n° 17499 | Fiche technique | 39135 caractères | 39135Temps de lecture estimé : 23 mn | 01/08/16 |
Résumé: Quelques dames aux bonnes intentions essaient de fourguer leurs copines à un quinquagénaire divorcé qui se trouve très bien dans sa vie de solitaire. | ||||
Critères: fh fagée extracon vacances campagne collection noculotte cunnilingu préservati pénétratio fsodo portrait | ||||
Auteur : XXL |
J’avais accepté l’invitation de Natou, ma sœur, samedi midi. Elle voulait me remercier d’avoir aidé son mari à élaguer un vieux pommier qui menaçait de s’écrouler chez le voisin. Ma frangine était une excellente cuisinière et, divorcé depuis trois ans, à cinquante-deux ans, j’aurais été bête de refuser l’occasion d’un repas raffiné. Elle avait aussi invité une copine avec qui elle faisait de l’aquagym et son époux, évidemment. Natou m’avait prévenu : pour éviter tout impair de ma part, je ne devais absolument pas parler politique à table car le mari de sa copine soutenait un candidat aux primaires et il devait même assister à un meeting, ce jour-là, en soirée.
Elle m’avait également dit de ne pas m’étonner de la grande différence d’âge entre sa copine Claire et son mari : Claire avait perdu son premier mari très tôt ; avec deux enfants en bas âge et un maigre salaire de fonctionnaire territoriale, elle n’envisageait pas un avenir serein. Le directeur de son agence bancaire – qui s’était occupé de son dossier – lui avait donc fait une proposition. Il était veuf et sans enfant. Il épousa Claire, s’occupa parfaitement de l’éducation et des études des enfants tout en se montrant un excellent époux. Maintenant, ce brave homme allant sur ses soixante-treize printemps, la différence d’âge avec son épouse de vingt ans sa cadette, devenait criante d’après ma sœur. « Alors, surtout, fais comme si de rien n’était. » avait exigé Natou.
Par un vent glacial de la mi-septembre, j’arrivai pratiquement en même temps que le couple invité chez la frangine. Quand on se débarrassa de nos doudounes d’hiver, Natou nous pria de patienter un peu car il manquait une invitée surprise : sa prof de peinture sur soie, jamais à l’heure. Le beau-frère et le monsieur âgé, très sympas, parlaient coupe d’Europe de football. Moi, je me lavai les mains avant de décortiquer un grand bol de crevettes grises pour l’apéro. Claire décida de m’aider, à condition que je l’initie à cette technique qu’elle ne connaissait pas. Elle portait un ensemble jupe et veste en jean et des collants, ou des bas, d’un vert étincelant qui mettait malencontreusement ses gros genoux en valeur. Faut dire que c’était une belle plante, la copine de Natou : grande, même avec ses mocassins plats ; un cou de première ligne de rugby avec un début de double menton ; des joues bien rondes ; une longue queue de cheval retenue par un élastique ; des hanches larges agrémentées d’énormes fesses moulées par la jupe, un peu juste pour ce gabarit. Quel cul ! Ce qui était surprenant, c’est que, vu son gabarit, sa poitrine, sous son pull à col roulé, paraissait modeste.
Je m’assis sur le canapé en posant les crevettes grises sur la table basse du salon, et Claire se plaça en face de moi, debout, pour bénéficier de ma démonstration technique. Visiblement, elle apprit très vite les astuces et s’accroupit de l’autre côté de la table, face à moi, pour être à hauteur du bol de crevettes.
Claire, complètement concentrée sur le décorticage, n’avait pas pris conscience de l’indécence de sa position : je bénéficiais d’une vue imprenable sous la jupe relevée au-dessus des genoux. Ce n’était pas des collants, mais des bas verts qu’elle portait. Les pauvres, étirés à l’extrême, enveloppaient le haut de cuisses gigantesques, mais fermes cependant. La spacieuse petite culotte, en tissu synthétique, était toute simple, bleu ciel, avec deux fins rubans de broderies blanches qui encerclaient les cuisses. Le fin tissu tendu moulait cependant parfaitement le minou de Claire : je distinguais nettement les deux renflements qui encerclaient la fente qui semblait aspirer le textile.
