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Temps de lecture estimé : 15 mn
19/08/16
Résumé:  Le plaisir de cette vieille femme était de maltraiter sa poitrine.
Critères:  h fh fagée voisins grosseins hmast fellation pénétratio fsodo sm piquepince -inithf -attirautr
Auteur : San Occho  (Le plaisir, rien que le plaisir)
La voisine aux longs tétins

La première fois… je devais avoir 19 ou 20 ans. Je venais d’avoir mon bac et traînais chez mes parents en attendant que les cours reprennent.

Quelques jours auparavant, j’étais allé chercher une vieille R5 chez mon oncle, dans le nord de la France. Il avait décidé de me filer cette vieille guimbarde. Pas vraiment une bonne affaire (je n’ai eu que des emmerdes avec cette voiture par la suite), mais sympa quand même ; merci, tonton. Au retour, je m’étais arrêté sur une aire d’autoroute et j’avais fait provision de livres de cul. J’étais très consommateur de ce genre d’ouvrage à l’époque, des historiettes sous cellophane aux titres évocateurs. Il y avait en plus toujours de super-promos dans ces stations-service où personne ne me connaissait.


Pour être tranquille et peinard, mes revues cochonnes, j’allais les lire dans la grange délabrée qui était derrière la maison, celle qui n’appartenait à personne. Au-delà des jardins s’étendait une espèce de no man’s land broussailleux, un terrain rempli de ronces et d’orties au milieu duquel trônait une vieille masure à moitié effondrée. Quand j’étais gamin, mes parents refusaient que j’aille traîner là-bas, à cause des serpents et de l’état de vétusté de la baraque qui semblait proche de s’effondrer. Cela ne m’empêchait évidemment pas d’y passer le plus clair de mon temps ; j’y avais mes habitudes, j’en connaissais tous les recoins et m’y sentais dans mon domaine. J’étais d’ailleurs un des rares mômes du quartier à m’y aventurer aussi régulièrement.



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Plus tard, ce lieu isolé avait aussi connu mes toutes premières branlettes ; je m’y sentais beaucoup plus à l’aise que dans ma chambre étriquée qui jouxtait celle de mes parents et celle de ma frangine. C’est là, à l’écart du monde, que j’avais pris l’habitude de me masturber. En montant dans le petit grenier, en regardant par la lucarne, je pouvais même observer certains habitants du quartier et, parfois, en regardant les femmes, il me prenait l’envie de me tailler une petite queue. Certes, ces dames n’étaient pas aussi sexy ni aussi salopes que celles de mes bouquins pornos, mais il me plaisait à penser qu’elles cachaient bien leur jeu. Dans l’intimité, certaines d’entre elles devaient même être sacrément vicieuses, en particulier les petites jeunes du quartier qui jouaient souvent des rôles de pimbêches ou de vierges effarouchées. C’est en tout cas ce que je pensais, tant il est vrai que je ne faisais plus trop la différence entre mes livres de cul et la réalité.


Pour autant, ma vie sexuelle n’était pas très glorieuse. Certes, je n’étais plus puceau depuis belle lurette, j’avais même eu plusieurs copines. Mais, lors de ces maigres expériences, j’avais été loin de retrouver toute la richesse de mes fantasmes. Celles avec qui j’avais couché étaient toujours des filles qui osaient pas ou pas trop, qui refusaient d’emblée certaines pratiques, et surtout qui ne juraient que par l’amour.


« Dis-moi que tu m’aimes ! »


Comme si l’amour et le sexe pouvaient être compatibles ! Moi je n’aspirais qu’à coucher.

