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Temps de lecture estimé : 33 mn
23/07/16
Résumé:  Olivier vient de vivre une séparation difficile. Invité à une soirée chez son meilleur copain, qui veut lui faire oublier ces moments difficiles, il y découvre une épouse prête à tout pour se venger de l'infidélité de son mari.
Critères:  fh cocus inconnu vengeance strip intermast pénétratio -occasion
Auteur : PapaTangoCharlie
La vengeance d'une femme trompée

Depuis quelques jours seulement je commençais enfin à reprendre goût à la vie. L’épreuve difficile que je venais de traverser m’avait considérablement ébranlé et il m’avait fallu plus de trois mois avant de pouvoir reprendre le dessus. Une séparation est toujours très dure à vivre, elle est vécue comme un terrible échec, un gâchis absolu… à plus forte raison quand c’est l’autre qui part. Lorsque mon épouse, Valérie, m’a quitté, ça a été pour moi un véritable séisme : le monde s’est écroulé autour de moi. Toutes mes certitudes sur la vie et sur l’amour, tous ces genres de conneries, se sont effondrées comme un château de cartes. Près de six ans de vie commune et puis plus rien. Le grand vide ! Oh, je ne lui en veux pas ! Probablement que je n’ai pas été un mari suffisamment attentionné, probablement que je ne l’ai pas assez aimée, ou pas comme elle l’aurait voulu. J’ai beaucoup culpabilisé ; on doit sûrement toujours se sentir responsable quand ce genre de catastrophe vous tombe sur les épaules.


Heureusement que nous n’avions pas d’enfant. Nous avions toujours déploré ne pas parvenir à en avoir, mais à ce moment-là, je m’en félicitais. Sinon cette séparation eût été encore plus terrible à vivre !


Fabrice, mon collègue de travail, qui était aussi devenu l’un de mes meilleurs amis, s’était bien rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond chez moi. Quand je lui appris ma séparation, il n’en fut pas surpris et m’avoua avoir pensé qu’il ne pouvait y avoir qu’une « histoire de femme pour me mettre dans de pareils états ». Dans ces moments-là, les amis sont des soutiens indispensables et Fabrice fut l’un des premiers à me lancer une bouée de sauvetage en me proposant d’emblée de venir passer une soirée chez lui. « Ça te changera les idées » m’avait-il dit.


Seulement voilà, c’était encore trop tôt et je ne me sentais pas prêt. J’avais encore besoin d’être seul pour faire le point, pour gamberger, pour ruminer ma tristesse et pour pleurer celle qui avait tant compté pour moi. Mais je suis d’un tempérament plutôt optimiste et après avoir touché le fond, il y a toujours un moment où je rebondis, un moment où ma soif de vivre reprend le dessus.


Une fois passée cette période dépressive, je repris donc peu à peu le chemin de la raison et un beau jour je décidai de sortir de chez moi, de voir à nouveau du monde, d’aller au restaurant, au cinéma et pourquoi pas, de m’ouvrir à l’inconnu. Je trouvais d’ailleurs les femmes de plus en plus belles, ce qui était un signal très positif pour moi, et je laissais de plus en plus souvent mon regard vagabonder sur de jolies jambes ou dans un profond décolleté.


Au bureau, Fabrice avait bien remarqué ma soudaine transformation et n’hésitait pas à l’encourager. Un jour que Virginie, une charmante secrétaire aux formes très suggestives, vint déposer un dossier sur mon bureau, il la plaisanta :



L’intéressée n’apprécia que modérément cette plaisanterie, il est vrai un peu lourde, et qui pouvait même passer pour du harcèlement sur un lieu de travail. Elle se contenta de hausser les épaules et ressortit aussitôt du bureau. Il faut préciser que Fabrice et moi étions les seuls à partager ce bureau, c’est pourquoi nous ne nous gênions pas d’avoir de temps en temps des « conversations d’hommes » qui ne faisaient pas dans la dentelle !

Ainsi, quand Virginie fut partie, Fabrice s’esclaffa :



Parler des femmes sur ce ton détaché et désinvolte, les considérer comme de simples objets de plaisir me faisait du bien. Ça me détendait, ça me permettait d’oublier et sûrement aussi d’assouvir un désir refoulé de vengeance envers elles. Bref, je reprenais pied dans le monde des vivants et redevenais un homme prêt à goûter à tous les plaisirs de la vie.



Ce que j’avais toujours refusé jusqu’alors, je l’acceptai cette fois de grand cœur, bien décidé à tirer définitivement un trait sur le passé et heureux à l’idée de passer un bon moment avec mon meilleur copain. Ainsi, nous prîmes rendez-vous pour une soirée de la semaine suivante.