Quand l’invitée surprise arriva et que Natou nous la présenta, je pressentis de suite le coup monté de toutes pièces par ma frangine. Comme par hasard, sa prof de peinture était divorcée, elle avait aussi mon âge et rêvait d’habiter dans une maison avec un grand jardin très fleuri. Elle adorait les chiens.
Le problème, c’est que cette dame – au demeurant fort sympathique, intelligente et agréable à regarder – refusait de manger de la viande. Ma sœur avait donc conçu un repas de poissons pour tout le monde. En outre l’invitée – dite surprise – ne supportait pas l’exposition au soleil et encore moins les plages au sable chaud et la mer, car elle savait à peine nager. Ses vacances privilégiées consistaient à crapahuter sur des sentiers de randonnée pourris avec le sac à dos et, de préférence, dans des régions inconnues du commun des mortels.
Bref, on se quitta poliment et Natou, vexée de l’échec de sa vocation autoproclamée d’entremetteuse, jura que plus jamais elle ne s’occuperait de mon avenir sentimental.
Il faisait déjà presque noir quand on regagna nos voitures. Le mari de Claire me demanda d’avoir la gentillesse de reconduire son épouse ; c’était sur ma route et ça lui évitait un aller-retour inutile et d’arriver à l’heure au meeting de soutien à son candidat.
Comme son pavillon, plongé dans le noir, était en retrait de la route et qu’elle n’était pas très rassurée de rentrer seule chez elle, elle me demanda de l’accompagner au cas où… Après une inspection qui la rassura, je m’apprêtais à prendre congé.
Je suivis Claire dans l’escalier qui menait aux chambres. Je lui avais demandé de se débarrasser de sa jupe avant qu’elle ne monte, histoire de me motiver et de me rincer l’œil. C’était encore mieux que ce que j’avais imaginé : une gigantesque croupe ondulait à hauteur de mon visage. Il aurait été criminel de ma part d’envisager d’autre perspective que d’enfiler la copine de ma sœur en levrette, la queue bien raide noyée entre ses énormes fesses béantes.
Je me retrouvai nu dans la chambre d’amis avec Claire qui, elle, ne portait plus que ses bas. Sa chevelure abondante laissait déjà présager une foufoune bien poilue ; j’étais en dessous de la vérité… Quelle touffe ! Une toison hirsute et dense découvrant à peine son minou dodu. Assise sur le lit, ma partenaire avait décidé de commencer les hostilités en m’octroyant une fellation, ma foi fort honorable. Après s’être essuyé la bouche d’un revers de main, elle m’annonça que c’était à son tour de bénéficier de mon savoir-faire. Obéissant à ses directives, je m’adossai au lit, assis sur la moquette. Souriante, elle plaça une jambe de part et d’autre de mon corps, fléchit les jambes et frotta sa chatte sur mes lèvres au-dessus de mon visage, les cuisses bien ouvertes. Claire était visiblement en manque, car dès les premiers coups de langue elle mouilla très vite. Quand, en plus, je lui introduisis deux doigts dans la fente, elle commença à pousser des petits cris de plus en plus rapprochés. La sentant partie, j’accélérai le rythme et j’en profitai pour lui enfiler l’index de ma main inactive bien profond dans son trou du cul, en essayant de synchroniser l’ensemble. Finalement, elle poussa une espèce de long râle et mon visage fut inondé.
Claire m’essuya la bouche avec sa grande « petite culotte » avant de se frotter l’entrejambe avec la lingerie bleu ciel. Comme prévu, je la pris en levrette. Elle me tourna le dos avant de poser son buste sur le lit, la tête de profil sur un oreiller. Elle garda les pieds au sol pour m’offrir sa croupe béante, tendue vers le plafond. Elle ne reçut qu’une petite giclée, mais bon, je n’étais plus un fougueux étalon. J’avais peur de ne pas être à la hauteur, vu mon abstinence, mais le moral revint.