C’est pour cela que je me masturbais ; le plaisir que je prenais à m’astiquer la bite allait bien au-delà de celui, très sporadique, que je trouvais dans ces rares parties de jambes en l’air que m’accordaient les nanas du coin. Qui plus est, j’avais un incessant besoin de sublimer les expériences du monde réel. Par exemple, lorsque j’étais avec Charlotte, c’est souvent à sa mère que je pensais et, lorsque j’étais avec Cécile, je l’imaginais en train de se faire violer dans la salle des profs, dans le vestiaire du gymnase ou dans un endroit encore plus glauque ; c’est entourée d’un groupe d’hommes particulièrement vicieux qu’elle me plaisait. Quant à Karine, j’étais persuadé que cette perverse se tapait le berger allemand de ses parents dans l’intimité de sa chambrette. Elle faisait très poupée Barbie, et l’idée qu’un gros clébard puisse la souiller de sa queue poisseuse excitait ma libido. En fait, je ne prenais jamais les filles pour ce qu’elles étaient : il fallait toujours que je m’invente plein de scénarios délirants pour être stimulé.


Toujours est-il que ce jour-là, un après-midi d’été plutôt frais et assez couvert, j’étais allé me réfugier dans la grange pour y mater mes livres de cul ; un, en particulier, que je trouvais fort bien fait avec un titre évocateur, du style « La bonniche offre ses gros nichons », l’histoire de trois amis qui prennent l’apéro dans une somptueuse maison tandis que la femme de ménage espagnole passe et repasse tout près d’eux avec son petit plumeau. L’Ibère n’a vraiment pas froid aux yeux et ne porte pas grand-chose sous son petit tablier hypercourt. Montée sur un tabouret, elle époussette consciencieusement les étagères, montrant son cul d’enfer aux hommes, ce qui donne envie aux trois amis de sortir leurs grosses pines, que cette coquine gobe tour à tour avec une grande voracité. Il n’y a pas besoin de lui demander deux fois, elle n’attendait visiblement que ça !


Devant, derrière, à deux, à trois, elle se les prend tous en alternant les plaisirs, et ils se font une joie d’éteindre l’incendie qui brûle entre les cuisses de l’Hispanique avec leurs grosses lances velues. Bientôt couverte de sperme, elle se dit qu’elle a mésestimé la virilité des trois mâles, alors elle décide d’appeler à la rescousse sa frangine pour lui faire profiter de cette bonne affaire. La jumelle, encore plus cochonne que sa sœurette, rejoint alors le quatuor pour un assaut final.


Et moi de me branler jusqu’à la dernière page et de m’en foutre plein les doigts… Quel panard ! J’ai dû grogner comme une bête féroce et me suis vidé de toute ma semence. Ensuite, tenant toujours dans ma main ma queue poisseuse, j’ai feuilleté à nouveau le bouquin pour en revoir les photos les plus marquantes. « Putain de salope ! Vivement que je bosse, que je puisse, moi aussi, me payer une femme de ménage vicieuse… »


Tandis que j’étais en train de rêvasser à ces futurs ébats, un bruit derrière moi retint soudain mon attention. J’avais beaucoup trop l’habitude de ce lieu, de ses bruissements, de ses craquements pour ne pas trouver ce son habituel ; je me doutais bien que je n’y étais plus seul. Je me suis retourné, paniqué à l’idée de me retrouver face à ma mère ou à ma sœur, prêt néanmoins à toute éventualité… Mais ce n’était en fait qu’une de nos voisines, madame Tellier, qui me dévisageait avec un air strict et sévère. Pris en flagrant délit, la queue à la main, je devais avoir l’air particulièrement débile. En plus, je ne pouvais même pas me rhabiller vite fait, car j’avais laissé traîner mon pantalon et mon slip un peu plus loin, à cheval sur une vieille planche.


Madame Tellier – je la connaissais depuis toujours – était notre plus proche voisine. Préretraitée depuis quelque temps et divorcée d’un premier mariage, elle vivait maintenant avec le maçon du coin. Je n’avais jamais fantasmé sur elle, peut-être parce que je la connaissais vraiment trop bien et qu’elle faisait un peu bobonne. Dans le quartier, c’était aussi une vraie commère ; elle discutait souvent avec mes parents… qu’allait-elle d’ailleurs leur raconter à mon sujet après m’avoir découvert ainsi ? Quelle situation embarrassante !


