elles doivent partir pour arriver à temps aux soldes VIP. Rendez-vous est donné, charge à moi de réserver, au même resto qu’hier soir. Bien sûr, Valériane ne me parle pas ainsi, mais plutôt « tu sais le resto si sympa, pas loin du centre commercial avec cette ambiance à la fois discrète et familiale ».

La coquine. Familiale ! Mon cul !


Me voilà en tête à tête avec le mari. Enfin, le nouveau.

Finalement l’ancien, l’amant, Alban, m’a servi pour me faire la main. Pas plus tard qu’hier c’est avec lui que j’échangeais des confidences. Mais les choses étaient plus claires, nous savions le but de leur visite.

Le nouveau, le vrai, n’est sûrement pas dans cet état d’esprit. Avec cet homme, je me dois de jouer le compagnon de la femme qui a invité la sienne pour se changer les idées, pas plus.

Nous bavardons. Je fais semblant d’apprendre qu’il est gendarme, enquêteur et que c’est la raison de ses absences fréquentes. Nous avons au moins un point commun.



Mon lapsus n’en est pas un. Je veux juste m’amuser un peu avec ce mari parachuté qui d’une certaine façon a cassé l’ambiance que nous avions créée.



Et je lui balance, avec l’impression de rabâcher, mon idée constructive du couple, par le cocufiage partagé et assumé.



Un silence conclut ce moment de partage. Ainsi ce que m’a raconté sa femme était vrai. C’est drôle d’entendre les confidences de ce mari qui ne sait pas où il en est. Il est comme beaucoup. Incertain, avec des fantasmes, mais pas le courage de les exprimer et encore moins de les réaliser.


Nous partons rejoindre nos femmes. Elles nous rejoignent au resto. Manifestement elles se sont éclatées. Leurs achats sont restés dans leur voiture.

Le repas est un modèle du genre. Deux couples qui font connaissance. Nous sommes bien plus sages que la veille. J’ai tout de même l’impression de me répéter et je dois me surveiller en permanence pour ne pas montrer que je connais Anaïs plus qu’intimement.


Heureusement Valériane propose que nous allions danser un peu. Je redoutais de commettre un imper.

La boîte de nuit est du genre qui ne se fait plus, un peu ringarde, un peu désuète, mais toujours très appréciée par une clientèle d’un certain âge. On peut y danser. Eh oui, cela devient rare. La musique évite d’avoir à soutenir une conversation. Bien sûr nous dansons. Évidemment que nous échangeons nos partenaires. Petit à petit on se décontracte et je dois dire que ma femme joue un peu la séductrice. J’ai réussi à lui parler des confidences que j’ai échangées avec Loïc. Elle doit se faire un plaisir de le draguer un peu. Connaissant notre vécu cela ne doit pas trop le surprendre. Moi, par contre, galant, mais assez sage, je m’occupe de sa femme.

Mais, sans prévenir, un incident se produit. J’en suis la cause bien involontaire. Alors que Loïc et ma femme reviennent d’une danse exotique qui ne cache pas un appel à l’érotisme aussi bien par les mouvements que les paroles, je dis, croyant être subtil :



La remarque acerbe de la femme m’étonne.



Je dois dire que j’attendais plus une plaisanterie dans le genre de la mienne que ce rappel.

C’est étonnant comme on peut être de mauvaise foi. Voilà une femme qui a un amant, vient chez nous pour une partie fine, qui ne se gêne pas pour bien en profiter et qui se permet de faire une remarque de pure jalousie à son mari. Mais lui ne se laisse pas désarçonner et il rétorque :



Et il montre qu’en effet la nappe de notre table descend très bas. Mais Valériane intervient aussitôt.



Nous laissons le couple seul et j’entraîne ma partenaire qui se calme peu à peu.



Et je ne parle pas d’Alban.



