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n° 17486Fiche technique41368 caractères41368
Temps de lecture estimé : 25 mn
26/07/16
Résumé:  Je réalise mon fantasme de triolisme sans l'avoir prémédité.
Critères:  fhh hbi fplusag extraoffre piscine nudisme fellation cunnilingu double sandwich -couple+h
Auteur : Isa13450  (Isabelle, 44 ans, mariée)            Envoi mini-message
Isa

Chapitre 1/2



Sans préméditation



Je m’appelle Isabelle ; à l’heure où j’écris ce texte, j’ai 43 ans, je mesure 1,60 m et, à ce que l’on dit, j’ai un physique agréable malgré les petites formes généreuses qui accompagnent ma silhouette. À chaque fois que j’en ai l’occasion, sans pour autant basculer dans la vulgarité, j’aime m’habiller de façon à me mettre en valeur ; ce n’est pas que je cherche à provoquer du désir chez le sexe opposé pour me trouver une occasion de débauche, c’est simplement pour me rassurer. J’ai besoin de savoir que je plais toujours autant qu’à mes vingt ans, et les regards qui se tournent vers moi m’aident à confirmer que je suis toujours désirable.


Je vis avec Jean, mon mari depuis 22 ans. Jean a 44 ans ; il est assez sportif. Passionné de VTT, il s’attache à ne pas manquer ses sorties matinales du week-end pour parcourir tous les recoins des collines environnantes qu’il connaît désormais par cœur. Sa passion lui permet d’entretenir sans difficulté son physique musclé qui m’a toujours fait craquer. Nous avons un garçon de 20 ans, Baptiste, qui a quitté le domicile familial depuis peu pour s’installer avec sa compagne.


Nous habitons une petite villa avec piscine dans le sud de la France. Le jardin n’étant pas très grand, les voisins sont assez proches ; de ce fait, pour optimiser notre intimité, nous avons planté des haies d’arbustes bien feuillus le long de chacune des clôtures, ce qui nous permet de limiter considérablement les vis-à-vis. Jean a toujours pris soin de bien entretenir ces haies de façon à ce qu’elles soient bien touffues, car il sait que sans cela je ne m’autorise pas à me faire bronzer torse nu ou entièrement nue au bord de la piscine. Certes, j’aime attirer le regard des inconnus que je croise, mais en aucun cas je n’oserais m’exhiber de la sorte devant un voisin que je côtoie tous les jours ; je sais garder certaines limites qui ne doivent pas être franchies.


Pour finir les présentations, j’ai gardé le meilleur pour la fin ; si vous êtes en cours de lecture de ce texte, c’est bien que vous vous attendez à en savoir plus sur ma sexualité.


Plus jeune, à mon adolescence, j’ai eu plusieurs petits copains avec lesquels j’ai flirté sans pour autant les autoriser à aller au-delà de la découverte de ma poitrine déjà volumineuse. Ce n’est qu’à 18 ans que j’ai perdu ma virginité avec Romain. À cette époque, j’étais folle amoureuse de ce garçon que toutes les filles s’arrachaient ; mais tout le problème était là, et bel et bien là : à mon tour, on me l’a arraché plus vite que ce que j’avais pu l’imaginer. Très déçue d’avoir donné ce que j’avais de plus cher à un garçon qui, finalement, n’en valait pas la peine, j’ai ensuite été très hésitante à me donner à nouveau, malgré le désir de profiter de ces plaisirs de la vie que je venais de découvrir.


Puis, à tout juste vingt ans, j’ai rencontré Jean. Au-delà du fait que son physique musclé me faisait craquer, je me sentais bien avec lui. Notre relation est rapidement devenue fusionnelle ; il était évident que nous étions faits l’un pour l’autre, preuve en est aujourd’hui que nous étions dans le vrai. Je me souviens encore de notre première nuit que je peux largement qualifier de torride. Petit à petit, nous nous sommes découverts ; nos rapports étaient de plus en plus intenses, nos jeux sexuels de plus en plus coquins. D’autant plus qu’après la naissance de Baptiste, ma libido s’est amplifiée, au plus grand plaisir de Jean. Puis au fil des années suivantes, nous nous sommes installés sans nous en rendre compte dans une sorte de routine sexuelle, et sans nous l’avouer nous avions le sentiment d’avoir fait le tour de notre sexualité.


