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n° 17512Fiche technique46748 caractères46748
Temps de lecture estimé : 27 mn
13/08/16
Résumé:  Après avoir joui avec des hommes sans éprouver de sentiments, une femme mariée veut découvrir l'univers libertin d'une amie. De vieux matous pervers transformeront la féline chasseresse en petite souris bien docile.
Critères:  fhh fffh fhhh grp couplus extracon cocus inconnu boitenuit
Auteur : Monkypython            Envoi mini-message
Les démons de Maria

La nuit était étrangement tranquille, laissant naître en douceur ce dimanche de fin d’été. Marseille, d’ordinaire si agitée, nous accordait une parenthèse de quiétude tandis que la limousine se coulait avec fluidité dans la circulation ; la belle allemande ronronnait dans un doux feulement, nous offrant un havre de paix confortable après la soirée que nous venions de vivre.


Ma femme à demi endormie blottie au creux de l’épaule, je savourais cet instant suspendu dans un espace-temps où nous étions seuls au monde. Et rien n’avait plus d’importance, ni les effets de l’abus d’alcool, ni l’exhibition passive de ma chérie. Notre chauffeur, alerte et opportuniste, pensait sans doute que je n’avais pas remarqué quand il avait discrètement orienté le rétroviseur intérieur. Le fourreau fendu ne lui cachait rien, hormis les bas auto-fixant gainant ses jambes jusqu’à la lisière de ses trésors ; la coquine ne portait aucun dessous.


Si la nuit et la couleur noire occultaient les auréoles qui maculaient le vêtement, le voyeur devait bénir le créateur d’une telle tenue qui dévoilait un sein à chaque soupir et découvrait les cuisses jusqu’au nombril à chaque mouvement. À chaque feu rouge, il détaillait sans vergogne les trésors de ma chérie. Quant à moi, je n’avais pas la moindre envie de bouger ne serait-ce qu’un doigt pour ajuster la robe, et en vérité, quelle importance que le chauffeur reluque une minette dont tant d’autres avaient usé et abusé tout au long de la soirée ?

À destination, ma femme à demi assoupie combla le voyeur : elle descendit péniblement du véhicule, et dans un mouvement aussi involontaire qu’impudique se découvrit jusqu’au nombril.


Elle monta chez nous comme une somnambule, jeta sa robe sur une chaise et se mit aussitôt au lit. Elle s’endormit comme une masse, ponctuant son sommeil lourd de profonds soupirs. Pour moi, une douche s’imposa, apaisante malgré les effets conjugués de l’alcool, de la fatigue et de toutes les images qui se télescopaient dans ma tête en flashs désordonnés.


Je visualisai sans peine notre arrivée dans ce club très exclusif, le passage au vestiaire pour nous débarrasser de nos manteaux, l’effet que fit Maria dans son audacieux fourreau, l’accueil enthousiaste de son amie Laurence et l’expression de convoitise de Cyril son mari, qui avait manifestement jeté son dévolu sur la belle en robe noire. La vision fugitive de ma chérie, assise en bonne compagnie à une table du salon, surtout de ses jambes exposées par les caprices de la robe noire au gré des rires et de conversations animées. Laurence avait hâte de m’éloigner de son amie que j’entrevis dans l’escalier menant aux salons privés, son chevalier servant aux fesses.

J’entendais encore la bonne amie assurer que Maria allait s’éclater, tandis qu’elle m’entraînait vers un autre salon privé.


Commença alors le meilleur de ma soirée, une première pour notre couple. Je ne me sentais pas très à l’aise dans le rôle humiliant du mari impuissant à satisfaire une épouse en mal de sexe ; tous les habitués devaient voir en moi un cocu soumis et consentant, évincé par les vrais mâles qui baisaient sa femme. La bonne amie compatissante n’avait eu aucun mal à la persuader qu’elle trouverait dans le libertinage toute la jouissance que son corps réclamait. Même si j’avais été invité par politesse à tenir la chandelle, je n’entendais pas faire tapisserie pendant que Maria cherchait le Graal.


Laurence m’avait offert de vivre des moments intenses : sa nudité, sa peau, ses rondeurs, ses seins lourds, sa toison en ticket de métro, puis sa bouche sur mes lèvres, sa langue dans ma bouche, sa bouche sur ma queue, le goût de sa liqueur, son odeur, la texture du premier préservatif qu’elle déroula sur mon membre avant de le guider en elle.