Lorsque Valériane nous a envoyés danser, je me disais que cette brève altercation n’était pas de bon augure et que nos efforts risquaient de ne servir à rien. Ma partenaire et moi dansons, mais nous suivons du regard ce qui se passe à la table. Manifestement ils bavardent, mais à partir d’un moment Valériane se lève, puis se baisse. Notre table a beau être éloignée de la piste, presque tout le monde danse, il est évident que ma femme a disparu.



En faisant un grand tour, nous arrivons dans le dos de Loïc. Il ne nous remarque pas. Il faut dire que la musique couvre tout bruit, mais surtout dans sa situation, il a autre chose à penser. Il n’est plus assis bien au fond de son siège, mais manifestement le bassin en avant. Si ses mains posées bien en évidence, à plat sur la table, donnent l’impression d’une attitude digne, je penche plutôt pour un geste de sécurité qui retient la nappe. Car le tissu ne tombe plus naturellement entre ses jambes et la table, mais vient recouvrir les cuisses et le bas-ventre. Et ce tissu est vivant. Il bouge, ondule, se froisse.

Elle le fait. Ma femme fait un pompier à un gendarme. Je sais c’est un jeu de mots bien petit, mais tout de même !

Et ces vagues ne sont que la concrétisation de sa tête qui s’active. Cela ne doit pas être bien confortable pour elle, les genoux douloureux sur ce carrelage. Mais aussi elle n’a certainement pas toute latitude pour exercer son art de suceuse, car une braguette ouverte et un slip repoussé ne sont pas idéals pour le confort des deux. Mais j’imagine qu’il lui a fallu aller au plus rapide afin que Loïc n’ait pas vraiment le temps de réfléchir.

En tout cas elle l’a bien scotché sur sa chaise.



Anaïs s’avance doucement. Loïc ne la remarque qu’au moment où elle tire une chaise et s’assied à côté de lui. Je ne vois pas son visage, mais la femme sourit. Elle sourit à son mari qui se fait sucer par une amie. Elle le rassure encore mieux en posant sa main sur la sienne.

C’est à mon tour. Moi je m’installe en face de lui. Moi aussi je lui souris et un clin d’œil lui confirme que je ne suis pas vindicatif.


La scène est tout de même surréaliste et sortie de son contexte, inimaginable. Qui pourrait croire qu’un homme se fasse pomper ainsi par une femme qu’il ne connaissait pas quelques heures avant alors que rien dans la rencontre des deux couples ne prévoyait une telle liberté ? Il est évident qu’Anaïs, Valériane et moi sommes depuis 24 h dans un tourbillon de sensualité et d’érotisme. Loïc par contre, ce n’est pas le cas. Mais ses confidences, les miennes, l’ambiance de leurs achats de lingerie ont modifié la donne. Et cette « altercation » a finalement servi de prétexte pour Valériane pour « plonger », entraînant l’homme dans son sillage.


L’homme pour l’instant s’est remis de notre présence. Le regard vague, le nez pincé, la crispation des mains sont le signal de son plaisir. Lorsqu’il regarde sa femme dans une sorte d’appel au secours, il est trop tard. Mais Anaïs, très fine tacticienne, caresse le visage de son mari avec tendresse.

Il jouit. C’est évident. On pourrait presque suivre chaque éjaculation sur son visage. Et un peu plus bas, juste sous la table, une bouche reçoit sa gourme. Il est évident que ma femme lui fait la totale, reproduisant ce que l’homme a imaginé de ce mariage.


Lorsqu’elle réapparaît, Valériane fait celle qui nous découvre.



Aussitôt suivi par un :



Que peut-il y avoir de plus érotique, voire de pervers, que de passer un mouchoir à sa femme afin qu’elle efface les traces de son labeur sur un autre homme ?



Nous nous éloignons. Pas la peine de se parler. Nous regardons vers la table. Le couple joue les amoureux, ils s’embrassent. Ouf. Ma femme est une conseillère conjugale qui sait donner de sa personne.