On se quitta bons amis, se promettant de garder le contact au cas où l’un de nous aurait une petite envie, mais pas tout de suite ; dans quelque temps…
Moi, je lui avais subtilisé discrètement dans le bac au linge sale sa grande « petite culotte » bleu ciel, imbibée de ses odeurs suaves. Ce n’était pas un trophée, mais un souvenir qui pourrait éventuellement me servir pour une petite gâterie de célibataire.
Jusqu’au printemps, notre liaison se prolongea ; un e-mail et, sans se prendre la tête, chez moi ou chez elle on se faisait une partie de jambes en l’air. Un jour, chez elle, Claire me fit la surprise de m’ouvrir la porte, perchée sur des hauts talons et simplement vêtue d’un string fuchsia et de bas. Vues de dos, ses énormes fesses séparées d’une ficelle minuscule et sa moule qui débordait, vue de derrière, de part et d’autre de la ficelle me récompensèrent de mon déplacement sous un déluge d’averses orageuses. C’est d’ailleurs ce jour-là, alors que je me rhabillais tranquillement, qu’elle m’apprit que ma sœur avait désormais un amant depuis quelques semaines. D’après Claire, Natou s’ennuyait et elle avait trouvé un mec drôle et sympa qui la comblait au lit. J’étais déjà sur le cul d’apprendre cette nouvelle, mais Claire enfonça encore plus le clou : ma frangine avait accepté que son amant la sodomise de temps en temps pour lui faire plaisir.
Devant mon air dubitatif car cette pratique ne faisait pas du tout partie de mes fantasmes, elle insista tellement que je lui promis. Après tout, pourquoi pas ? Histoire de ne pas mourir idiot ! Je supputais quand même une espèce de compétition malsaine entre Claire et ma sœur.
J’avais acheté une boîte de préservatifs, estimant que l’intrusion de mon pénis dans un anus exigeait un minimum d’hygiène. J’avais même préparé une tasse d’huile d’olive et du Sopalin pour lubrifier l’endroit, en attendant sa venue.
J’eus droit à une fellation de luxe pour me remercier de mon sacrifice après qu’elle eut avalé un verre de cognac qui, d’après elle, servirait d’anesthésiant à la douleur probable. On tomba d’accord sur le lieu et la position qui nous sembla adéquate. Claire, visiblement motivée et radieuse, posa son ventre sur l’accoudoir d’un fauteuil en cuir, plongea la tête dans le fauteuil pour la poser sur le coussin moelleux qu’elle avait sélectionné. Comme prévu, elle laissa la jambe gauche au sol et posa l’autre, un peu plus en hauteur, sur un repose-pied pour que mon intrusion soit plus aisée. C’était parti.
Je la laissai prendre une grande goulée d’air et bloquer sa respiration et, boum, l’extrémité de mon pénis était dans la place. Après trois secondes de récupération, Claire me donna le feu vert pour continuer ma progression, en douceur. Je n’avais qu’un tiers de mon membre enfoncé dans son anus qu’elle commença à geindre : c’était beaucoup plus douloureux que ce qu’elle avait prévu. Déçue de sa piètre prestation, elle me demanda de me retirer. Moi, ça m’arrangeait car j’étais bien à l’étroit dans ce canal qui refusait toute dilatation. C’était quand même étrange d’avoir un si gros postérieur et un si petit trou du cul.
Finalement, mon intuition était la bonne : c’était bien pour montrer à ma sœur qu’elle n’était pas plus cruche qu’elle que Claire avait voulu l’imiter car elle exigea que je jouisse dans son fondement avant de m’échapper de son orifice anal. J’étais certain que lors de leur prochaine séance d’aquagym, Claire se ferait un plaisir de dévoiler à Natou qu’elle avait aussi un amant et qu’elle aussi s’était fait sodomiser…
Au printemps, Claire m’informa que nos relations devaient malheureusement prendre fin mais qu’on resterait bons copains : son vieux mari avait fait un début d’AVC et elle culpabilisait un maximum. Comme si son infidélité – qui n’était pourtant que purement physique – y était pour quelque chose !