Je connus Nathalie, aussi blonde que son aînée était brune, superbe poupée entièrement soumise et dévouée à un mari pervers et manipulateur.


Dixit la grande sœur, le premier mari de Nathalie fut malgré lui à l’origine de leur divorce en proposant à son épouse de travailler dans son entreprise. En quelques semaines, elle devint la secrétaire très personnelle du patron ; il la couvrit de cadeaux et d’avantages et eut tôt fait de la séduire au vu et au su de tous les employés et du mari cocu. Même si ce dernier s’accommodait des cornes qu’elle lui faisait avec leur patron commun, Nathalie divorça. Une fois libre, elle s’installa chez Fred qui en fit son jouet, pour son propre plaisir et celui de ses amis ; il en fit aussi une arme fatale dont il proposait les charmes à des fins commerciales.


Quant au couple de Laurence, les beaux principes, les tabous familiaux, la fidélité et la morale furent balayés le jour où Fred offrit la sœur cadette à son beau-frère qui ne fit aucune objection quand il demanda à baiser la maîtresse de maison en retour. Laurence, qui s’ennuyait dans son couple, ne se fit pas prier pour débuter dans l’échangisme avec le mari de sa sœur. Selon elle, ce type avait un don machiavélique pour débusquer la cochonne qui sommeille en toute femme ; elle-même assurait qu’elle n’avait jamais eu l’idée de tromper son mari avant que Nathalie ne lui présente le sien. Mari et femme sous l’influence de leur beau-frère, Cyril était ravi de se taper Nathalie et d’autres femmes ; elle-même vivait une sexualité débridée et sans tabou, et elle aimait ça.


Après moult joutes torrides avec les sœurs bisexuelles, une autre pasionaria vint se joindre à nous. Ces amoureuses émérites et insatiables suspendirent le temps pour conjuguer toutes les combinaisons possibles du quatuor que nous formions. Aucune des trois amazones ne ménageait sa peine pour prodiguer du plaisir aux autres, chacune était comblée au centuple, moi-même m’efforçais humblement de les satisfaire quand elles me voulaient. Contrairement à moi et à la majorité des hommes, elles disposaient non seulement de la faculté d’enchaîner orgasme sur orgasme, mais trouvaient encore et toujours l’énergie pour me réanimer après les miens ; elles sapèrent mes ultimes ressources jusqu’au moment où elles m’abandonnèrent, à l’agonie.


Après avoir recouvré les forces nécessaires pour faire les trois pas qui me séparaient du bar, j’y rejoignis ces dames qui papotaient comme si de rien n’était. Sans ressources, je contemplais le fond de mon whisky tandis qu’une de leurs consœurs essayait en vain de ranimer ma libido.


Maria apparut enfin. Un gros bonhomme libidineux, qui visiblement la guettait, la prit par la taille et l’embrassa familièrement dans le cou. Trop familièrement à mon goût : nul doute qu’il s’était passé quelque chose entre eux. Ma femme, mon aimée avec ce porc… non, elle n’avait pas pu faire ça ! Pourtant Maria ne se rebellait pas ; il la tripotait ostensiblement en chuchotant à son oreille avec force rires gras. Les beaux-frères – un quinquagénaire d’origine magrébine, le bibendum et quelques autres mâles – constituaient la cour de ma princesse, ou plutôt la meute autour d’une chienne en chaleur. Amorphe, elle souriait d’un air las aux plaisanteries et aux mains baladeuses.


L’au-revoir de Laurence, son baiser appuyé sur mes lèvres et sur celles de Maria, le petit paquet qu’elle lui remit en chuchotant et en l’embrassant à nouveau à pleine bouche, le taxi, le SMS à cause du manteau oublié au vestiaire qu’elle se chargerait de lui rendre.


Malgré le privilège d’avoir connu trois femmes magnifiques, je finis par trouver le sommeil, convaincu d’être le dindon de la soirée.


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Le réveil fut laborieux. Maria était déjà dans la cuisine, elle venait de finir son café ; elle m’embrassa tendrement avant de filer dans la salle de bain. Mon petit déjeuner fut frugal, et surtout silencieux : deux madeleines avec du thé sans radio ni musique à part les tambours dans ma tête, suivis d’un espresso fort et brûlant pour combattre la gueule de bois. Ma chérie revint toute mouillée dans un peignoir de bain juste pour me dire qu’elle ne se sentait pas très bien, qu’elle retournait au lit, et que le petit paquet que lui avait remis Laurence contenait le film de la soirée.