Quelques jours plus tard, me voilà marchant tranquillement sur ce trottoir parisien, encore très animé en cette soirée de fin d’été, en direction de chez mon copain. J’étais un peu en avance, aussi flânais-je sans empressement, profitant des derniers rayons d’un soleil rougeoyant. Tout en marchant, je me fis la réflexion que je ne connaissais pas grand-chose de Fabrice et de sa vie privée. Je savais qu’il était âgé d’une petite quarantaine, comme moi, qu’il était marié et qu’il avait un enfant en bas âge, mais c’était à peu près tout. Nous ne nous fréquentions que sur notre lieu de travail, ainsi qu’au restaurant et à la salle de sport d’à côté. Mais nous n’étions jamais vraiment sortis ensemble en dehors du cadre professionnel.


Approchant de son immeuble, je fis un petit détour par une rue commerçante où j’espérais trouver un fleuriste. J’avais bien dans mon sac une bouteille de champagne que je comptais offrir à Fabrice, mais je n’avais rien pour la maîtresse de maison. J’avisai un petit fleuriste de quartier et y entrai. L’étroite boutique regorgeait de bouquets et de présentations de toutes sortes couvrant les étagères et le sol, à tel point qu’il était difficile de se frayer un passage. Indécis et même embarrassé, je tournai longuement dans la minuscule boutique à la recherche d’une idée. On sait comme il est difficile d’offrir des fleurs à une inconnue et pour moi cela a toujours été une épreuve. En définitive, je me décidai pour une composition où l’on trouvait un fouillis de fleurs de toutes sortes aux tons variés. Deux minutes plus tard, chargé de mon encombrant bouquet et de ma bouteille de champagne, je sonnai à l’interphone.



Entrant dans le hall de l’immeuble, je trouvai un peu plus loin un ascenseur d’un autre âge dans lequel je tentai de monter en me frayant un passage entre deux portillons vitrés au bois défraîchi, que de puissants ressorts maintenaient fermés. En se rabattant violemment derrière moi, ils furent à deux doigts d’écraser mon bouquet. « Saloperie d’ascenseur ! », grommelai-je. La cabine bringuebalante menaçait de rompre à chaque instant et me fit penser à cette séquence du « Père Noël est une ordure » où Madame Musquin s’était trouvée coincée dans une cabine en tout point semblable à la mienne. Enfin, par miracle, je parvins tout de même au troisième. « Comment peut-on laisser encore un pareil engin en service ? pensai-je. Il ne doit sûrement pas être aux normes ! »


Fabrice m’ouvrit et m’accueillit chaleureusement en me tendant la main.



Après avoir passé une étroite entrée, on débouchait dans une grande pièce qui tenait lieu de salle à manger et de salon. La décoration était moderne et sobre, plutôt dans les tons clairs. En entrant, le regard était immédiatement attiré par une immense photo en noir et blanc qui occupait presque tout un panneau et qui représentait le pont de Brooklyn vu de nuit.


Je tendis ma bouteille à Fabrice quand apparut, sortant de derrière une porte, une jeune femme d’une trentaine d’années, aux longs cheveux châtains, que je trouvai de prime abord assez jolie, mais sans plus.



Alors que je tendais la main à la nouvelle venue, Fabrice intervint :



Approchant mes lèvres des joues de Karine, je découvris alors son parfum, enivrant et captivant à la fois. Bien que je la trouvasse d’une beauté assez quelconque, je fus néanmoins troublé par elle à ce moment-là.



Un coin salon avait été aménagé avec un grand canapé d’angle devant lequel venait se serrer une table basse.



Karine réapparut avec un vase dans lequel elle avait disposé mon bouquet et qu’elle posa sur la table basse. Se tournant vers moi avec un joli sourire, elle répéta :



Je remarquai alors ses yeux, de beaux yeux bruns. Cela ne m’avait pas frappé jusqu’alors, mais elle avait un regard à la fois doux et franc. Le regard envoûtant de la séductrice qui sait jouer de son charme, sans toutefois en abuser. Je révisai alors mon premier jugement : Karine était finalement une jolie femme. De plus, je constatai qu’elle savait s’habiller avec goût, de manière très féminine et même un brin sexy. Elle était vêtue d’une robe bustier de couleur vert amande, très vaporeuse et serrée sous les seins, qui découvrait largement ses épaules et son dos (en connaisseur, j’en déduisis qu’elle ne portait donc pas de soutien-gorge) et qui, assez courte, découvrait de longues et fines jambes mises en valeur par des sandales à talons hauts qui lui allaient à ravir. Des pensées grivoises me vinrent alors à l’esprit.