Le printemps arriva, et il fallait impérativement que je m’attaque aux travaux, dans mon jardin. Édith, ma voisine, avait eu la même idée. Je la sentais soucieuse et, pendant la petite pause qu’on s’octroya, elle m’expliqua que c’était l’avenir de son unique petit-fils, Benjamin, qui la perturbait.
Benjamin venait de prendre conscience que le master de chimie qu’il terminait ne déboucherait pas facilement sur un emploi à la hauteur de ses espérances. Il voulait continuer pour obtenir une thèse, mais ça faisait encore trois ans d’études, et de gros problèmes financiers allaient se poser. Anne, sa mère, bien qu’ayant un salaire modeste, n’avait pas eu droit à une bourse pour les études de son fils. En plus, elle payait un loyer astronomique pour son petit appartement en ville. Le père de Benjamin avait reconnu légalement sa progéniture, mais il n’avait pas eu le courage de divorcer pour épouser Anne. Les ponts étaient rompus depuis quinze ans : pas d’espoir financier à espérer de ce côté ! Anne avait donc fortement suggéré à son fils de passer, en parallèle avec son master, les concours des écoles d’ingénieur chimiste. Édith me demanda ce que j’en pensais. Je trouvai l’idée de sa fille très pertinente ; Édith aussi.
Quand on avait emménagé, mon épouse et moi, dans la maison qui jouxtait la sienne, il y a vingt-huit ans, Édith nous avait accueillis avec chaleur. On avait tout de suite sympathisé et nous étions devenus de grands amis, bien qu’Édith fût d’une dizaine d’années notre aînée. C’était une femme intelligente qui aurait dû trouver un meilleur emploi que celui d’ouvrière dans une usine textile, mais elle nous l’avait avoué, Édith avait toujours eu horreur de l’école. Son mari, lui, était un sombre crétin ; et encore, je suis indulgent ! Paix à son âme, puisqu’il nous avait quittés il y a une dizaine d’années.
Édith arrêta de jardiner quand l’horloge de l’église martela ses onze coups. Elle devait prendre une douche et se faire belle car son copain l’emmenait au restaurant comme tous les mercredis. Sa liaison durait depuis un an, discrète ; ses deux filles n’étaient pas encore au courant. Elle était dans sa soixante-troisième année, mais Édith restait encore désirable. Un peu potelée, certes, mais toujours bien maquillée et très coquette avec une coiffure à la mode : des cheveux coupés très court, teintés d’un roux flamboyant, qui se dressaient en pointes désordonnées, raidies par du gel. Il y avait quand même un bémol : Édith avait, comme on dit, du caractère ; et en plus, madame était très soupe au lait : il ne fallait pas la contredire ni lui souffler dans les naseaux, à la mamie !
Comme elle m’avait demandé gentiment de couper une branche de mon pommier qui allait faire de l’ombre à ses semis de radis, je me suis exécuté en grimpant sur mon échelle.
Je ne vis que trois secondes son buste passer devant la large fenêtre de la salle de bain, les nichons à l’air, ses seins lourds se baladant lentement dans l’espace. Les aréoles aperçues brièvement me semblèrent bien larges, et les seins un peu affaissés quand même.
Bizarrerie génétique, sa fille aînée, Anne, était totalement dépourvue de poitrine. J’avais découvert un jour, près de la machine à coudre de sa mère, son petit soutien-gorge bourré de coton hydrophile.
Quelque temps après, un samedi matin, il était 9 heures ; je m’apprêtais à finir de bêcher mon potager quand Édith me téléphona pour réparer la lampe de sa machine à coudre. C’était urgent : elle devait faire l’ourlet du nouveau jean de Benjamin, et la petite lampe commençait à clignoter de façon aléatoire, l’empêchant d’attaquer sa tâche. Lui et sa mère avaient demandé à la mamie de leur mijoter un pot-au-feu pour le repas de midi.
