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n° 17488Fiche technique26857 caractères26857
Temps de lecture estimé : 16 mn
27/07/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Ce soir, je me fais beaucoup de souci : je vais encore passer une soirée à la con car mon copain du moment a invité ses potes chez moi à venir voir ces stupides matchs de tennis à la télévision !
Critères:  fhhh extracon voir exhib jeu aliments humour
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Set et match


Juste une petite histoire pour le fun, légère comme une mini-jupe sous le vent coquin…





Ce soir, je me fais beaucoup de souci ; je pense que je vais encore passer une soirée à la con, car mon copain du moment a invité ses potes chez moi à venir voir ces stupides matches de tennis à la télévision ! Mais quelle idée que de regarder pendant des heures deux gugusses qui se renvoient des balles à grands coups de « Han ! » comme s’ils défonçaient des chattes ou des culs en folie ? Bon, que des hommes matent des femmes en jupette en train de jouer à la baballe, je peux encore le comprendre, mais deux bonshommes ! Et pourtant, ces mâles qui squattent mon canapé ne sont pas des gays ! Enfin, pas aux dernières nouvelles…


Tennis, non ! Pénis, oui !


Si seulement Marc (mon copain du moment) avait invité ses copains chez lui ! Non, c’est chez moi que tout ce petit monde est venu. Bon, je veux bien lui accorder que mon appartement possède un salon-salle à manger plus vaste, mais il aurait pu me le demander plutôt que de pratiquer la politique du fait accompli. Je me disais bien que l’invitation de mercredi au restaurant ainsi que le bouquet de roses, ça cachait quelque chose !


Bon, ils ne sont pas venus les mains vides : ils ont apporté des pizzas toutes chaudes et diverses boissons bien fraîches. C’est toujours ça de pris. L’un d’entre eux, Daniel (Dan pour les intimes), est même venu avec un petit bouquet de fleurs à mon intention. Du coup, je n’ai trop rien dit, pas même un petit soupir…


Un peu plus tôt, mon Marc tout musculaté se dandinait sur place :



Résultat, je me retrouve avec quatre hommes devant la télé. Bon, je reconnais que je ne perds pas trop au change : Marc est le plus frêle des adeptes de la gonflette présents dans le salon, et pourtant mon copain fait largement envie à mes copines ! Les trois autres sont des sacrés morceaux dans leur genre, et moi, à côté de ces montagnes de testostérone, je ressemble à une vulgaire allumette rachitique !


Et pourtant j’ai quelques formes !


Tiens, en parlant d’allumette, j’ai bien envie de vous les enflammer à ma façon ! Parce que dix minutes de « Han ! » à l’écran, accompagnés de « chtouk-chtôk », ça va bien un moment, mais ça va faire presque deux heures que mes messieurs "muscles" sont plantés en débardeurs moulants devant la télé et que ça commence à me travailler !


Tennis, non ! Pénis, oui !


Mon prénom à moi, c’est Dorothée. Mais très vite, mon entourage m’a baptisée Alizée (ça rime), car en effet, j’ai un certain air de ressemblance avec la chanteuse de « Moi, Lolita ». Quelque part, c’est assez flatteur. Il arrive souvent que des personnes découvrent mon vrai prénom après bien des mois ou des années. Avec cette ressemblance, je reconnais ne pas avoir trop de problèmes pour mettre un homme dans mon lit quand je me sens seulette ou quand il fait frisquet !


J’ai rencontré Marc il y a maintenant trois mois, dans une soirée un peu « spéciale », dirons-nous. Comment dire… « love and peace » ; surtout le love… Ce type de soirée où les corps s’exaltent. Vous m’aurez comprise. Tout ça pour dire que mon homme n’est pas du genre jaloux ; il est plutôt du genre partageur et partagé. Moi, un peu moins, mais vu les circonstances de notre rencontre, j’aurais du mal à exiger de lui un comportement de grenouille de bénitier. Et puis, j’avoue sans détour que j’adore le sport en chambre avec un sportif !


Ah, on dirait que c’est la pause publicitaire ! Ça tombe à pic ! Ces quatre mâles musclés comme pas possible, suintant de testostérone dans mon salon, tous ces « Han ! » équivoques, mon homme qui s’y prend à la dernière minute, tout ça, ça a un prix. Ils vont payer, et pas plus tard que maintenant, avec la taxe, la surtaxe et les intérêts ! Na !


