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Temps de lecture estimé : 13 mn
19/08/16
Résumé:  Kevin, un jeune employé de bureau, rencontre un couple dans un bar, Matt et Bailey. La sensuelle Bailey est un transsexuel, et elle compte bien déniaiser Kevin...
Critères:  hh couplus caférestau travesti trans hdanus hgode hsodo humour
Auteur : Olivier J.  (Un homme qui essaye d'écrire des histoires originales)      
Une journée avec Bailey

Kevin a l’impression de tourner en rond. Cela fait quelques années qu’il est diplômé. Pourtant, il reste un employé de bureau de base, à faire du tableur Excel toute la journée. Il habite un studio à New York, et l’essentiel de son salaire passe dans le remboursement de son prêt universitaire. Et ça fait des mois qu’il n’a pas trempé son biscuit… Sa seule activité, c’est d’aller boire un verre, le vendredi soir. Il a trouvé un petit bar, loin de son bureau (pour ne pas qu’on l’y reconnaisse.)


C’est l’heure de son rituel hebdomadaire. Il entre, s’assoit au comptoir et commande un whisky double. Le barman (unique employé du bar) le sert sans le regarder. Kevin sirote lentement son verre, pour qu’il dure plus longtemps, tout en regardant vaguement un match de base-ball à la TV, puis il commande un deuxième verre. Il voit alors débarquer un couple.


Il fait à peine attention à l’homme, un trentenaire à bouc. Il préfère s’arrêter sur la femme. Une grande brune, avec des hanches un peu larges. Elle porte des tongs, un mini-short en jean, et surtout un top sans manches trop petit, qui fait ressortir ses gros seins. C’est l’unique femme du lieu. Tout le monde la regarde, et elle en est visiblement fière. Le couple part s’installer à une table, près de Kevin. La femme lui fait face. Son mec vient au comptoir et commande une bière pour lui et un cocktail pour elle. Kevin commande un troisième whisky.


À la TV, il y a désormais du basket, mais de toute façon son regard est hypnotisé par cette femme. Ça a l’air d’être une fille de la campagne ; peut-être qu’elle vient du sud profond. Elle est trop vulgaire pour lui. Surtout, elle a visiblement un mec. Mais cela fait tellement longtemps qu’il n’a pas eu de femmes dans ses bras… Il aurait juré qu’elle lui a fait de l’œil, tout en aspirant son cocktail avec une paille. Il jurerait aussi qu’elle fait exprès de se pencher pour qu’il admire son décolleté. À moins que ce soit les whiskies…


Voyant que son verre est vide, il en commande un quatrième. Le barman, poli mais ferme, refuse de le servir : il a trop bu pour ce soir. Kevin se lève, et effectivement il ressent les effets de l’alcool. Il part aux toilettes, histoire de se donner un air présentable : aucun taxi ne veut embarquer un ivrogne. Mentalement, Kevin songe à la bouteille de vodka qu’il a achetée la semaine dernière : il terminera la soirée avec. En repassant dans la salle, il remarque que le couple a disparu.


Dehors, la rue est déserte. Aucun taxi. Une grosse voiture vient à sa hauteur ; c’est le couple. La vitre côté passager se baisse. La femme porte d’énormes lunettes de soleil, et l’homme a un masque de chien. Elle lui dit :



Kevin monte à bord, sans réfléchir. Il est si imbibé qu’il s’écroule sur la banquette arrière. Ils font les présentations :



Il s’endort ensuite. Il entend à peine quelques bribes de conversation :



La voiture s’arrête dans une zone industrielle en pleine réhabilitation. Matt est obligé de porter Kevin jusqu’à leur appartement, puis il le pousse dans un lit. Bailey lui fait un bisou sur le front :



Le lendemain matin, Kevin se réveille avec un mal de crâne incroyable. Il se remémore petit à petit les évènements de la veille : le bar, le couple, la voiture… Comment s’appelait l’homme ? Pat ? Matt ? Mike ? Et la femme ? Sigourney ? Killy ? Miley ? Mini ? C’est le trou noir.