Puisque c’était urgent, j’emportai un sachet d’outils prévu pour les pannes électriques. Dès qu’Édith m’ouvrit, je sentis l’odeur du bouillon qui embaumait le couloir. Ma voisine était encore en pyjama, d’un jaune passé, qui avait connu des jours meilleurs. Visiblement, elle dormait sans soutien-gorge car ses seins se baladaient librement sous le tissu. Peut-être même aussi sans petite culotte ? Ajouté à ça, le fait qu’elle n’était pas maquillée et que de petites rides se dessinaient au coin des yeux avec, en plus, d’horribles savates aux pieds, on ne peut pas dire qu’Édith se présentait sous son meilleur jour.
Je commençais à déballer mes outils, les effluves d’un bouillon authentique berçant mes narines.
Elle était devenue complètement cinglée, Édith ! Je me trouvais très bien tout seul et, de toute façon, je n’aurais jamais choisi Anne pour accompagner mes vieux jours. J’avais affaire non plus à une entremetteuse comme ma sœur, mais carrément à une marieuse des siècles passés.
Je n’avais absolument pas envie de rire ; j’étais sûr qu’elle était sérieuse, mais connaissant son caractère, il fallait que je la joue en finesse pour trouver une parade ferme mais élégante à son fantasme délirant.
Édith s’avançait beaucoup car j’avais découvert sur Anne un secret, tout à fait par hasard. Il aurait occasionné, à coup sûr, un infarctus à sa mère, assez traditionaliste sur certains points. D’ailleurs j’aurais pu le lui révéler à l’instant présent pour me sortir d’affaire, mais je voulais me comporter dignement.
Je tentai donc une seconde tentative.
Je pensais avoir marqué le point décisif car elle se leva silencieusement, perturbée, pour aller dans la cuisine, vu qu’un minuteur venait de retentir. Elle fit demi-tour et me lança :
Édith croyait m’avoir cloué le bec ; mais là, je suis resté inébranlable.
Sur ce cri du cœur sincère, je la laissai éplucher les carottes et je m’occupai du mauvais contact électrique de la lampe, croyant avoir définitivement coupé l’herbe sous le pied à cette mythomane.
Grossière erreur !
Je me retournai donc vers la cuisine, furax. J’avais déjà la réplique en bouche ; tant pis pour les dégâts inévitables qui s’ensuivraient ! D’abord, c’était moi qui choisissais mes partenaires ; ensuite, je n’étais pas trop en manque ces temps-ci, et malgré l’estime que j’avais pour elle, elle me semblait un peu trop âgée à mon goût.
Enfin, c’est ce que je voulais faire… Parce qu’Édith avait déjà franchi la porte de séparation et qu’elle s’amenait, sans le haut du pyjama, les seins à l’air. Le sourire mielleux, elle inclina légèrement le buste et imprima à ses nichons un mouvement latéral qui les entraîna dans un lent balancement d’horloge suisse. J’étais un peu dépassé par les événements. Elle en profita pour se saisir de mes mains et les poser sur ses mamelles qui bougeaient encore. Elle insista lourdement pour que je vérifie que c’était bien du naturel avant de me prendre par la main et de m’entraîner vers son salon.
Elle s’assit dans un fauteuil et me tira par la ceinture pour que je lui fasse face. Édith me baissa alors le pantalon et le slip en même temps jusqu’aux chevilles et entama une fellation, sans aucun état d’âme. Je ne savais pas quoi faire. Certes, la fellation était tout à fait convenable, mais je me sentais entraîné, par lâcheté, dans une spirale irréversible.
Mon imprévisible voisine, après s’être essuyé les lèvres d’un revers de main, souleva légèrement ses fesses du fauteuil pour se débarrasser du pantalon de pyjama. Édith ne portait pas de culotte pour dormir. Elle posa ensuite chacune de ses jambes sur un accoudoir du fauteuil avant de m’inviter à lui montrer ma virilité. Elle ne voulait quand même pas vouer sa fille à un éjaculateur précoce (dixit Édith) !
