Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17492Fiche technique27376 caractères27376
Temps de lecture estimé : 16 mn
28/07/16
Résumé:  Une initiation inattendue.
Critères:  fh fplusag fête anniversai intermast fellation cunnilingu pénétratio init -prememois -inithf
Auteur : William 2  (Le récit d'une aventure inattendue)
L'initiation

Sophie, ou l’initiation surprise



Nathalie était une amie de classe de longue date ; nous avions fréquenté le même banc d’école, puis quelques classes au collège.

Pour son dix-huitième anniversaire, elle m’avait invité à une fête qu’elle organisait chez elle. Elle habitait avec son petit frère et sa mère une grande maison au milieu de la campagne un peu à l’écart, une ancienne ferme qui avait été transformée en habitation principale. De cet ancien passé laborieux ne restaient que de vieilles dépendances.


Le jour venu, beaucoup d’entre nous avaient été déposés par leurs parents ; nous devions rester sur place pour la nuit et repartir le lendemain. Me voilà donc chez Nathalie, un petit cadeau dans une main et un bouquet de roses rouges pour la maîtresse des lieux dans l’autre. Je les avais choisies parce que je les avais trouvées très belles, tout simplement. À cette époque, le langage des fleurs n’évoquait pas grand-chose pour moi.

J’offris donc son cadeau à Nathalie et le bouquet à sa mère qui sembla fort surprise et me remercia vivement ; peut-être y avait-elle vu un message. Les roses rouges lui avaient peut-être fait penser à un désir que je lui exprimais de façon détournée.


La fête dura jusqu’à ce que la mère de Nathalie envoie toute la troupe au lit. Il était une heure du matin ; tout le monde se dispersa en protestant. Nathalie et les filles avaient regroupé des matelas sur le sol dans un grand garage vide, une espèce de dortoir improvisé que quelques garçons auraient bien volontiers partagé, mais la mère de Nathalie veillait au grain : les garçons avaient été priés de se répartir dans la maison.


Nous étions deux à rester pour la nuit. Le petit frère avait regagné sa chambre. David, un camarade, avait investi le canapé et moi une pièce dans le grenier qui servait sans doute à la famille de passage. À l’étage sur le palier, il y avait la porte du grenier, la porte de la chambre de Nathalie, celle de sa mère et la salle de bain.


J’étais couché depuis un moment quand j’entendis au travers de la cloison la douche qui coulait ; sans doute la mère de Nathalie, Sophie, une petite brune avec de longs cheveux bruns bouclés qui descendaient en cascade jusqu’à ses hanches, des yeux marron clair, une fine bouche, toujours perchée sur des talons hauts pour gagner quelques centimètres, ce qui affinait ses mollets et allongeait sa silhouette. Au cours de la soirée, elle portait un petit haut légèrement décolleté mais très sage qui dissimulait une petite poitrine, et un jean qui moulait subtilement ses fesses. Une tenue détendue mais tout en retenue, à l’image de cette femme sage.


L’eau de la douche s’arrêta. Ensuite, quelques bruits étouffés perçaient la cloison de temps à autre. Que faisait-elle ?

Bientôt, le calme envahit les lieux. Je commençais à m’assoupir.


Le grincement léger de la porte me tira un peu de ma torpeur ; était-ce un rêve ? Une silhouette se tenait devant moi au pied du lit. Avant de comprendre ce qu’il se passait, je vis la silhouette s’approcher. Je distinguais maintenant Sophie ; elle portait une nuisette noire satinée qui reflétait la lumière de la lune au travers des volets. La finesse du tissu laissait deviner ses courbes ; la peau blanche de ses seins apparaissait au travers de la dentelle sur sa poitrine. Ses jambes étaient nues, et une culotte noire assortie remontant sur ses hanches étirait ses cuisses.


Je la trouvai très sensuelle et troublante, bien qu’elle fût plus âgée que moi. Que voulait-elle ? Que se passait-il ?


