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n° 17509Fiche technique14337 caractères14337
Temps de lecture estimé : 9 mn
11/08/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Mercredi, après être tous les deux rentrés du boulot, tu lis comme de coutume tes mails du jour ; mais je me dois de t'interrompre car c'est urgent.
Critères:  fh fsoumise fsodo jeu aliments fouetfesse -couple
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Cul nu, t'es là ?

Le mail initial de ma coquine de femme faisait 900 signes environ (nous avons nos petits jeux). Je me suis amusé à étoffer un peu plus ce petit fantasme afin d’obtenir le récit ci-dessous.

Attention : même si c’est ludique, c’est assez curieux… Donc certaines personnes pourraient détester. D’autres apprécieront peut-être.





Mercredi fin d’après-midi, après que être tous les deux rentrés du boulot, tu es tranquillement assis devant ton ordinateur, en train de lire comme de coutume tes mails du jour. Je sais que c’est ton petit quart d’heure d’isolement, mais je me dois de t’interrompre car c’est urgent.

Anxieuse, je me décide. Je me plante à tes côtés avec un air coupable. Flegmatique, tu tournes la tête vers moi. Intrigué par mon air piteux, tu me demandes :



Alors, pivotant lentement sur moi-même, soulevant dans la foulée ma robe d’été, je te présente mon cucul plein de Nutella !



Impassible, sur ton visage se dessine un air étrange qui me donne le frisson. Secouant la tête, tu continues d’un ton badin :



Du bout des pieds, tu fais glisser ton siège à roulettes vers moi.



Toujours assis sur ton siège, tu captures mon bras, tu m’attires rapidement vers toi, tu m’allonges prestement sur tes genoux, tu relèves au maximum le bas de ma robe puis, sans hésiter, tu me mets une grosse fessée !


C’est bon, c’est piquant, c’est chaud !

Une heureuse et agréable surprise comme je les aime !


Mais hélas, c’est trop rapidement fini ! J’aurais aimé que ça dure un peu plus longtemps. Délicatement, tu me remets sur mes pieds. J’adore ressentir cet étrange mélange de chaleur bienfaisante et de douleur cuisante qui envahit mon cul.



Ma robe glisse aussitôt à mes pieds. Je suis totalement nue à présent, car si – bien sûr – je n’avais pas de petite culotte, je n’avais pas non plus de soutien-gorge en cette belle fin d’après-midi d’été. Tu me contemples de haut en bas. Tu connais pourtant mon corps depuis bien des années, mais je constate avec plaisir que tu aimes toujours autant le regarder avec une certaine lueur dans le regard.


Mais soudain ton visage change d’expression. Affichant une grosse moue, tu regardes tes mains puis tu les tends sous mon nez. Mes fesses étant toutes maculées de chocolat, tu t’en es mis plein les doigts, ce qui te rend encore plus pervers.



Tu approches plus près encore tes doigts.



J’approche mon visage de tes doigts, je sors une petite langue timide, puis je me décide. C’est surprenant comme sensation ; ça me fait des tas de choses dans le ventre. J’y vais d’abord très légèrement, timidement, puis petit à petit je m’enhardis, un peu honteuse mais enchantée de cette situation que j’avais déjà fantasmée auparavant. J’en viens à sucer tes doigts entre mes lèvres, telle une petite sucette chocolatée.



Tendant tes doigts encore humides de ma salive, tu traces quelques arabesques sur mes seins, sous mon cou. Étrangement, ça me procure des frissons dans le ventre. Tu te recules un peu, comme pour contempler le dessin que tu viens de faire sur moi.



Sans me quitter du regard, tu essuies tes doigts rapidement avec un essuie-tout. Tu enlèves ensuite le plus gros sur mes fesses. Tu prends ton appareil photo numérique, puis tu tournes autour de moi en appuyant en rafale sur le déclencheur. Ceci fait, tu t‘abaisses pour me donner quelques petits coups de langue sur mon popotin tout chocolaté. Tu y passes un peu de temps puis tu t’adresses à nouveau à moi :



Tu te redresses, te réinstallant sur ton siège, royal.



J’obéis, toute fébrile. Je me demande bien quelle sera la suite ; je sens que je serai fixée dans très peu de temps. Tu en profites alors pour me donner ci et là quelques tapettes sur les fesses. J’adore cette situation ; je l’ai d’ailleurs recherchée. Je remue mon popotin de satisfaction.


Soudain, après un bref claquement, quelque chose cuit mes fesses ! Intriguée, je tourne la tête et je te découvre, tapette à insecte en main. C’est moins doux que tes mains, mais ça fait son effet autrement ! La tapette cingle à nouveau mes fesses, cuisante, supportable, stimulante…



Petit à petit, je sens mon cul rougir agréablement comme tout à l’heure. C’est si sensuel, si frissonnant au plus profond de mon être ! Ça me tient bien chaud au plus profond de mon corps, de mes entrailles. Soudain tu t’arrêtes.