J’éprouvai des scrupules à mettre le DVD en l’absence de Maria ; je craignais de voir ce qu’il contenait mais, vite vaincu par une curiosité malsaine, j’enclenchai le lecteur et entrai dans une autre dimension.


Le film commençait par une vision panoramique de la pièce, au centre de laquelle trônait un lit immense ; les images d’une netteté exceptionnelle laissaient deviner qu’au moins une caméra à haute résolution était dissimulée au plafond. À peine une minute après, Cyril entra avec Maria. Les arrivants furent cadrés avec des gros plans et des changements d’angle ; nul doute que cette pièce était équipée d’un système vidéo sophistiqué piloté automatiquement ou par un expert. Si Maria n’avait pas conscience d’être filmée, Cyril, quant à lui, s’arrangeait pour présenter à l’objectif les meilleurs angles et les meilleures positions.


Sans perdre de temps, il l’embrassa goulûment et la palpa sous toutes les coutures. Maria se débarrassa prestement de sa petite culotte, vint s’asseoir sur le lit et, le buste en arrière, en appui sur ses mains, le regarda enlever sa veste et sa chemise en souriant. Dans cette posture, la robe offrait les cuisses et le ventre à ses yeux. Il demanda :



Cyril se rapprocha du lit et ma femme ouvrit sa braguette, dégrafa la ceinture et baissa le pantalon et le caleçon de son partenaire pour s’emparer de l’objet de sa convoitise. Celui-ci bandait déjà et elle commença à branler doucement une bite moyenne mais très raide avant de la mettre dans sa bouche pour la sucer et la lécher. Il lui dit :



Elle le fit s’allonger sur le dos et monta à califourchon sur lui. Sans plus attendre, elle positionna la verge à l’entrée de son vagin et s’empala jusqu’à la garde. Ma déesse chevauchait ce mâle dans sa robe noire remontée jusqu’aux hanches et son partenaire s’amusait avec ses nichons qui apparaissaient et se cachaient à chaque mouvement de bassin de ma femme. Cyril s’étonna :



Je la connaissais bien, ma Maria, et je savais qu’elle ne parlait pas à la légère. D’ailleurs elle accélérait déjà la cadence, ce qui fit jouir son partenaire. L’éjaculation de Cyril déclencha son propre orgasme, violent et incontrôlable. Puis elle s’écroula sur son amant qui avait subi cette tornade.

Ils se séparèrent et Cyril demanda :



Ma chérie se montra alors très câline avec son amant, comme une petite chatte désireuse de se faire pardonner. Celui-ci l’embrassait, la cajolait partout, jouait avec le bout de ses seins qu’elle aimait tant frotter pendant l’amour, s’amusait de son anus tout rose quand il écartait les fesses, de son clitoris si sensible sous les doigts qui le titillaient. Ma femme adorait les caresses et écartait largement les cuisses pour les doigts de son amant. Le spectacle était torride. Le contraste des chairs sur le noir de la robe ouverte, les jambes et les cuisses gainées guidaient le regard sur le sexe entrouvert de cette femelle : tout invitait au rut.

À ce moment précis, un type entra dans la pièce. Il resta un moment immobile pour profiter de la vue et s’adressa à Cyril :



Tout en parlant, le deuxième larron se déshabilla entièrement sous les yeux ébahis de ma femme. Il vint se placer de manière à pousser son bas-ventre sur sa bouche. Maria était invitée à commencer la partie par une fellation.



Effectivement, elle fit ce qu’elle savait faire à la perfection ; elle l’avait fait avec le mari de son amie, elle le refaisait avec ce parfait inconnu qui s’avéra être le mari de Nathalie. Maria prit le sexe raide dans sa main, le décalotta puis le mit dans sa bouche. Le nouveau venu avait une petite bite, qu’elle prenait presque entière dans son palais et elle le suça un bon moment avant qu’il ne demande :



Son compère la travaillait à l’entrecuisse, la faisant gémir à chaque fois qu’il enfonçait ses gros doigts plus profondément dans son con ou dans son anus. Fred la fit retourner, la croupe vers lui, pour la prendre en levrette tandis que comme par magie elle se retrouva avec la queue de Cyril dans la bouche. Incroyable : un parfait inconnu baisait ma femme qui suçait un autre homme !

