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Trans TGV

J’avais pris le TGV pour Nantes. J’étais parti très tôt de Lyon et j’avais réservé une place en première classe autant pour mon confort que pour pouvoir travailler un peu au calme avant ma réunion prévue en début d’après-midi. Je ne sais pourquoi, mais ce jour-là il y avait peu de monde dans le train ; dans ma voiture, il y avait juste un couple de retraités ainsi qu’une jeune femme Black. C’est elle, du reste, qui attira mon regard. Son visage était rayonnant, et je ne pus m’empêcher d’admirer la forme généreuse de ses seins lorsqu’elle se leva pour enlever son manteau.

Le TGV partit à l’heure prévue. Finalement, j’étais content qu’il n’y ait que peu de monde dans cette voiture ; j’allais pouvoir bénéficier du calme nécessaire pour me reposer et travailler. Je jetai un nouveau coup d’œil en direction des retraités qui semblaient déjà vouloir dormir, puis vers la jeune Black. Nos regards se croisèrent, et je fus pris d’un trouble car celle-ci me regardait assez fixement avec un léger sourire qui me mit légèrement mal à l’aise ; cette femme était bien trop belle et trop jeune pour s’intéresser à un mec comme moi, ce que je regrettai amèrement.

Pour me changer les idées et ne plus penser à elle – mais aussi pour me détendre –, je pris mon journal. Mais au bout de quelques minutes, je réalisai que j’étais incapable de fixer mon attention sur les mots imprimés auxquels j’étais incapable d’attribuer un sens. J’étais irrésistiblement attiré par cette magnifique Black, et très vite j’eus envie de regarder à nouveau dans sa direction. De nouveau, nos regards se croisèrent. Cette fois-ci, son sourire était encore plus net et engageant. Par réflexe, je lui fis moi aussi un sourire avant d’essayer de me replonger dans mon journal, avec des idées un peu troubles.

Nous fûmes contrôlés très vite après le départ du TGV, et j’entendis les deux contrôleurs faire quelques remarques un peu lourdes et sexistes lors du contrôle du billet de la superbe créature. Comme pour réprouver cette attitude, je fis un geste de la tête dans sa direction ; elle me répondit à nouveau par un charmant sourire.

J’étais de nouveau plongé dans les nouvelles du jour lorsque je sentis une présence proche de moi. Je levai les yeux : cette sublime Black était là, juste devant moi. Elle se pencha pour me glisser à l’oreille :

• — Je vais me refaire une beauté ; j’espère que les toilettes de la première classe sont assez spacieuses… Non ?

Elle me fit un petit clin d’œil complice puis partit lentement en se déhanchant à m’en faire perdre mes moyens, tellement ses fesses étaient sublimes et sa démarche sensuelle. Les battements de mon cœur se mirent à accélérer. Dans ma tête, j’essayais de jauger la situation.

« C’est clair : elle vient de me faire une avance ; et son message sur les toilettes… Une invitation ? » Je regardais justement en direction des WC ; elle venait de fermer la porte après avoir jeté un dernier coup d’œil dans ma direction. « Allez, courage… », me dis-je. Je me levai sans trop savoir où tout ceci pourrait me mener ; mais bon… Quelques pas, et je me suis retrouvé, hésitant, devant la porte des toilettes. « Que faire ? Frapper, au risque de me prendre un vent ? Attendre ? Dans ce cas, autant retourner à ma place. » Je n’eus toutefois pas le temps d’imaginer une autre alternative car la porte s’ouvrit, et le visage de la jolie Black apparut, accompagné de ces quelques mots :

• — Ben viens, mon chou…

Me voilà dans les toilettes. Malgré la place relativement importante, j’étais assez proche d’elle. De près, elle était encore plus belle, dégageant quelque chose que je n’arrivais pas à définir.

• — Alors, coquin… dit-elle en s’approchant de moi, t’as envie de t’amuser ?

Et elle plaqua sa main contre mon sexe qui commençait à durcir dans mon pantalon, puis elle se colla à moi et me prit les mains pour toucher ses seins tout en me décochant un baiser à pleine bouche. J’étais sur un nuage ! Ma queue toute dure et tendue commençait à me faire mal, à l’étroit dans mon pantalon de costume. Elle dut le deviner car elle se mit à genoux, baissa mon pantalon puis mon boxer, et prit aussitôt en bouche mon sexe tendu de désir.

• — Hummmmm… fit-elle en prenant ma queue au fond de sa bouche, bel engin ! Miammm…

C’était une superbe pipeuse ; jamais on ne m’avait sucé en prenant en entier ma queue pourtant épaisse et assez grosse. Je fermai les yeux et me laissai aller.