Elle s’approcha encore, et tandis qu’elle posait son doigt sur sa bouche pour que je garde le silence, elle monta sur le lit. Elle m’enjamba, s’assit sur mes cuisses et posa ses mains sur mon torse. Cette situation était tellement inattendue que je ne pouvais plus bouger et ne savais pas comment réagir. Je sentis ses mains si douces remonter jusqu’à mes épaules. Elle prit appui, et doucement son visage s’approcha du mien. Elle déposa sur mes lèvres un baiser si délicat que je fus paralysé. Pourquoi cette femme était là, grimpée sur moi et m’embrassait ? Je n’avais rien fait pour cela ; je n’avais même pas imaginé que cela puisse arriver. Pourtant, elle était bien là, et elle m’embrassait encore de plus en plus passionnément.


Après quelques baisers fougueux que maintenant je partageais, elle se redressa, prit mes poignets dans ses mains, qu’elle posa sur son ventre. Délicatement, elle fit glisser mes mains sur sa peau en remontant vers sa poitrine. Sa peau était lisse et fraîche. Je ne tardai pas à sentir la naissance de ses seins. Ces sommets furent bien vite conquis et recouverts de mes mains. Je compris bien plus tard que ce que je sentais dur dans mes paumes était ses tétons qui pointaient.


Sophie tenait toujours mes poignets et mes mains sur ses seins, mais maintenant je sentais un mouvement léger de son bassin sur mon sexe ; j’avais une érection de forcené et je n’arrivais toujours pas à croire ce qui se passait. Ses mouvements devenaient de plus en plus amples et appuyés, et mon excitation grandissait de plus en plus. Sophie finit par lâcher mes mains et, d’un geste naturel, se débarrassa de sa nuisette. Elle apparaissait maintenant à mes yeux dans toute sa beauté. Elle était légèrement bronzée, et ses seins blancs se dessinaient en contraste. Ils étaient petits mais avec de belles courbes, dressés et fermes, avec de grandes aréoles au milieu desquelles pointaient fièrement ses tétons durcis par l’excitation.


Sophie décrivait maintenant des cercles en frottant son sexe sur mon membre ; elle balança ses bras en arrière et attrapa mes genoux. Elle était maintenant cambrée et m’offrait une vision qui affolait mes sens. Je sortis de ma passivité et me risquai à caresser ses seins ; la douceur de sa peau et la fermeté de ses tétons dans le creux de mes mains me troublaient comme jamais.


Sophie quitta la position. Elle se releva, repoussa la couverture et le drap, puis s’allongea à côté de moi. Sous ses mains expertes, je fus rapidement nu. Ses mains prirent possession de mon sexe. Elles le caressaient, l’agaçaient ; j’étais tellement tendu que je ne tardai pas à jouir.

J’étais désolé de n’avoir pu me retenir plus longtemps. Je lui dis que c’était ma première fois, que j’étais tellement surpris et excité par cette situation que je n’avais pas pu me contrôler.


Sophie fut très compréhensive. Elle me rassura et me proposa de prendre les choses en mains, de me guider, ce que j’acceptai sans hésitation. Elle reprit vite ses caresses et je durcis de nouveau. Arrivée à ses fins, elle s’allongea sur le ventre et me demanda de caresser son dos. J’en profitai pour y déposer des baisers, ce qu’elle sembla apprécier. Je descendis sur ses fesses ; elles étaient rondes, avec une merveilleuse vallée en leur centre. Je les embrassai aussi. Elle me demanda de continuer et de prendre mon temps ; je m’exécutai.