Maria laissait la queue de Cyril par intermittence pour répondre à Fred qui s’extasia :



Presque immédiatement après avoir été pénétrée par derrière, Maria eut un nouvel orgasme qui ne fit que réjouir ses partenaires. Fred s’exclama :



Maria continuait la fellation qu’elle administrait à Cyril sans répondre ni protester tandis que Fred la préparait avec de la crème tout en baisant sa chatte. Puis il ressortit son sexe, se présenta devant son orifice anal, força un peu le passage et la pénétra sans difficulté apparente. Proprement sodomisée, ma femme bien aimée ! Prise par les deux bouts du tube digestif en même temps ! Inouï ! Les deux compères savouraient leur victoire. Fred empoignait les fesses à pleine mains, les écartelait, les claquait en répétant que l’enculée cachait bien son jeu :



Il ponctuait chacun de ses commentaires, chacun de ses coups de boutoir par une claque retentissante sur les fesses rebondies qui devaient déjà être rouges. Cyril décréta qu’il lui fallait une double pénétration. Maria s’effraya :



Prestement et avant de nouvelles protestations, il se glissa sous Maria toujours enculée par son compère et parvint à se positionner correctement après quelques contorsions. Il put alors enfiler son sexe dans le con de ma femme et commença à la baiser. Empalée par ses deux orifices, ma chérie connaissait la première double pénétration de sa vie ! Elle s’efforçait juste de garder l’équilibre, en appui sur ses genoux et sur ses mains ; elle avait les yeux exorbités, la bouche ouverte comme si elle manquait d’air. Les deux étalons n’entendaient pas ménager la pouliche : ils avaient vite compris que ma chérie appréciait une certaine bestialité dans l’accouplement, alors ils la baisèrent copieusement, l’écartelant sous leurs coups de boutoir conjugués. Tout son corps tressaillait, tant ils la bourraient avec vigueur. Maria affichait son plaisir à être bousculée de la sorte ; elle finit par jouir. C’était tellement facile de la faire jouir… Mais son orgasme ne fut pas à la hauteur de son exploit.


Puis Cyril décida que c’était assez, se dégagea et enleva son préservatif. Il mit son sexe dans la bouche de Maria pour qu’elle le finisse, ce qui fut rapide. Il s’arrangea pour qu’elle avale toute sa semence en maintenant sa tête plaquée contre son bas-ventre. Le deuxième se soulagea entre les fesses de ma femme que ni l’un ni l’autre n’avait réussi à mener au nirvana malgré une débauche d’énergie et de luxure.


Les deux hommes semblaient en avoir fini avec Maria tandis qu’elle restait à quatre pattes sur le lit, haletant en essayant de recouvrer son souffle après ce rapport épuisant. Elle regarda ses partenaires qui se rhabillaient et s’étonna :



Et le fameux René entra en scène. Je reconnus le gros plein de soupe qui tripotait Maria, l’incarnation de Pervers Pépère. Une blonde platinée plutôt enrobée apparut avec lui, un vanity à la main. Elle se déshabilla complètement, au grand étonnement de Maria. La blonde s’assit sur le lit. Montrant un penchant prononcé pour la belle nature de Maria, elle se mit à l’embrasser sur tout le corps avant de revenir sur son sexe. Elle ouvrit sa trousse, en sortit un godemiché long et fin, l’enduisit de crème et le fit pénétrer entièrement dans l’anus de Maria tout en lui broutant le minou. Elle se retrouva couchée sur elle, entre ses cuisses, frottant son sexe sur celui de ma femme, et couvrit son visage de baisers avant de poser ses lèvres sur sa bouche pour lui donner un vrai baiser avec la langue roulant dans son palais.


Maria, sans doute surprise, ne se dérobait pas à cette étreinte saphique ; elle se laissait embrasser, caresser, et caressait elle-même les seins et la croupe de sa partenaire, et la voir corps à corps avec une femme était presque surréaliste. La blonde redescendit sa bouche sur ses seins puis sur son ventre, cette fois la tête en avant, pour arriver enfin à la fente entrouverte qui semblait l’attendre. Elle se mit à la lécher, à manger son sexe, à mordiller le petit bouton d’amour. Elle sortit de sa trousse un vibromasseur avec lequel elle massa la belle moule ouverte et fit gémir ma femme en lui introduisant cet instrument de forme phallique dans le vagin.