Nous avons dû nous rendre à l’évidence de cette réalité lorsqu’un dimanche soir, confortablement installés, nous découvrions pour la première fois le film intitulé « Sept ans de mariage ». Pour ceux qui ne connaissent pas ce film, nous y retrouvons un couple qui réalise qu’après sept ans de mariage, leur sexualité qui s’endort a de toute évidence besoin de piment. Ce film ne nous a pas laissés indifférents car il décrivait parfaitement ce que nous, nous vivions au bout de nos huit années de vie commune. Ce soir-là, devant ces images visionnées, une certaine excitation nous a envahis, une excitation différente de celle que nous procuraient les films X que nous prenions plaisir à regarder de temps en temps ; et par effet induit, nous n’avons pu attendre le générique de fin pour nous faire plaisir.


Après cette soirée, durant les jours suivants, pour la première fois nous avons osé nous avouer certains de nos fantasmes. Jusqu’ici, je n’avais pas imaginé un seul instant que Jean pouvait avoir les désirs qu’il me décrivait. J’étais à la fois stupéfaite et excitée. De mon côté, je restais sur mes gardes ; j’avais moi aussi des fantasmes, mais il m’était difficile de lui avouer tout ce qui pouvait me traverser l’esprit, d’autant plus que parfois il n’était pas acteur de mes scénarios les plus extravagants. J’ai alors appris qu’il fantasmait sur une relation échangiste ; il aimait également m’imaginer dans les bras d’un autre devant lui. À mon tour, je lui ai avoué que l’idée d’un triolisme m’émoustillait. Nous en sommes venus à la conclusion que nous ne dérogions pas à la règle : nous avions les même envies que tous les couples qui sont restés fidèles de nombreuses années, nous avions besoin de piment pour éveiller notre sexualité, mais nous avons également convenu que nous ne franchirions jamais ce pas ; tous ces scénarios que l’on s’amusait à se décrire ne devaient en aucun cas basculer du fantasme vers la réalité pour ne pas risquer de détruire ce que l’on a construit durant toutes ces années.


Suite à cela, de façon à amplifier notre excitation, nous avons régulièrement introduit un ou plusieurs partenaires imaginaires durant nos ébats. Pour m’exciter, en guise de préliminaires, allongés sur le lit, Jean me demandait de fermer les yeux et il me chuchotait à l’oreille ce qu’il aimerait me voir faire avec tel ou tel de nos amis ou connaissances proches ; il s’amusait à me raconter la façon dont il imaginait notre éventuelle relation échangiste avec encore une fois des personnes de notre entourage qu’il ne se privait pas de citer. Chacun de ces scénarios me mettait dans un état d’excitation qui me procurait une jouissance intense une fois les préliminaires passés. Nous avons joué de la sorte de nombreuses années jusqu’à ce que les effets de ces jeux ne nous procurent plus autant de plaisir qu’à leurs débuts. Une nouvelle fois, nous avions besoin de trouver autre chose pour maintenir notre sexualité en éveil. Pour cela, je faisais confiance à Jean ; je savais qu’il trouverait des nouveautés pour nous maintenir actifs, sans pour autant avoir imaginé ce qui m’attendait lorsqu’un dimanche après-midi d’été, on sonne à notre porte.


