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n° 17463Fiche technique19391 caractères19391
Temps de lecture estimé : 12 mn
09/07/16
Résumé:  Sans s'en rendre compte, une jeune fille tombe dans les filets de deux lesbiennes qui...
Critères:  ff fff frousses profélève fépilée école noculotte nopéné -dominatio
Auteur : T'Chet      Envoi mini-message
Svéa ou l'apprentissage de l'exhibition

Bonjour à toutes et tous, je m’appelle Svea et je suis Belge, j’ai 19 ans et j’ai de jolies mensurations. Je suis rousse jusqu’au bas du dos, yeux verts, je mesure 1,76 m avec un 80 B pour 62 kg et des jambes interminables et très jolies à ce qu’on dit.

Je suis naturellement très décontractée et sans aucun tabou physique ce qui me permet de mettre des tenues plus ou moins sexy (voire provocantes) selon les occasions.

Mes tenues préférées sont mini-jupes ou minirobes très courtes avec des hauts très moulants et décolletés. Vu ma petite poitrine, je peux aisément me passer de soutien-gorge et ne m’en prive pas, il m’arrive également très souvent de ne pas mettre de culotte non plus.

Je suis étudiante infirmière en internat, avec option puériculture, car j’adore les bébés.

Voilà, maintenant que les présentations sont faites, je vais vous raconter mon histoire.


Tout commence par une journée normale de cours, il fait beau dehors, un bon 25°C en ce mois de mai, je me suis, pour cette belle journée, habillée très frais et léger. Petite robe courte, une dizaine de centimètres sous le pli des fesses, serrée à la taille et un décolleté assez ouvert pour laisser le soleil me bronzer les jambes et aussi un peu le cou. Comme ma petite robe est courte, j’ai opté pour le port de la culotte que j’ai choisie string jaune pâle, mais pas de soutien-gorge.


La journée se déroule sans problème, et l’heure de midi arrivée, comme à mon habitude, je sors déjeuner dans le parc de l’université. Il est autant ombragé qu’ensoleillé selon les endroits où l’on s’y trouve.

Aujourd’hui, j’ai décidé de me trouver un endroit tranquille au soleil pour pouvoir en profiter un peu.

Je me trouve donc un petit coin de paradis isolé et au bord du « petit » étang du domaine, un endroit parfait, à l’abri des regards et peu connu des autres étudiants. Je m’installe et commence à lire mes cours pour cet après-midi.


« Décidément, il fait une chaleur, aujourd’hui », me dis-je tout bas. Comme je suis seule, je laisse remonter ma robe plus haut sur mes cuisses et mon string devient très rapidement visible de loin vu sa couleur, mais ce n’est pas grave, je suis seule.

J’en profite également pour défaire quelques pressions du haut de ma robe et je me laisse aller à l’ouvrir jusqu’à mon nombril, mes seins sont visibles presque à la limite des aréoles. Je me pose sur mes coudes, tête penchée vers l’arrière, totalement offerte à un soleil vicieux qui chauffe des coins de peau ou de tissu qu’il ne voit jamais. C’est délicieux.

Tellement délicieux que je ne tarde pas à m’endormir et ce n’est que vers 14 h 30 que j’émerge de ce voyage au pays des songes, paniquée, car j’avais un cours pratique avec madame Puise. Je me dépêche d’ajuster ma tenue, je passe en vitesse me rafraîchir aux toilettes et je fonce vers sa classe.

Je frappe à la porte : toc ! toc !



Sans me réponde, madame Puise me montre ma place et d’un signe de la main me fait comprendre de me dépêcher en silence.

Madame Puise et une prof assez sympa, elle doit avoir 30 ou 35 ans et est une ancienne nageuse de compétition, ce qui explique certainement le fait qu’elle semble avoir un corps musclé et parfaitement proportionné.

Le reste du cours se déroule sans problème, des questions sont posées et je me permets de répondre à 85 % de celles-ci. La fin du cours arrivée, il est 16 h 30, madame Puise me demande de ne pas quitter la classe de suite, elle veut me parler de mon retard.



C’est alors que madame Puise s’approche de moi et ouvre le haut de ma petite robe. Comme elle est fermée uniquement de boutons pression, celle-ci s’ouvre entièrement, dévoilant ma culotte.

Je me retrouve donc devant ma prof, les seins totalement nus.



Timidement, mais aussi un peu excitée par cette situation, je commence par laisser tomber ma robe sur le sol, me retrouvant en string devant ma prof. Elle fait quelques pas en arrière pour mieux me regarder et sort son téléphone pour me prendre en photo, c’est fait avant même que je n’aie le temps de réagir.