Je ne sais combien de temps avait duré cet aparté quand Sophie décida d’y mettre fin. Elle se retourna et me demanda de recommencer. Je la touchais avec fébrilité, n’osant pas trop m’aventurer vers son intimité. Au bout de quelque temps, pour m’encourager elle ouvrit largement ses cuisses ; son sexe m’apparut sous un léger duvet de poils. Je glissai une main de son ventre vers cette terre inconnue. Elle était chaude et tout humide. Je glissai du haut vers le bas un doigt rapidement happé par ses lèvres entrouvertes. Ses lèvres s’ouvraient de plus en plus, Sophie était de plus en plus mouillée. Elle saisit ma main et me guida à l’entrée de sa caverne. Choisissant un doigt, elle me fit comprendre qu’il était temps de partir explorer cette partie de sa belle anatomie. J’allais et venais doucement en elle ; son excitation était intense, et la mienne à son comble. Ce qu’elle était belle ainsi offerte, les yeux fermés !

Je m’enhardis et glissai un deuxième doigt qui entra lui aussi sans effort.


Je fouillais doucement son intimité, encouragé par ses mouvements de hanches. Le corps de Sophie ondulait au diapason de mes incursions. Bientôt de petits gémissements s’échappèrent de sa bouche entrouverte, puis les gémissements devinrent de plus en plus forts. Tout à coup, elle serra très fort ses cuisses sur ma main. Elle étouffa un long gémissement tandis que son corps se cambrait, et elle saisit le drap en le serrant fortement dans ses mains.

Après quelques instants, elle libéra son étreinte ; je dégageai ma main.


Reprenant ses esprits, elle me sourit. Elle se releva, m’allongea et se remit à califourchon sur moi comme lorsqu’elle frottait son sexe contre le mien, mais cette fois nous étions nus et je sentais la chaleur de son sexe qui frottait contre le mien. Se relevant légèrement, elle saisit mon membre avec une main et le plaça juste à l’entrée entre ses lèvres largement ouvertes. Doucement, elle descendit le long de mon sexe qui pénétra en elle. Quelle sensation ! Elle descendit jusqu’à m’avaler complètement en elle jusqu’à ce qu’elle soit assise sur moi. Alors commença un délicieux et lent va-et-vient. J’étais en elle, elle me prenait en elle, elle dirigeait les mouvements, elle contrôlait. Cette situation était tellement excitante…


Maintenant, ses mains étaient sur mon torse. Elle accéléra la cadence en faisant de tout petits mouvements, puis bientôt elle allait et venait sur toute la longueur de mon sexe ; ses seins se balançaient en cadence, ses tétons étaient durs et tendus. J’étais si excité que j’arrivai vite au bord de l’explosion ; mon sexe était pris de convulsions. Sophie stoppa net.


Elle se pencha sur moi et m’invita à embrasser ses seins. Je m’exécutai du mieux possible ; allant de ses tétons aux contours de sa poitrine, je suivais ses courbes au hasard, revenais vers ses tétons. Je les trouvais si excitants ! J’eus soudain très envie de les lécher, ce que je fis avec insistance. Sophie finit par se relever, me privant ainsi de ses délicieuses collines.


Elle reprit ses va-et-vient de façon très insistante ; ses seins ballotaient de nouveau. Le plaisir monta très vite en moi ; j’essayai de me retenir, mais l’excitation était trop forte. N’y tenant plus, je jouis en elle. Elle continua ses mouvements et je sentis son sexe se serrer autour du mien. Elle prit le mien tout en elle et resta plantée dessus. Je sentais qu’elle me serrait toujours en elle, figée.


Elle s’étala sur moi, la tête sur mon épaule. Sa respiration était rapide ; elle était visiblement essoufflée. Je la serrai dans mes bras. Quel moment inoubliable ! Je me sentais si vivant, si heureux grâce à cette femme. J’étais maintenant beaucoup plus à l’aise, et naturellement je me mis à caresser son dos puis ses fesses.