Plus tard, sur le chemin du retour, après un long silence, Loïc se lance.



Petit rire de ma part.



En arrivant à la maison, je suis persuadé que Valériane ne va pas en rester là. Mais non. Chaque couple se salue, se souhaite bonne nuit et disparaît dans leur chambre respective. Dès que la porte est fermée, je questionne Valériane.



Elle m’entraîne. Pendant notre conversation nous nous sommes déshabillés et c’est nus que nous entrons dans notre salle de bain. Valériane me fait un geste du doigt afin que je reste silencieux. De l’autre côté de la cloison, on entend de l’eau couler. Ma femme pousse un peu la porte de la trappe, cette trappe que… mais oui que seulement 24 h plus tôt je franchissais avec Anaïs…



On entend assez bien. C’est donc Loïc qui s’est douché.



Je ne m’attendais pas à cela. Mais l’idée est excellente.

Comme je ne bande pas, ma femme s’agenouille devant moi et me caresse. Aussitôt je suis dans le jeu.



J’entre avec force. Je n’ai pas besoin de simuler. Ma queue est dure et n’a qu’une envie, se glisser dans la fente. Je pense qu’à côté Loïc a dû entendre le claquement de mon ventre contre les fesses de ma femme.



Je baise ma femme. Elle a les yeux fermés. Comme moi elle s’est prise au jeu. On nous écoute.


Si j’étais Loïc, j’aurais appelé ma femme pour qu’elle écoute aussi.



La suite n’est qu’une succession de claquements, de gémissements non feints, de jouissances. Je me libère. Quelques secondes et Valériane se redresse.



Après une mimique qui signifie « attendons » nous retournons dans notre chambre.

Il faut juste quelques minutes pour que l’on frappe à la porte.



C’est Loïc, en caleçon, Anaïs se cachant derrière lui en nuisette. Une nuisette que je ne connais que trop bien.



Valériane vient à son secours.



Ma femme s’approche de Loïc, le prend par la main et l’entraîne dans sa chambre.

Anaïs et moi nous nous retrouvons seuls.



Le couple était manifestement pressé, car les deux portes sont restées ouvertes. Je retrouve ma femme assise sur une commode, les pieds posés sur les épaules de l’homme qui la caresse. Une fraction de seconde je me demande quelle a été la réaction de Loïc lorsqu’il a découvert que la chatte de ma femme dégoulinait encore de mon sperme. En tout cas pour l’instant il n’a pas l’air de s’en plaindre. Valériane non plus, qui est manifestement passée en mode « salope », et qui ne cesse de l’encourager.


L’homme se redresse. Le baiser échangé est plus que fougueux. Ma femme se saisit de la bite bien raide pour la caresser, mais son amant a d’autres intentions. Lorsqu’il se rue au plus profond de la grotte, le feulement de sa maîtresse est un véritable cri de plaisir. Valériane entoure les hanches de Loïc avec ses jambes, ses bras enveloppent le cou et voici de duo qui quitte la stabilité de la commode pour une danse qui demande force et adresse à l’homme. Il fait quelques pas et nul doute que sa queue, véritable cheville de chair, découvre des espaces inconnus. Notre espalier de gym sert maintenant d’aide au couple. Ma femme s’est suspendue pendant que l’homme, toujours enveloppé par les cuisses, donne de grands coups de reins pour baiser son équilibriste. Valériane ne cesse de l’encourager. J’ai découvert depuis un moment que son vocabulaire peut être plus que « brutal » et même grossier. Cela lui va bien et quel homme n’aimerait que sa maîtresse lui balance des « Ta bite me laboure… Enfile-moi profond… Plus fort… Encore » ?


Le duo repart. Loïc bloque ma femme contre un mur. La cloison vibre de ses coups. Je suis presque jaloux des baisers échangés, des yeux qui se révulsent, des soupirs, des gémissements, des gestes de tendresse et surtout de la fougue de ma femme qui se livre totalement aux assauts de son amant.