À présent, je prépare la rampe de lancement de mon Scud à partir de la cuisine dans laquelle je suis depuis quelques minutes. Je lance à la cantonade :



Aussitôt, j’entends au moins trois voix me répondre à l’unisson :



J’en déduis donc que mes hommes sont majoritairement pour mon gâteau. Avec un sourire un peu pervers, j’appuie sur le gros bouton rouge « Ignition », et trois secondes plus tard, gâteau en main, j’arrive sereinement dans le salon :



Vous avez déjà vu quatre paires d’yeux graaands écarquillés ? Vous avez déjà vu quatre bouches laaargement ouvertes ? Vous avez déjà vu quatre chapiteaux se mettre illico en action dans des pantalons ou des shorts ? Le tout dans un silence étonnant, si on fait abstraction des pubs insipides qui passent en sourdine sur la télé.


Moi, oui !


Faut dire que j’ai mis le paquet ! Pas le même que je distingue chez ces messieurs, mais un truc assez efficace, un fantasme absolu d’homme : la cuisinière sexy uniquement habillée d’un petit tablier assez fin, voire presque transparent ! Pour faire un peu vêtue, j’ai quand même mis des chaussures rouges à talons aiguilles, des bas noirs, et pendant que j’y étais, un petit porte-jarretelles de la plus belle espèce !


Ah oui, j’oubliais : sur mon petit riquiqui tablier blanc, dessinés en gros caractères bien rouges, il est écrit « Mangez-moi ».


Mon Scud à moi !


Toujours dans un relatif grand silence, je pose mon gâteau sur la table basse, dévoilant un peu plus un certain décolleté dans lequel s’engouffrent aussitôt quatre paires d’yeux particulièrement brûlants. Si nous étions dans une pièce gelée en hiver, nous serions illico sous les tropiques !


Alors que je commence à couper le gâteau, mon sein gauche en profite pour jouer les évadés, s’échappant de mon tablier riquiqui. Je sens que la température augmente d’un cran, agrémentée de quelques raclements de gorge ! Je me redresse pour demander :



Mais aucune réponse : ils sont nettement absorbés par ma petite personne, et surtout par mon petit sein qui prend l’air. Patiente, je redemande :



J’adresse à tout ce petit monde un large sourire :



Et je me retourne, dévoilant mon dos particulièrement dénudé, avec juste la ficelle du tablier qui ceinture ma taille, révélant mes petites fesses bien encadrées par le porte-jarretelles et mes jambes gainées de bas noirs. Et dans le claquement de mes talons aiguilles, je m’éloigne vers la cuisine. Aux divers raclements de gorge que j’entends derrière moi, je suis plutôt fière de mon effet ! J’en ai confirmation au moment où je franchis la porte de la cuisine.



De la cuisine où je suis, j’entends comme un remue-ménage. Puis la voix de mon homme retentit :



Un certain silence se fait alors entendre…



Et s’ensuit un grand éclat de rire ! Bon, on ne peut pas tout avoir dans la vie ; ils sont balèzes et mignons, mais pour certains, la matière grise n’est pas à la hauteur. Sauf Daniel (rebaptisé « Dan » par tout le monde ou presque) : j’avais déjà repéré qu’il avait un certain bagage intellectuel, mais aussi dans le pantalon ! Richard (dit « Riri ») est très gentil mais parfois un peu benêt. Quant à Mickael (« Maïkeul »), c’est le libidineux du groupe, spécialiste de l’allusion grassouillette et souvent du calembour tellement foireux qu’on ne peut pas s’empêcher de rire, tellement c’est con ! Quant à Marc, mon homme, c’est un autre Richard, avec un peu plus de jugeote quand même. Il est très gentil, adorable, mais parfois épuisant ! Par contre, je ne me plains pas du tout quand il m’épuise au lit !


Quittant la cuisine, je me décide à replonger dans l’arène, pot de crème fraîche en main. Je suis accueillie par des bravos, des hourras et autres marques évidentes de satisfaction. Mon homme me regarde curieusement, se demandant sûrement jusqu’où tout ceci ira.