Après ce temps de repos, Sophie quitta mon étreinte et s’allongea de toute sa longueur, les bras au-dessus de sa tête. Dans cette position, ses seins étaient remontés et beaucoup plus ronds. Elle était tellement attirante… Je me tournai vers elle et m’approchai de ses seins que je me remis à embrasser. Ses tétons se remirent à durcir. Je les titillai, je les aspirai délicatement, je les léchai. Sophie se laissait faire ; apparemment, elle appréciait cette initiative, me laissant passer d’un sein à l’autre. Puis je décidai de descendre sur son ventre et ses hanches, où je m’attardai avec lenteur. Cette situation dura jusqu’à ce que Sophie saisisse ma tête entre ses mains et m’attire entre ses jambes. Sous sa légère toison, son sexe était épanoui. J’embrassai l’intérieur de ses cuisses qui étaient d’une douceur extrême, mais je ne savais comment satisfaire son envie. Qu’attendait-elle de moi ?


Je me décidai à embrasser son sexe. Sophie m’encourageait à continuer, ce que je fis avec application, puis elle réclama ma langue. J’étais d’abord hésitant et sûrement maladroit. Sophie exprimait parfois son plaisir, me poussant à continuer le même attouchement. Son sexe était chaud et tellement mouillé que je devais de temps à autre avaler. Les premières fois ne furent pas mémorables, mais je finis par apprécier le goût de son excitation.


Moi aussi je sentais entre mes jambes mon excitation grandissante et bien présente, maintenant. Je quittai son sexe en remontant sur son ventre vers ses seins et partis à l’ascension de ces monts. Le sommet atteint, je m’attardai encore sur ses tétons que je ne me lassais pas de voir tendus et fermes. Mon corps allongé sur le sien, il me suffit d’un petit mouvement du bassin pour que mon sexe entre en contact avec le sien, puis un autre petit mouvement pour le plaquer au sien. L’envie de la pénétrer était à présent trop forte. Après quelques tentatives, je trouvai l’accès à son trésor. Je m’enfonçai avec délice dans ce fourreau qui m’accueillait avec bienveillance.


J’avais bien l’intention de faire durer cette union, et je m’employai avec douceur. Avec de longs et lents mouvements de va-et-vient, je glissais en elle. Sophie était toute à moi, et ce sentiment me troublait profondément. Je m’imprégnais de son odeur, de sa douceur, de sa nonchalance, des mouvements délicats de son corps en réponse à mes assauts. La raison faisait de plus en plus place à la passion, une passion charnelle irrésistible.


J’accentuai les mouvements, plus vite, plus fort. Je ne pouvais plus me contrôler ; je la prenais sans retenue, avec force. Rapidement, le point de non-retour fut atteint. Je n’étais plus moi-même, seul le désir m’animait. Je sentais mon sexe battre en elle, l’explosion était imminente. J’essayai de me retenir, en vain, et je finis par jouir en elle. Sophie enroula ses jambes autour de mon bassin pour me garder en elle, et je m’écroulai sur son corps, la tête entre ses seins, secoué par les spasmes de mon sexe.


Je restai gisant sur elle, essoufflé, désorienté. Les mains de Sophie parcouraient mes cheveux, et je reprenais mes esprits peu à peu. Je me sentais si bien contre son corps si apaisé ; cette situation était arrivée si vite. C’était si surprenant que cette femme, une vraie femme avec un corps de femme, soit là sous moi, qu’elle soit venue me rejoindre à ma grande surprise. Qu’elle se soit offerte à moi. Pourquoi m’avait-elle choisi, malgré mon inexpérience ? En tout cas, elle était là, sa peau contre ma peau, et je ne voulais pas que cela s’arrête.


Il était temps malgré tout de la laisser respirer elle aussi. Je me séparai de son corps pour m’allonger à ses côtés ; elle en profita pour se coller à moi, ses seins sur mon torse, sa tête dans mon cou, une jambe entre mes cuisses. Je posai mes mains sur elle et l’enlaçai.


