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n° 17516Fiche technique18839 caractères18839
Temps de lecture estimé : 12 mn
14/08/16
Résumé:  J'ai dépucelé le jeune Victor, pour le plus grand bonheur de mon mari.
Critères:  fhh hbi jeunes fellation pénétratio hsodo
Auteur : Isa13450  (Isabelle femme mariée)            Envoi mini-message
Je l'ai dépucelé

Après avoir posté mes premiers récits, je ne pensais pas recevoir autant de messages m’encourageant à poursuivre l’écriture de mes textes. Beaucoup d’hommes, quelques femmes, très peu de couples ; certains m’ont envoyé un petit mail pour me décrire leur plaisir devant cette lecture, d’autres souhaitaient savoir si mes récits étaient tirés d’évènements vécus ou n’étaient que pure fiction, et enfin quelques jeunes hommes m’ont proposé un rendez-vous coquin. Devant ce volume de messages, je n’ai pu répondre à tous et j’espère que vous m’en excusez. J’ai tout de même pris le temps de répondre à certains d’entre eux pour les remercier de leur témoignage, ou à d’autres pour leur préciser en toute honnêteté quelle est la part fictive ou vécu de mes textes.


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Revenons à moi : Isabelle, la quarantaine passée, mariée avec Jean depuis plus de vingt ans. Depuis peu, nous avons franchi le pas : eh oui, nous avons osé vivre une relation échangiste.

Nous avons vécu notre première relation trio avec le jeune Léo qui n’est autre que notre voisin, puis j’ai eu l’occasion d’assouvir un autre fantasme longtemps rêvé : celui d’avoir une relation avec une femme. Il m’a été difficile d’avouer à Jean ce passage à l’acte dans son dos, surtout après tous les efforts qu’il avait fait en vain pour nous trouver une occasion de renouveler un trio avec cette fois-ci une fille. Malgré sa déception de n’avoir pu participer à cet épisode érotique, il ne m’en veut pas : au contraire, il me demande souvent de lui raconter en détail ce que nous avons fait Corine et moi lors de nos ébats. Il m’a même demandé de proposer à Corine une rencontre à trois, ce que malheureusement elle a refusé.


Le désir de faire participer un partenaire étranger à nos ébats est omniprésent dans nos esprits ; régulièrement, nous nous remémorons ce que nous avons vécu avec ce jeune homme et tous les plaisirs partagés que cela a entraîné, mais pour des raisons que vous n’allez pas tarder à comprendre, nous ne souhaitons pas renouveler cette expérience avec notre jeune voisin.


Sans l’avoir prémédité, c’est parmi les personnes qui nous ont communiqué leur enthousiasme en lisant mes récits que nous avons fait notre choix. Un soir, à l’ouverture de ma boîte mail, j’ai cliqué sur un des messages qui avait pour titre « Victor 19 ans ».



« Bonjour Isabelle, je m’appelle Victor, votre récit m’a excité comme jamais, vous avez décrit mon plus gros fantasme, depuis cette première lecture, le soir avant de me coucher, je ne cesse de lire et relire votre texte avec mon sexe dans la main, puis une fois endormi, je rêve de vous deux. Peut-être Léo a-t-il eu la chance de vivre réellement cette rencontre ? Si j’en crois votre pseudo, je n’habite pas loin de chez vous, à Pertuis, et j’ose imaginer certaines choses qui me transportent vers mes fantasmes les plus fous. »



« Bonsoir Victor, je suis heureuse de voir l’effet produit par mes textes, et pour répondre à ta question, oui, nous avons réellement vécu avec Léo une partie de ce qui est décrit dans ces récits, à savoir la première partie intitulée « Sans préméditation », sauf qu’à notre grand regret, dans la réalité, Léo a refusé de faire une fellation à Jean, contrairement à ce que j’ai écrit dans le récit. »



Le lendemain soir, à l’ouverture de ma messagerie, j’ai pu constater que Victor avait répondu seulement quelques minutes après l’envoi de mon mail de la veille.



« Merci de m’avoir répondu. Mon excitation en pensant à vous en est d’autant plus intense et sachez que pour ma part, étant donné le contexte, je n’aurais pas refusé de faire cette fellation à un homme, surtout si cet homme partage sa femme avec moi ! Peut-être accepteriez-vous de me rencontrer ? »



« Bonsoir Victor, ci-joint une photo de Jean et moi, nous attendons en retour la tienne. »


Et quasiment instantanément, nous avons reçu sa réponse.