Puis, s’adressant à son mari, elle continua :



Karine s’assit dans l’autre angle du canapé, laissant remonter sa robe assez généreusement, en tout cas suffisamment pour m’émoustiller. Mon copain absent, je ne me gênai pas pour reluquer ostensiblement ses jolies jambes, alors découvertes jusqu’à mi-cuisses. Mon regard insistant ne lui échappa évidemment pas et elle sembla même y prendre un certain plaisir. Tout en les croisant d’un geste lent et calculé, elle dit, comme pour donner le change :



Laissant à nouveau mon regard errer sur ses jambes, je pensai tout à coup que quelque chose me serait vraiment agréable en effet : glisser ma main sous sa robe légère. J’avais décidément l’esprit bien frivole ce soir-là. Mais Fabrice revint avec les bouteilles d’apéritifs, me tirant de ma rêverie. Il remplit nos verres et nous trinquâmes :



Nos verres s’entrechoquèrent et Karine reprit la conversation :



Fabrice décida alors de me taquiner :



Fabrice parut tout à coup très gêné et se mit à rougir légèrement.



Je le regardai d’un air interrogateur, me demandant bien ce qui avait pu se passer. Fabrice aurait-il trompé sa femme ? Il ne m’en avait pourtant jamais parlé. En tout cas je n’en sus pas plus et Karine enchaîna :



Ainsi notre conversation se poursuivit sur ces sujets moins polémiques que sont le travail, le temps qu’il fait, etc. Mon regard revenait sans cesse sur les jambes de Karine qu’elle se plaisait à croiser et à décroiser. Je sentais bien que ce petit jeu l’amusait et qu’elle prenait plaisir à m’émoustiller. Je crois bien que Fabrice s’en rendait compte, mais il se garda bien désormais de faire la moindre remarque. Après tout, s’il était coupable de quelque chose, il ne devait pas se sentir en mesure de faire quelque reproche que ce soit à son épouse et cette dernière avait alors bien raison d’en tirer avantage. Quant à moi, je comptais mettre à profit cette situation et me décidai à tester jusqu’où elle était prête à aller. Oui, je sais, ce n’est pas très moral vis-à-vis de mon copain, mais mettez-vous à ma place, cher lecteur(trice), cela faisait plusieurs mois que j’étais à la diète sexuelle et la plastique, pour le moins « appétissante », de la belle Karine ne me laissait pas indifférent.


Les circonstances allaient d’ailleurs bientôt m’être favorables. Karine avait préparé une jolie table décorée de quelques pétales de rose. Elle m’installa à sa droite, tandis que Fabrice lui faisait face. La table était assez grande et je me dis que cela me permettrait peut-être de faire discrètement du pied à la maîtresse de maison. Je m’en sentis tout guilleret.

Le repas fut excellent et, dès l’entrée, je ne manquai pas de complimenter la cuisinière :



Puis m’adressant à Fabrice, je continuai :



Tandis que Fabrice rétorquait par une plaisanterie, je suivis des yeux Karine qui venait de se lever pour aller à la cuisine et mon regard se perdit sur son petit postérieur. Je la trouvais de plus en plus mignonne et je décidai de passer à l’action au moment du plat de résistance. Alors que le silence était revenu et que nous étions tous absorbés à déguster un délicieux saumon arrosé d’une délicate sauce à l’oseille, j’avançai prudemment mon pied vers celui de Karine. Lorsqu’il vint à frôler le sien, elle tourna vers moi un regard de surprise auquel je répondis par mon plus beau sourire, tout en la complimentant encore :



Alors que je continuais à frotter mon pied contre le sien avec insistance, elle esquiva mon avance en ramenant ses jambes sous sa chaise. Étais-je allé trop loin ? Avais-je dépassé les limites de la convenance ? Toujours est-il que j’avais essuyé, au moins, un demi-échec. Mais je ne m’avouai pas vaincu pour autant. Je ramenai donc mes pieds à leur place tout en réfléchissant à la conduite à tenir.



Le repas se poursuivit ainsi, sans que je pusse trouver la bonne stratégie. Karine restait sur son quant-à-soi et je ne parvins pas à avancer mes pions. Pourtant, ma patience allait bientôt être récompensée. Nous en étions au fromage, quand je sentis quelque chose frôler mon pied gauche. Je me tournai alors vers Karine qui me fit un sourire complice. Plus de doute, la coquine me faisait clairement un « appel du pied ».



Karine, jouant à plein sur le registre de l’ambiguïté, me déclara alors :



Et en même temps elle appuya plus franchement son pied contre le mien. Entrant volontiers dans son petit jeu, je lui répondis :



Elle continua ses frôlements et en vint même à un moment à glisser sa jambe entre les miennes. Je la serrai alors, la gardant prisonnière.