Installée sur mon transat au bord de la piscine avec la ferme intention de capter un maximum de rayons du soleil pour améliorer mon bronzage intégral, j’étais seule à avoir entendu le carillon qui provenait de l’intérieur de la maison. J’ai appelé Jean qui se trouvait vers l’autre extrémité du jardin pour lui indiquer que nous avions un visiteur au portail :



J’ai poursuivi ma détente en toute sérénité, espérant ne pas avoir à me revêtir car je venais tout juste de me passer de la crème solaire. Quelques minutes plus tard, les portes de notre séjour qui donnent sur le coin piscine étant grandes ouvertes, j’entendis Jean discuter avec une autre personne. Mon cœur s’est mis battre plus rapidement, j’étais prise d’angoisse. Avait-il oublié ? Peut-être allaient-ils rester dans la maison : dans ce cas, ils ne pouvaient pas me voir. De cet angle, je savais que nos haies masquent la partie basse du pourtour de la piscine, mais je ne pouvais pas me redresser, sinon je me serai donnée en spectacle. « Ouah, il va m’entendre une fois notre visiteur parti ! »


Lorsque j’ai entendu Jean dire à notre visiteur « Allez, viens, j’en ai un dans mon abri de jardin, je vais te le prêter. », j’ai compris qu’ils allaient tous les deux passer devant moi pour aller jusqu’au fond du jardin. J’étais tellement stupéfaite de l’attitude de Jean que je suis restée sans réaction lorsque notre visiteur s’est retrouvé debout devant moi sans trop savoir s’il devait me saluer ou détourner le regard. N’ayant discuté que très rarement avec lui, je n’avais pas reconnu sa voix ; c’est en le voyant que j’ai pu constater que c’était notre jeune voisin, Léo. Malgré son trouble, il a choisi la première option : il m’a tendu la main pour me dire bonjour puis ils se sont dirigés vers notre abri de jardin avant d’en ressortir quasiment immédiatement. Sur leur retour, toujours accompagné de Léo, Jean a stoppé leur marche devant moi pour m’expliquer que le père de Léo avait besoin d’un sécateur pour couper les branches de notre haie qui poussent au travers du grillage de notre clôture commune vers chez eux. Jean prenait volontairement son temps pour m’expliquer cela, ce qui permettait au jeune Léo de profiter de la vue qu’il ne se privait pas d’observer.

Après qu’il eut raccompagné notre jeune voisin, je me suis empressée de demander une explication à Jean :



Pour éviter d’envenimer la situation et stopper cette discussion, il s’est esquivé dans son abri de jardin pour poursuivre son occupation du moment. Nous n’avons plus parlé de cet écart jusqu’au jeudi soir suivant où, allongés nus dans le lit conjugal, mon cher époux me murmure dans le creux de l’oreille :



En même temps que cette question, Jean a fait glisser ses doigts sur mon sexe pour vérifier mon degré d’humidité. J’ai compris où il voulait en venir. Il aime constater l’état dans lequel me mettent ses petits fantasmes qu’il me raconte dans le creux de l’oreille.



Suite à cet épisode imaginaire merveilleusement bien raconté, nous avons enchaîné une partie de jambes en l’air des plus torrides avant que Jean s’exclame :



Il savait aussi bien que moi que je n’en ferais rien ; il était clair que tout cela n’était qu’un jeu entre nous de façon à entretenir un certain piment, source d’excitation sexuelle dans nos relations.


Les puissants rayons de soleil du dimanche après-midi suivant m’ont incitée une nouvelle fois à entretenir mon bronzage intégral. Installée sur mon transat, les yeux fermés, appréciant pleinement ce moment de détente, je perçus de petits bruits de feuillages bousculés les uns contre les autres. Lorsque mon regard s’est naturellement dirigé vers ces bruits à peine perceptibles, j’ai pu apercevoir notre jeune Léo en train d’essayer d’écarter discrètement des branchages de notre clôture afin de pouvoir améliorer son champ de vision dans ma direction. Faisant mine de ne pas l’avoir remarqué, je suis restée un instant allongée avant de me lever pour me revêtir et me diriger vers l’abri de jardin où Jean bricolait afin de le prévenir de la présence de ce jeune voyeur.