Puis la blonde descendit sa croupe sur le visage de Maria pour lui permettre d’accéder elle aussi à ses parties intimes et de lui rendre la pareille, mais Maria se contenta d’effleurer ce sexe féminin du bout des lèvres. La blonde finit par se lasser de ce rapport sexuel unilatéral et partit chercher une âme sœur plus compréhensive et partageuse.


Les trois hommes avaient assisté au spectacle en silence et avaient hâte de reprendre ma femme en main. René commenta laconiquement :



Sans brutalité, presque avec douceur, Fred la prit par les cheveux et amena son visage contre le bas-ventre du gros René qui ouvrait sa braguette. Il eut tôt fait de sortir une bite assez courte mais très épaisse qu’il vint poser sur les lèvres de Maria. Celle-ci, à quatre pattes sur le lit, ouvrit sa bouche pour laisser entrer le gland. Le reste suivit. Elle se mit à le sucer, encouragée par ses précédents partenaires. Fred s’amusait à lui enfoncer le godemiché laissé par la lesbienne dans le vagin puis dans l’anus, alternant les pénétrations. Il avait pris goût au bruit que faisaient ses mains sur le cul bombé de ma femme et claquait de nouveau les fesses rebondies. Maria continuait à pomper le sexe du mollusque en gorge profonde tout en se faisant bourrer les autres orifices par le godemiché que maniait Fred, sous les quolibets des trois compères.


Ma femme, à quatre pattes sur le lit, était plus nue que nue dans sa robe noire qui faisait ressortir blanc sur noir les seins, les jambes, le cul bombé tandis qu’elle pratiquait une fellation sur le vieux vicieux. Les trois hommes autour d’elle étaient tous habillés, car même René avait gardé ses habits en ne sortant que sa queue. Elle était donc dans une position d’infériorité évidente. Cette situation était encore amplement amplifiée par le fait qu’elle était dans la posture d’une femelle soumise réclamant la saillie comme une chienne en chaleur.


Ses partenaires s’en jouaient avec délectation. Fred tapotait sur l’extrémité du godemiché qu’il enfonçait dans son anus et lui claquait les fesses avec un joli bruit. Cyril devait trouver la chose plaisante car il entreprit lui aussi de donner une fessée à Maria qui continuait à pomper la bite du gros René sans protester. Les coups claquaient fort et devaient faire mal. Cela tournait à la démonstration de force ; cette femelle était domptée, soumise au bon vouloir de ses maîtres. Elle avait le cul rougi. Elle commença à sangloter de rage, d’humiliation, de désir peut-être, de douleur aussi. On lui demanda :



Maria avait crié en sanglotant ; elle pleurait de rage et aussi de se sentir impuissante à contenir son désir. Refusant la vérité comme Saint Thomas, j’allais avoir la preuve de ce que je craignais sans vouloir y croire. Le vieux pachyderme se dénuda. Sa queue semblait incongrue : colonne de chair dure comme du marbre émergeant de la graisse du ventre, le membre était raide, ferme, conquérant, et pointait fièrement vers le ventre offert. On aurait dit l’étrave d’un navire fendant une mer de viande flasque. Il s’installa entre les cuisses de Maria, monta sur elle en remontant son ventre, ajusta la queue raide sur la fente béante, et d’un coup de reins lui fourra sa queue jusqu’à la garde tant il était attendu et désiré.


L’objectif s’était focalisé sur les sexes imbriqués, offrant un gros plan sur celui de ma femme et du vieux. Maria était ouverte, ses lèvres intimes semblaient rougies au fer ; le vieux bandait comme un bouc. Au début, elle esquiva la bouche et la langue curieusement pointue qu’il dardait comme un serpent, mais elle finit par capituler et lui abandonna sa bouche qu’il embrassa goulûment en y fourrant sa langue de couleuvre. Cette vision me répugnait. Comment ce gros tas de graisse pouvait-il copuler ainsi avec ma femme ?


L’éléphant de mer prenait soin de ne pas écraser sa femelle. Il forniquait en appui sur les mains, sa graisse tressautant à chaque assaut, son gros cul flasque et graisseux suivant ses coups de reins : c’était une marée de graisse, des vagues de chair sans consistance qui allaient et revenaient inlassablement sur Maria qui semblait minuscule, fragile, et sur le point d’être écrasée et étouffée.