Après un moment, elle me demanda :



Lors du dessert, je me montrai encore un peu plus entreprenant. Me déchaussant (j’avais eu la bonne idée de mettre des mocassins, faciles à enlever), je glissai mon pied entre les jambes de Karine. Loin de s’opposer à mon intrusion, elle les écarta légèrement afin de me faciliter le passage. Mon pied remonta alors jusque sous sa robe et s’immisça entre ses cuisses. Elle accueillit généreusement l’intrus et resserra même les cuisses pour mieux le retenir.



La malicieuse jouait à merveille la comédie, dissimulant adroitement l’émoi que devait provoquer chez elle l’intrusion de mon pied sous sa robe. Fabrice, quant à lui, semblait trop éméché pour se rendre compte de quoi que ce soit. Il est vrai qu’il avait abusé de son excellent vin, vidant deux verres quand je n’en buvais qu’un et m’encourageant à le suivre :



Mais je souhaitais rester sobre et ne bus que modérément.


Le repas terminé, nous nous installâmes à nouveau dans le canapé et Fabrice nous proposa des cafés. Quand, d’un pas mal assuré, il se fut éclipsé dans la cuisine afin de les préparer, j’entrepris Karine :



Mon regard se portant à nouveau sur ses jambes, qu’elles tenaient croisées, je surenchéris :



Alors, sans hésitation aucune, elle prit le bas de sa robe à deux mains et la remonta d’une vingtaine de centimètres, découvrant presque totalement ses cuisses.



Mais Fabrice, revenant avec les cafés, interrompit notre conversation.



Fabrice se dirigea vers son système audio, glissa son iPhone dans son lecteur-ampli et pianota jusqu’à trouver ce qu’il cherchait. Une mélodieuse musique envahit bientôt la pièce. Nous dégustâmes notre café tout en l’écoutant. Pour ma part, j’étais beaucoup trop distrait par les jolies cuisses de Karine, sur lesquelles mon regard revenait sans cesse, pour apprécier cet univers musical. Des pensées de plus en plus osées m’assaillirent bientôt : j’imaginais Karine écartant les jambes, me montrant ostensiblement son entrecuisse. Dans mes fols désirs, elle ne portait pas de culotte et elle m’exhibait son sexe nu, elle me l’offrait. Excité par mes rêves érotiques autant que par ce qu’elle me montrait, je commençais à sentir mon sexe se raffermir.

Un changement de musique la fit réagir :



Fabrice, à demi ivre, se leva avec difficulté et eut toutes les peines du monde à trouver son équilibre. Il attira sa femme à lui, ils s’enlacèrent et entamèrent un slow langoureux. Lui, la tenait d’une main par la taille et de l’autre par les fesses. Elle, s’était suspendue à son cou et je me dis alors que j’aurais bien aimé être à la place de mon copain. D’où j’étais, je pouvais voir le corps gracile de Karine onduler au rythme de la musique ce qui n’arrangeait pas mon érection. Encore deux minutes à ce régime et j’allais arborer une bosse difficilement dissimulable. Ma queue était en effet alors aussi raide que si la main de Karine elle-même l’eût masturbée. « Arrête de fantasmer ! » me dis-je.

Mais Fabrice en eut bientôt assez de danser et retourna s’asseoir, plantant sa femme au milieu de la pièce.



Jamais demande ne fut plus douce à mes oreilles et, me levant en essayant de dissimuler au mieux mon trouble, je lui déclarai :



Arrivé au milieu de la pièce, je pris Karine, posant une main sur sa taille et l’autre sur son épaule nue. J’eus la surprise de la voir se suspendre sans complexe à mon cou, exactement comme elle l’avait fait avec son mari une minute auparavant, ce qui contraignit nos deux corps à un contact serré. J’aurais pourtant souhaité, au moins dans un premier temps, ne pas trop la coller dans l’état d’excitation dans lequel je me trouvais déjà. Raté. Nous étions collés l’un à l’autre et mon érection ne pourrait lui échapper bien longtemps. Elle s’abandonna en posant sa tête sur mon épaule. J’avais ses jolis cheveux châtains, subtilement parfumés, à deux centimètres de mes narines. Enivré, je m’abandonnai à mon tour, laissant en définitive libre cours à mon érection encore renforcée par le contact de son bas-ventre. Je me demandai même si elle ne faisait pas exprès de me coller.