Il savait très bien que je n’en ferais rien. Même si l’idée de faire fantasmer ce jeune homme me procurait une sensation agréable entre les cuisses, il était hors de question que je me donne en spectacle. J’ai gardé mon maillot deux pièces sur moi et je suis retournée à mes occupations à l’intérieur de ma maison. Plus tard dans l’après-midi, alors que Jean était toujours dans son abri de jardin – ou devrais-je plutôt dire dans son atelier – une visite sonna à notre porte. Je ne peux pas dire que je fus surprise de voir que c’était notre jeune voisin.



Deux minutes plus tard, Jean est apparu dans la maison avec Léo pour me dire :



Il ne croyait tout de même pas que j’allais faire la conversation à Léo le temps qu’il prépare les boisons ! Je me suis empressée de répondre :



J’étais troublée, j’avais le sentiment que l’on pouvait basculer d’un instant à l’autre vers des évènements irréversibles que Jean s’amusait à provoquer. Pour être honnête, l’idée de me retrouver assise face à ce jeune homme qui ne pensait qu’à m’observer nue pour pouvoir fantasmer me mettait dans un état d’excitation difficilement contrôlable. À cet instant, je me demandais si finalement je n’avais pas moi aussi tout comme Jean le désir d’aller au-delà de l’imaginaire. Lorsque je les ai rejoints, le clin d’œil discret de Jean à mon égard ne laissait plus de doute sur ses intentions.



Il m’a tendu son verre que j’ai servi au-delà de ce qu’il fallait, ce qui a eu pour effet de faire déborder la mousse sur ses doigts. Sur cet évènement, je ne sais quel diable m’a envahie le corps pour que je réagisse tel que je l’ai fait.



D’une main j’ai attrapé son poignet pour pouvoir diriger ses doigts vers mon visage. Tout en le fixant droit dans les yeux, j’ai aspiré totalement son index jusqu’à ce que son ongle soit en butée contre le fond de ma gorge pour ensuite le faire ressortir lentement entre mes lèvres serrées. Jean est resté scotché devant ce spectacle, certainement très surpris de me voir faire une telle chose à notre jeune voisin, qui lui s’est retrouvé complètement paralysé par les évènements. Nous aurions pu entendre les mouches voler jusqu’à ce que Jean intervienne une fois le doigt de Léo entièrement sorti de ma bouche :



Avec ces mots, Léo et moi venions d’avoir l’approbation de mon cher et tendre pour poursuivre l’action engagée. Je ne me suis pas privée de dégager son majeur pour le faire coulisser à son tour dans ma bouche comme l’on sucerait un sucre d’orge. Pour ce qui est de la partie non visible, sachez que j’ai pris soin également de bien presser ma langue sur ce doigt qui faisait un aller-retour vers mes amygdales. Léo restait toujours sans voix, son visage était rougi, nous percevions nettement sa respiration qui s’accélérait. C’est Jean qui est intervenu le premier :



Son visage était de plus en plus rouge. Il a hésité un instant avant de répondre :



Sur cette réponse, mon excitation a évolué vers un niveau encore supérieur. Jean s’est tourné vers moi pour me fixer droit dans les yeux : il attendait ma réponse à la question qu’il n’avait pas posée mais qui était largement sous-entendue. Ils m’ont entendue dire :



Je me suis tournée face à Léo et je lui ai demandé de s’écarter de la table tout en restant assis de façon à me laisser le champ libre. Il a fait pivoter son siège pour dégager ses jambes du dessous de la table. Je me suis mise à genoux devant lui, j’ai attrapé son maillot short de chaque côté de ses hanches pour le faire glisser jusqu’en bas de ses chevilles de façon à le retirer entièrement. Sa verge était dressée face à moi, d’une parfaite linéarité. Son gland luisait d’envie ; mes lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres de ce bâton tout excité.


