n° 17524 | Fiche technique | 20885 caractères | 20885Temps de lecture estimé : 13 mn | 18/08/16 |
Résumé: Piégée par Corine pour mon plus grand bonheur. | ||||
Critères: ffh fbi inconnu fsoumise fellation pénétratio sandwich fdanus -couple+f | ||||
Auteur : Isa13450 Envoi mini-message |
Depuis que nous avons découvert les plaisirs que l’on peut apprécier lors d’une relation échangiste, Jean et moi entretenons une sexualité des plus épanouies. Avant d’y avoir goûté, nous ne pouvions pas imaginer que ces moments partagés avec des personnes étrangères à notre couple pouvaient nous transporter vers un tel niveau d’excitation. Jusqu’ici, nous avons profité essentiellement de relations à trois où nous avons fait intervenir à deux reprises un jeune homme pour accompagner nos ébats. Pour son plus grand bonheur, mon mari Jean a pu assouvir certains de ses fantasmes bisexuels lors de ces rencontres ; et pour ma part, lorsque je me suis retrouvée avec ces deux hommes rien que pour moi, j’ai pris énormément de plaisir en profitant d’un moment tant rêvé jusqu’ici.
J’ai également eu la chance de pouvoir réaliser un autre de mes fantasmes lorsque j’ai eu l’occasion de faire l’amour avec une femme, en toute intimité ; et pour être honnête, parmi mes aventures échangistes, c’est bel et bien cette relation que j’ai le plus appréciée. Peut-être parce que je l’ai souvent souhaitée, souvent rêvée, ou peut-être parce que je me suis retrouvée seule avec Corine ce jour-là ; ou bien tout simplement pour toutes ces raisons à la fois…
Corine, si tu savais à quel point je rêve de pouvoir à nouveau faire l’amour avec toi… Mais depuis que je t’ai proposé de passer un moment de plaisir en trio avec Jean et moi – ce que tu as refusé – je n’ai plus de tes nouvelles, et je n’ose plus te contacter. De son côté, avec mon approbation, Jean navigue régulièrement sur des sites de rencontres échangistes dans l’espoir de trouver une fille qui accepte de bien vouloir passer un moment de plaisirs charnels avec nous ; mais malheureusement, la plupart du temps ceux sont des hommes seuls qui se proposent de nous rencontrer.
Il y a également quelques couples qui ont pris contact avec nous et avec qui nous avons entamé des dialogues Skype. L’idée d’en rencontrer un fait tout de même son chemin, malgré que nous aurions préféré dans ce cas que cette rencontre ne provienne pas d’un contact virtuel mais plutôt d’une connaissance déjà établie. Quoi qu’il en soit, malgré les cams chaudes et discussions coquines très excitantes que nous entretenons, nous n’avons pas encore décidé d’une rencontre avec l’un de ces différents contacts.
Un soir, lors de préliminaires où Jean usait de tous ses atouts pour me faire monter en tension, j’étais bien en condition pour lui avouer mon souhait de renouveler une relation sexuelle avec une femme, plus précisément avec Corine, et à mon grand bonheur il m’a répondu que si tel était mon désir, je n’avais qu’à me faire plaisir, qu’il était évident qu’il me suffisait de proposer une rencontre exclusivement entre filles à cette Corine pour qu’elle accepte.
Durant les deux jours suivants, j’ai hésité à me lancer, puis le désir ayant pris le dessus sur toute crainte ou retenue, j’ai pris mon portable pour envoyer un message à Corine :
« Bonjour Corine ; j’ai bien compris que tu ne souhaites pas vivre une relation sexuelle en trio avec la présence de mon mari, mais peut-être accepterais-tu que l’on se rencontre à nouveau uniquement entre filles ? Je pense souvent à toi, avec envie, me remémorant notre après-midi de plaisir intime. Bises, Isa. »
24 heures après l’envoi de ce texto, je n’avais toujours pas obtenu de réponse. Je devais me rendre à l’évidence : Corine ne souhaitait pas me revoir ; peut-être n’avait-elle pas apprécié autant que moi notre rencontre. Je m’imaginais déjà devoir rester sur le seul souvenir de cet après-midi magique qu’elle m’avait fait vivre, mais vous vous en doutez, nous n’en sommes pas restées là, pour mon plus grand bonheur…
J’ai dû attendre quatre jours avant d’avoir de ses nouvelles. J’avais bien compris qu’elle était du genre à faire durer l’envie avant l’extase pour que le plaisir en soit que meilleur ; mais là, me faire attendre aussi longtemps avant de me répondre, ça devenait de la torture !