Alors, comme vous pouvez vous en douter, cher lecteur(trice), je voulus aller plus loin. Ma main droite se mit à caresser la peau nue et chaude de son dos, d’un geste lent et en effleurant à peine. Ma main gauche, elle, qui jusqu’alors était sagement restée sur sa taille, glissa plus bas jusqu’à atteindre sa fesse. Allait-elle trouver mon geste déplacé ? Il sembla que non. Elle continua à se frotter à moi, toujours suspendue à mon cou. Alors ma main caressa sa fesse de manière plus appuyée, la massa, la malaxa sans retenue. Sa robe était si légère que je pouvais suivre de mes doigts le fin liseré de son string. Mon excitation était à son comble quand la chanson se termina pour laisser place à un rythme trop rapide pour être dansée en slow. Elle se sépara alors de moi et retourna s’asseoir sur le canapé aux côtés de Fabrice qui semblait sommeiller.



Et il sembla se rendormir, nous laissant seuls, Karine et moi.



Notre joute verbale faisait partie de notre jeu de séduction. Elle se plaisait à feindre l’indifférence alors que son comportement, depuis le repas, ne laissait aucun doute sur ses intentions. J’ignorais en revanche jusqu’où elle était prête à pousser son petit jeu. Était-elle une simple allumeuse ou au contraire une femme bien déterminée à offrir son corps ? Je n’avais désormais plus aucun scrupule et mon plan était arrêté : pousser la fille jusque dans ses derniers retranchements, jusqu’à ce qu’elle tombe comme un fruit mûr ; un fruit que je m’imaginais déjà déguster avec gourmandise.


De son côté, Fabrice nous avait abandonnés et ronflait comme un sonneur me laissant ainsi une route royale pour draguer sa femme.



Elle fit une moue un peu trop forcée pour être crédible :



Cette seconde danse se révéla pourtant beaucoup plus chaude que la précédente. Je repris mes caresses dans son dos, tandis que ma main gauche reprit l’exploration de ses fesses. Elle, toujours suspendue à mon cou, se frottait de plus en plus ostensiblement à moi, sa jambe venant parfois s’immiscer entre les miennes.

Puis à un moment, elle me regarda dans les yeux et me déclara tout de go :



Je ne me fis pas prier et la seconde d’après nos langues s’entremêlèrent. La sienne était particulièrement agressive, forçant la barrière de mes dents, elle venait effrontément balayer ma bouche. Simultanément, elle se serra plus fort encore à moi. « Cette fille a vraiment un tempérament de feu » pensai-je. Fou d’excitation, je sentais mon sexe bandé à l’extrême, quant à elle, faisant onduler son bassin pour mieux se frotter à moi, elle jouait pleinement le rôle de la petite vicieuse.


Après notre baiser, nous nous serrâmes très fort. La musique de Lionel Richie avait cessé et nous ne dansions plus. Debout au milieu de la pièce, nous étions comme soudés l’un à l’autre. Je la pris alors de mes deux mains par les fesses, que je malaxai avec énergie. Puis, je relevai sa robe jusqu’à ce que je sentisse le contact de son string, un petit string qui semblait se perdre dans la raie de ses fesses. Mes caresses sur son petit cul, désormais nu, devenaient de plus en plus indécentes, mais Karine ne s’en offusqua pas, bien au contraire, elle se cambra pour mieux les apprécier.



Le mot m’avait échappé et je regrettais déjà de l’avoir prononcé. J’étais certain que Karine allait me planter là, ou même me gifler pour mon incorrection. À mon plus grand étonnement, sa réaction fut tout opposée. Se faisant chatte, elle se colla encore plus fort à moi :



En même temps, je tirai sur son string de façon à le faire pénétrer plus profondément entre ses fesses. Elle apprécia :



Elle ne répondit rien et se contenta de faire onduler son bassin.



Laissant retomber le bas de la robe, je cherchai la fermeture Éclair qui allait libérer ce corps si désirable. Je la trouvai dans le dos et je la tirai lentement, ce qui eut pour effet immédiat de desserrer la taille de ma cavalière. Ma main s’immisça jusqu’au bas de son dos en suivant sa colonne vertébrale, ce qui fit frémir la belle. Puis, je fis glisser les deux fines bretelles sur ses épaules et je m’écartai afin de laisser tomber la robe qui glissa inexorablement jusqu’à terre.


Karine avait désormais les seins nus, de mignons petits seins aux tétons déjà érigés que je m’empressai d’englober de mes mains. Mes caresses lui firent fermer les yeux.



Mon regard se porta alors sur son petit string. Il était de couleur blanche et, minimaliste à souhait, il cachait avec peine son sexe épilé. Elle ne portait pas de bas en cette chaude fin d’été et ce petit string restait donc son dernier vêtement. Mes mains ne savaient où aller pour satisfaire leur appétit de caresses. Elles allaient des seins au string, du string aux cuisses et des cuisses au string. Abandonnant son corps à mes mains fébriles, elle se laissait faire, goûtant simplement au plaisir d’être convoitée.