Elle jouit et le fait savoir. Il fait de ses lèvres un bâillon, mais je vois bien que Valériane est au plus haut, que sa jouissance l’emporte et que cet homme qu’elle ne connaît que depuis quelques heures la satisfait pleinement.

Anaïs aussi semble subjuguée. Nous abandonnons les amants à leur plaisir et retournons dans ma chambre.


Dire que cette nuit a été mémorable. Je pourrais dire oui, mais mémorable pour ma femme. Je ne sais combien de fois nous l’avons entendue crier son plaisir et si celui que je partage avec Anaïs est fort il nous semble bien classique comparé à ce qui se passe de l’autre côté de la cloison.

Sans nous parler, ma maîtresse et moi comprenons que nous devons être vigilants et peut-être encore plus à l’écoute de notre conjoint. Moi je sais que le lien avec ma femme est très fort, déjà vérifié avec nos aventures réciproques, mais ce n’est pas le cas d’Anaïs. Son mari se révèle sous un jour qu’elle ne soupçonnait pas, un amant redoutable, capable de se projeter dans une relation en quelques heures.


Le matin, c’est nous qui sommes les premiers debout. En quelques heures, nous voici déjà comme un vieux couple, même si je me suis efforcé de lui donner beaucoup de plaisir. Nos conjoints arrivent. Ils sont rayonnants. Loïc se précipite vers sa femme et fait assaut de tendresse.



Anaïs aussi se fait câline.



Et se tournant vers nous :



Quelques heures plus tard, nous sommes au restaurant où Loïc a réservé.

Mais alors que nous sommes installés depuis quelques minutes un couple passe devant nous et va s’asseoir un peu plus loin. Tous les quatre nous les remarquons, car si la femme est une magnifique métisse l’homme est encore plus surprenant, car il s’agit d’Alban. Alban qui nous tourne le dos maintenant, tranquillement assis en face de la femme.

Nous a-t-il vus ? Que fait-il ici alors que je l’ai laissé à la gare ?



Loïc savoure son histoire. Il nous regarde Anaïs et moi. Mais il continue :



Je décide d’intervenir.



Pourtant, quelque chose m’étonne dans cette situation si particulière. Si Loïc voulait punir sa femme, il n’était pas nécessaire de suivre ce scénario. Alors pour quelle raison cet aveu alors qu’Alban est tout près de nous ? Et soudain je comprends :



Anaïs est sidérée. Elle, qui cocufiait son mari a du mal à comprendre que la réciproque fût possible.



Un silence pesant suit cette joute. Mais Loïc reprend :



Anaïs n’hésite pas pour répondre.



Notre réponse est évidemment positive.


On peut dire que ces quelques jours ont été pleins de nouveautés. Nous faisons office d’experts, mais il ne faut pas oublier que pour nous aussi c’est une première.

Dire qu’au début, notre table est la plus joyeuse serait un mensonge. Mais petit à petit tout le monde se décontracte. Loïc assis entre femme et maîtresse ne se prive pas de leur faire comprendre son attachement. La fameuse Rosita est vraiment belle. J’envie Loïc de sa conquête. J’aimerais plonger mes mains dans ses cheveux, embrasser et plus encore cette grande bouche soulignée par un rouge à lèvres rouge vif, lèvres que sa langue vient humidifier régulièrement comme pour les faire briller encore plus. Et que dire de cette poitrine qui semble surréaliste pour tendre avec tant d’ardeur la robe ajustée ? Le peu que j’ai vu de sa démarche, de ses jambes, de ses hanches et de sa croupe est un ravissement. Quelle chance il a, ce Loïc !