Lorsque j’ai posé ma main droite sur cette tige pour entamer une masturbation, j’ai aperçu Jean qui envoyait sa main dans son short, très certainement pour pouvoir soulager son sexe très excité par la vision d’un scénario fantasmé qui, pour la première fois, se transformait en acte réel. Après quelques allers-retours de mes doigts sur cette jeune tige, j’ai approché le bout de ma langue pour la mettre en contact avec son frein, juste à la base de son gland. À cet impact, Léo a mordu sa lèvre inférieure avec ses dents pour ensuite basculer sa tête en arrière en fermant les yeux lorsque j’ai pris son sexe entièrement en bouche le plus profondément possible. J’ai fait glisser plusieurs fois sa queue au fond de ma gorge en faisant ressortir son gland de ma bouche à chaque aller-retour. Il semblait résistant face à son éjaculation ; ses couilles remplies de sperme prêt à sortir semblaient de plus en plus fermes. Bien décidée à le faire monter au septième ciel, une fois son gland repositionné dans ma bouche j’ai serré mes lèvres autour de sa tige pour la maintenir bien à l’intérieur pour ensuite masturber sa queue avec ma main, d’abord lentement puis de plus en plus énergiquement jusqu’à ce que j’obtienne satisfaction. Après avoir entendu un « Ah…. C’est trop bon… », son sperme chaud est venu s’étaler au fond de ma gorge par petits jets successifs que j’ai pris soin d’avaler de façon à ce que son sexe ressorte tout propre de ma bouche.


Pour ma part, je ne me souviens pas avoir été déjà autant excitée ; même lors de ma première nuit avec Jean, mon sexe n’avait pas réagi de la sorte. Aujourd’hui, j’étais trempée entre les cuisses et je ressentais une sorte de douleur d’excitation dans mon bas-ventre, phénomène encore inconnu jusqu’ici. Désormais, je ne souhaitais qu’une seule chose : que ce jeune homme s’introduise dans mon vagin pour me soulager. Je me suis redressée et me suis tournée vers Jean. J’ai pu le voir avec son sexe raide à la main qui lui aussi avait joui sous l’effet de sa propre masturbation. Son sperme était étalé sur le sol, devant sa chaise ; je lisais dans son regard son souhait de voir la suite…


Sans un mot, j’ai retiré mon maillot deux pièces que j’ai posé sur la table et je me suis rapprochée de Léo, toujours assis sur son siège. Tout en restant debout devant lui, j’ai posé mes fesses sur le bord de la table en écartant au mieux mes cuisses. Je ne pouvais plus attendre. Ayant bien compris que ce jeune homme ne prendrait aucune initiative, j’ai saisi sa main droite pour venir la positionner sur mon sexe. Je sentais sa main trembler sur le haut de mes cuisses. Il regardait Jean ; je devinais son malaise.



Ses doigts se sont noyés entre mes lèvres intimes. La caresse n’était pas experte, mais tout de même très agréable. Rapidement, sa main ne trembla plus. Son index décrivait des cercles autour de mon bouton ; je savais que mon passage au septième ciel était tout proche. Lorsque ses doigts sont venus pénétrer mon vagin, une chaleur intense m’a envahie le bas-ventre. Contrairement aux premières caresses sur mes lèvres, cette pénétration paraissait plus agile ; les allers-retours au fond de ma grotte étaient correctement rythmés, je gérais au mieux ma résistance à l’extase de façon à faire durer ces plaisirs le plus longtemps possible ; mais lorsqu’il a approché son visage de mon sexe pour passer sa langue sur mon clitoris, seulement trois rotations de ce bout de chair humide sur mon bouton ont été nécessaires pour me faire craquer.