Malgré sa masse et son âge, le vieux ne faiblissait pas : il ramonait mon épouse chérie avec la régularité d’un métronome, sans hâte et avec application. Et le comble, c’était de voir comment Maria perdait le contrôle de ses sens. Elle avait toujours le godemiché fiché dans le cul, et son ventre de femme sensuelle et généreuse répondait aux assauts ; son désir latent la submergeait, elle voulait son plaisir plus que tout.


Je la vis agripper le gros porc, empoigner la graisse des fesses et accompagner son coït de tout son bassin. Elle releva ses cuisses sans parvenir à croiser ses jambes sur son partenaire trop gros pour elle, comme elle le faisait d’ordinaire, tandis que sa bouche mangeait littéralement celle du vieux vicieux qui jouait avec sa langue. On distinguait par moments le godemiché fiché tout entier dans son cul qui dilatait ses chairs. Les images se succédaient, enchaînant les gros plans sur le sexe et sur le visage de Maria, sous le regard expert des deux précédents partenaires qui assistaient à la scène en silence, fascinés eux aussi par cet accouplement contre nature.


C’était une autre version de La belle et la bête, avec quelque chose d’animal tant le désir de la belle était bestial, et l’apparence du mâle obèse quasi inhumaine. En silence, ils constataient que la farce scabreuse virait aux noces barbares entre une poupée et un vieux pachyderme. Ils pouvaient savourer leur emprise sur l’épouse respectable métamorphosée en catin lubrique totalement soumise à leur volonté, tout aussi prête à assouvir leurs propres désirs que celui du vieux vicieux à qui ils l’avaient offerte.


La saillie de Maria allait bon train ; elle avait encore relevé sa croupe pour aller au-devant des assauts de son mâle, offrant toute sa féminité au pieu de chair qui coulissait en elle, investie jusqu’au plus profond de son être dans cette chevauchée dantesque. Elle avait capitulé ; toute retenue était balayée. L’écran géant renvoyait en haute résolution son visage transfiguré, ses yeux révulsés, sa bouche déformée par un rictus. Non, Maria ne simulait pas : elle exprimait le désir à l’état pur qui montait du plus profond de son être.


Le spectacle me faisait bander comme un cerf, mais j’étais submergé d’une jalousie aussi rageante qu’impuissante. Maria avait perdu toute pudeur, toute retenue, elle transpirait de désir et d’envie de mâle. Ma femme adorée encourageait le vieux phoque ; elle tenait sa tête à deux mains et le dévorait, le couvrait de baisers, mangeait sa bouche, mêlait sa langue à celle qui jaillissait du triple menton. Sa répulsion naturelle pour ce bouc était vaincue. L’intensité de son désir animal était telle que Maria se donnait à lui sans retenue ; elle lui appartenait tout entière, il était son roi et usait de tous les droits sur son esclave, elle rendait grâce à son seigneur de bien vouloir l’honorer. Et le porc eut sa victoire : il la baisa en maître absolu, la posséda corps et âme, forniquant dans une dernière ligne droite à grands coups de reins violents. Maria perdit le contrôle de son corps ; telle une poupée désarticulée, elle se tordit dans tous les sens comme si tous ses muscles voulaient en même temps leur part de plaisir, gigotant autour du membre fiché en elle comme soumise à des décharges électriques. Elle jouit enfin en hurlant son plaisir. Après cette démesure insensée, tétanisée, elle se tendit en arc de cercle sous la masse de son amant puis retomba inerte et sans connaissance.


L’orgasme avait été aussi fulgurant que colossal ; à dire vrai, je n’avais jamais vu ni Maria ni personne jouir aussi fort : même l’orgasme d’anthologie qu’elle avait eu avec son premier amant était surclassé de loin. Et pourquoi avec ce vieux libidineux ? Était-ce justement parce qu’il était vieux et moche, gras à en dégoûter une otarie en chaleur ? Était-ce dû à l’incongruité de cet accouplement ? Était-ce parce qu’elle avait franchi le point de non-retour dans la soumission en consentant puis réclamant un rapport sexuel sordide avec un type auquel, dans son état normal, elle répugnerait même de faire la bise ? Serait-elle masochiste ? Était-ce le lieu, les rapports avec les deux beaux-frères qui l’avaient préparée pour la queue du papy obèse ? Il ne lui avait pourtant rien fait de spécial, à part l’écraser de son gros ventre et l’étouffer dans la graisse ; il l’avait juste baisée sans faillir, il avait su tirer parti du désir latent de Maria, méthodiquement, en vieux routier. Je me perdis en conjonctures, sans avoir de réponse, mais les faits étaient là : ma femme avait joui avec ce vieux porc bien plus intensément qu’avec moi ou avec n’importe lequel de ses amants !