Gêné, j’esquissai un sourire peu convaincant qui ne sembla pas perturber ma visiteuse. Mais j’eus alors la grande surprise de voir celle-ci avancer droit vers moi, sans arrêter de me regarder. Qu’allait-elle faire ? L’espace d’un instant, j’eus peur de me recevoir une baffe. Au lieu de ça, je la vis dégrafer les boutons de sa chemise, une grosse liquette de trappeur en coton épais. Elle avait une sacrée paire de miches, la mère Tellier, mais c’était la première fois que je les voyais avec mes yeux de visu. D’habitude cette grosse poitrine était camouflée sous une tonne de linge et semblait plus ou moins informe. Certes, elle était vraiment très lourde, mais ainsi dévoilée elle ne semblait plus aussi tombante que je ne l’aurais cru de prime abord et, quand la voisine finit par extraire une à une chaque mamelle de leur prison, j’eus la surprise de ma vie en voyant la grosseur et la longueur de leurs tétines. Je n’avais jamais vu ça, dans aucun bouquin de cul, pas même sur Internet : ces tétins semblaient vraiment obèses ! Je savais qu’elle avait élevé des enfants, qu’elle avait été nourrice lorsqu’elle était plus jeune. Était-ce le fait d’avoir allaité qui avait développé de cette façon ses appendices ? Est-ce que toutes les nourrices étaient comme ça, deux ou trois centimètres de long et un bon centimètre de diamètre ?



Était-ce la mère Tellier qui me parlait ainsi ? Je reconnaissais à peine sa voix et encore moins sa façon de faire. Sans hésiter, elle m’agrippa violemment par la tignasse et m’attira fermement vers son téton droit.



Tétine après tétine, je me mis à lui téter le bout des seins, d’abord du bout des lèvres puis avec de plus en plus de force au fur et à mesure qu’elle m’y encourageait. Elle me demanda de lui mordiller les bouts puis de les lui étirer avant de les téter à nouveau. Cela dura, en tout, une bonne demi-heure et ses tétins devinrent tout durs. Chaque coup de langue lui arrachait désormais de profonds soupirs. Je n’avais jamais vu ça et ignorais que ce puisse être possible ; j’avais la nette impression qu’elle était en train de jouir par le bout des seins. À la fin, n’en pouvant plus, elle les retira de ma bouche, en prit un dans chaque main et se mit à se les pincer très fort. Un long grognement s’échappa alors de son être tandis que, le dos fermement calé contre le mur de pierres, elle se laissait glisser lentement vers le sol jusqu’à se retrouver le cul par terre, les yeux révulsés, complètement hagarde.

Inutile de préciser qu’elle venait, apparemment, de prendre un sacré pied !


Elle reprit ses esprits et, avec grande précaution, rentra une à une ses mamelles dans son soutien-gorge. Elle devait avoir mal, car chaque frottement des tétines contre le tissu la faisait grimacer. Mais une fois ses appâts à nouveau à l’abri de leur cocon, elle revint lentement vers moi, en rampant à quatre pattes sur le sol humide et, sans hésiter une seconde, elle avala mon sexe revigoré par ce qu’il venait de voir. Complètement déchaînée, elle me pompa avec une énergie peu commune. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle ne suçait pas du bout des lèvres, la mère Tellier ! D’ailleurs ma bite ne tint pas très longtemps face à ce traitement de choc. J’éjaculai bientôt dans sa bouche et elle avala le tout sans sourciller.

Sur ce, elle ne s’éternisa pas sur le lieu du forfait. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se releva et s’en fut sans un mot de plus en reboutonnant prestement sa chemise.


À partir de ce moment-là, j’eus évidemment une tout autre opinion vis-à-vis de cette bien curieuse voisine. Malheureusement, je ne la voyais jamais seule, car son mari était en arrêt maladie, immobilisé chez lui pendant plusieurs semaines. Plusieurs fois néanmoins, elle vint à la maison discuter avec ma mère, mais son attitude envers moi n’avait pas changé d’un iota. Elle faisait mine de rien, comme si rien ne s’était passé entre nous. Pas un regard, pas un sourire, pas une allusion, alors que de mon côté je n’arrêtais pas de penser à ses mamelons obèses et à la façon dont elle aimait se les faire téter.