Je me suis écartée pour venir m’asseoir sur un siège près de la table le temps de retrouver tous mes esprits. J’étais soulagée, mais pas complètement satisfaite. Un rapide coup d’œil vers les deux bâtons m’a permis de constater leur vigueur persistante. Jean a rompu le silence :



Juste après avoir pris le temps de boire une gorgée, Jean s’est exclamé :



Je n’attendais que ce feu vert. Pour me l’avoir souvent murmuré au creux de l’oreille lors de nos préliminaires, je savais très bien où Jean rêvait d’en venir. J’ai pris le temps de finir mon verre de jus avant de me lever pour aller m’empaler sur cette jeune tige toujours au garde-à-vous. Assise à cheval sur mon amant, j’ai commencé par onduler lentement du bassin sur cette queue qui me remplissait parfaitement ; mon clitoris était très réceptif aux frottements générés sur la base de ce bâton. De son côté, Léo restait immobile. Son visage se crispait, son sexe émettait des secousses contre mes parois vaginales, signe qu’il tentait de retenir son éjaculation.


Je ne voyais pas ce que faisait Jean qui se trouvait dans mon dos jusqu’à ce qu’il se rapproche de nous pour nous présenter sa bite tendue à hauteur de nos visages. Sans attendre, j’ai attrapé sa queue pour la faire glisser le plus profondément possible au fond de ma gorge ; Léo pouvait profiter de ce spectacle pornographique qui se déroulait à seulement quelques centimètres de son visage. J’ai ralenti mes mouvements du bassin pour mieux me concentrer sur la fellation que j’administrais à mon amour ; ses couilles étaient de plus en plus tendues : je devais stopper mes succions avant qu’il n’atteigne son point de non-retour. J’ai dégagé sa bite de ma bouche, je l’ai attrapée fermement dans ma main pour la positionner à quelques centimètres du visage de notre jeune voisin. En regardant Léo droit dans les yeux tout en poursuivant de lents mouvements de mon bassin sur sa tige, je lui ai dit :



Une nouvelle fois, son visage a pris des couleurs très vives. Il a lancé un regard vers Jean pour s’assurer de sa réaction devant ma demande ; pour réponse, Jean a posé sa main derrière la nuque de notre invité pour provoquer le contact de son gland sur ses lèvres. Léo a commencé par lécher ce sexe droit en posant sa langue sur le milieu de la tige pour la faire glisser jusqu’en haut du gland. À plusieurs reprises, il l’a léché comme s’il dégustait une glace à l’italienne en plein été, comme s’il voulait ne pas perdre une goutte de crème glacée qui coule le long du cornet. Devant ce spectacle, j’ai accéléré mes mouvements du bassin pour aboutir à mon extase. Sur ce rythme, Léo a joui quelques secondes avant moi ; sa semence chaude s’échappait de mon sexe en mouvement pour venir couler sur ses couilles. De son côté, Jean a lui aussi libéré son sperme lorsque Léo l’a pris profondément en bouche. À quelques secondes près, nous avons joui tous les trois simultanément.


Durant les jours qui ont suivi, toujours sous l’effet de l’excitation de ce que nous avons vécu ce dimanche après-midi, Jean et moi avons multiplié les rapports sexuels dans une intensité qui nous rappelait notre jeunesse. Vendredi, je me suis empressée de regarder la météo au journal télévisé du matin dans l’espoir d’y voir un soleil radieux sur notre région pour le week-end : j’avais dans l’idée d’entretenir mon bronzage intégral le dimanche suivant sous les regards indiscrets de notre cher voisin !


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Chapitre 2/2



Avec préméditation



Quelle chance de vivre dans le Sud ! En été, certains passent leur temps à se protéger du soleil ; d’autres, comme moi, espèrent sa présence au quotidien pour pourvoir entretenir un bronzage digne des nanas que l’on voit dans les revues de stars. Comme je le fais chaque week-end où j’en ai l’occasion, je me réserve un moment de détente en m’allongeant nue à l’abri des regards sur mon transat au bord de ma piscine. Enfin, quand je dis « à l’abri des regards », pas tous les regards ! Je sais maintenant que Léo connaît mes petites habitudes, et après ce que nous avons vécu ensemble, il serait malvenu de ma part de ne pas le laisser profiter de ce champ de vision qu’il a organisé en écartant quelques branchages des arbustes qui forment notre clôture commune. Pour être honnête, ayant beaucoup apprécié notre dernière relation érotique – euh… relation pornographique serait l’expression plus appropriée – j’espérais bien que notre jeune voisin serait spectateur, avec l’idée qu’il ne résisterait pas à venir voir ensuite de plus près ce qui se passe chez ses voisins.