« OK pour une rencontre ; et puisque tu as deviné notre ville de résidence, peux-tu te déplacer jusque chez nous ? »

« Oui, sans problème. Il faut juste que vous sachiez que je n’ai que très peu d’expérience en termes de relations sexuelles. »



« Ton expérience dans ce domaine n’est pas ce qu’il y a de plus important ; tu as connu combien de filles ? »

« Pour être honnête, aucune. Je suis trop timide pour oser approcher les filles dans le monde réel, je suis beaucoup plus à l’aise dans le virtuel. »



« Bien, Victor, nous te proposons de venir nous voir le week-end prochain, samedi en fin d’après-midi, et si nous avons un bon feeling tu pourrais passer le reste de la soirée avec nous. Qu’en dis-tu ? »

« Oh, merci ! Je pense que, jusqu’à samedi, je vais avoir du mal à trouver le sommeil… »

« Ne t’épuise pas trop non plus ; garde un peu d’énergie. Voici notre adresse et numéro de téléphone […]. Nous t’attendons samedi vers 19 heures pour l’apéro, et plus si affinités ! Bises érotiques. »

« Encore merci, et à samedi. »


Bien évidemment, nous avons fantasmé tous les soirs sur ce qu’allait pouvoir être cette rencontre ; nos soirées en étaient d’autant plus agitées.


Samedi, 18 heures. Je rentre dans la salle de bain pour me faire une beauté. Avec Jean, nous avons décidé que je devais m’habiller de façon à faire monter irrésistiblement la température de ce jeune puceau dans le but qu’il ne nous refuse absolument rien. Petit haut noir décolleté pour mettre en évidence ma poitrine généreuse, petite jupe noire moulante au-dessus des genoux, bas noirs et talons hauts assortis. Maquillage des lèvres en rouge vif de rigueur, et me voilà prête pour accueillir notre invité.


18 h 50, mon téléphone sonne : c’est Victor.



Il n’avait rien à envier à la photo qu’il nous avait envoyée : j’avais devant moi un jeune homme qui paraissait effectivement assez timide au premier contact, mais avec un certain charme. Châtain clair, les yeux marron, assez grand – environ 1,80 m –, habillé à la « djeun’s ». Son tee-shirt moulant laissait deviner ses jeunes pectoraux musclés qu’il devait prendre soin d’entretenir… Tout ce que j’aime, quoi !



Nous avons discuté tous les trois de longues minutes, accumulant les verres de punch que Jean ne manquait pas de nous resservir à chaque dernière gorgée. Le courant passait très bien entre nous. Victor semblait détendu. À chaque fois qu’il le pouvait, tout en discutant il portait de façon discrète son regard vers ma poitrine partiellement dénudée. Lorsque nous avons dirigé la discussion vers le but de notre rencontre, malgré les verres d’alcool descendus, Victor s’est instantanément mis à rougir ; son malaise se lisait sur son visage. J’ai alors tenté de l’apaiser :



Sur ces mots, je me suis levée pour aller m’asseoir sur ses jambes. Je sentais son sexe dur dans son jean compressé sous ma cuisse.



Victor nous écoutait et restait sans mots, le visage toujours rougi, mais cette fois par son excitation qui avait pris le dessus sur sa timidité. D’un mouvement léger, j’ai collé mes lèvres contre celles de ce jeune puceau pour ensuite faire glisser ma langue dans sa bouche. À la suite de ce langoureux baiser, Victor n’osait plus diriger son regard vers Jean. Je dus une nouvelle fois le rassurer :



Je me suis levée, j’ai pris la main de Victor pour nous diriger vers notre chambre. Tout en marchant, je pouvais observer la bosse vertigineuse que formait son sexe emprisonné, à tel point que sa démarche en était perturbée.


Arrivés dans notre chambre, Jean s’est déshabillé pour s’asseoir entièrement nu vers la tête du lit, puis il a préparé quelques mouchoirs en papier en vue des évènements à venir. Je me suis également déshabillée sans quitter du regard Victor, qui en faisait autant mais sur un rythme bien moins rapide que le nôtre. Entièrement nue, je me suis assise au bord du lit et j’ai attrapé la main de Victor pour l’attirer vers moi. Il était debout devant moi, son caleçon toujours en place. Son sexe raide faisait décoller l’élastique de quelques centimètres de son ventre. J’ai attrapé ce dernier bout de tissu de chaque côté de ses hanches pour le faire glisser à ses chevilles avant de le retirer.


Son sexe était dressé devant moi, au garde-à-vous, son gland décalotté laissant déjà s’échapper une larme de liquide visqueux transparent. J’ai attrapé ses deux mains que j’ai posées sur ma poitrine pour qu’il puisse découvrir mes globes, puis j’ai caressé son sexe avec mes doigts que j’ai fait glisser de haut en bas par de simples effleurements. Victor a serré sa lèvre inférieure entre ses dents. J’ai emprisonné ses testicules dans ma main gauche avant de les malaxer. De mon autre main, j’ai entamé une légère masturbation de sa verge. Au bout de seulement quatre ou cinq allers-retours de mes doigts serrés sur sa queue, il m’a supplié d’arrêter car il ne pouvait plus retenir sa jouissance. J’ai ignoré sa demande, comme si je ne l’avais pas entendue. Accompagné d’un petit cri de soulagement, son sperme chaud a jailli par plusieurs jets, qui pour certains ont directement atterri juste au-dessus de mes seins qu’il maintenait compressés dans ses mains. J’ai poursuivi cette masturbation afin d’évacuer la totalité de cette jouissance qui venait s’écouler maintenant sur mes doigts. Tel un jeune puceau, sa queue restait tendue malgré son extase, et je savais que cette première éjaculation allait pouvoir lui permettre de durer un peu plus longtemps que ces quelques secondes sur un prochain acte, surtout si je m’y attelais immédiatement.


