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n° 17474Fiche technique10668 caractères10668
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/07/16
Résumé:  La femme de ma vie n'est pas une cochonne, c'est MA cochonne...
Critères:  fh couple hotel lingerie intermast fellation anulingus fdanus fsodo coprolalie
Auteur : Bertrand      Envoi mini-message
La femme de ma vie

Quand nous nous sommes rencontrés, comme beaucoup de couples, nous avons eu une vie sexuelle intense. Rien d’extravagant, mais beaucoup d’activité… Je me souviens de grands moments, comme une nuit à Cassis, sur la plage de l’Arène ; pas facile de marcher dans le noir. Nous nous tenons la main, nous nous asseyons. Elle porte une robe courte, noire. Au lieu de se caler contre mon épaule, face à la mer, elle me pousse en arrière doucement. Comme dans mes rêves les plus fous, elle ouvre ma braguette, baisse mon bermuda, puis mon boxer, et je ne vois plus que ses cheveux. Sa main m’a saisi, d’abord tendrement.



Je ne réponds rien, tout à la magie de l’instant. Sa langue tourne autour de mon gland, de plus en plus vite. Sa main me serre fort, comme j’aime. Je sens soudain la chaleur sur mon sexe, elle m’a pris en bouche, très profond. Sa tête bouge, elle ne me suce pas comme ça d’habitude, pas aussi fort. Là c’est presque brutal, et ça n’a jamais été aussi bon. Je regarde autour de moi, il y a bien quelques personnes, assez loin, totalement désintéressées par nous. J’entends la mer. Je ferme les yeux. Je ne suis pas vraiment apaisé, pas vraiment tranquille. Je ne me laisse pas totalement aller.



Elle lâche mon sexe, qui bande au maximum et monte vers moi. Elle avance sa bouche vers la mienne, pour un baiser baveux. Son rouge à lèvres a des manques. Je souris intérieurement en pensant à ma bite avec des traces rouges… Elle grimpe sur moi, remonte un peu sa courte robe et s’assoit sur ma bite. Elle est trempée comme jamais, je rentre en elle comme ma cuillère dans le moelleux au chocolat tout à l’heure. Je pose mes mains sur ses gros seins. Je la caresse d’abord doucement, à travers sa robe puis je me cale sur son rythme.

Mais j’y pense, elle n’a pas quitté sa culotte…



Et en même temps, elle se soulève, se désaccouple, se retourne et redescend. J’ai une vue sur son cul, sur cette culotte magique, pendant qu’elle s’appuie sur mes cuisses, et accélère sa cadence.

Elle gémit un peu. Moi je trouve que les sensations ressemblent à la levrette. La pression monte, je ne vais pas tenir bien longtemps.

Elle couine,



Nos mouvements sont coordonnés, rapides, je tiens sa taille et je la tire à moi au plus fort, alors qu’elle se soulève de plus en plus vite.



Je n’ai jamais su jouir discrètement. J’ai l’éjaculation assez rauque. On est quand même dehors. Je regarde autour : plus personne. Elle s’est retournée vers moi, avec un petit sourire satisfait. J’ai l’impression que ses yeux brillent. Je me fais peut-être des idées. Cette fille est pleine de surprises, de paradoxes. C’est une fille de bourgeois, d’apparence un peu classique, un peu rétro. Et au bout de quinze jours, soit trois ou quatre soirées, elle me saute dessus dans un lieu public avec une culotte fendue qui signe sa préméditation.

Ma bite est toute recroquevillée, je me rhabille. Je l’embrasse, je passe ma main sur ses hanches, et je ne peux m’empêcher de descendre entre ses fesses un doigt inquisiteur. Grâce à la culotte fendue, c’est sur son petit trou que j’arrive. Elle pose sa tête dans mon cou.



Je ne suis jamais monté chez elle… Notre histoire avance rapidement. Je m’écarte en laissant un silence. Je ne peux m’empêcher de la taquiner. Elle me regarde et je ressens sa fragilité. Elle se demande si je vais commencer à prendre la tangente.



Elle sourit.



On remonte l’escalier main dans la main, elle rentre dans la voiture et baisse le pare-soleil. Un raccord de rouge à lèvres. C’est bien son genre !

Je ne me souviens plus précisément de la nuit qui s’ensuivit. Il y en a eu beaucoup, nous aimions bien manger dehors et rentrer ensuite chez elle. Jamais plus, nous ne sommes lâchés en extérieur comme cette nuit-là. En revanche, nous avons appris à nous connaître. Son lit est devenu un terrain de jeu. Les nuits d’été, il faisait chaud, nous ouvrions la baie vitrée et remontions légèrement le volet roulant. La lumière extérieure passait à travers, en une multitude petits carrés, et se projetait sur nous et sur le mur. Elle adorait finir à genoux, les fesses écartées à pleines mains. Son petit trou inviolé me faisait de l’œil, pendant que je la secouais de plus en plus fort.