Frôlant de sa main la bosse de mon pantalon, elle se dirigea vers le coin salon. Quelle superbe vision que ce petit cul quasiment nu ondulant devant moi : j’avais si bien tiré son string, qu’il disparaissait totalement dans la raie de ses fesses. Son corps gracile était un véritable appel à l’amour.


Elle s’installa, croisa les jambes et m’invita à m’asseoir près d’elle. C’est à ce moment que Fabrice, tiré de son profond sommeil, ouvrit les yeux en grommelant :



Puis reprenant ses esprits, il s’aperçut tout à coup de la tenue de son épouse.



Elle était furieuse et je compris alors la raison de leur petite altercation de tout à l’heure. Je compris également mieux l’attitude de femme complaisante que Karine manifestait à mon égard. Elle voulait se servir de moi pour se venger des frasques de son mari. Alors un sentiment de culpabilité m’envahit soudain : Fabrice m’avait gentiment invité et je voulais profiter de sa femme.



Puis il ajouta sur un ton à peine perceptible :



Je me sentis soudain affreusement gêné, honteux, responsable de cette scène pathétique, aussi ai-je eu à ce moment l’envie de m’éclipser, de disparaître au plus vite.

Fabrice se leva alors et se mit à crier :



Puis il quitta la pièce, faisant violemment claquer la porte derrière lui.

Karine et moi restâmes silencieux un moment. Cette scène m’avait coupé tous mes effets et je ne pensais alors plus du tout à la bagatelle.



Alors que j’étais déjà debout, elle se leva à son tour, plaqua sa main sur mon pantalon à l’endroit stratégique et, les yeux dans les yeux, me fit :



Puis elle se suspendit à mon cou en se serrant contre moi, colla ses lèvres aux miennes et sa langue en força le passage. Nous reprîmes alors le baiser de tout à l’heure, à la différence près que Karine était désormais nue entre mes bras. Mes mains, ne voulant oublier aucun centimètre carré de sa peau, n’en finirent pas de caresser son dos, ses hanches et ses fesses. Je me trouvai à nouveau dans un état second, oubliant déjà complètement les scrupules qui, deux minutes auparavant, me poussaient à partir. Elle décolla ses lèvres, mettant fin à ce chaud baiser, puis, me lançant un regard que je ne lui connaissais pas encore, elle dit :



Je commençais à prendre goût à son fantasme de se voir traitée comme une moins que rien pendant nos ébats et cela stimulait mes sens. On sait que le sexe se passe aussi beaucoup dans la tête, n’est-ce pas ?



Joignant le geste à la parole, je saisis des deux mains le fragile objet et, m’accroupissant, le fis glisser énergiquement jusqu’à ses pieds. Je crus même qu’il allait se déchirer, tellement mon geste fut brusque. Mes yeux, alors à la hauteur de son intimité, découvrirent la légère touffe brune de son sexe, à peine éclaircie, et ses lèvres humides de désir.



Comme je me relevais, elle s’approcha de mon oreille et me chuchota :



Elle marqua une pause, puis reprit :



Puis, avant même que j’eusse le temps de caresser son intimité, elle se dirigea vers le canapé, s’y étendit langoureusement, reposant sa tête sur l’accoudoir et écartant les cuisses juste ce qu’il fallait pour m’exhiber sa féminité. Ses longs cheveux châtains s’étalaient sur ses épaules nues, ses seins, fièrement dressés, telle une provocation, montraient des tétons tendus, comme avides d’une bouche gourmande.

Elle me susurra de sa voix la plus chaude :



J’éprouvais une très vive excitation à m’effeuiller devant elle et ça se voyait. Elle, en spectatrice attentive, ne cessait de fixer avec des yeux gourmands la bosse de mon pantalon. La chemise enlevée, je la lui jetai négligemment. Elle s’en empara et la porta à ses narines en fermant les yeux.


Un bruit de ceinture les lui fit rouvrir. Alors torse nu, j’avais en effet commencé à défaire mon pantalon. Il glissa bientôt jusqu’à terre et je m’en débarrassai prestement après m’être déchaussé. Je n’avais plus alors que mon boxer, complètement déformé par ma queue au mieux de sa forme. Je le fis glisser lentement vers le bas, jusqu’à ce qu’il libérât totalement mon sexe, exhibant alors sans équivoque à Karine toute ma virilité.



Je m’arrêtai tout en lui faisant un regard étonné et interrogatif.