Édith était persuadée avoir emporté ma décision, à tel point que, pendant que je faisais un brin de toilette dans la salle de bain alors qu’elle, complètement à poil, ajoutait des poireaux dans le bouillon, elle me fixa l’agenda de nos futures rencontres : ce serait le vendredi en fin d’après-midi, le jour où je finissais plus tôt et qui était aussi le jour où Anne revenait plus tard car elle faisait les courses du week-end.
Inutile de préciser que, dès mon retour à la maison, je passai un coup de fil à Anne. Je lui expliquai les projets fous de sa chère maman. Elle rigola, mais elle avoua qu’elle allait réfléchir car elle trouvait que c’était une hypothèse intéressante. Il ne manquait plus que ça !
J’ai été alors obligé d’employer les grands moyens : sortir le plan B, le secret qui concernait Anne, et que je n’aurais jamais osé dévoiler à sa maman… Après m’avoir écouté, elle m’a dit qu’elle avait reçu mon message 5 sur 5 et que je n’avais plus de souci à me faire.
C’était l’an dernier, mi-décembre, vers 19 heures. Un cadre sympa de ma boîte fêtait sa promotion et sa mutation au Novotel. Je vapotais sur le parking, attendant la fin des discours avant d’aller boire une coupe et me réchauffer. Anne sortit d’une chambre d’un motel situé à une dizaine de mètres. Elle était joyeuse, sa copine aussi. Elles firent quelques pas, se tenant par la main avant de se séparer en s’embrassant sur la bouche, protégées par l’obscurité, avant de regagner leurs voitures. Je n’avais pas été repéré. D’une banalité quelconque pour beaucoup, cette découverte aurait profondément choqué Édith, d’autant que l’amante de sa fille, elle la connaissait ; moi aussi, d’ailleurs : c’était quelqu’un qui s’était installé dans le village il y a six ans. La quarantaine, mariée, mère de deux enfants, c’était une des piqueuses – comme on disait dans le bourg – du cabinet médical où trois infirmières opéraient.
Le samedi soir, sur mon répondeur, il y avait un message très court d’Édith :
Édith s’était sacrifiée pour rien, mais elle ne m’en tint pas rigueur pour autant, et nos relations redevinrent normales. Le problème financier pour les études de Benjamin restait bien posé cependant. Édith proposa ainsi à son copain d’emménager chez lui ; mais, cruelle désillusion, ce dernier refusa. Il ne voulait pas entrer en conflit ouvert avec ses enfants qui voulaient que leur père reste fidèle à la mémoire de leur mère disparue. Du coup, Édith largua définitivement son ami.
Par chance, la seconde fille d’Édith, Murielle, proposa une solution : si Benjamin réussissait le concours d’entrée d’une école d’ingénieur chimiste de Lyon, il serait nourri et logé gratuitement chez sa tante, qui était aussi sa marraine. Ils habitaient à Villefranche-sur-Saône. Elle et son mari n’ayant pas eu d’enfant, Benjamin serait choyé.
On fêta la réussite de Benjamin juste avant que je ne parte en vacances.
Un séjour last minute à prix cassé, dans l’île de Rhodes. La météo était de la partie, mais la bouffe était abominable. Après deux jours, j’avais pris mes marques dans ce soi-disant 4 étoiles. Mimi vint s’installer à ma table, comme d’habitude au repas du soir. C’est elle qui me l’avait proposé. Elle avait horreur de manger seule. La quarantaine, la Daxoise était coiffeuse dans un salon. Elle avait tenu à mettre les choses au clair tout de suite : « J’ai bossé comme une dingue toute l’année pour pouvoir faire la fête et m’envoyer en l’air avec les jeunes mâles qui font les gigolos auprès des femmes seules, contre contribution financière évidemment ! » Le jeune serveur grec chargé des boissons vint s’enquérir de mes désirs dans un anglais parfait. Je lui fis donc naturellement ma commande dans la même langue.
Bien entendu, c’était Mimi qui bavait d’admiration devant ce jeune éphèbe bronzé et tatoué.