Le repas touche à sa fin. Qui aurait dit qu’en si peu de temps la parole puisse se libérer ? Loïc a tracé le chemin en nous racontant sa première rencontre avec Rosita. Rosita arrêtée pour tapage nocturne et que tel un chevalier servant, il s’est empressé de faire libérer contre la promesse de ne plus recommencer. Et la coquine qui trouve le moyen de remercier son bienfaiteur avec quelques largesses en le croisant « par hasard » au détour d’une rue. À côté, la rencontre d’Anaïs avec Alban est d’une banalité exemplaire sauf que, l’alcool aidant, la femme adultère explique comment un « rameur » censé faire travailler les abdos peut se transformer en machine à sexe lorsque le beau professeur vient faire quelques réglages.


Cela semble normal que tout le monde se retrouve chez nous. Il faut dire que Loïc a mis le feu en nous annonçant qu’il avait la vidéo de la nuit « tempête de neige ». Valériane, Rosita et même Alban, qui décidément se coule parfaitement dans le moule de l’amant reconnu, demandent à la voir.


Je propose un digestif pour nous mettre dans l’ambiance. Qui peut nier l’effet euphorisant et décomplexant de l’alcool ? (Avec modération, mais plaisir comme ne le dit pas l’annonce légale). Nous avons perdu et c’est bien dommage le goût de l’alcool fort, prune, poire, armagnac, cognac, pour la cause très honorable de la conduite automobile et éviter les excès de certains. Mais là, entre nous, presque en famille, en tout cas entre adultes consentants et manifestement vaccinés, chacun en dispose à sa guise. Anaïs n’est pas la dernière. Angoisse d’être vue avec moi ? Moi aussi je flippe un peu.


Mais je n’ai pas le choix. La clé USB en place, la lumière éteinte, les convives assis suivant leurs affinités, le spectacle commence. Louis a fait des coupes et son montage n’a gardé que le côté « sexe » de notre rencontre. Un observateur extérieur pourrait juger que c’est bien mal filmé, que souvent les corps cachent les détails. Mais le principal est là. Nous revoir est assez magique. D’ailleurs Anaïs, installée devant avec son mari et sa maîtresse, se tourne vers moi pour échanger un regard. Quoi de meilleur qu’une baise improvisée, des positions spontanées, des gémissements naturels et surtout cette jouissance assumée ?

Comme l’autre fois, mon dieu il y a moins de 24 heures, la luminosité diminue, nous laissant dans une pénombre complice.


Je vois nettement Loïc se pencher pour parler à l’oreille de Rosita. Le regard qu’elle jette vers Anaïs en dit long sur le message. Elle se lève, se place face à Anaïs, lui tend les deux mains et alors que la femme lui répond, elle la tire à elle. Qui n’approuverait pas la demande du mari ? C’est le rêve de tout homme de voir deux femmes ensemble et c’est encore plus excitant si l’une est votre conjointe et l’autre votre maîtresse.


Anaïs nous a démontré hier qu’elle n’est pas inexpérimentée avec son propre sexe et elle ne refuse pas le baiser qui se transforme très vite en une bataille où les corps qui se frottent ne sont que la partie de l’iceberg des langues qui se défient.

Il n’y a pas de doute que les femmes rivalisent pour les beaux yeux de cet homme, mari et amant. Justement cet homme se lève aussi et invite Alban à faire de même. Chacun se place au dos de sa maîtresse. Eux aussi maintenant participent, littéralement collés contre les femmes leur faisant certainement sentir leur excitation.

Et puis, les femmes se tournent. Les voici face à leur amant, amant qui découvre la chaleur de leurs lèvres, la vigueur de leur langue et aussi un goût de perversité laissé par la salive de l’autre femme.

Commence alors un lent déshabillage. Chacun y va de sa caresse qui n’a d’autre but que de faire sauter un bouton, tirer un zip, détacher une ceinture, dégrafer un soutien-gorge.