« Bonjour, Isa. Heureuse d’avoir de tes nouvelles ! Il me semble que le lundi c’est ton jour de libre ? Lundi prochain je le suis aussi ; tu peux passer à la maison me faire un petit coucou en début d’après-midi si tu veux. J’attends ta confirmation. Bises, Corine. »
Génial ! Je suis toute tremblante à la lecture de ce message ; bien sûr que je vais lui confirmer, et sans perdre de temps.
« Bonjour Corine ; c’est avec plaisir que je viendrai te rendre visite lundi après-midi. À bientôt, Isa. »
Encore trois jours à attendre ; je crois que je vais devenir folle !
Durant cette attente, j’étais excitée comme une puce. Jean a pu profiter d’un week-end où je me suis abandonnée à chacun de ses désirs ; nos rapports étaient tous plus intenses les uns que les autres. La matinée du lundi matin fut interminable ; je cherchais toute occupation possible qui pouvait me permettre de détacher mon esprit de l’après-midi à venir. Pour l’occasion, j’ai choisi une tenue vestimentaire assez sobre, classique, composée d’un petit chemisier assorti à une jupe style tailleur et talons hauts.
13 heures ; je m’apprête à partir pour me rendre chez mon hôte lorsque je reçois un texto :
« Bonjour, Isa. Je sais que tu aimes porter de jolis dessous (tout comme moi d’ailleurs), mais aujourd’hui j’aimerais que tu ne portes pas de culotte. L’idée de te savoir en train de venir à ma rencontre sans dessous attiserait mon excitation. Je compte sur toi pour me faire ce petit plaisir. Bises. À tout à l’heure, Corine. »
Ouhaou… le ton est donné ! Je tremble à nouveau à la lecture de son message. Bien évidemment, j’ai retiré mon string que j’ai déposé chez moi avant de prendre le départ.
13 h 50 ; je suis devant sa porte. Je peux ressentir les battements de mon cœur. Je prends mon souffle et je toque avant d’être accueillie :
Je marchais au pas derrière Corine, et je vous laisse imaginer ma surprise lorsque j’ai vu cet homme installé confortablement dans le grand fauteuil du séjour. Observant ma stupeur, Corine lance les présentations :
En lui collant chacune de mes joues contre les siennes pour le bonjour de rigueur, j’ai lâché :
Pour l’entendre me répondre :
Les interrogations fusaient dans mon esprit : « Que fait-il ici ? Il n’était pas prévu que l’on soit trois ; à moins que, contrairement à ce que je me suis imaginé, il ne va rien se passer entre Corine et moi aujourd’hui. Peut-être qu’elle a accepté de me revoir uniquement pour discuter ; mais alors, pourquoi m’avoir demandé de ne pas porter de culotte ? Non… En fait, certainement que son compagnon doit partir ; il va nous quitter, nous serons alors seules. »
« Hou la la… Les évènements prennent une tournure que je n’avais pas prévue. J’espère que Corine sera rapidement de retour. »
« Ah… Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il va droit au but, celui-là ! » Je ne pouvais cacher ma gêne ; mes joues rougissaient, une chaleur inconfortable envahissait mon visage.
Au fil des échanges avec Marc, je sentais la chaleur jusqu’ici installée sur mon visage s’apaiser ; j’étais de plus en plus détendue. Malgré ses discussions toutes dirigées vers la sexualité, j’appréciais la douceur de sa voix, la façon de me parler, de me regarder… d’autant plus que je le trouvais assez charmant. Je pourrais même dire attirant !