C’était la meilleure de l’année, celle-là ! Cette fois-ci, c’était moi qui devenais négociateur-entremetteur : le monde à l’envers. J’ai refusé. Mimi a insisté lourdement et m’a promis, en contrepartie, de m’indiquer une touriste française de l’hôtel qui aurait bien aimé que je m’intéresse à elle.
La négociation financière avec le serveur réalisée et le rendez-vous avec Mimi fixé, la coiffeuse, avec son charmant accent du Sud, me révéla l’identité de mon amoureuse.
J’étais rhabillé pour l’hiver ; mais bon, elle n’était quand même pas terrible, la nana !
Mon sauvetage s’était passé la veille. La Française, blonde, la cinquantaine, avait repéré mon polar en français au pied de mon bain-de-soleil et avait demandé mon intervention. Elle ne voulait pas plonger et se mouiller les cheveux frisés déjà mal en point à cause du soleil. On ne pouvait vraiment plus dire que c’était une blonde flamboyante : la couleur originelle de ses cheveux était bien ternie. Bref, je la suivis vers l’endroit où sa mère, appuyée sur sa canne le long du plan d’eau, surveillait le bijou coulé.
La dame avait les chevilles fines, mais au-dessus des genoux, les jambes, bien galbées au départ, s’élargissaient en se terminant mollement sur des anches larges et quelconques. Le maillot une-pièce, bleu marine et mouillé, collait contre ses fesses plates. Ses seins pesants pendouillaient un peu, mal soutenus par les bretelles lâches du maillot. Par contre, quand elle s’accroupit sur le bord de la piscine pour se saisir du bracelet que je lui tendais, une découverte me surprit : le tissu humide de son maillot moulait parfaitement la chatte de la rouquine. Deux renflements anormalement longs encerclaient la fente. J’avais même l’impression que le bas de sa foufoune débordait sous les cuisses, dans l’ouverture des jambes béantes.
Il était 21 heures. Dans ma chambre, je consultais mon courrier sur ma tablette quand on sonna à ma porte. C’était la blonde, en jean bleu et polo jaune, souriante.
C’était Mimi, à coup sûr, qui avait imaginé ce coup fourré, histoire de me forcer la main ; dans une bonne intention, peut-être ?
On se déshabilla calmement, chacun de son côté, et Maryse en profita pour fixer les règles du jeu : préservatif obligatoire, sodomie strictement prohibée et – plus surprenant – interdiction de toucher à ses cheveux !
J’aimais vraiment bien sa moule, comme une gousse de petits pois prête à exploser, surmontée d’un petit triangle de poils châtain clair, courts et frisés. Vu de derrière, c’était encore plus excitant : comme une langue de chair blanche, imberbe, parfaitement fendue en deux qui se balançait entre ses cuisses.
Je pris l’initiative des préliminaires, et Maryse me remercia par une fellation courte mais pleine d’ardeur. Le jour tombait, et elle insista pour voir la lune se refléter dans la mer. Je m’assis donc sur une chaise du balcon. Maryse se mit de dos, face à moi et à la mer avant de baisser le buste pour que ses bras tendus puissent s’agripper à la rambarde. Elle recula un peu jusqu’à hauteur de mon pénis avant de s’enfiler en pliant les jambes. Je n’avais rien à faire : c’est Maryse qui prit l’initiative de jouer à l’ascenseur.
Le lendemain – le jour de son départ – Maryse vint me faire ses adieux. Elle sortit son smartphone en m’annonçant qu’elle voulait montrer absolument à son mari la photo de celui qui l’avait fait cocu, histoire de laver l’humiliation qu’il lui avait fait subir. J’étais vraiment pas très chaud car la perverse me dit son désir de m’immortaliser de plain-pied et en pleine érection.
J’ai donc sauté sur l’occasion pour lui proposer un arrangement qui me semblait équitable. Bien qu’un peu perplexe et étonnée de ma proposition, elle accepta.