Alors que je m’agenouille devant la table basse où est posé le gâteau, Richard demande ingénument :



Faussement candide, je demande à Mickael :



Et tout le monde de s’esclaffer ! Je sens que ce ne sera pas une soirée littéraire, mais plutôt bonne franquette, même si c’est en train de suivre un chemin pas très balisé ! Richard, qui est encore un peu en retard sur le topo, revient à la charge :



Je sers Mickael qui me remercie. Étrangement, il n’a rien dit de spécial alors que je m’attendais à quelques propos égrillards. Puis c’est le tour de Richard qui ne sait pas trop où poser son regard. Durant ce temps, Daniel est en train de loucher sur mon téton qui est toujours évadé de dessous de mon tablier. Je me propose de lui donner sa part :



C’est alors que Daniel surprend tout le monde en annonçant tranquillement :



Les trois autres hommes le regardent avec étonnement. Lui, il ne se démonte pas :



Et joignant le geste à la parole, je dépose une noisette de crème toute blanche sur mon téton tout rose. Puis j’attends la suite. Marc me regarde d’un air de plus en plus étrange. Moi, je me demande si Dan osera ou pas. Aux visages qui sont face à moi, je suppose que les hommes se posent aussi la même question.



Sans hésiter, bouche ouverte, il plonge vers mon sein pointé, puis ses lèvres se referment délicatement sur mon téton maculé de crème. C’est avec une grande douceur qu’il me suce, qu’il joue de la langue autour de ma pointe érigée ; ça me fait bien des choses ! Puis après un baiser appuyé, il se rassoit dans le canapé, comme si de rien n’était, si ce n’est un remerciement :



Et les autres de le regarder avec des yeux ronds. Même Marc n’en revient pas ! Quelque chose me dit que je suis sur une pente très savonneuse et que le danger est venu de la personne dont je me méfiais finalement le moins. Daniel a toujours été très correct avec moi, sachant parler de tout et de rien, sans arrière-pensées. Je m’entends très bien avec lui. Je découvre qu’il est capable de beaucoup plus de choses que je n’aurais cru !



Avec un calme imperturbable, Dan a déjà fini la moitié de sa part tandis que les autres sont toujours en train de le regarder de leurs yeux constamment ronds. Je vois très bien les pensées qui s’agitent sous le crâne de Mickael : il doit penser qu’il aurait dû oser faire la même chose. Richard, lui, est tout simplement ébahi et ravi ; un sourire crétin est largement dessiné sur son visage. Quant à mon homme, il semble prendre du recul et s’amuser de la situation. Faut pas que je compte sur lui pour reprendre la situation en main, il est du genre à se laisser porter par les événements !


Bref, je me demande bien comment tout ceci va tourner, car la situation devient de plus en plus glissante ! Et ce que Dan ajoute n’arrange pas la pente :



Que répondre à ça, surtout dit avec un si gentil sourire ? Alors je révèle mon autre sein et je dépose à nouveau une noisette de crème toute blanche sur mon téton tout rose. Aussitôt, Dan se penche dessus et recommence son petit travail de léchage tout en subtilité, le tout sous le regard très attentif des autres hommes. Au visage de certains, je devine sans problème qu’ils aimeraient bien être à sa place ! Tout en les observant, je me demande, au passage, pourquoi ils ne franchissent pas le pas.


J’aurais parlé à voix haute que ça n’aurait pas été différent, car tout de suite après, tous les hommes réclament la même chose, y compris le mien. C’est bien la première fois que mes tétons sont autant sucés, léchés, croqués ! Mais pas désagréable du tout !


Je me laisse faire, docile, bras relevés, mains derrière la tête, mes petits seins bien en évidence et tendus vers les bouches avides.



Et ils s’enhardissent plus encore ! Ces quatre hommes excités m’entourent, m’interdisant toute retraite. Je me dis que j’y ai été un peu fort, mais que la tournure des événements n’est pas trop pour me déplaire ! Des regards lubriques déshabillent le peu que je cache, puis des mains caressantes se posent sur moi, lentement, doucement. Elles se glissent sous mon tablier qui est un bien mince rempart contre tous ces désirs que je ressens distinctement. Un peu tremblante, je commence à me douter de ce qui va m’arriver, des événements qui vont suivre… Moi, faible femme, si frêle, une poupée fragile, face à ces quatre hardis culturistes aux muscles saillants !


Gros plan circulaire sur les visages des hommes attisés, puis sur le mien, aux yeux brillants, à la bouche entrouverte… C’est alors que l’image se fige sur un gros « À suivre », puis qu’apparaît le générique.