Elle couinait, puis montait dans les aigus au fur et à mesure du coït. Nous avons souvent fini ensemble, dans le même cri.

Entre deux cochonneries, nous parlions de plus en plus, de tous les sujets et il est apparu évident que nous irions loin ensemble.


Aujourd’hui, c’est ma femme, nous avons deux enfants, les plus beaux du monde, et nos rapports sexuels se sont bien espacés. Plus d’intimité. Mon corps s’est alourdi, le sien également quoique beaucoup moins. Pris dans le boulot + la famille + les enfants, etc., etc., nous ne sommes plus les mêmes amants. Je ne l’ai jamais trompée. Pour quoi faire ?


Mais parfois, à intervalles assez réguliers, la flamme se ranime. J’ai un voyage à faire où, comme par hasard, elle peut venir. On met en place la garde des petits. On s’échappe, souvent en Italie. Un hôtel luxueux. Une grande et belle chambre. Un programme très limité, beaucoup de temps libre à prévoir. San Remo, Rome, Venise, Bologne, Parme, Milan. Les monuments sont beaux. Ces villes ont toutes quelque chose de magnifique. Et dans chacune, il y a un palace que nous avons testé. Elle a pris un soin particulier avant de partir. Elle sait que j’aime les talons hauts, que la lingerie me rend fou. Le soir nous sommes souvent fatigués, elle s’endort très vite, je lis.


Le matin, je me réveille tôt, comme tous les gens qui ont des enfants jeunes. La chambre est légèrement éclairée. Je me lève discrètement. Je passe me rafraîchir à la salle de bains, et quand je reviens dans la chambre, je trouve une femme dans une tenue sans équivoque. À Milan, la chambre était en bois foncé, moquette marine, c’était une nuisette bleue, et des talons vertigineux. À San Remo, elle ne portait que des bas blancs et un collier très long. À Portofino, vue sur mer inégalable, hôtel presque vide hors saison, c’était la complète : la guêpière noire, les bas noirs, les chaussures noires, et le rouge à lèvres le plus rouge que je n’ai jamais vu.


Du samedi 8 heures jusqu’à 19 heures, nous ne sommes pas sortis de la chambre. Un croque-monsieur au room-service, une flûte de champagne, des fraises. Il y avait une vidéo X à la demande, toute en italien, et la fille était aussi brune que ma femme. Nous nous sommes sans doute pris au jeu. Nous avons passé la plus grande partie du film à nous branler mutuellement.


Quand la fille s’est fait sodomiser par son partenaire, j’ai senti ma femme un peu plus troublée, mais elle ne m’a rien dit. Quand j’ai joui, elle s’est jetée sur ma queue pour me boire et est venue le partager avec moi. Un gros bisou baveux au sperme, les yeux grands ouverts. Je l’aime.

L’après-midi, le soleil rentrait jusque sur le lit. Et là, elle m’a dit, avec son habitude de me faire craquer d’une seule phrase :



Pourquoi y aurais-je pensé ? Elle est trempée sur commande et refuse toute introduction anale de façon ferme et définitive. Mais voilà…



Comment voulez-vous résister à ça ? Je ne sais même pas si elle m’a dit offrir ou ouvrir. Ça change quoi ? Nous avons passé une heure à jouer avec son petit trou. D’abord avec ma langue, puis un doigt, beaucoup de gel, puis le moment est arrivé. J’ai mis mon anneau pénien qui me rassure et me fait la bite plus dure et l’érection plus durable. Elle s’est mise à quatre pattes, face à la fenêtre et j’ai enculé la femme de ma vie doucement, lentement, millimètre par millimètre, avec vue sur la mer !

C’est elle qui a commencé le va-et-vient doucement, en poussant ses fesses en arrière, j’ai rajouté du gel, et j’ai accéléré la cadence. Elle n’a pas crié, mais sa respiration était tellement forte, que je me demandais si elle souffrait.



J’ai accéléré peu à peu. Et d’un coup, comme un éclair, j’ai joui, j’ai eu l’impression que ma bite éclatait tellement c’était fort.

On a pris un bain, on s’est habillé. Nous sommes descendus au restaurant. J’avais les jambes coupées. Nous avons fait un repas léger, le risotto « al funghi porcini » était divin. Elle m’a repris la main comme au début de notre relation. Dans l’ascenseur, je me suis approché pour l’embrasser.