Je pris donc aussi mon smartphone et le mis en mode vidéo avant de la suivre dans la salle de bain. Comme convenu, elle souleva la lunette des WC avant de reculer, en marche arrière, pour se mettre debout au-dessus du siège. Quand un petit filet s’échappa de sa fente, elle fléchit les jambes et les écarta plus. Elle avait bien fait, car un puissant jet jaillit dans la seconde qui suivit. Elle refusa catégoriquement par contre que je la filme pendant qu’elle s’essuyait la moule avec une lingette humide. Va comprendre, Charles…
Comme ma maman m’avait bien élevé, je suis allé souhaiter un bon retour à Maryse et à sa mère qui attendaient, dans le hall avec d’autres, le bus qui assurait la navette vers l’aéroport.
Après les vacances, la routine reprit ses droits ; calme plat pendant deux mois. Ma sœur m’apprit que sa copine qui accompagnait son époux à l’hôpital s’était entichée du kiné polonais qui faisait la rééducation de son mari. Elle avait enfin connu le plaisir physique…
Édith avait, semble-t-il, complètement oublié son sacrifice inutile.
Faut dire qu’elle avait d’autres préoccupations. Elle s’en était confiée à moi pour que je la conseille, vu qu’elle avait juré à Benjamin que sa mère ne serait pas mise au courant.
La Saint-Sylvestre, Benjamin la passa avec maman et mamie. Le futur ingénieur en profita pour se confier à sa grand-mère adorée.
La seconde fille d’Édith avait séduit Benjamin. Elle lui apportait le petit déjeuner en nuisette ; elle se promenait régulièrement dans la maison en lingerie ; elle ne fermait jamais la porte de la salle de bain… Bref, Benjamin, qui n’était pas de marbre, s’était envoyé sa tante plusieurs fois. C’était d’une banalité évidente sauf que, maintenant, le mari assistait aux ébats de son épouse et y prenait beaucoup de plaisir. En fait, Édith pensait que Benjamin s’était fait rouler dans la farine car le couple était complice. L’épouse faisait d’une pierre deux coups : elle faisait plaisir à son mari et elle s’envoyait en l’air avec un jeune sportif bien membré.
Édith se sentait, pour le moins, dépassée par les événements, mais je n’avais aucun conseil qui puisse la rendre plus sereine. « Chacun sa m***e ! », comme disait souvent le patron du dernier bistro du village.
Dorénavant, quand des copains ou la famille m’invitaient, je posais mes conditions : pas question qu’ils me fourguent comme voisine de table une de leurs connaissances du genre dame esseulée, divorcée ou veuve !
Pour les bouffes familiales ou celles entre copains, tout le monde respecta ma demande.
Quand un vieil ami m’invita au repas de son départ en retraite, je me permis de lui faire la même requête, dans la mesure du possible évidemment.
Le salaud respecta ma demande à la lettre. Il m’avait attribué une place à une grande table ronde où il n’y avait que des vieux. Trois couples et deux dames seules d’au moins soixante-dix ans et plus… C’était un coup de son épouse. Elle me détestait, et c’était réciproque ; elle était d’une bêtise à pleurer, cette conne !
Ils ne parlèrent pas trop longtemps de leurs nombreux problèmes de santé, avec toujours l’éternelle conclusion dans ce genre de conversation : « Il faut profiter de la vie à 200 % : on ne sait pas de quoi demain sera fait… »
Par politesse, je fis quelques danses avec ces dames, forcé et contraint par leurs maris qui me refilèrent la corvée.
Vers 23 heures, une des vieilles dames seules prit sa chaise, se mit un peu à l’écart et s’assoupit. Le mari de la dame aux cheveux blanc platine de notre tablée, lui, préféra pousser un roupillon dans sa voiture. J’avais décidé de m’éclipser discrètement pour éviter la danse des canards et la farandole, mais je fus surpris par la patrouille : la dame aux cheveux blanc platine, dans son ensemble tailleur vieux rose, me mit le grappin dessus pour la série de tangos annoncée par l’animateur.
Au second tango, elle se serra un peu plus contre moi.
Elle était vraiment inconsciente, ou vraiment complètement beurrée. Toujours est-il que j’en avais marre de m’être fait manipuler par ma sœur, sa copine, Édith, la Mimi de mes vacances, et maintenant une mamie en chaleur !