Elle en prend une, puis deux, puis jusqu’à ce que je ne puisse plus les compter.



J’hésite.



Doucement et timidement je fais glisser mon string sur le sol me retrouvant totalement nue devant Anaïs qui reprend son téléphone et la séance photo recommence.

Celle-ci terminée, elle s’approche de moi et fait glisser ses doigts et ses mains sur mon corps, les épaules, le dos, les seins, les hanches, mon ventre et les cuisses, mais pas mon minou, ce qui me soulage quelque peu.

Une fois qu’elle a parcouru tout mon corps, elle me dit de me rhabiller à l’exception de mon string qu’elle gardera en souvenir.


Je m’exécute sans rechigner et je la quitte non sans qu’elle ne m’embrasse pleine bouche et qu’elle me demande d’être prudente en traversant le parc ainsi vêtue de ma seule minirobe qui, en définitive, ne cache pas grand-chose. Elle me demande aussi de garder le secret sur ce qui s’est passé et je lui en fais la promesse.


Le reste de la semaine se passe comme d’habitude, sans aucun souci ni allusion à cette fin d’après-midi spéciale.

Un samedi après-midi, alors que je révise dans ma chambre, seule – ma copine de chambre étant chez elle pour le week-end – on frappe à la porte.



Surprise, je vois entrer Anaïs.



Je rougis.



Anaïs partie, je me dirige vers ma garde-robe pour voir ce que j’allais mettre pour cette soirée. J’opte pour une nouvelle petite robe blanche qui, normalement, doit se porter avec un short blanc, car elle est vraiment très, très courte, mais bon, on ne vit qu’une fois et la situation en classe m’avait bien émoustillée.


16 h. Je me douche et, après une petite préparation, j’enfile cette fameuse robe. Houla ! Elle arrive à peine sous le pli de mes fesses, le dos nu descend jusqu’à mes fesses et le décolleté flottant laisse voir ma poitrine presque chaque fois que je bouge un peu. Pas grave, on sera entre nous et comme elle m’a déjà vue dans le plus simple appareil…

17 h, coup de klaxon, je descends et vois Anaïs assise dans sa voiture qui m’attend.



Anaïs a un superbe cabriolet P*** noir et, par cette belle journée, décapoté.



En m’asseyant, je me suis vite rendu compte que les sièges sont bas dans ce genre de voiture, et que mes genoux sont fortement relevés ce qui a pour effet de faire glisser le bas de ma minirobe et de dévoiler le haut de mes cuisses et même plus. Anaïs le remarque de suite et ne peut s’empêcher de regarder avec insistance et d’ajouter :



Ceci étant dit, nous démarrons pour la maison d’Anaïs. Il faut traverser un bout de la ville proche pour se rendre chez Anaïs et les conducteurs des quelques voitures que nous dépassons ne manquent pas de reluquer entre mes cuisses.

Anaïs le voit.



Me voyant hésitante, elle insiste.



Malgré moi, je ne peux m’empêcher d’obéir et j’écarte les cuisses le plus que je peux. Du coup le reste de tissu qui masque encore un peu mon intimité se roule en ceinture sur mon ventre. Et du coup, n’importe qui peut voir mon sexe dans son plus simple appareil.

Je commence à avoir des fourmillements dans le bas-ventre, je me sens excitée par ce petit jeu et Anaïs me dit :



Et moi, sans réfléchir du tout, est-ce dû à l’excitation ?



Quelques centaines de mettre de plus loin, Anaïs gare la voiture sur le parking d’un petit château entièrement bordé d’arbres, très beau et très tranquille, vu son relatif isolement.

Une fois sorties de la voiture, Anaïs vient vers moi pour réajuster ma robe sans oublier au passage de caresser mes seins en remettant mon haut en ordre, mais à sa façon, juste le bord du décolleté sur mes aréoles pour bien montrer la moitié de mes seins, et sans oublier de me caresser le mont de vénus en réglant quelques détails de hauteur de jupe, également à sa façon, bas de la jupe au même niveau que le pli du bas de mes fesses. Celle ou celui qui me suivrait quand je marche verrait ma petite fente.

Je tente bien de râler un peu, mais rien ne fait.


J’ai juste oublié de dire comment Anaïs est vêtue pour cette occasion : un pantalon en cuir moulant, des talons hauts et une veste en cuir attachée par un seul bouton central ce qui permet de voir une bonne partie de la naissance de ses seins qui, vus de la sorte, apparaissent bien gros, ronds et fermes, et sans soutien-gorge.