Bingo ! Le voilà en train d’écarter à nouveau les branchages. Faisant semblant de ne rien voir, j’écarte les jambes ; je sais que cette vision va l’aider à se remémorer en détail notre aventure de dimanche dernier. Je le laisse m’observer quelques minutes avant de me redresser et me diriger dans sa direction pour l’interpeller au travers des arbustes :



Tout se déroulait comme je l’avais prévu ; j’allais pouvoir profiter à nouveau de cette jeune queue, et cette fois-ci rien que pour moi. Quelques secondes ont suffi pour que j’entende le carillon retentir. Une fois entré dans le jardin, je me suis collée à lui, j’ai glissé ma langue dans sa bouche : je n’avais pas pris le temps de goûter sa salive le week-end dernier. Toute la semaine, j’ai pensé m’en donner l’occasion lors de notre éventuelle prochaine rencontre ; voilà qui est fait.


J’étais déterminée à prendre une nouvelle fois un maximum de plaisir avec lui. Comme je ne voulais pas perdre de temps, je l’ai guidé dans notre chambre en l’entraînant par la main. Je me suis assise sur le lit ; lui est resté debout devant moi, entre mes jambes. Il me laissait faire, je prenais toutes les initiatives. Je l’ai débarrassé de son short en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, et son sexe raide qui me faisait face luisait tout autant que le week-end dernier.


Sans discussion aucune, je l’ai pris en bouche, je l’ai sucé, léché, dévoré ; je voulais qu’il jouisse dans ma bouche. En même temps que mes jeux de langue, ma main droite est venue caresser sa queue en coulissant de haut en bas de façon à simuler une chatte qui glisse sur sa tige. Mon autre main était plaquée sur mon sexe ; mes lèvres intimes étaient trempées, je pressais mon clitoris pour me soulager. Tout allait très vite. Inconsciemment, je voulais prendre un maximum de plaisir en un minimum de temps, et ce avant que Jean ne soit de retour de sa balade. Je voulais réaliser mon fantasme le plus extravagant, et c’était bien parti.


Sous cet acharnement de caresses intimes, Léo n’a pas résisté bien longtemps : une quantité non négligeable de sperme s’est déversée dans ma bouche. Je n’ai pas pu tout contenir, et une partie de son jus est venue s’étaler sur mon menton avant de s’écouler jusque sur mon cou. Je l’ai libéré et me suis essuyée avec un mouchoir en papier ; à mon grand bonheur, son sexe restait raide malgré sa jouissance.


Je me suis allongée sur le dos, jambes écartées, et lui ai demandé de venir me faire un câlin. Il s’est couché sur moi ; j’ai pris son sexe dans mes doigts pour le diriger devant mon entrée. Lorsque sa tige est arrivée en butée au fond de mon vagin, j’ai attrapé ses fesses pour le maintenir bien fermement contre moi, et j’ai alors gesticulé du bassin de façon à bien frotter mon clitoris contre sa base ; sa queue me remplissait toujours aussi parfaitement. Je me suis agitée de la sorte jusqu’à atteindre le septième ciel, ce à quoi j’ai abouti très rapidement, trop rapidement. Après avoir joui, j’ai relâché mon emprise sur ses fesses et je me suis totalement détendue ; sa queue immobile bloquée au fond de mon conduit était toujours aussi rigide.