Sans avoir pris le temps de me nettoyer de son sperme, j’ai mis son gland dans ma bouche ; j’ai pu goûter quelques petits restes de son plaisir précédent. J’ai entamé une pipe comme j’ai l’habitude de les faire, en faisant glisser sa queue le plus profondément possible au fond de ma gorge à chaque retour de son gland vers mes amygdales. Après quelques va-et-vient, son sexe se tendait de plus en plus tout en augmentant de volume. Je savais qu’il ne fallait pas insister car une deuxième éjaculation semblait déjà être prête à jaillir. J’ai stoppé mes succions pour me retourner, et j’ai pu voir Jean se masturber lentement en nous observant. Je lui ai fait un sourire ; il savait ce que j’avais en tête.



Sur cette phrase, Jean s’est allongé sur le dos sur un bord du matelas, le sexe droit. Victor s’est mis à genoux au sol contre le bord du lit pour être à la bonne hauteur et pouvoir mettre le sexe de Jean dans sa bouche. Il lui faisait une pipe timide ; du bout de ses doigts il maintenait cette queue dure et raide entre ses lèvres. Ses mouvements de bouche qui glissait sur cette tige étaient très lents et peu profonds, mais Jean semblait tout de même apprécier énormément cette caresse. Je me suis approchée et me suis mise à genoux à côté de Victor pour l’encourager à continuer. Je lui caressais le dos avec ma main droite tout en observant de près cette fellation entièrement masculine, spectacle qui ne faisait qu’augmenter mon excitation que j’ai dû soulager par le passage des doigts de mon autre main sur mon clitoris. Après plusieurs caresses dans le dos de Victor, j’ai fait descendre mes doigts pour les glisser entre ses fesses de façon à lui chatouiller son petit trou. Le contact de mes doigts sur son anus ne semblait pas le perturber, il poursuivait sa pipe en m’ignorant. À cet instant, j’ai compris que Victor allait certainement être celui qui allait réaliser l’un des fantasmes de Jean. Pour m’en assurer, j’ai murmuré dans le creux de l’oreille de Victor :



Sur cette phrase, il a retiré le sexe de Jean de sa bouche pour me regarder en me souriant avant de répondre :



Tout en souriant à mon tour je lui ai répondu :



Je me suis allongée sur le dos, les jambes bien écartées pour lui laisser un libre accès, j’ai placé son sexe devant l’entrée de mon conduit, et c’est accompagné d’un soupir de découverte qu’il s’est introduit au plus profond de mon vagin. Ses va-et-vient immédiats étaient très rythmés, trop rythmés ; son inexpérience ne nous a pas permis d’apprécier très longtemps ce plaisir car il n’a pas pu retenir sa nouvelle éjaculation qu’il a libérée au fond de ma grotte en quelques secondes seulement.


Il est resté allongé sur moi, en moi, le temps de reprendre son souffle, ce qui m’a permis d’écarter ses fesses pour mettre son petit trou au grand jour. Après avoir étalé un peu d’huile lubrifiante sur son gland, Jean s’est approché de nous pour positionner sa tige à l’entrée de ce petit orifice masculin. Victor restait sans mots, sa respiration était encore rapide. Il nous laissait mener à bien toutes nos initiatives. Malgré ce lubrifiant, la pénétration de ce petit anneau ne s’est pas faite sans douleur ; Victor a lâché quelques « Aïe, doucement ! » avant que Jean ne puisse le pénétrer de toute sa longueur. Cette fois, ce n’était pas moi la saucisse du sandwich, mais bel et bien notre invité qui se faisait douloureusement transpercer tout en restant immobile, sa verge toujours emboîtée au fond de mon fourreau. Jean semblait très excité ; le rythme de ses coups de boutoir pour pousser son gland au fond de ce conduit me rappelait ceux de Victor l’instant d’avant. Je pouvais voir les mains de Jean se crisper sur les hanches de notre jeune compagnon, qui lui ondulait sur mon corps à chaque butée de la queue qui le pénétrait. Jean a maîtrisé sa jouissance jusqu’à ce qu’il nous exprime ouvertement son passage au septième ciel :



Nous venions de franchir une nouvelle étape avec ce jeune homme, une nouvelle découverte de plaisirs hors du commun. Après l’avoir laissé me prendre à deux autres reprises, Victor nous a quittés en cours de soirée, heureux d’avoir pu devenir un homme ; et de ce qu’il nous en a dit avant de partir, il a beaucoup apprécié que son dépucelage se soit déroulé de la sorte, malgré les petites douleurs persistantes au niveau de son anus encore dilaté au moment de son départ.



À Victor.