Et, régulièrement les deux hommes font tourner leur maîtresse afin qu’elle découvre le corps de leur rivale et complice. La poitrine de Rosita est un défi à la pesanteur. Nul doute que la science ne soit passée par là. Anaïs ne s’y trompe pas, elle qui passe un long moment à en explorer les formes. Les baisers se font plus tendres. Les caresses plus précises et les mains des hommes ne sont pas inactives, n’hésitant pas à franchir la séparation. On voit bien qu’Alban n’est pas indifférent à la beauté torride de Rosita.

Bientôt à ce petit jeu, les hommes sont nus et leur érection ne peut pas être cachée si ce n’est lorsque leur bite se glisse dans le sillon fessier de la femme. Les femmes ne portent plus que la culotte, ridicule triangle pour Anaïs, plus grande et en dentelle pour Rosita.


Il faut toujours garder une poire pour la soif, dit le proverbe.

Les femmes sont poussées sur le canapé. Leurs lèvres se font un plaisir de s’entrouvrir pour offrir à leur amant la chaleur de leur gorge. Là encore la rivalité fait des miracles. Chacune se fait un point d’honneur à sucer la queue de son amant avec gourmandise et entrain. Les hommes leur accordent des « bons points » par leurs grognements de satisfaction. Mais à ce petit jeu, il est évident que les lèvres rouges sont la porte d’une grotte sans fond. Rosita engloutit sans difficulté la longue tige de Loïc et voir sa langue caresser les couilles est parfaitement insupportable.


Bien entendu je bande depuis un moment et depuis que les deux couples se sont installés sur le canapé, Valériane et moi nous nous sommes approchés pour profiter du spectacle. Ma femme a compris combien j’étais excité. Qui ne le serait pas ? C’est elle qui a libéré ma verge et comme le pantalon me serrait trop, me voici cul nu et la bite au garde-à-vous, lentement effleurée par une main compréhensive.


Je ne sais pas qui a commencé le mouvement, mais voici que les deux hommes ont échangé de gorge. C’est maintenant la grosse queue d’Alban qui disparaît et ses couilles léchées par la langue alors que la bite du mari est en visite chez sa femme. Nouveau changement, mais maintenant c’est au tour des hommes d’apporter leur contribution.

Le triangle d’Anaïs n’est bientôt plus qu’une tache sur le sol et ses cuisses s’ouvrent pour accueillir l’hommage d’Alban.


Loïc, lui, prend son temps. Il tire lentement sur la petite culotte. Rosita soulève les fesses pour l’aider. On dirait un trésor que l’homme protège jusqu’au dernier moment.

Bien sûr, Anaïs regarde. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit son mari en admiration devant la chatte d’une rivale. Mais son visage se fige montrant une incompréhension et une surprise totale. Moi, je regardais justement dans sa direction, j’aime lire sur le visage des femmes, le plaisir, l’envie, la jouissance. Un visage en dit bien plus long que des gémissements souvent retenus par pudeur ou peur de déranger les voisins.

C’est en baissant les yeux que je comprends. Là où chacun attendait une chatte avec un pubis bombé et des lèvres plus ou moins prononcées, je découvre un sexe, un sexe d’homme. Petit bout de chair fripée, manifestement contrainte au sommeil, car cachée entre les cuisses par une culotte garde-chiourme.


Pourtant le regard de Loïc doit y voir autre chose, car il semble en admiration. Il approche son visage. Ses lèvres entourent la verge dont le gland est totalement caché par sa protection. Le sexe disparaît et je me demande un instant si les couilles ne font pas partie du lot.


Quelques secondes passent. Loïc est le centre de toute notre attention. Même Alban qui a constaté que sa maîtresse n’était pas réceptive à ses caresses regarde. Lui ne paraît pas surpris. Il devait être dans la confidence. D’une certaine façon il est le fil conducteur. Moi je n’ai été que le briquet qui allume la mèche. Loïc a suivi l’embrasement du cordon, découvert l’amant et s’en est fait un complice pour arriver à ses fins. Je comprends pourquoi cet homme n’a pas voulu avouer son secret, sa relation avec une femme/homme, mélange parfait de la féminité dans les gestes, les attitudes, les envies et d’une masculinité cachée, mais encore présente. Je trouve que le terme anglais « Shemale » résume parfaitement l’ambiguïté, mais aussi la complémentarité.

