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n° 17514Fiche technique9110 caractères9110
Temps de lecture estimé : 6 mn
14/08/16
Résumé:  Une soirée bien plus intéressante que ce qu'il y paraît.
Critères:  fh hdomine exhib fmast entreseins fellation pénétratio
Auteur : Syle  (Petite débutante, je me lance dans l'écriture)      Envoi mini-message
Nathalie

Je m’appelle Nathalie et je travaille dans un grand groupe français en tant que référente qualité. Je suis amenée à faire des interventions dans toute la France et même à l’international. Aujourd’hui, je suis en route pour Sarreguemines.


Ce n’est pas franchement le déplacement professionnel rêvé. Au moins quand je me déplace sur la Côte d’Azur, je peux profiter de la mer et de la vie nocturne. Et par-dessus le marché, je n’ai pas d’hôtel. Je dois me faire héberger chez un salarié de la société, c’est d’ailleurs lui qui vient d’arriver à la gare. Il ne m’a pas encore repérée, j’ai donc tout loisir de l’observer. 1,80 m, brun, en brosse, des épaules assez larges, il a l’air musclé.

Oh merde, il vient de me repérer et je crois qu’il a surpris mon regard inquisiteur.



Il a l’air gentil comme garçon mais il n’est pas très causant.

Durant toute la journée, il a été très timide, n’arrivant pas à me regarder dans les yeux quand je lui parlais.



Et nous voilà partis pour son antre. À quoi dois-je m’attendre ? Un appartement parfaitement rangé et des figurines de Star Wars dans la bibliothèque ?


Nous nous arrêtons devant un immeuble standard. Auparavant, j’avais acheté de quoi manger chez un traiteur. Si le logement n’est pas tripant, au moins que le repas le soit.

Lorsqu’il a ouvert sa porte, je me suis pris un taquet : ce n’était pas du tout ce que j’avais imaginé. L’endroit était soigné, certes, mais décoré avec goût avec un canapé qui donnait envie de s’y lover.


Le diner fut cordial. Nous avons parlé de nos vies, de nos parcours professionnels. Je me disais que j’avais de la chance de vivre sur Paris ce qui me permettait de faire le travail que j’aimais. Il aurait pu avoir mon poste car nous avons eu le même parcours universitaire.


Il m’a proposé de regarder la télé pendant qu’il prenait une douche. Il avait des films à disposition. Il s’éclipsa pendant que je tentais de choisir un film. Un titre m’attira : Discipline. Ça ne me parlait pas. Je me dis pourquoi pas et je le lance. C’était un manga.


Ce n’est qu’au bout de 5 minutes que je me rends compte que c’est un hentai : un manga porno.

Je mets sur pause le film et écoute ce que fait Alexandre. Il est sous la douche. J’ai au moins cinq minutes devant moi. J’ai envie d’en regarder un peu plus. Je ressens déjà une chaleur entre mes jambes.


Les images défilent, c’est une jeune femme avec une paire de seins énormes, comme toujours. Elle est à genoux en train de faire une fellation à un éphèbe. J’adore ce genre de film. Mon esprit s’évade et ma main également. Je me retrouve au beau milieu du salon d’un homme que je ne connaissais pas ce matin, en train de me masturber. C’en est tellement bon que je n’entends pas la douche s’arrêter et ni ne ressent la présence d’Alexandre à côté de moi.


Je finis par jouir, une jouissance rapide et pas suffisante. Je reste sur ma faim.


Lorsque je reviens sur terre, je m’aperçois qu’Alexandre est adossé à la porte de sa chambre en train de me regarder. En le voyant, je rougis. C’est Alexandre qui romp le silence.



J’avais deux options : soit le supplier de ne jamais révéler ce qu’il venait de voir, soit assumer. J’ai assumé :



J’ai bien compris que je n’ai pas le choix. Je finis par m’exécuter.

Il en profite pour regarder mon soutien-gorge. Il apprend donc que je fais un 105G. C’est sûr que la comparaison avec la nana de l’hentai est probante au niveau de la poitrine. Par contre, pour le reste, je ne suis pas menue, je suis toute en rondeurs.


Je me retrouve donc debout torse nue, à côté de la télé. Je vois dans les yeux d’Alexandre et pas que là, son intérêt pour ma personne.

Bon, tant qu’à être dans cette situation, autant y aller à fond. On va s’amuser. Je vais le challenger.



– Que tu te mettes toi aussi torse nu. Que je vois ce que cache ce tee-shirt !


Il l’enlève et il n’y a pas à dire avec Alexandre, il cache bien son jeu. Il est tout en muscle. Ça me donne une envie de le manger et Alexandre le voit dans mes yeux.



Je finis donc de me déshabiller et je me mets à genoux. Je déboutonne sa braguette et je sors son sexe de son boxer. Je me mets à le toucher, à le lécher, à jouer avec ma langue sur son sexe. J’utilise mes seins pour le branler. Je vais jusqu’à le mordiller. On dirait qu’il aime ça. Je vois que sa respiration s’accélère. Je m’arrête et le déshabille totalement. Je me relève et il finit de me déshabiller également.


Il m’allonge sur le canapé. Il me caresse les seins, ses deux mains n’y suffisent pas. Il met sa tête entre mes seins, on dirait qu’il ne s’en lasse pas. Il mordille mes tétons pour les faire se dresser. Il finit par descendre ses mains et sa tête et se retrouve entre mes jambes. À son tour de me montrer ce qu’il sait faire et il se débrouille très bien. Il me lèche, aspire mon clito, le mordille. Ça me rend de plus en plus humide.


Alexandre s’arrête, il me retourne et me fait mettre à quatre pattes. Il frotte son sexe contre mes fesses. Il commence à suivre mon sillon et vient appuyer son gland sur mon clito. Il branle mon clito avec son gland. Puis d’un coup, il s’accroche à mes hanches et me pénètre brutalement. Il commence à faire de légers va-et-vient et accélère de plus en plus la cadence et la profondeur de ses pénétrations. Je l’entends commencer à respirer de plus en plus fort. Mes gémissements légers au début sont en train de se transformer en cris. Pris dans son assaut, il claque une fesse. Puis me sentant prête à jouir, il se retire. Je le récrimine. En réponse, il me met une fessée sur mon autre fesse. Puis, il me fait m’allonger sur le dos et il commence à jouer avec moi en entrant légèrement son gland dans mon vagin et dès qu’il sent que j’en veux plus, il se retire. Il me tue à force de me frustrer.


Puis d’un coup, il décide de me pénétrer de tout son long. En réponse, je m’accroche à lui en enserrant mes jambes autour de sa taille. Il me donne des coups de reins de plus en plus forts et profonds. J’adore. Pendant qu’il me prend, je sens la jouissance venir. Pour qu’elle soit à son maximum, je décide de me masturber. Je viens très vite et je jouis bruyamment. Alexandre se retire et jouit sur mes seins en se branlant avec. K-O après cette jouissance, il s’allonge à côté de moi. Nous nous endormons.


Nous nous réveillons aux lueurs du petit matin. En prenant notre petit déjeuner, Alexandre me demande quand je reviens à Sarreguemines. Je lui dis que ce qui s’est passé cette nuit était exceptionnel et que cela ne se reproduirait pas.