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n° 17491Fiche technique14822 caractères14822
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Temps de lecture estimé : 11 mn
28/07/16
Résumé:  C'est avec les vieilles marmites qu'on fait la meilleure soupe... mais avec ma jeune carotte.
Critères:  fh fplusag jeunes oncletante gros(ses) groscul laid(e)s piscine magasin douche voir fellation init -prememois
Auteur : Rainbow37      Envoi mini-message
Tante Sarah et moi

Moi, c’est Florent. Le bac en poche, j’ai emménagé depuis quelques semaines chez ma tante Sarah à La Rochelle. L’occasion pour mes parents d’économiser un loyer en échange d’une petite pension pour Sarah, le deal étant pour moi de tenir le magasin en cas de besoin. La quarantaine (bien) passée, ma tante Sarah vivait seule dans un appartement avec deux chambres au-dessus de sa boutique de souvenirs. Brune avec une coupe au carré, timide, voire réservée, elle n’a pas eu d’homme dans sa vie depuis un bail, surtout depuis qu’elle a pris quelques kilos avec l’âge, passant de plantureuse à boulotte.


Au cœur de l’été, il fait bon vivre à La Rochelle, surtout pour un jeune mâle qui veut croquer la vie… et plus encore les filles. Tout le long du Vieux-Port, de jeunes et jolies touristes, étudiantes, serveuses… Oubliée ma petite copine et nos premières expériences malheureuses ; c’est l’endroit parfait pour passer au cran supérieur dans ma relation avec la gent féminine. Dans l’esprit de mes parents, j’allais étudier l’Histoire, mais en réalité, libéré du carcan familial, je comptais bien profiter de la vie pendant un an.


Malheureusement, dormir le jour, bader à la plage en fin d’après-midi et traîner dans les bars le soir, ça ne pouvait pas durer éternellement. C’est au détour de l’escalier qui descend à la boutique que mes grands projets se sont heurtés aux réalités de la vie d’une petite commerçante. Prenant soin de m’écarter du gros popotin de Sarah qui remontait à l’appartement après la fermeture, celle-ci se retourna pour me demander :



Elle avait fait mouche, et ça faisait mal ; mes parents y allaient moins fort à la maison.



Remontant l’escalier, serrant les mâchoires, je prends soin de ne pas croiser son regard. J’ai passé le reste de la soirée dans ma chambre sur un jeu vidéo, à rager contre cette vieille peau.



*****




Le lendemain matin, je la rejoins dans la cuisine pour manger un morceau avant d’ouvrir le magasin. Tante Sarah boit son café, lève les yeux, et souriant elle me lance un :



J’ai mal dormi, je suis à cran, il en faudra pas beaucoup plus pour démarrer une belle engueulade. J’attends le bon moment ; elle termine sa tasse, je la scrute. Elle prend une clope. Je suis prêt à vomir un tas d’insultes. Elle allume sa clope. Je vais lui sauter à la gorge ! Elle s’étire sur le dossier de sa chaise en tirant une latte, et je… suis désarmé par les deux grosses mamelles pendantes, moulées par sa chemise de nuit. Derrière l’ogresse se cache donc une femme !


Une forte érection me sort de mes pensées, et je me rapproche prestement de la table pour masquer la bosse de mon caleçon. J’étudie la composition chimique de mes céréales pour ne croiser ni son regard, ni sa poitrine. Loué soit le carbonate de calcium ! Ne voyant pas mon petit manège, elle se lève pour aller à la douche ; je ne peux m’empêcher de regarder ses grosses cuisses en lâchant un soupir.


Je retrouve ma tante en bas un peu plus tard pour qu’elle m’enseigne grossièrement ce qu’elle attend de moi. Je finis par m’asseoir devant la caisse pour qu’elle m’en explique les rudiments. Debout derrière moi, elle me pose une main sur une épaule et se rapproche de l’autre. Ma concentration est mise à mal lorsqu’elle se penche en avant, collant un sein contre mon dos. Même prisonnière d’un soutif, sa poitrine me transporte à nouveau dans un état de béatitude. Je joue à faire durer le plaisir en lui posant un max de questions et en bougeant un peu pour profiter du frottement. Je hume son parfum quand elle m’abandonne… Et merde, je fantasme sur ma tante Sarah ! Je suis vraiment un loser !


