n° 17527 | Fiche technique | 9159 caractères | 9159Temps de lecture estimé : 6 mn | 19/08/16 |
Résumé: Une voisine provocante... | ||||
Critères: fh extracon inconnu voisins exhib nopéné jeu -extraconj | ||||
Auteur : Joueur (N'hésitez pas à envoyer vos commentaires...) |
Nous venions de les rencontrer. Julien était cadre, Lola avocate. C’étaient nos nouveaux voisins. Nous venions d’emménager dans le sud et après les avoir croisés plusieurs fois, ils nous ont invités à boire l’apéro sur leur terrasse. J’avais apporté du vin et ils avaient insisté pour sortir le pastis.
Je n’avais jusqu’alors jamais pensé à tromper Marie. Mais ce soir-là, c’était différent.
Il me parlait d’argent, je regardais Lola. Elle portait une robe élégante, sous laquelle je devinais de la lingerie fine… Nos yeux se croisaient et jamais elle ne baissait le regard. Ses jambes étaient fuselées, elle venait de mettre de la crème et ses seins brillaient en pleine lumière. C’était le genre de femme qui n’a pas peur des hommes, une chasseuse plus qu’une proie. Je sentais que je lui plaisais… Lola nous informa qu’elle était pénaliste, qu’elle aimait les histoires rocambolesques, qui sortaient des sentiers battus.
Ils nous expliquèrent qu’ils avaient du mal à avoir des enfants. Cela faisant deux ans qu’ils essayaient sans succès. Ma copine crut bon de faire savoir qu’elle avait dû avorter parce que nous étions tellement fertiles l’un et l’autre que la seule fois où elle avait oublié sa pilule, je l’avais mise en cloque. Est-ce à cause de cette phrase que tout le reste arriva ? Je ne crois pas.
Ma femme et Julien étaient en pleine conversation quand Lola me proposa de partager une bière. À ma grande stupéfaction, elle secoua discrètement la bouteille et me regarda en souriant… Elle l’ouvrit. Ce qui devait arriver arriva, la mousse se mit à déborder et tout en me fixant, elle lécha la bouteille de sa base au goulot puis avala la mousse avant de me servir…
Les autres n’avaient rien remarqué.
Avais-je rêvé ? L’avait-elle fait exprès ? Elle avait dit ça avec un ton suave. L’image de sa langue qui léchait le verre avec application avait sans doute transformé ma perception des choses… Son mari se retourna vers elle, et acquiesça du regard avant de se retourner vers ma femme. Ils n’avaient rien remarqué.
Pendant près d’une heure, j’eus l’impression que mon imagination m’avait joué un tour et j’essayai de me concentrer sur Marie.
Après le dessert, Julien proposa de jouer au poker. Ma copine qui n’était pas très joueuse voulait se coucher tôt. Elle me laissa seul avec eux… Tandis qu’il la raccompagnait à la porte, Lola me glissa d’un regard provocant :
Je bloquais un instant,
Quand son mari revint, elle se dirigea vers la cuisine pour nous réapprovisionner en boisson. Elle lui servit un whisky et je me contentai d’une bière. Après quelques tours, son mari qui buvait trop vite s’allongea sur le canapé et ne se leva plus.
Je lui demandai :
Elle me regarda malicieusement et s’exclama :
Je mélangeai les cartes…
Cette perspective ne fit qu’accroître mon envie de continuer. Pourtant je savais très bien que je m’engageais sur un chemin dangereux. Elle le sentit et trouva la parade.
Je ne sais pas pourquoi, mais son explication me suffit et je distribuai les cartes.
Elle regarda les siennes et plongeant ses yeux dans les miens elle poursuivit :
Son mari était à quelques mètres de là et ronflait profondément. J’avais une paire de dames, j’étais sûr de moi. C’est elle qui commença :
Elle étala trois cartes sur le tapis.
Elle était tellement sûre d’elle. Pour le moment, j’étais sûr de gagner, j’avais la plus grosse paire.
Elle étala une autre carte et poursuivit :
J’avoue que j’étais déboussolé. Je ne savais plus si je devais continuer. Elle me faisait tellement d’effet…
Elle revint. Un bouton de son décolleté avait sauté. Ça n’était pas vulgaire, mais ça faisait grosse impression. Je vidai mon shot…
J’étalai la dernière carte :
Elle me regarda triomphante :
Je suivis. Elle bluffait ! Elle n’avait rien !
Je me levai, victorieux !
Elle fit semblant d’être triste et partit chercher une cigarette dans sa chambre. Je croyais qu’elle était partie aux toilettes, mais bientôt elle revint, sûre d’elle, remaquillée et dans une autre robe, plus courte.
Elle alluma, sa cigarette jeta, un coup d’œil à son mari qui dormait profondément et commença :
Je pensai qu’elle allait poursuivre, qu’elle allait venir vers moi, mais elle me dit :
Ça avait le mérite d’être direct, mais je demandai :
Elle mit de la musique et me passa le bras autour de mon cou. Ses lèvres étaient toutes proches des miennes, je pouvais sentir sa respiration, son bassin ondulait sur mon sexe.
Elle me chuchota :
Elle passa ses doigts sous sa jupe et me les enfila dans ma bouche, j’étais comme un chien sur sa cuisse. J’eus l’impression d’avoir goûté le meilleur nectar du monde, j’étais en transe. Et son mari qui était là et qui dormait. Et cette cochonne qui me regardait avec des yeux qui me suppliaient de déverser mon sperme. Je lui empoignai les fesses, elle appuya sa cuisse…
J’essayai de passer ma main sous sa jupe, elle m’en empêcha. Elle me dit d’une toute petite voix :
Elle sortit ma queue de mon caleçon, j’avais le gland qui dépassait. Elle le branla avec sa mouille et me redonna de son liquide miraculeux.
Je jouis comme jamais et tandis que le morceau s’arrêtait, elle me dit :
Elle me poussa vers la porte et alors que j’allais lui dire qu’il manquait ma surprise, elle prononça ces mots magiques.
La porte claqua et je sortis sa culotte tout imbibée de sa mouille…