Et le « She » cède la place au « Male ». Maintenant, c’est une verge en érection que Loïc nous montre. Verge sombre à l’image de la métissité de son propriétaire. Un gland enfin libéré de sa protection apporte la touche de rose. La salive de son suceur complète le tableau.


Alban reprend ses caresses. Anaïs regarde toujours, mais c’est de la curiosité. Voir son mari pomper une bite demandera des explications, mais plus tard. Pour l’instant, elle est au spectacle. La queue s’est déployée bien au-delà de ce que le petit bout fripé pouvait laisser prévoir. Son homme s’en fait une friandise. Il s’essaie à en gober le plus possible et c’est plus que troublant de le voir reprendre son souffle en libérant des flots de salive.

Loïc suce. Loïc pompe. Loïc engloutit. Loïc lèche. Loïc aspire. Loïc pousse un doigt dans le cul de sa maîtresse. Et Rosita apprécie. Elle aussi gémit. Anaïs se sent moins seule et se joint au concert. Mais Rosita attrape la tête de sa voisine pour la forcer à rejoindre son mari. En quelques secondes voici les deux époux faisant assaut sur cette queue qui semble énorme.

Alban profite de ce que sa maîtresse s’est déplacée et installée à quatre pattes sur le canapé pour aller l’enfiler.

Anaïs suce. Anaïs se fait prendre.

Elle pompe la maîtresse de son mari. Voilà une phrase sans queue ni tête, et pourtant…

Le mari demande à Rosita de se tourner et de lui offrir sa croupe. La bite de Loïc est en forme, elle pousse la rondelle, fore le passage et à quelques centimètres d’elle, Anaïs voit son mari enculer sa maîtresse, maîtresse dont le manche se balance maintenant sous les oscillations du couple.


À quoi pense Anaïs, baisée avec ardeur par Alban ? Oui, à quoi pense-t-elle alors que sous la puissance et l’excitation de la bite qui la laboure, son visage s’approche si près de l’autre couple, qu’elle voit en gros plan la bite maritale explorer le plus profond de Rosita ? A-t-elle envie d’apporter une touche de perversité supplémentaire en léchant le vit qui entre et sort, abandonnant le temps d’une respiration un anus ouvert, béant, indécent, obscène qui ne demande qu’à être déformé encore plus ?


La réponse est pour plus tard, car pour l’instant on la laboure et elle aime. Son amant s’agrippe à ses seins, tordant les tétons en signe avant-coureur. Elle le connaît bien maintenant son Alban. Il va venir et elle n’est pas loin de le rejoindre. Son clito est déjà douloureux de la caresse de ses doigts et… chaque coup est accompagné par une giclée. Le foutre inonde sa grotte. La cadence ralentit. Le pieu s’est bloqué au plus profond et attend.

Anaïs jouit. Elle jouit au même moment où elle voit que son mari lâche sa purée dans le cul de Rosita. Mais lui continue de s’activer et chaque retrait emmène avec lui des coulures de sperme.


Putain que c’est beau. Valériane et moi regardons. Depuis un moment j’ai fait cesser ses caresses, car j’aurais craché mon jus pour rien. Je n’ose gâcher l’harmonie des deux couples, mais leur perversité est délicieuse.


Alban se retire. Il abandonne sa maîtresse sur le canapé. Elle semble sous le choc. Elle regarde son mari retirer une queue affaiblie et débandante.

Ainsi c’est fini… Pas vraiment, car Rosita se lève et pousse Loïc à prendre sa place. Anaïs voit son homme se placer en levrette. Que va-t-il…


La réponse est sous ses yeux. Mieux, elle lui est tendue pour une dernière sucette. Rosita bande toujours. Le bout rose semble énorme à la porte du cul de son mari. Pourtant cela n’arrête pas l’enculeuse qui force. L’anus cède. Le gland passe. Le muscle étrangle la bite monstrueuse pour l’étouffer. Mais rien n’arrête cette force de la nature. La hampe avance, avance. Le mari gémit. De douleur ? De plaisir ?