Je me relève aussitôt. Mes fesses cuisent, mes genoux me font un peu mal, mes jambes endolories me portent mal, mais je file illico dans la salle de bain, impatiente de connaître la suite des événements. Je reconnais que je suis plutôt contente de moi. Tu me suis à grands pas.


Nous sommes à présent dans la salle de bain. En baissant un peu les yeux, je constate que tu bandes ; ça m’amuse de voir ton short bien tendu.



Je me mets à quatre pattes dans la baignoire et j’attends la suite. Je crois comprendre que tu te laves consciencieusement les mains. La suite arrive de ta bouche :



Intrigué, tu me questionnes :



À mon grand étonnement, tu grimpes sur la baignoire et tu t’agenouilles ainsi sur les rebords, juste au-dessus de moi.



J’entends un remue-ménage derrière moi, puis un bruit de robinet. Un premier jet plutôt froid s’abat juste à côté de mes fesses, m’éclaboussant un peu. Je frissonne. Je comprends alors que tu te sers de la douchette sur moi. Tu règles le débit et la température, puis tu y vas de bon cœur. J’aime sentir sur mon corps ce jet chaud qui ruisselle à présent sur mes cuisses, mes jambes… À un moment donné, j’ai la curieuse sensation qu’il y a deux jets, mais ça ne dure pas longtemps. Tandis que l’eau coule sur moi, tu passes énergiquement un gant de toilette sur mes fesses ; les picotements reviennent, mais j’aime.



Tu descends de la baignoire ; j’esquisse un mouvement. Tu ordonnes :



Je comprends que tu t’empares à nouveau de la douchette. Tu testes à nouveau le débit et la chaleur, puis tu m’arroses copieusement les fesses, me les frottant comme tout à l’heure au gant de toilette, ce qui réveille le picotement des diverses fessées ; mais l’eau rafraîchit en même temps, ce qui est une étrange sensation, presque jouissive.



Je ne saisis pas bien ce que tu fabriques ensuite. Je t’entends sortir de la salle de bain, puis revenir presque aussitôt. Puis tu prends pied dans la baignoire, mais ce n’est pas comme tout à l’heure. Mais comme tu m’as ordonné de rester le nez en bas, je ne peux pas regarder ce que tu fais ; j’aurai la surprise…


Soudain, je sens ta queue vouloir s’introduire dans mon anus. Sans trop de ménagement, tu écartes une fesse et tu te positionnes. À la sensation que je perçois, je comprends alors que tu viens d’aller chercher dans notre chambre le lubrifiant qui est au fond de ton chevet. Je proteste faiblement :



Houlà, tu deviens particulièrement pervers ! Je n’aurais pas trop osé penser à ce genre de chose venant de ta part. Quoique, quelque part, l’idée n’est pas déplaisante ; elle est même délicieusement vicieuse ! À la fois contente et gênée, je demande :



Tu t’enfonces en moi sans problème, c’est sidérant ! Tu me combles comme pas possible ! Tu commences à coulisser en moi, allant toujours un peu plus profondément à chaque coup de boutoir. Il ne te faut pas bien longtemps pour arriver au fond. C’est géant, cette sensation de remplissage, être tellement comblée, presque éclatée !



Tu y vas à présent de bon cœur. Tu te lâches carrément, tu es vraiment bestial à me pilonner de la sorte ! Mais ça me fait du bien de me faire bousculer ainsi avec mes fesses qui piquent toujours. Je constate que je développe un fonds masochiste que tu exploites, en bon sadique.

Oui, c’est bon de se faire baiser ainsi !


J’entends bien à tes grognements que tu vas bientôt céder, que tu vas bientôt remplir mon cul de ton foutre bien chaud. Cette simple idée de savoir que ton sperme blanc va venir me remplir dans la chaleur de mes entrailles, dans la cuisson de mon anus défoncé, tout ça me met en transe, et une sourde vague monte en moi, impérieuse, incongrue, mais si jouissive !



Je ne peux pas m’empêcher de crier, de clamer ce désir qui me dévaste tandis que tu te vides en moi dans d’évidents râles de plaisir. Oh, que c’est bon de sentir ta queue en moi ! De savoir que tu me remplis, vicieusement, honteusement ! Oui, ça valait la peine d’essayer, mais je ne sais pas si je vais regarder de sitôt un pot de Nutella de la même façon qu’avant !


Ne me dis pas que je suis une grosse cochonne, une très grosse salope, ta très grosse salope rien qu’à toi : je le sais déjà, et j’en suis fort aise !


Bisous, mon amour à moi toute seule !