Après s’être soulagé en elle, le phoque s’écroula en l’écrasant. Je n’étais pas tétanisé à la vue du spectacle comme la première fois que j’avais vu ma chérie me faire cocu ; le fait de regarder le film de ses aventures pornographiques en différé me laissait le recul nécessaire à une certaine capacité d’analyse, même si l’actrice principale était mon épouse légitime.


Le vieux avait rempli le ventre de l’héroïne de sa semence ; cette réalité me dégoûtait ! Je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qui s’était passé et qui continuait à se passer au plus profond de son être ; je venais de visualiser la soumission et la saillie de ma femme. Je réalisais maintenant avec quelle ferveur son vagin avait recueilli le sperme réclamé dans l’extase. Moi qui m’émerveillais à chacun de ses orgasmes des contractions de ce fourreau si hospitalier, moi qui ressentais ces spasmes vaginaux comme autant d’incitations à la combler de tout le sperme que j’étais capable de produire, j’étais effrayé par ces mêmes réactions amplifiées au centuple tant l’orgasme avec le vieil obèse avait été puissant. L’idée que ses spermatozoïdes étaient en train de s’activer dans l’utérus de la femme de ma vie m’horrifiait ; je songeai avec effroi que l’immonde tas de graisse l’avait peut-être engrossée. Qu’un enfant puisse avoir été ainsi conçu me donnait envie de vomir !


Une autre pensée me taraudait le cerveau, angoissante celle-là : elle avait consenti à ce qu’on la traite comme un paillasson. Elle avait trouvé le Graal, le plaisir absolu dans la soumission et la déchéance ; elle ne pouvait pas en sortir indemne. Après s’être accouplée avec ce vieux repoussant, pourquoi ne pas le faire avec n’importe qui ? Elle avait dépassé le point de non-retour et en avait tiré une jouissance extrême. Non, rien ne serait plus jamais pareil : il y aurait forcément un avant et un après.


Malgré sa masse, le vieux phoque se releva avec une souplesse surprenante, sans doute pressé de vanter son exploit. Hormis les belles putes qu’il pouvait se payer, ce n’était pas tous les jours qu’il devait baiser une femme comme celle-là, une honnête femme mariée, encore moins l’expédier sur la Lune. Il n’avait pas sauté une femme vénale, il n’avait pas abusé d’une femme venue mendier du travail, une faveur ou des espèces : elle ne s’était pas vendue pour de l’argent, mais juste parce qu’elle en avait eu envie après une série de circonstances aussi invraisemblables qu’illogiques, et il ne l’avait pas loupée. Les complices de l’ignominie qui avaient assisté à l’orgasme invraisemblable de mon épouse flattaient l’ego de René en le félicitant avec force accolades et commentaires sur la jouissance des femelles mariées soi-disant sérieuses et fidèles, et plus particulièrement la lubricité de celle qui venait d’être soumise.



Tétanisée, Maria était recroquevillée sans bouger et pleurait en soupirant et en tremblant. Après l’orgasme insensé et foudroyant qu’elle avait eu, l’amoureuse s’était muée en marionnette sans vie propre, seulement secouée de spasmes convulsifs, consumée par tant de plaisir. Le regard vide, elle avait du mal à se remettre de son insensé voyage au septième ciel. Fred lui demanda :



Et elle se remit à pleurer. Ils récupérèrent le godemiché enfoncé dans le cul de ma femme et sortirent tous les trois en devisant gaiement, l’abandonnant en sanglots sur le lit. Ce fut la fin de la bande vidéo.


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Maria était assise sur le deuxième canapé, prostrée. Elle me demanda :



Elle releva sa chemise de nuit et me montra son sexe épilé pour la première fois. J’avais toujours adoré le minou si mignon de mon épouse, mais je devais admettre que la vue de cette fente lisse me troublait beaucoup. Son ventre rond, son pubis de petite fille contrastait avec sa vulve fendue dont les lèvres nues ne parvenaient pas à cacher le clitoris ni l’entrée de son con.

Je voulus la consoler :



Maria éclata en sanglots. Je ne savais pas quoi faire pour la consoler. Elle continua :



La vie allait continuer, mais une chose était certaine : cela ne serait plus un petit fleuve tranquille.