C’est Hervé, mon compagnon, qui vient de lâcher cette interjection. Il n’en croit pas ses yeux, comme collé face à l’écran ; puis, les yeux grands écarquillés, il se tourne vers moi :



Il hoche trois-quatre fois la tête avant de saisir la télécommande pour couper la télé, tout en maugréant :



Enfin… presque… pour couper court, car mon compagnon me regarde plutôt d’un drôle d’air. Tout en me dirigeant vers la télé, je reprends aussitôt :



Tandis que je reprends la clé USB sur laquelle la production a mis le pilote provisoire, je tords un peu le nez :



Mon cher et tendre compagnon n’a pas à savoir certains détails ; mais comme je pense que le pilote et la série trouveront preneur… Néanmoins, Hervé revient à la charge :



Je passe mes bras autour de son cou. Il râle toujours, mais moins :



Je le fais taire par un bisou bien appuyé. Vu comment il répond à mon baiser, quelque chose me dit que ça va se terminer sous la couette dans peu de temps, sans parler du fait qu’il bande dur de chez dur !


Ça ne sera peut-être pas la couette, car il vient de me jeter dans le canapé. Et il m’a l’air plutôt en forme, prêt à me faire le grand jeu. Il n’y a pas à dire, mais titiller l’instinct de possession de son homme, ça a du bon ! En faible femme que je suis, je me laisse faire ; j’aime bien qu’on me désire de la sorte. Et mon Hervé est en train de me prouver qu’il me désire énormément !


Sans trop préambule, il se vautre sur moi et commence à vouloir me violer purement et simplement, la queue bien raide et prête à aller visiter le fin fond de ma chatte détrempée ! Il ne lui faut pas bien longtemps pour trouver mon entrée et me pistonner sans vergogne, sans chichis ni circonvolutions : du sexe pur et dur, à la sauvage !


À son expression, je vois bien qu’il n’est pas loin de tout lâcher en moi, et de voir ça m’excite à un point extrême ! Faut dire que le pilote m’a bien chauffée, et surtout la suite, car mon Hervé ne sait pas tout, loin de là ! En attendant, je profite de ses coups de boutoir en moi, de son désir pour ma petite personne, de cette frénésie qui nous emporte.


Même si je ne boude aucunement mon plaisir, je sens confusément que le « désiromètre » d’aujourd’hui est moins élevé qu’une certaine fois ; mais c’est compréhensible, vu les circonstances ! Je ferme les yeux et je me souviens…


Parce que quatre hommes qui vous désirent, ça vous fait vraiment quelque chose ! Surtout quand ils sont plutôt bien musclés, plutôt beaux et gaulés ! Il est vrai qu’on choisit rarement les acteurs masculins parmi les plus moches… Quant à l’intelligence, on demande rarement aux hommes qui vous baisent d’avoir le QI d’Einstein.


Les quatre corps m’entourent, me caressant incongrument de leurs queues bien tendues. Puis des mains se posent sur ma peau et câlinent mon corps. Les yeux fermés, je me laisse faire ; c’est si bon ! Puis des lèvres m’embrassent çà et là ; je frissonne d’aise !


Lentement, mes bras se tendent, mes mains frôlent des mandrins tout doux. Mes doigts capturent ces tiges de chair chaude.


Que c’est délicieux de les avoir ainsi en main, gonflées de désir !


Que c’est délicieux d’oser les taquiner du bout de la langue tandis que ces mâles me caressent, embrassent et embrasent ma peau de leurs baisers brûlants !


Que c’est délicieux de les posséder entre mes lèvres mouillées et avides, de les deviner palpiter sous ma langue agile et vorace !


Que c’est délicieux de les sentir décharger dans ma bouche, d’avoir tout ce bon sperme qui glisse au fond de ma gorge tel un sucre d’orge !



À l’évocation de ce souvenir, je décolle dans un orgasme d’enfer ! Avec plein d’étoiles partout, partout ! Peu importe si Hervé pense actuellement qu’il est un dieu du sexe ; moi, j’ai découvert quelque chose de formidable, d’extra ! Et je pense que je remettrai souvent le couvert, car le sexe à plusieurs, c’est comme les chamallows : quand on met son nez dedans, on ne peut plus s’arrêter !


Et comme je l’ai plusieurs fois répété, en long, en large, et en travers lors de ce fameux tournage : « Tennis, non ! Pénis, oui ! » Et la prochaine fois, je ne me contenterai pas que d’offrir ma bouche…


Vivement le tournage des prochains épisodes !