Le matin à mon réveil, j’étais seul : Sophie avait disparu. Je me levai et descendis, guidé par les voix qui montaient du rez-de-chaussée ; les amis étaient là autour de la table du déjeuner. Sophie apparut. Elle avait revêtu sa tenue de femme sage, et ses cheveux étaient attachés. Me voyant, elle me sourit. Est-ce que j’avais rêvé ?


Au cours de la matinée, chacun partit tour à tour. Sophie était parfaite dans son rôle de maîtresse de maison ; elle était bien loin du rôle de la maîtresse nocturne qu’elle avait si bien joué ! Bientôt ce fut l’heure pour moi. Je remerciai Nathalie pour son invitation et sa mère pour son accueil. En sortant de la maison, d’un regard en arrière je vis Sophie. Je lui souris ; elle répondit par un clin d’œil. Ce n’était donc pas le fruit de mon imagination : les événements de cette nuit avaient vraiment existé !


________________________



Presque deux ans s’étaient écoulés ; la poursuite de nos études nous avait éloignés, Nathalie et moi, et je n’avais plus de nouvelles de Sophie. Ce fut par hasard que je la croisai en ville un après-midi d’été. Je l’abordai. Elle fut surprise. J’essayai d’entamer la conversation ; malheureusement, elle avait un rendez-vous et ne pouvait s’attarder. J’étais vraiment déçu. Sophie me proposa de passer la voir chez elle un de ces soirs, puis elle fila rapidement. En la regardant s’éloigner, de nombreuses images me revinrent à l’esprit : ses seins blancs, sa peau douce, son ventre, la chaleur de ses cuisses, la douceur de ses caresses, nos étreintes, le goût de ses lèvres…


Depuis que j’avais passé mon permis de conduire et que je disposais d’un véhicule, la vie était différente. Un soir, à la demande de Sophie, je pris le chemin de sa maison. Au dernier virage, j’hésitai. Quelle attitude adopter ? Comment allait-elle m’accueillir ? Et arriver sans prévenir n’était pas forcément une bonne idée. Je rebroussai chemin jusqu’au premier village, m’arrêtai à une cabine téléphonique pour l’appeler. J’entendis la voix de Sophie ; elle était au bout du fil. Je lui dis que si elle était toujours d’accord je pouvais venir la voir ; elle accepta.


En arrivant au bout du chemin menant à sa maison, je trouvai la grille ouverte. J’entrai et me garai dans la cour. Je frappai à la porte ; Sophie m’ouvrit. Elle avait détaché ses cheveux et portait une robe légère en cette fin de soirée d’été ; je remarquai qu’elle était pieds nus. Elle m’invita à entrer. Je me sentais un peu gêné et empoté ; comment ne pas me montrer maladroit ? Elle s’approcha et m’embrassa sur la joue, me glissant à l’oreille qu’elle m’avait connu moins timide. Que comprendre de cette réflexion ?


Assise dans le jardin avec un verre à la main, Sophie me questionnait sur ma vie, ce que j’avais fait depuis la soirée d’anniversaire de Nathalie. Je faisais de même, un peu surpris de ne pas trouver Nathalie ici pendant les vacances. Elle était partie avec son père et son frère en camping. De toute la soirée je n’osai pas parler de la nuit que nous avions passée ensemble.


La soirée se poursuivit dans cette étrange atmosphère comme si rien ne s’était passé. Sophie finit par me demander si je pensais à elle de temps en temps ; je répondis que, bien évidemment, elle était bien présente et que jamais je ne pourrais oublier cette nuit en sa compagnie. Elle changea de conversation rapidement et nous avons continué à parler jusqu’à la tombée de la nuit. Il était temps de partir ; je quittai Sophie avec bien des difficultés. Je lui demandai si je pouvais revenir la voir ; elle me répondit qu’elle espérait que je n’attendrais pas deux ans et qu’elle pourrait peut-être encore m’apprendre quelques petites choses. Je pense que la rougeur de mon visage a dû trahir ma gêne.