Le reste de la journée est insipide ; j’ai vendu des assiettes décoratives à des mamies, des cartes postales aux touristes allemands, des caramels au beurre salé… À la fermeture, j’ai pas demandé mon reste à tante Sarah. Direction le Vieux-Port pour boire une mousse en terrasse et mater des p’tits culs.



*****




Aujourd’hui, c’est samedi ; j’ai hâte de retrouver mes céréales, et surtout les gros lolos de tante Sarah. Malheureusement, celle-ci n’est pas dans la cuisine : elle est déjà dans la boutique pour préparer la plus grosse journée de la semaine, une sale journée en perspective pour un glandeur. Et comme prévu, on n’a pas vu le jour. Pire encore, comme il y a toujours des clients à la fermeture, elle me demande de finir seul, le temps qu’elle s’absente pour récupérer je ne sais quoi. Je me sens exploité ; bientôt elle m’enverra à la cave confectionner des contrefaçons ! Je torche vite fait les derniers clients pour éteindre la lumière et apposer la pancarte « Fermé » sur la porte. Enfin !


Ruiné, j’ai même pas envie de sortir ni de manger ; juste dormir… Je clôture vite ma caisse lorsque j’entends le carillon d’entrée du magasin. Une tête passe la porte et me dévisage.



La gaillarde m’écarte du passage et monte à l’appartement comme si elle était chez elle. Taillée comme ma tante, avec moins de poitrine, mais en plus vulgaire et grande gueule, les cheveux attachés d’un blond douteux, quelques rougeurs sur le visage, quel engin ! Je ferme la porte et je la retrouve dans le salon avec un verre à la main. Elle me regarde, éclate de rire et me lance :



Effaré, je tourne les talons en direction de mon pieu pendant que l’autre malade glousse. Ma tante est rentrée un peu plus tard ; elle m’a doucement sorti de ma torpeur pour me dire de rester au lit demain dimanche, me laissant la journée.



*****




La boutique est fermée le lundi, mais j’ai pas envie de traîner au lit. Je retrouve Sarah en chemise de nuit dans la cuisine pour mon nouveau spectacle préféré.



Tante Sarah pensait m’avoir appâté avec son argument, mais je voulais surtout la voir en maillot de bain, et si possible prendre quelques photos en toute discrétion.

Nous avons rejoint Caroline et sa voiture un peu plus tard pour un trajet pénible de bavardages entre vieilles. Sur place, je constate que la baraque est vraiment énorme. Nous posons nos affaires au bord de la piscine, et je tombe des nues quand ma tante se sort un spliff qu’elles vont partager en savourant la moindre taf. Je commençais à me déshabiller quand Caroline questionne tante Sarah :



J’avais du mal à suivre…



Sur ce, Caroline nous éclabousse en sautant dans l’eau, a priori déjà à poil, en criant :



La journée s’annonçait encore mieux que je pouvais l’espérer. Puis ce fut à mon tour de me jeter à l’eau. Toujours aussi boulet et hilare, Caroline hurle, pendant que ma tante essaie de la tempérer :



Dans l’eau, la fofolle tente aussitôt de me faire boire la tasse, et sans aucune distance physique, on n’arrête pas de se chercher et de s’éclabousser pendant une bonne demi-heure.


Saoulée par notre vacarme, ma tante nous dit qu’elle veut sortir pour aller bronzer avec un bouquin. J’accélère aussitôt pour quitter le bassin avant elle et je saute sur une chaise longue, en prenant soin de masquer ma demi-molle avec une serviette en boule sur mon sexe. Mais Caro contrecarre mes plans en sortant juste devant elle pour lui lancer une serviette. J’ai même pas vu le moindre téton ! Par bonheur, le portable de tante Sarah tombe quand elle prend ses affaires, ce qui l’oblige à se pencher en avant pour le ramasser, m’offrant la vision de sa belle et grosse croupe. Je sens monter une belle érection…


Mais Caro, serviette autour de la poitrine, me gâche à nouveau ce sublime instant en se postant devant moi. Ma tante partie de l’autre côté du bâtiment, l’autre me toise…



Elle lève une jambe et appuie son pied sur ma serviette.