L’appartement est visiblement un atelier dans lequel on a rajouté des cloisons pour créer des pièces. Sa chambre n’a pas de porte. De la chambre mitoyenne, il entend de la musique des années 60 et des halètements sans équivoque.


Il est en sous-vêtements, et ses affaires sont par terre. Il ramasse son portable, qui indique 10 h 30. Kevin a une énorme envie de pisser. Il sort de la chambre. Les autres pièces n’ont pas de porte, à part celle en face de lui. Au fond, il distingue le carrelage blanc d’une salle de bain, mais ça implique de passer devant la chambre du couple. L’envie de pisser est trop forte. Kevin se promet de passer le plus vite possible, sans regarder. Mais lorsqu’il s’élance, il regarde et il les voit de profil. L’homme est nu, à quatre pattes, et la femme est en soutien-gorge, derrière lui, en train de le prendre en levrette. Le tout en écoutant The Monster Mash. Kevin sprinte jusqu’à la salle de bain. La scène l’a choqué. Peut-être qu’ils utilisent un gode-ceinture, comme dans Deadpool. Reste la musique : quel couple baise en écoutant The Monster Mash ?


Il voudrait partir en courant, mais ses habits, son portable, ses clefs et son argent sont dans la chambre. Il doit impérativement y retourner. Il sort de la pièce, et par curiosité il les regarde depuis le couloir. Ils sont toujours dans la même position, mais ils écoutent le générique de La famille Adams. Elle lui donne des coups de bassin toujours plus rapides.



Matt a l’air de prendre son pied. Il se fait sodomiser, et ça lui fait plaisir ! Kevin est interdit. Il remarque qu’aucun fil ou harnais n’est visible sur les hanches de la femme. Alors, que font-ils ? Est-elle en train de lui frapper les fesses avec son pelvis pour simuler la pénétration ? Comme pour lui répondre, elle se recule et Kevin voit avec horreur qu’elle possède un sexe énorme entre les jambes. L’homme se retourne et met sa tête sous le membre bandé comme un arc. D’une simple friction sur ce sexe, elle jouit et le sperme se répand sur le visage de son partenaire.

Kevin est interdit. Elle se tourne vers lui et dit :



Puis l’homme se lève, comme si de rien n’était. Il prend un mouchoir et s’essuie le visage.



Il prépare deux omelettes.



Un silence pesant s’installe. Matt brise la glace :



Nouveau silence. Bailey arrive alors, en nuisette rouge, avec une culotte et un soutien-gorge assorti. Elle est superbe avec ses longues jambes galbées, ses fesses rebondies et ses énormes seins. On dirait une pin-up des années 50.

Kevin a le regard capté par son entrejambe : où est donc passé son énorme membre ? Elle embrasse son mari sur la joue, puis elle s’adresse à l’hôte :



Elle aime bien faire des moues d’adolescente. Mais Kevin repense encore à son sexe. Elle se fait des œufs sur le plat. Lorsqu’elle les mange, quelques gouttes de jaune tombent sur ses seins. Elle les tamponne du bout des doigts, en regardant bien Kevin dans les yeux. Il songe brièvement « J’aimerai bien le lécher, ce jaune… » Il en a le visage cramoisi.

Peu après, Matt se lève :



Il s’habille succinctement, enfile un gilet multipoches, prend un sac avec appareils et objectifs, puis il va vers la porte. Sur le pas de la porte, Bailey se jette sur lui. Ils s’embrassent goulûment tandis que Matt lui pétrit les fesses. Lorsqu’il s’en va, elle fait à Kevin :



Et lui désigne la pièce du doigt.

En l’attendant, il fait donc le tour du salon. Visiblement, ils aiment les vieux films de science-fiction : il y a plein de posters, d’étagères de DVD et de revues d’époque. Il y a également une photo dédicacée d’Elvira. Sur un autre cadre, Bailey pose dans une longue robe noire, poursuivie par un vampire. Il y a aussi beaucoup de revues pornos gays. Et des godemichets de différentes tailles. Certains sont translucides et fluo alors que d’autres imitent un sexe d’homme. Il y en a un long, avec des phallus à chaque extrémité. Kevin se rappelle les paroles de Matt, qui se défendait d’être homo. Quel hypocrite !