Il y avait près de chez mes parents un plan d’eau que la commune avait aménagé et qui était devenu un point de rencontre des jeunes des alentours et des familles le week-end. Un après-midi, j’y étais avec un ami. Il regardait les filles près de nous en essayant d’attirer leur attention bien lourdement. Je les regardais aussi ; elles étaient plutôt mignonnes, mais que pouvais-je attendre d’elles ? Que pouvaient-elles m’offrir, moi qui avais connu mes premières sensations dans les bras d’une vraie femme ? Je me sentais en décalage.


Le soir même j’appelai Sophie et je passai la voir. À table dans le jardin, je lui racontai l’épisode de l’après-midi et ce que j’avais ressenti en voyant ces filles qui ne pouvaient pas soutenir la comparaison avec elle. Elle sourit largement, se leva et me prit par la main, m’invitant à la suivre. Elle entra dans la maison, se dirigea vers le canapé et me fit m’y asseoir. Elle s’est approchée, s’est assise sur moi en me chevauchant, a mis ses bras autour de mon cou, a approché sa bouche de la mienne et y a déposé un long et tendre baiser.


Je retrouvai le goût de ses lèvres. Son corps contre le mien, je la pris dans mes bras. Nous avons échangé encore quelques longs baisers, de plus en plus fougueux. Le désir m’envahissait très vite ; je la voulais nue encore une fois. Je passai mes mains pour caresser son dos. Elle retira rapidement les boutons de ma chemisette. Je fis tomber les bretelles de sa robe, laissant apparaître son soutien-gorge de dentelle noire. Quelle troublante vision ! Je l’attirai contre moi et glissai ma bouche entre ses seins.


Comme elle m’avait manqué ! Je me délectais de sa peau et de la vallée qui se dessinait entre ses seins. Elle fit glisser sa robe sur son ventre, décrocha son soutien-gorge et libéra ses seins qui étaient tout pointés. Je pris ses tétons entre mes lèvres, les suçai, les aspirai et les titillai avec ma langue. Je descendis mes mains sur ses fesses, et bien vite sous sa robe. L’excitation allait grandissant. Je passai une main dans sa culotte pour caresser ses fesses et le merveilleux sillon en leur centre. Sophie ondulait sur mon sexe qui était dur comme jamais. Je lui dis que j’avais très envie d’elle.


Elle se leva, prétextant qu’elle voulait vérifier. À genoux entre mes jambes, elle ôta mon pantalon, et bien vite ce fut le tour de mon slip, libérant mon sexe qui pointait maintenant fièrement. Ses mains entreprirent des caresses délicieuses ; les paumes de ses mains effleuraient mon gland rougi et sensible. Ses doigts couraient tout le long de ma verge jusqu’aux testicules qu’elle pressait avec délicatesse. Je fermai les yeux, profitant pleinement de cette douce torture. Puis les sensations furent tout autres le long de mon membre, et mon gland fut comme entouré d’une douceur nouvelle. Je regardai Sophie. Elle était entre mes jambes, et lentement sa bouche aspirait mon sexe en elle. Elle allait et venait lentement le long de membre tendu et alternait de savants jeux de langue.


Elle était tellement sexy… Sa bouche et sa langue expertes me transportaient vers le plaisir. J’étais si excité que chaque coup de langue augmentait mon plaisir de façon incroyable. Je ne pouvais plus résister à ce traitement, j’allais jouir. Sophie s’en aperçut certainement car elle prit mon gland entre deux doigts, et en le serrant fermement elle lécha toute la longueur de mon pénis du bout de sa langue. J’explosai sans retenue plusieurs fois, dispersant ma semence sur mon ventre.


Sophie était debout devant moi. Elle me proposa sa douche ; je ramassai mes affaires et montai dans la salle de bain. Pendant que je me rinçais, elle passa et ramassa mes vêtements puis sortit de la salle de bain. Je sortis de la douche, m’essuyai et mis la serviette autour de ma taille. Je sortais de la salle de bain quand Sophie m’appela. Elle avait laissé la porte du grenier ouverte. Sur le même lit de nos premiers ébats, elle était là, allongée, complètement nue, et me priait de la rejoindre.