« Ah, la voilà de retour avec son plateau à la main qui apporte nos trois cafés. »
Au moins, maintenant c’était très clair, je n’avais plus de doutes : j’ai été piégée, mais le ressenti de mon excitation qui venait de prendre une nouvelle hauteur traduisait le plaisir inconscient vers lequel cette situation me transportait. Machinalement, des images de ce que pouvait devenir cet après-midi me traversaient l’esprit, une sensation agréable prenait de plus en plus de place entre mes cuisses que j’ai resserrées de façon à soulager un minimum cette montée vers l’envie. Mais lorsque Corine s’est adressée à Marc, ces images agréables se sont échappées pour me laisser reprendre pied dans le monde réel où je me trouvais.
« Mais de quoi parle-t-elle ? Mon Dieu, mon string ! » Je suis restée sans réponse, sans voix. Une nouvelle chaleur envahissante a parcouru mon visage pour colorer encore une fois mes joues.
Lorsqu’il s’est approché de moi pour s’asseoir au plus près, je n’ai eu qu’une seule réaction, que je qualifierai d’incontrôlable, inconsciente : j’ai écarté largement mes cuisses. Corine et Marc ont accueilli ce geste avec un grand sourire. Alors que Marc a posé sa main sur ma cuisse juste au-dessus de mon genou, Corine est restée assise sur le fauteuil en face de nous. Marc me fixait droit dans les yeux pour observer chacune de mes réactions lorsqu’il fit glisser ses doigts vers le haut de mon entrejambe. Des frissons de plaisir mélangés à l’excitation se sont installés sur mes cuisses. Au contact de son majeur sur mes deux lèvres, je n’ai pu retenir une secousse de plaisir avant de basculer ma tête en arrière pour pouvoir apprécier cette caresse les yeux fermés. Ses doigts se sont noyés un à un dans mon intimité avant qu’il ne fasse glisser deux d’entre eux au fond de mon conduit. À plusieurs reprises, il s’est amusé à faire glisser son index et son majeur le plus profondément possible avant de les ressortir pour venir écraser mon clitoris. Mon envie de jouir faisait déjà une petite apparition ; je me serais volontiers abandonnée jusqu’à l’extase sous cette caresse, mais Corine est intervenue :
Corine s’est alors dirigée vers moi, elle m’a attrapé par la main de façon à ce que je la suive. C’est sans résistance que je me suis laissée guider. Marc nous suivait de près, au pas, et lorsque nous sommes arrivés dans sa chambre, elle a pris soin de fermer la porte derrière nous. Marc s’est immédiatement assis sur un siège à proximité du lit. Corine s’est placée dans mon dos, me positionnant de façon à ce que je sois face à Marc. Debout, collée à moi dans mon dos, elle déboutonnait un à un les boutons de mon chemisier qu’elle a ensuite retiré entièrement pour le jeter sur Marc. Puis elle a mis mes seins à l’air, en jetant encore une fois mon soutien-gorge dans la même direction que mon chemisier. Elle a posé son menton sur mon épaule, et tout en fixant du regard son compagnon, elle malaxa mes seins qu’elle avait emprisonnés dans chacune de ses mains.
