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n° 17469Fiche technique13422 caractères13422
Temps de lecture estimé : 8 mn
13/07/16
Résumé:  Ma femme dévergonde ma belle-sœur et mon beau-frère pour son plaisir et le mien.
Critères:  fh fhh ffh couplus alliance intermast fellation cunnilingu 69 double
Auteur : Mongil  (Libertin un jour, libertin toujours)      
Ma belle-soeur, ma femme et moi

Nous sommes très intimes avec notre belle-sœur, Chris, depuis que Nat l’a dévergondée, il y a quelques mois. Elle m’avait, le soir même, raconté comment cela s’était passé. Ce jour-là, Chris s’était plainte à Nathalie de son mari qui ne s’intéressait pas assez à elle sexuellement, plus préoccupé par ses affaires que par son couple. Nathalie lui avait suggéré :



En même temps, elle s’approche de Chris et lui embrasse les lèvres.



Elle pose à nouveau ses lèvres sur les siennes et cette fois, pousse la langue. Après une courte hésitation, Chris a entrouvert sa bouche que la langue de Nat fouille. Répondant à l’invite, les deux langues se caressent, se mélangent. Lorsque le baiser s’interrompt, Chris dit à Nat :



Elle emmène Chris vers sa chambre et commence à la déshabiller. Ayant ouvert son chemisier, elle dégrafe son soutien et prend un tétin entre ses dents pour le mordiller.



Elle défait la fermeture de sa jupe et la tire vers le bas en même temps que son cache-sexe dévoilant un pubis garni d’une belle toison rousse bien taillée.



Nat se relève un court instant et, ayant détaché sa courte robe, la laisse glisser au sol. Elle ne porte pas de soutien et se trouve juste en slip. Elle allonge Chris sur le lit et après avoir une nouvelle fois embrassé sa bouche, lui embrasse le corps. Tétant chaque mamelon au passage s’attardant quelque peu sur le nombril avant d’atteindre la toison rousse d’où émerge déjà, hors de son capuchon, un clitoris tout excité. Elle le prend entre ses lèvres, déclenchant des frissons de plaisir chez son amie dont le corps commence à onduler sous ses caresses. Sa main, en cuiller, a pris possession de sa chatte avant d’y introduire un, puis trois doigts.

Chris ne résiste pas longtemps au plaisir qui monte, sucée et doigtée par son amie.



Tout son corps vibre de bonheur alors que Nat recommence à l’embrasser.



Elle se redresse et fait s’allonger son amie. Commence à embrasser son corps, fait glisser son slip.



La toison de Nat est garnie de boucles blondes, au centre desquelles Chris a trouvé un bouton tout aussi excité qu’était le sien juste avant. Elle hésite un instant et se décide à le téter avant de glisser sa main entre les cuisses qui se sont écartées pour donner le passage, en quête du plaisir. C’est elle qui maintenant branle son amie.



Au moment de son orgasme Chris goûte pour la première fois de sa vie la cyprine d’une autre femme.



Ce jour-là, elles ont encore joui plusieurs fois, profitant des caresses l’une de l’autre.


Elles se sont revues plusieurs reprises, après cette première fois jusqu’au jour où, en ayant convenu avec Nat, je suis rentré « par hasard » plus tôt que prévu et les ai surprises en plein ébat. Discrètement, je les observe avant de révéler ma présence. Elles sont en 69, la tête entre les cuisses de l’autre.



Je ne me le fais pas répéter, et rapidement dévêtu je rejoins ces dames. Chris a quelques secondes de pudeur en mettant ses mains sur ses seins, mais Nat la fait basculer sous elle pour m’offrir sa croupe. Comme le spectacle m’a déjà fait bander depuis un moment et que le sexe de ma femme ruisselle d’envie de jouir, je n’ai aucun mal à la pénétrer sous le regard de Chris qui tète le bouton d’amour de Nat. Après quelques va-et-vient, vu son état d’excitation, Nat trouve un orgasme. Lorsque je la quitte, elle bascule une nouvelle fois son amie pour se trouver sous elle.



Là, toute pudeur a disparu et Chris répond dans un souffle :



Je commence par caresser ses lèvres et sa raie fessière avec mon gland, pour faire monter son désir et brusquement, elle aussi est trempée par son plaisir qui monte, je m’enfonce en elle.



Accroché à ses hanches, je la baise à fond. Au dessous de nous, Nat lèche nos sexes réunis, tout en caressant mes couilles et mon œillet.

Soudain, Chris ne contrôle plus ses sens…



Je ne peux lui refuser, je n’en ai d’ailleurs aucune envie.



Et je gicle mon foutre tout au fond de son vagin en lui criant mon plaisir.