J’allais presque jouir après quelques minutes de ce charmant supplice quand elle se releva. Elle plaqua à nouveau son corps contre moi et nous échangeâmes un baiser où nos langues jouaient entre elles. C’est à cet instant-là que quelque chose me gêna : je sentis quelque chose de gros et dur contre mon sexe… Comprenant ma gêne, elle prit alors une de mes mains et la plaqua sur son entrejambe.

• — Moi aussi j’ai un gros joujou comme toi ! rit-elle alors que ma main venait de se poser sur une queue.

J’étais tellement surpris mais aussi excité que je ne retirai pas ma main de son sexe. Elle posa sa main sur le haut de ma tête et fit un léger mouvement pour que je m’agenouille. Mon cœur battait fort… La curiosité fut plus forte que tout. Lorsque j’arrivai au niveau de son entrejambe, elle souleva sa robe et baissa son string. Une queue raide et très longue jaillit devant moi ; son gland était anormalement gonflé, et il pointait vers ma bouche.

• — Suce mon bâton de réglisse, mon beau ; tu vas aimer… dit-elle en approchant ma bouche de sa queue.

J’ouvris la bouche et je sentis la chaleur de sa queue y entrer. J’avais déjà sucé des mecs, mais jamais une trans, et jamais une bite aussi épaisse et grosse.

• — Hum, tu suces bien, mon beau, dit-elle en accompagnant mes mouvements de va-et-vient avec sa main sur ma tête. T’aurais envie de mon gros clito dans ton petit cul, ou tu veux me mettre ta queue dans mon trou ? Avec moi, c’est au choix ! Hum, relève-toi ; j’ai la bite bien raide maintenant, comme la tienne. Alors, on fait quoi ?

Je ne dis rien, mais je n’arrêtai pas de branler sa grosse queue qui m’excitait.

• — Hi ! Ouiii, je crois que j’ai compris, mon beau : tu as envie de sentir mon gros bâton dans ton petit cul ; les mecs mariés adorent, en principe. Allez, retourne-toi et tiens-toi au lavabo : tu vas la sentir passer ! dit-elle alors que je me mettais en position. Ouvre bien ton cul, mon beau ; je ne voudrais pas te déchirer ton joli trou.

À présent, l’énorme gland butait contre ma rondelle.

• — Humm, joli trou ; ouiiiii, écarte bien… dit-elle en poussant son gland pour forcer le passage.

Je sentis alors ma rondelle s’écarter et céder. L’énorme gland me dilatait au maximum, traçant ainsi le chemin pour faciliter la pénétration. Je sentis mon anus se remplir de l’énorme queue.

• — Laisse-toi faire ; je vais bien te travailler le trou, mon beau… Hummm, ça rentre bien ! Encore quelques centimètres et tu auras mes 25 centimètres au fond.

J’avais le cul bien dilaté et la sensation qu’il était rempli jusqu’au bout. Les premiers va-et-vient furent un peu douloureux ; sa grosse queue avait encore du mal à faire son passage dans mon trou encore étroit.

• — Humm, j’adore les petits culs serrés comme le tien, mon chou… dit-elle en me limant de plus en plus vite.

Levant les yeux, je vis son visage souriant. D’une main, elle souleva son haut, me laissant entrevoir sa belle poitrine. Je trouvais terriblement excitant de voir ce visage et ce corps de femme tout en étant baisé par sa queue bien réelle et virile. Chaque coup de bite me secouait les entrailles ; j’étais littéralement défoncé par cette Black mi-femme, mi-homme.

Je gémissais de plaisir, et mon sexe étant devenu lui aussi dur, je me branlais d’une main tout en me tenant de l’autre au lavabo pour ne pas perdre l’équilibre.

• — Hummmmm, je vais jouir, mon beau ; trop bien, ton cul bien ouvert ! dit-elle alors qu’au fond de mon trou je sentis soudain un liquide chaud et abondant m’inonder.

Elle se retira rapidement après avoir joui et se mit à genoux en me demandant de me retourner. Sa sublime bouche prit mon sexe dans sa totalité ; j’étais au bord de l’explosion Quelques secondes plus tard je jouissais dans sa bouche. Elle continua à me sucer jusqu’à ce que j’aie fini de me vider en elle en totalité, pour mon plus grand plaisir.

Chacun remit en ordre ses vêtements, puis nous reprîmes nos places respectives, épuisés par cette séance de sexe improbable et si intense. Je regardai machinalement le couple de personnes âgées paisiblement endormi lors de nos ébats ; juste avant que je ne détourne mon regard, je vis le papy soulever une paupière et me faire un clin d’œil. Le coquin !