Je m’allongeai à ses côtés, désireux de la caresser, mais elle avait autre chose en tête ; elle se tourna sur le ventre et me demanda si j’aimais ses fesses. Évidemment que j’aimais ses fesses, ses fesses rondes et douces, et ce sillon si attirant ! Je répondis que je rêvais souvent de ses fesses. Alors je fus invité à les caresser puis les embrasser, ce que je fis sans compter. Avec ma langue je glissais entre ses fesses, escaladant les collines et dévalant de nouveau dans ce vallon.


Sophie appréciait ces attentions : elle me le faisait bien comprendre par ses ronronnements de chatte. Ses fesses s’étaient écartées, et maintenant le vallon était beaucoup plus large et profond. Quel spectacle troublant que ce merveilleux petit cul offert à ma vue sans pudeur !


Elle décida qu’il était temps de passer à autre chose. Se plaçant à quatre pattes, elle me demanda de la prendre ; elle voulait me sentir en elle. Je ne pouvais ni ne voulais la faire attendre… Accompagnant d’une main mon sexe à l’entrée de son orifice entrouvert, je m’introduisis en elle. Cette position était très excitante ; la vision de son petit cul que je pénétrais me faisait beaucoup d’effet. Sophie aimait visiblement cette pratique puisqu’elle ne tarda pas à envoyer son bassin à la rencontre de mon sexe chaque fois que j’entrais en elle. Elle était de plus en plus mouillée ; mon sexe entrait de plus en plus facilement et profondément.


Elle gémissait doucement. Je resserrai mon étreinte, la tenant maintenant fermement par les hanches. Je la prenais de plus en plus hardiment, encouragé par les petits cris qu’elle laissait s’échapper. Elle plongea la tête dans l’oreiller, encore plus cambrée, et son sexe entièrement offert à ma vue. Elle était encore plus ouverte et ma pénétration était encore plus profonde. Elle étouffait ses cris dans l’oreiller ; j’étais hors de moi, incontrôlable, comme fou. Mon pubis claquait ses fesses à chaque pénétration. La situation n’était plus sensuelle, mais charnelle, puissante, une tornade qui allait tout emporter sur son passage.


Je regardais mon sexe entrer en elle ; elle m’avalait avec tant de facilité… Ses fesses tressautaient à chaque coup que je martelais. Je me remplissais de la vision de ses fesses blanches qui ballotaient, bien ouvertes, me laissant voir à présent au plus profond du vallon. C’est alors qu’en bas de ce vallon son anus apparut. Ce fut comme un électrochoc ! Une petite rondelle légèrement plissée qui se relâchait et s’offrait à mon regard. Je ne pouvais plus tenir. Je me répandis en elle, le corps secoué par l’intensité de cette scène.


Un moment de repos plus tard, Sophie me confia qu’elle aimait beaucoup prendre du plaisir de cette manière et qu’elle trouvait cela plus excitant. J’avouai que moi aussi j’avais beaucoup aimé la pénétrer par-derrière et que la vision de son petit cul m’avait fortement excité. J’ajoutai même que la vue de son anus avait mis fin à notre échange par la décharge sensuelle qu’elle avait provoquée en moi.


Sophie avait posé sa tête sur mon épaule, son dos contre ma poitrine, une main posée sur le lit, l’autre sur mon ventre qu’elle caressait avec tendresse. Je fis de même, caressant son cou, ses épaules, ses hanches et ses seins que je ne pouvais pas me retenir de toucher. Des caresses douces et lentes que nous échangions l’un l’autre.


Sur le chemin du retour vers la maison familiale, je ressentais encore sa peau sous mes mains, son odeur ; j’entendais sa voix, ses gémissements.