Je lui fais non de la tête. Alors elle prend ma serviette et la jette plus loin, laissant apparaître mon membre gonflé.



Sans me laisser continuer, elle prend alors mes poignets et les plaque sur le haut de la chaise longue, puis m’enjambe. Ma surprise et son autorité m’enlèvent toute résistance. Doucement, elle descend le bassin ; ses cuisses qui s’ouvrent écartent sa serviette et je vois sa fourrure brune plonger vers ma queue. Puis, sans me quitter du regard et mordant sa lèvre du bas, elle s’empale lentement au point que je ressens le moindre millimètre de chair rosée qui coulisse sur mon chibre.


En bout de course, elle me dit :



Elle commence alors à s’activer sur mon sexe en poussant de petits râles. Je tente de contenir mon excitation qui est déjà proche du point de rupture ; j’ai les joues et les oreilles qui me brûlent, je peine à trouver de l’oxygène, j’ai les couilles prêtes à se vider. Caro comprend que je ne vais pas tenir le coup, alors elle accélère le mouvement. Très vite, je me déverse en elle, qui se marre et relâche son étreinte. Elle me tapote ensuite la joue en me demandant :



Elle s’enlève et contemple ma queue démotivée et souillée. Passant d’abord une main sur mes bourses – sensation divine – elle plonge cette fois sa bouche vers mon sexe pour le nettoyer. Censée clore nos ébats, sa caresse buccale me revigore, mais Caroline se relève trop vite…



Je reste seul étendu sur ma chaise longue. La tension est retombée, à l’inverse de mon sexe qui reste dressé après la petite gâterie finale. Je réalise finalement que j’ai pris mon pied comme jamais, mais c’est sans doute pas le cas de Caro, et j’ai envie de prolonger ce moment le plus longtemps possible. Je me décide donc à la rejoindre.


D’une porte entrouverte s’échappe de la vapeur d’eau ; elle est forcément là. J’entre dans la salle de bain et je la trouve immobile sous le jet d’eau. Avec les parois en verre, je la vois, mais elle ne m’entend pas jusqu’au moment où j’ouvre la cabine de douche. Je constate à son sourire qu’elle a déjà compris.


Cette fois, je veux diriger la manœuvre. Je la tourne et la plaque contre le verre frais de la cabine, je lui mange le cou et caresse sa vulve en même temps. Sa main descend vers mon sexe et l’amène à l’entrée de son bijou. Elle se cambre pour mieux s’ouvrir à moi, et je replonge en elle. Cette fois, je ne ressens pas la moindre résistance : juste un va-et-vient entrecoupé de nos cris de plaisir et de ses fesses mouillées qui claquent sur mon pubis au rythme de mes coups de reins. Comme je résiste mieux à l’excitation, je ne ménage pas Caro et elle en redemande avec sa main contre ma fesse qui m’attire au plus profond de son corps. Je me paye même le luxe d’écarteler son cul pour mater son anneau plissé. L’idée d’y mettre un doigt m’excite encore plus. Du coup, j’augmente encore la cadence, et elle monte dans les aigus. J’accompagne son râle de jouissance et je m’écroule à moitié sur elle. Elle se retourne et me dit « merci ».


Quelques heures plus tôt, j’étais prêt à la baffer ; désormais, nos langues s’emmêlent. On se lave l’un l’autre puis on sort de la douche. Je suis épuisé, mais bienheureux. J’ouvre la porte de la salle de bain… et je tombe sur tante Sarah, les bras croisés, le regard noir.



Dans la voiture, j’avais le visage fermé comme les autres, mais intérieurement je baignais dans une euphorie totale. De retour à la maison, j’étais prêt à faire mes valises, mais finalement ma tante était pas très nette dans cette histoire, et je la voyais mal expliquer certains détails à mes parents. J’ai finalement pris une grosse bordée, et ça n’a pas été plus loin.


Je pense que je vais me plaire chez tante Sarah à La Rochelle…