J’ai repris mon souffle pour lui murmurer :



Tout en me souriant, il a entamé une série de va-et-vient très lents. Chaque pénétration profonde me faisait réagir par un petit cri du fait de la sensibilité de mon vagin après ma jouissance. Lorsqu’il a augmenté le rythme de ses allers-retours, je suis repartie à la recherche d’une nouvelle extase que je n’ai malheureusement pas obtenue car ce jeune homme de vingt ans n’avait pas la résistance d’un homme de 44 ans pour pouvoir faire durer le plaisir aussi longtemps que nécessaire.

Lorsqu’il s’est retiré de mon entrejambe, son sperme chaud s’est écoulé entre mes fesses.


L’ensemble de nos ébats s’est déroulé en un temps record, certainement en moins de dix minutes ; je stressais à l’idée de voir Jean nous surprendre dans la chambre. Tout en m’essuyant les fesses pour nettoyer ce sperme, j’ai demandé à Léo de bien vouloir rentrer chez lui, lui expliquant que je préférais que Jean ne sache rien de ce que nous venions de faire ensemble, même si je pensais qu’il aurait été excité de savoir que sa femme avait joui dans les bras d’un autre à son insu.


Sans discuter, Léo a attrapé son short pour se rhabiller, et je vous laisse imaginer ma stupeur lorsque j’entendis la voix de Jean qui entrait dans la chambre :



Je ne sais pas lequel de nous deux entre Léo et moi avait le visage le plus rouge de honte.



Tout en se déshabillant, Jean questionnait notre jeune voisin :



Il est vrai que j’en ai souvent rêvé ; j’ai souvent fantasmé sur un tel acte sexuel avec le désir de découvrir la sensation que procure une double pénétration.


Jean s’est allongé sur le dos ; son sexe bandé restait bien droit en direction du plafond : j’en ai déduit qu’il souhait me prendre par-devant pour laisser mon petit trou à la disposition de Léo. Je me suis allongée sur Jean en faisant pénétrer sa tige dressée au plus profond de mon ventre. Léo restait debout, immobile, à côté du lit, sans savoir ce qu’il devait faire, dans l’attente d’une directive de notre part.



Je suis restée immobile, allongée, empalée sur la queue de Jean. Mon anneau s’est d’abord contracté sous les premiers coups de langue pas très agiles pour ensuite se détendre lentement lorsque la caresse est devenue plus douce et plus humide. La salive de Léo déposée en quantité sur mon anus s’écoulait lentement sur les couilles de Jean après s’être frayé un chemin sur mes lèvres intimes. Ayant constaté que ce liquide salivaire avait atteint ses boules, Jean en a déduit une lubrification suffisante.



Jean a écarté mes fesses avec ses mains pour rendre plus accessible mon intimité. Léo s’est installé entre nos jambes, en appui sur ses bras et ses genoux. D’une main, il a placé son gland au bord de mon petit trou avant d’exercer une légère pression sur mon anneau ; le passage du gland a été légèrement douloureux, mais une fois mon orifice dilaté, sa tige a pu glisser assez loin dans mes entrailles. Jean a commencé à s’agiter dans mon vagin et Léo tentait de le suivre en rythme ; les déplacements étaient plus faciles pour lui de par sa position dans mon dos.


Rapidement, sous leurs mouvements synchronisés, des frissons de plaisir se sont installés au niveau de ma gorge pour s’éparpiller jusque sur ma poitrine. Je vivais une sensation extrêmement agréable ; je n’avais pas imaginé que l’on puisse prendre autant de plaisir avec un tel acte sexuel. Les deux queues se sont frottées de longues minutes l’une contre l’autre au travers de ma fine paroi pour finalement libérer leur jus dans chacun de mes orifices.


Après cet épisode, Léo nous a quittés complètement exténué par l’après-midi que nous lui avons offert.

Jean m’a ensuite décrit le plaisir qu’il a pris en percevant le frottement de la queue de Léo contre la sienne au travers de ma paroi ; et moi, je n’espérais qu’une seule chose : que dimanche prochain le soleil brille autant qu’aujourd’hui !