Elle entre, vêtue d’un top sans manches rayé bleu et blanc et du short en jean de la veille.



Il s’assoit sur un canapé et prend une revue de SF. Elle s’installe en face de lui dans un sofa. Il a une nouvelle bouffée de chaleur. Il voudrait se jeter sur elle et plonger sa tête dans sa poitrine… Il doit se ressaisir. Lui, il n’est pas gay ; il est hé-té-ro !



Surjouant la déception, elle fait une moue boudeuse, très craquante, puis elle rit à pleines dents, fière de son effet. Kevin essaye de s’intéresser au magazine. Bailey revient à la charge :



Elle n’attend même pas sa réponse ; elle baisse son short et reste jambes écartées, de part et d’autre du sofa. Kevin est encore une fois hypnotisé. Elle prend son sexe en main et commence à faire coulisser sa main dessus. Le membre, circoncis, se dresse ; il doit faire un bon 20 cm de longueur.



Kevin hoche la tête ; il est incapable de parler. Il regarde la main coulisser le long du membre. Parfois lentement, parfois rapidement. Sûre de son effet, Bailey le fixe, les yeux mi-clos.



Elle se lève, attrape l’un des godemichets et sort du lubrifiant d’un petit coffret. Bailey enduit méticuleusement le phallus en plastique et se rassoit sur le sofa. De sa main gauche, elle glisse lentement le gode dans son anus tandis qu’elle reprend sa masturbation. Ensuite elle entre et sort le gode comme s’il la sodomisait. Son corps est agité de spasmes.



Le sperme sort par grosses giclées de son sexe et vient s’écraser sur son haut, puis Bailey s’évanouit durant quelques secondes. Lorsqu’elle revient à elle, elle constate :



Joignant le geste à la parole, elle laisse apparaître deux seins comme des ballons de hand, avec d’énormes tétons roses.



D’un bond, elle fond sur Kevin, s’agenouille et se jette sur sa braguette. Elle en sort un sexe au garde-à-vous et le met de suite dans sa bouche. Quelle experte ! Elle alterne coups de langue et aspirations. Il en ouvre la bouche de plaisir. Cela faisait si longtemps qu’on ne s’était pas occupé de sa bite… et cette Bailey est on ne peut plus experte ! Il a tout juste la présence d’esprit d’empaumer un de ses seins. À peine a-t-il touché le téton qu’il éjacule dans la gorge de Bailey. Elle se relève, embrasse son partenaire et lui retransmet son sperme tout en lui tenant la tête pour maintenir l’étreinte et le forcer à boire, puis elle repart se changer.


Kevin reste prostré durant de longues minutes sur le fauteuil, la braguette ouverte. Des images défilent et s’entrechoquent dans sa tête. Devient-on gay après une fellation par un transsexuel ? Il a aimé faire ça. Il a aimé la voir se branler pour lui, devant lui. Aurait-il couché avec elle ? Et après tout, Bailey est mariée ! Ensemble, ils ont trompé Matt. Il se lève, se rassoit, range son sexe, referme sa braguette, ouvre un magazine, le repose. Il ne sait pas ce qu’il fait.

Bailey arrive devant lui. Elle porte une longue robe de satin rouge qui s’élargit à partir de la ceinture. Elle s’est mis un fond de teint très blanc qui fait ressortir la noirceur de ses cheveux.



Il la suit vers l’une des chambres. Elle est éclairée uniquement par des cierges. La fenêtre est barrée par un tissu rouge. Un pentacle est tracé sur le sol. Il y a une commode dont les tiroirs débordent de gris-gris divers. Après être entré, Kevin remarque qu’il y a un crâne de bouc au-dessus de la porte. Elle sort des cartes :



Bailey est si belle qu’il aurait rendu gloire à qui elle voulait ! Elle se met à genoux par terre et invite son hôte à faire de même. Elle met en marche un lecteur MP3 à peine visible et on entend une musique étrange. Bailey se lève et effectue une danse sensuelle, pleine d’ondulations du bassin. La musique finie, elle se rassoit. Elle sort une bouteille de vin et en verse un beau verre dans une coupe dorée.