Un peu gêné, mais résolu à tout faire pour lui être agréable, j’empoignai ma queue et me mis à la branler doucement, tout en me régalant de la vue de son corps dénudé. Au même moment, elle entreprit de se titiller le petit bouton, ce qui eut pour effet de me stimuler encore davantage.



Accédant à ses injonctions, j’accélérai ma masturbation en prenant garde toutefois à ne pas atteindre le point de non-retour. J’étais en effet à ce point excité, aussi bien par la vue de ce superbe corps offert, que par le fait de me branler devant elle, que mon orgasme commençait à monter. La petite vicieuse prenait visiblement son pied à me voir m’astiquer la queue et elle-même accéléra la masturbation de son clitoris.



Puis elle continua :



Je ne me le fis pas dire deux fois. Je m’approchai d’elle, me mis à genoux devant le canapé afin d’être à la bonne hauteur et posai ma main gauche sur un sein, tandis que la main droite entamait une caresse de son bas-ventre. Elle glissa sur sa peau douce et chaude, tout en se rapprochant peu à peu du sexe, mais arrivée au contact des premiers poils pubiens, elle dériva sur une cuisse en évitant soigneusement de toucher l’intimité de la belle. Puis ma main caressa l’intérieur de la cuisse en exerçant dessus une légère pression qui contraignit Karine à l’écarter un peu. Ma main alors remonta en suivant toujours l’intérieur, survola les lèvres intimes en les frôlant à peine, ce qui fit réagir Karine qui poussa un petit cri étouffé, puis ma main continua par l’intérieur de l’autre cuisse où j’exerçai là aussi une légère pression qui eut le même effet. Je renouvelai l’opération deux ou trois fois, en effleurant à chaque passage son intimité, ce qui la rendait de plus en plus folle et l’obligeait à écarter toujours plus les cuisses. Si bien qu’au bout d’un moment, non seulement Karine était en proie à une très vive excitation, mais son entrecuisse se trouvait ouvert de la manière la plus indécente qui soit.



Alors, je posai ma main sur son minou, complètement inondé de son désir. Mon doigt suivit un moment le contour de ses lèvres, puis je la pénétrai de mon index.



Mais elle était ailleurs et ne m’écoutait plus. La pénétration était si aisée que j’y introduisis bientôt l’index et le majeur en même temps et pendant que je la fouillais de mes deux doigts, mon pouce titillait son clitoris. Elle exulta, poussant des cris de plaisir et soulevant son bassin, comme pour forcer la pénétration.



Et je continuai à la fouiller sans ménagement.



Elle eut tout à coup l’idée de s’emparer de ma queue, dont la virilité n’avait pas faibli, bien au contraire. Elle l’empoigna fermement et se mit à la masturber avec une violence proportionnelle à l’intensité de son orgasme.



Mais j’étais bien décidé à la faire encore attendre. Sortant mes doigts de son vagin, je me mis à masturber son clitoris avec une frénésie croissante.



Mais je continuai sans faiblir et elle se mit à littéralement hurler son plaisir. Un violent orgasme sembla la submerger, comme une énorme vague balaye inexorablement la plage.

Enfin j’arrêtai le supplice. Elle continua longtemps à souffler en tentant de retrouver ses esprits. Quand son orgasme se calma, elle me souffla :



Je me hissai alors sur le canapé, je vins sur elle, présentai ma bite à l’entrée de sa grotte d’amour et la pénétrai d’une seule poussée et jusqu’au fond. Elle était à ce point trempée que ma queue glissa aussi facilement qu’une épée dans son fourreau. Elle poussa un cri de surprise, puis ferma les yeux afin de mieux profiter de cet instant de bonheur. Elle me murmura :



Je restai alors au fond d’elle sans bouger, guettant les moindres contractions de son vagin tout en tentant de gonfler un peu plus mon membre par de petites poussées successives. Je me sentais si bien ; j’étais si heureux de sentir à nouveau la chaleur d’un sexe féminin après ces mois d’abstinence. Les petits plaisirs solitaires que j’avais pu me donner (ma libido débridée m’y poussait parfois) ne pouvaient remplacer cette merveilleuse sensation que l’homme ressent lorsqu’il donne du plaisir à une femme, lorsqu’il la sent vibrer sous l’effet de sa virilité.


Enfin, je me mis à la pilonner, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Je ne lui faisais plus l’amour, je la baisais, comme elle me l’avait demandé, comme une chienne. Alors, sa respiration se fit de plus en plus rapide, puis elle poussa des gémissements, puis ses gémissements devinrent bientôt des cris. Je devinai qu’elle avait un nouvel orgasme. Alors je sortis brusquement mon sexe, juste pour la frustrer, juste pour qu’elle me désire encore plus fort et c’est exactement ce qui arriva :



Je m’enfonçai alors en elle brutalement.