Anaïs sent quelqu’un derrière elle. C’est moi. J’enfile la femme avec délice. C’est ouvert, gras, crémeux. Pendant que nous voyons son mari se faire enculer, je quitte le vagin pour, moi aussi, passer par la porte de derrière. Il me semble que l’équité doit être respectée.

Mari enculé. Femme sodomisée.

C’est tout de même étrange de voir cet homme, grand, costaud, plus mâle que mâle, se laisser enfiler par une bite qui, même de « Shemale », n’en est pas moins impressionnante. Alors que je bourre le cul de sa femme, je me demande ce que cela doit faire comme effet de se faire sodomiser. Quelquefois Valériane me glisse un doigt dans le cul et c’est vrai que mon érection se conforte ou que je jouis plus fort. Mais avoir un engin pareil !

En tout cas cela n’a pas l’air de le gêner. Rosita le laboure sans délicatesse. Manifestement c’est ce qu’apprécie son amant. Et vlan. Et vlan. Nos couilles battent au cul de la femme et de l’homme.

Je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps. Je me libère. C’est divin. Ma liqueur se répand dans les entrailles que j’ai déjà honorées, mais avec ici des conditions si particulières.


J’attends-moi aussi la conclusion du « Shemale ». Il est de plus en plus puissant. La musique est magique. Bruit du ventre qui tape les fesses de l’homme. Et que dire des grosses couilles qui se balancent et viennent saluer celles de son amant ? Des couilles pleines qui saluent des couilles essorées dont le produit lubrifie encore le cul de Rosita.

Loïc gémit. Il n’est qu’une chose entre les mains de son enculeuse. Maintenant l’anus reste grand ouvert lorsque le vit le libère et chacun retient son souffle lorsqu’il est de nouveau rempli de cette queue qui semble si longue.

Je n’avais jamais entendu un homme crier de cette façon. La jouissance est donc possible par ce chemin.

Mais Rosita se retire. Son abandon est comme un déclencheur. Loïc bouge, vite, très vite. D’un coup de rein il se déplace. Le voici à genoux devant son amante. Son amante qui se branle attendant que la bouche s’approche, que les lèvres s’ouvrent.

Le premier jet est si violent qu’il balaye le visage, finissant sur le front et les cheveux. Mais le second est mieux ajusté. Les autres suivent. La bite est traite jusqu’à ce que la dernière goutte par la main pressante de Rosita. L’homme, Loïc, l’amant, adorateur de Rosita, réceptacle du foutre généreux, attend que la source soit tarie.


Il est loin le preux gendarme, l’homme viril auréolé de la puissance de son grade et de sa fonction. C’est un visage souillé, une bouche remplie de sperme, une femelle en adoration devant son maître. Une femelle qui fait ce que la plupart font, ultime signe d’amour à leur mari ou amant, une femelle qui ferme la bouche et déglutit pour montrer combien le don est précieux et qu’il veut le garder en lui. Mais qu’il est beau cet homme.


Quel courage aussi de nous montrer, à sa femme surtout, qu’il est capable de quitter la défroque du mâle braillard, fier de sa virilité, portant sa bite en étendard ! Quelle force de caractère il lui faut pour se conduire ainsi !

Déjà sa femme le regarde d’un autre œil. Elle voit aussi la complicité de ce couple hors norme alors que Rosita vient embrasser son mari à pleine bouche. Et c’est une femme conquise qui se penche vers eux pour venir cueillir sa part.

Quelle leçon !

Et si je m’essayais à ce jeu ?

Peut-être que l’un ou l’autre pourrait m’initier. La journée n’est pas finie…