Elle boit le verre, mais il est trop incliné. Une rasade tombe sur sa poitrine. Kevin, incontrôlable, se penche sur elle et lèche les gouttes, puis il fait de petits bisous sur ses seins.



Elle le repousse.



À quatre pattes, elle dispose neuf cartes sur le pentacle, suivies d’une dixième qu’elle retourne.



Toujours à quatre pattes, elle relève sa robe jusqu’à la taille, dévoilant ses fesses, et dit à Kevin :



La prendre ? Il ne faut pas le lui dire deux fois ! Il se lève, jette son pantalon, baisse son caleçon et se positionne derrière elle. Elle ne porte pas de culotte et s’était déjà lubrifié l’anus au préalable ; sa queue entre sans effort. Il enchaîne les coups de reins, et elle l’encourage :



Elle avance et recule les fesses pour que la pénétration soit encore plus profonde. Il s’allonge sur elle et continue à la besogner. Cette fois, il pilonne violemment son anus.



Dans cette position, ses testicules touchent ceux de sa partenaire, mais qu’importe : jamais il n’a connu autant de plaisir. Bailey ne reste pas inactive, et même allongée elle ondule du bassin pour qu’il pénètre encore plus loin. Elle transpire ; elle lui fait signe d’ouvrir la fermeture Éclair de sa robe. Kevin est aux anges. Ah, quel cul ! Ils effectuent un roulé-boulé. Kevin est désormais allongé par terre, et elle s’empale sur lui en lui tournant le dos. La pénétration n’est pas plus lente, au contraire. Bailey monte et descend très vite. Voir son sexe disparaître dans sa raie excite Kevin encore plus. Elle joue avec ses sphincters pour comprimer ou relâcher le membre en elle. Une vraie professionnelle de la sodomie ! Puis elle se couche sur lui pour qu’il puisse pétrir ses seins siliconés. Ensuite, Bailey se relève, se retourne et s’empale cette fois de face. Le visage de Kevin n’est qu’à quelques centimètres du sexe de Bailey. Jamais il n’a vu un sexe d’homme d’aussi près ! Et en arrière-plan, il voit son propre sexe happé par l’anus de sa partenaire. Elle reprend son travail de compression/relâchement.



Avec un rictus malicieux, elle lui répond :



Discrètement, elle trempe deux doigts dans le lubrifiant, puis sa main droite fouille entre les jambes de Kevin. D’un seul coup, elle insère deux doigts dans l’anus de Kevin. C’en est trop pour lui : il explose littéralement dans les boyaux de Bailey tandis qu’elle simule une sodomie avec ses doigts. Alors qu’il est encore en elle, elle retire ses doigts afin de se masturber. Elle jouit ensuite sur son torse. Une goutte perle sur son sexe. Bailey lance un très impératif :



Il se retire et s’accroupit devant elle, puis il embrasse le sexe encore turgescent pour capter cette goutte. Il est en transe. Il fait d’autres bisous sur le gland, puis il s’allonge sur le pentacle.

La meilleure baise qu’il ait jamais faite ! Dire que d’habitude, les filles se contentent de rester allongées en écartant les cuisses… Bailey est mille fois meilleure qu’elles ! Kevin se ressaisit : ça y est, il est en train de devenir pédé ! Entre-temps, Bailey a saisi un godemichet et vient vers lui avec un sourire mutin :



Kevin a une expression d’horreur digne d’un cartoon de Tex Avery. Il se lève d’un bond, prend ses affaires, puis il ramasse ses dernières affaires et fonce dehors. Ce n’est qu’une fois sur le palier qu’il réalise qu’il est encore nu, avec du lubrifiant sur l’anus. Il s’habille tout en dévalant l’escalier, manquant plusieurs fois de tomber.

Pendant ce temps, Matt rejoint Bailey et l’embrasse tendrement.