Puis je ressortis à nouveau.



Elle fit une pause pour reprendre son souffle, puis continua en me regardant droit dans les yeux :



Alors, j’eus envie de lui donner toute satisfaction. Je repris mon pilonnage avec une énergie encore décuplée par ses mots obscènes. Des mots de femme soumise qui n’avait plus de volonté, qui ne pensait plus qu’à assouvir ses instincts les plus bas de femelle en chaleur. Quant à moi, j’avais la sensation bien trompeuse d’être maître de la situation, de tenir les rênes et que Karine n’était plus qu’un jouet entre mes mains. Mais en fait, j’étais désormais esclave de son corps qui m’attirait comme un aimant et qui faisait de moi une bête en rut, avide de sexe.

Elle s’arc-bouta dans un ultime élan, parcourue par un violent orgasme et cria son plaisir :



Ses yeux révulsés par la jouissance, sa longue chevelure en désordre autour de son joli visage, les pointes de ses seins outrageusement érigées, ses cris de femme comblée firent monter en moi un formidable orgasme. Mon éjaculation fut forte et abondante, à la mesure du plaisir immense que je ressentais. Puis, me laissant retomber, je m’étendis près d’elle, comblé et heureux. Collés l’un à l’autre, nous restâmes un long moment à nous caresser amoureusement comme deux amants ivres de bonheur. Je réalisai tout à coup que je venais de baiser une femme que je ne connaissais ni d’Ève ni d’Adam il y avait seulement deux heures. En me repassant le film à l’envers, je me dis que Karine était tout de même une sacrée fille ! Par vengeance vis-à-vis de son mari, elle n’a pas hésité à s’offrir à l’inconnu que j’étais pour elle. N’allez pas croire, cher lecteur(trice), que je crachais dans la soupe. Bien au contraire. Elle avait donné au pauvre type abandonné que j’étais, plus d’amour que je n’en avais jamais eu en une seule fois. Elle m’avait aussi communiqué une formidable envie de vivre…



La suite de l’histoire est simple. Fabrice, trop désireux de poursuivre sa relation avec Virginie, sa « catin du bureau », nous laissa à Karine et moi tout le loisir de nous voir autant qu’on le souhaitait. Il s’accommoda si bien de cette situation que, non seulement nos relations d’amitié n’en furent nullement troublées, mais il m’avoua même souvent préférer voir sa femme baiser avec moi plutôt qu’avec un inconnu. Ma relation avec Karine était purement physique ; elle aimait ma queue et j’adorais son corps, elle prenait toujours son pied à entendre des mots crus pendant que je la baisais, tandis que j’éprouvais un plaisir de mâle dominant à l’insulter quand elle était à ma merci.


Et puis un jour, je rencontrai la femme de ma vie, la vraie cette fois. Celle qui me combla d’amour et qui sut satisfaire ma sexualité débridée, celle avec laquelle j’eus envie de fonder une famille, celle qui est toujours ma compagne aujourd’hui : la belle Julie. Avec Julie, tout fut différent. Je ne la baisais pas, mais je lui faisais l’amour et au lieu de l’insulter, je lui susurrais des mots doux. De ce moment, je cessai ma relation avec Karine qui fut un peu déçue sur le moment, mais qui comprit très vite que, cette fois, j’avais vraiment rencontré l’amour et elle fut heureuse pour moi.


Depuis, Karine, Fabrice, Julie et moi sommes devenus les meilleurs amis du monde et prenons toujours plus de plaisir à passer de bons moments ensemble. Mais ne vous méprenez pas, cher lecteur(trice), nos relations sont désormais seulement amicales. Et même si mon regard s’attarde encore de temps en temps sur les jolies jambes de Karine (pourquoi détourner les yeux des beautés de ce monde), mon cœur est désormais entièrement à ma petite Julie.


Je vous entends déjà, cher lecteur(trice) ; vous voudriez bien que je vous la décrive, n’est-ce pas ? Mais vous n’en saurez pas plus. Je la garde jalousement pour moi.


Ah, une dernière chose : quand nous faisons l’amour, ma belle Julie n’oublie jamais de me faire sa divine fellation… Et ça je peux vous dire que je ne m’en lasserai jamais !


Quant à Fabrice, il cessa bientôt sa relation avec sa « catin du bureau » quand il sut qu’elle avait trouvé refuge dans d’autres bras virils. Alors, Karine me fit part de son bonheur de revoir son mari plus amoureux que jamais et de l’entendre lui proférer des mots crus pendant qu’ils font l’amour.


Mais j’y pense : pourquoi Fabrice reluque-t-il si souvent les jambes de ma Julie ?