Je ne comprendrai cette réponse qu’une fois entrée. C’est très sombre, il fait chaud et moite, une musique douce me chatouille les oreilles. Anaïs me guide jusqu’au bar où une très jolie rousse d’environ 25 ans assure le service.



Le temps d’être servie, je laisse mon regard voyager dans le bar et je constate de suite qu’il n’y a que des femmes de tous âges, disséminées çà et là aux tables qui bordent la piste où dansent deux femmes, l’une d’une quarantaine d’années et l’autre à qui je donnerais vingt-deux, voire vingt-trois ans maxi. Je dois certainement être la plus jeune.


Je ne peux détacher mon regard des danseuses, je regarde la dame plus âgée laisser courir ses mains partout sur le corps de sa partenaire de slow.

Je reviens à moi lorsque Isabelle nous apporte nos consommations et elle fait un grand sourire à Anaïs qui le lui rend, ce qui me permet de constater que tournée comme je le suis, tout le monde a vue sur mon entrejambe fort dénudé du fait d’être assise sur un tabouret de bar. Je me retourne donc vers Anaïs qui me tend mon verre. On a fait tchin tchin et je bois à grandes gorgées, tellement j’ai soif. Grand mal m’en prend, ce cocktail est très fortement alcoolisé et pour moi qui ne bois jamais, j’en sens immédiatement les effets.



Sans me méfier, je réponds :



Anaïs me prend par la main pour me mener au milieu de la piste et me chuchote à l’oreille :



Elle me plaque à elle et nous commençons à danser, je sens la main gauche d’Anaïs au milieu de mon dos et sa droite sur le haut mes fesses. Je suis bien, est-ce à cause du cocktail ? Ou du fait que je ne veux pas décevoir Anaïs ? Ma tête tourne, mais je suis bien. Je sens mes seins frotter sur le cuir de la veste d’Anaïs et ses mains commencent à voyager un peu sur mon dos et mes fesses.



Arrivée au comptoir je me rends compte que nos verres sont à nouveau bien pleins. Isabelle dit :



Alors Anaïs et moi levons nos verres et adressons un beau « santé » vers Isabelle.

Ouaaaa ! Il est encore plus fort que l’autre, je décide de le poser et d’aller un peu danser seule.



À ces mots, je me dirige vers la piste en chaloupant un peu. Alcool ? Envie de plaire ? Soit ! Une fois arrivée sur la piste, je suis seule et je me mets à danser de façon très sensuelle en fixant Anaïs droit dans les yeux. Tout le monde me regarde et moi je n’y prête attention. Au fur et à mesure que l’alcool entre dans mon sang, je me débride de plus en plus, ne prenant plus garde à mes mouvements qui dévoilent tantôt un sein, tantôt mon minou, voire les deux. Par moment, une bride de ma minirobe dos-nu tombe, dévoilant entièrement un sein et je ne la remets même pas en place de suite, laissant les femmes regarder.


Dix minutes plus tard, je sens quelqu’un arriver derrière moi. C’est Isabelle qui, sous le regard d’Anaïs, vient se plaquer contre mon dos pour me suivre dans mon déhanchement. Je regarde vite en direction d’Anaïs qui me fait signe de la main de continuer en m’envoyant un baiser volant.


Je me retourne donc pour faire face à Isabelle qui, dès qu’elle le peut, m’embrasse à pleines lèvres, fouillant ma bouche de sa langue. Je réponds à son baiser, ceci semble lui donner un feu vert, car à ce moment, je sens qu’elle fait tomber les bretelles de ma minirobe et laisse tomber cette dernière au le sol. Le résultat est que je me retrouve entièrement nue devant toute l’assistance. Il y a une vague d’applaudissements et de sifflets. Je cherche vite Anaïs du regard, j’ai peur. Je la vois arriver sur la piste, elle prend les mains d’Isabelle pour les faire courir sur mon corps, mais sans me pénétrer où que ce soit. Par la suite d’autres femmes s’enhardissent et je sens beaucoup de mains sur moi, trop pour arriver à les compter.


Encore une fois, seule Anaïs se permet de jouer avec mon petit bouton d’amour, ce qui me rend folle et je sens un liquide me couler le long des jambes, c’était moi qui me laisse aller de plaisir au milieu de la piste devant toutes ces femmes excitées.


Une fois mes esprits plus ou moins retrouvés, Anaïs me raccompagne au bar, mais sans me rhabiller, elle me chuchote que la soirée ne fait que commencer et que je ferai le trajet jusque chez elle dans cette tenue, complètement dénudée.



@ suivre.