Devant ce spectacle, Marc a serré son sexe entre ses doigts par-dessus son pantalon. Corine a poursuivi cette mise en scène en écrasant chacun de mes tétons entre son index et son pouce pour ensuite tirer dessus. Pour compenser cette douleur malgré tout quelque peu agréable, elle a laissé glisser ses lèvres le long de mon cou en direction de mon oreille pour me chuchoter :
Puis encore plus doucement, dans le creux de mon oreille de façon à ce que je sois seule à l’entendre :
Devant mon silence, elle a insisté :
L’excitation du moment faisait passer outre cette douleur sur mes seins, douleur que j’aurais ressentie différemment en d’autres circonstances, mais je n’ai pas voulu résister plus longtemps :
Sur ma demande, il s’est retrouvé entièrement nu en un temps record et Corine a profité de ce laps de temps pour retirer ma jupe. Toujours debout, je regardai les doigts de Marc glisser lentement sur sa tige en observant ce mâle en érection. Une main de ma maîtresse s’est dirigée vers mon sexe pour ensuite laisser son majeur tourbillonner lentement sur mon clitoris. Une nouvelle fois, elle a approché ses lèvres de mon oreille pour me dire :
Ces jeux, ces mises en scène m’excitaient au plus haut point. Je ne suis pas une jouisseuse précoce, mais là, je n’étais sûre de rien ; au contraire, j’étais persuadée de ne pas pouvoir résister encore bien longtemps. Je me suis allongée, les fesses au bord du lit. Corine s’est mise à genoux entre mes jambes. Le contact de sa langue sur mon clitoris a confirmé mon incapacité à pouvoir résister à l’extase encore bien longtemps. Elle avait une façon très particulière de faire glisser sa langue, certainement parce que c’est une femme, certainement comme moi je l’aurais fait, sachant ce qu’il est bon de faire pour mener sa partenaire à l’extase sans délais. Parfois entre mes lèvres, parfois autour de mon clitoris, son bout de chair humide multipliait ses rotations sur les parties les plus sensibles de mon corps. Mais lorsqu’elle a additionné à cette caresse une pénétration de deux de ses doigts dans mon conduit, comme à mon habitude je ne pus contrôler l’ondulation de mon bas-ventre, signe de ma jouissance proche. Et comme je m’y attendais, Corine a cessé immédiatement ce cunnilingus pour me stopper dans mon élan.
Elle a attrapé ma main pour me redresser. Marc est venu s’allonger sur le lit, le sexe dressé vers le plafond ; Corine m’a souri et m’a proposé de profiter ensemble de ce sucre d’orge. Elle tenait fermement dans sa main la queue de son compagnon qu’elle a présentée devant ma bouche. Nous avons fait glisser son sexe entre nos lèvres. Nous l’avons d’abord léché ensemble puis sucé à tour de rôle, Corine décidant des temps de succion dédiés à chacune de nous. Mais lorsque Marc a présenté des signes de faiblesse, elle s’est empressée de fixer son engin dans ma bouche en le masturbant énergiquement afin de me faire profiter du feu d’artifice final. Trois jets successifs sont venus percuter le fond de ma gorge. Son sperme était chaud, épais, et beaucoup plus salé que ceux que j’avais déjà pu goûter. Après m’avoir laissé déguster les moindres gouttes de ce jus, elle a rompu le silence :
Et Marc a enchéri :
Je me suis assise sur ce sexe qui me remplissait parfaitement, pour ensuite écraser mes seins contre son torse. Mon amant a posé une de ses mains sur le creux de mes reins et son autre main sur ma nuque. Contrairement à ce que je pensais, je n’allais pas mener la cadence ; j’ai compris qu’il souhaitait contrôler nos mouvements. À chaque butée de son sexe au fond de mon vagin, mon clitoris pouvait profiter d’un contact percutant sur la base de sa verge. Après plusieurs profonds va-et-vient, ma jouissance était désormais inévitablement très proche, et lorsque Marc a ajusté quelques fessées sur mes fesses pour accompagner ses pénétrations rythmées, je n’ai pu retenir un cri percutant indiquant mon passage au septième ciel.
La rigidité de son pénis toujours emboîté me laissait deviner qu’il bénéficiait encore d’une certaine énergie avant la libération de son nouveau plaisir. Pour ma part, la sensibilité de mon sexe après ma jouissance me faisait échapper quelques cris provenant des sensations fortes que me procuraient ces frottements persistants sur ma paroi. À ma grande surprise, Corine s’est équipée d’un gode-ceinture avant de s’installer dans mon dos entre les jambes de son compagnon qui a immédiatement stoppé ses mouvements pour la laisser s’installer. Tout en étalant du bout de son doigt un lubrifiant sur mon anus, elle m’a adressé une interrogation à laquelle je ne m’attendais pas :
Je n’ai su que plus tard qu’avec cette action, Corine était en train de réaliser un de ses fantasmes. Nous avons fait l’amour à tour de rôle l’un avec l’autre, l’un devant l’autre durant cet après-midi. Corine m’a fait profiter de certains de ses jouets. À mon tour, je me suis appliquée à caresser son clitoris avec ma langue, ce qui m’a également permis d’obtenir quelques félicitations.
Puis, accompagnée du bisou d’au-revoir, Corine m’a envoyé ironiquement :