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Depuis, elle est notre amante à tous deux. Je l’ai baisée, sodomisée, elle a bu mon sperme, Nat l’a fait jouir de la langue, de ses doigts, je les ai vues prendre leur plaisir sexe contre sexe. Elle a participé aux orgasmes de Nat lorsque c’était ma femme que je baisais ou que je sodomisais. Nat a, par ailleurs, acheté un gode-ceinture garni de deux sexes, l’un que la porteuse peut introduire dans sa chatte, l’autre, bien sûr, pour baiser sa partenaire ; elles l’utilisent lorsque je suis absent.


L’autre membre de la famille avec lequel nous sommes intimes, c’est Georges. Lui aussi se plaint souvent de sa femme, Isabelle. Soit elle est en voyage – elle travaille pour une multinationale – soit elle est trop fatiguée…


Connaissant sa sœur, Nat la soupçonne fort de profiter de ses voyages aux antipodes pour s’envoyer en l’air.


Un jour donc où sa femme est en voyage – cela se passe peu après le dévergondage de Chris – nous avions invité Georges à déjeuner, barbecue au jardin, relax. Il fait beau, nous sommes tous les trois en short, torse nu, même Nat qui a l’habitude de vivre topless au jardin. Comme toujours, Nat et moi profitons de nos tenues légères pour égarer une main par-ci par-là. Georges en est un peu perturbé.



Ma femme s’approche de lui et sans hésiter, met sa main sur sa braguette.



Je me rapproche et dis à Nat :



J’enlève mon short et dévoile à notre ami que, comme lui, je ne suis pas indifférent au sex-appeal de mon épouse qui, elle aussi, enlève son short en lui disant :



Il ne peut plus que s’exécuter et dévoile, ma foi, un phallus déjà bien tendu, long et mince. Nat s’en saisit et après l’avoir un peu masturbé, dit :



Effectivement, si nous ne voulons pas faire cramer la viande sur le gril, il est temps de passer à table.


Tous les trois nus, nous déjeunons tranquillement, mais dès le repas terminé, Nat entraîne notre ami vers les matelas de bronzage et obtient dans sa main très rapidement une belle érection. Se penchant vers son mât dressé, elle le lèche, le prend en bouche, le relâche et recommence à le masturber. Le pauvre ne peut résister et lâche une giclée de foutre que Nat nettoie de la langue sur sa verge.


Comme chacun peut s’en douter, le spectacle de ma femme faisant une pipe à Georges m’a fait bander, et je m’approche d’elle.



Je sais qu’elle adore ça, et c’est à mon tour de me faire faire une fellation, petit jeu où elle est experte. Georges, excité sans doute comme jamais, n’a pas débandé et je lui dis :



Il se positionne entre ses cuisses largement ouvertes et la pénètre presque brutalement. Couchée sur le dos, Nat continue à me sucer tandis que je vois la belle verge de Georges qui la baise, sortir presque entièrement de sa chatte avant d’y replonger à nouveau. Comme à chaque fois avec un nouvel amant, elle jouit vite, entraînant son amant vers un orgasme commun. Leurs râles de bonheur se mêlent, il s’affale sur elle qui joue toujours avec mon sexe. Un rien tentatrice, elle le relâche et le met devant son visage. À ma grande surprise, il n’hésite pas et gobe ma verge. C’est à deux maintenant qu’ils me font une fellation, passant ma queue de l’un à l’autre. Mais je ne veux pas jouir déjà, j’ai trop envie de prendre Nat après Georges et de mélanger nos éjaculations au fond de son vagin.


Je bascule le couple enlacé et me glisse dans la chatte de ma femme que le sexe de Georges a abandonnée, je prends mon temps et attends que Nat jouisse à plusieurs reprises, tout en masturbant ensemble notre beau-frère, pour me laisser aller et gicler au fond de son doux étui de chair.


Nous avons ce jour-là, Georges et moi, refait l’amour à Nat jusqu’aux aurores, alternativement ou ensemble, une double pénétration en fut l’apothéose. Cette nuit-là, Nat qui pourtant n’est pas une inconditionnelle de la sodomie, après avoir joui de nos phallus dans sa chatte et dans sa bouche et alors qu’elle est empalée sur mon pieu, s’adresse à notre ami :



Georges, qui a compris le message, commence par lui titiller l’œillet avec un, puis deux doigts enduits du jus qui s’écoule de son vagin, décontractant le sphincter.



Il appuie délicatement son gland. Une fois celui-ci introduit, lentement je perçois l’avancée de sa tige le long de mon sexe. Il laisse Nat s’habituer à cette nouvelle présence avant de commencer ses va-et-vient a contrario des miens.



Nat part dans ce qui semble être une suite d’orgasmes.



Nous aussi n’en pouvons plus et Georges se répand dans ses entrailles en beuglant son plaisir et moi dans sa chatte en ahanant de bonheur. Son corps vibre entre les nôtres.

Nous restons un moment en elle, attendant que nos membres se détendent et glissent hors des étuis de chair.