Plusieurs fois aussi j’étais allé l’attendre dans la grange, espérant sa venue, me masturbant des heures durant avec l’envie qu’elle me surprenne à nouveau. Mais, à mon grand désespoir, elle n’était jamais revenue.

Il me fallut attendre plus d’un mois pour que l’occasion se représente.



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Un matin, en sortant de chez mes parents, la porte de la voisine s’ouvrit :



Elle était en chemise de nuit dans son entrée, et il ne me fallut que quelques secondes pour me décider à l’y rejoindre. Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite pour m’assurer que personne ne me voyait entrer chez la mère Tellier. Elle referma la porte derrière moi, mit le verrou, tourna un tour de clef.



Elle décida d’extraire à nouveau ses lourdes mamelles perdues sous sa nuisette et m’invita à les lui téter.



Et, comme la fois précédente, elle m’agrippa par la tignasse et me tira les cheveux sans ménagement.


Lorsque ses bouts furent bien durs, elle me demanda de les lécher plus lentement et plus en profondeur, d’accroître encore l’aspiration. Visiblement, elle prenait un réel plaisir à se faire téter les seins : elle gémissait, elle haletait, elle n’en pouvait plus, mais en redemandait encore. Elle tint encore de longues minutes puis, hors d’elle-même, elle se jeta soudain sur la table de nuit, saisit dedans deux pinces à linge et se les accrocha sur les tétons. Un cri qui tue remplit alors toute la pièce, curieux mélange de douleur et d’orgasme. Elle grimaçait sans retenue, torturée dans tout son corps, mais elle me demanda encore de m’approcher, de lui lécher le bout des tétons, mais cette fois seulement la pointe. À chaque petit coup de langue, son corps se cabrait et semblait comme pris de spasmes ; c’était vraiment très impressionnant, encore plus que la première fois, beaucoup plus douloureux aussi, mais la douleur semblait pour elle une source de jouissance.


Après cette longue séance, elle resta prostrée durant de longues minutes et je m’aperçus qu’elle saignait parce qu’elle s’était mordu les lèvres jusqu’au sang. Elle retira finalement les pinces avec d’infinies précautions, mais ne put remettre sa chemise de nuit de suite, le moindre frottement lui faisait beaucoup trop mal, ses seins étaient trop endoloris.

Elle refusa que je la touche et encore plus que je l’embrasse. Elle s’allongea simplement sur le lit, et relevant tant bien que mal sa nuisette, elle me présenta sa chatte poilue et écarta largement les cuisses. Le message était fort clair : elle voulait maintenant que je la baise. Chagriné parce que je n’avais pas de préservatif, elle perçut de suite mon désarroi :



Tout en enfilant la protection, je me surpris à me demander ce qui poussait cette femme mariée à se trimballer ainsi avec une boîte de capotes dans son sac à main. Peut-être n’était-elle pas si sage que cela, après tout ! Peut-être se faisait-elle téter par tout le voisinage ! Mon père y avait-il goûté ? Et mes copains ? Plus vraisemblablement, les piliers de bar du troquet !


De la savoir aussi salope ne fit que décupler mon envie d’elle, cette brave femme à qui on aurait donné le Bon Dieu sans confession… Je l’enfilai d’un coup et la baisai sans ménagement, avec vigueur, à grands coups de reins pour bien faire bouger ses mamelles, ce qui la fit inévitablement grimacer. Entre douleur et fièvre, elle explosa à nouveau de jouissance ; je sentis un flot de mouille bien chaude s’écouler entre ses jambes, humidifier les draps, ne sachant d’ailleurs plus très bien s’il s’agissait de cyprine ou de pisse. Il y en avait partout ; le lit était trempé, et moi avec. J’avais joui, moi aussi, et lorsque je me retirai d’elle, je m’aperçus que la capote avait cédé : j’y avais été tellement fort, avec une telle violence qu’elle n’avait pas résisté aux frottements répétés. J’étais confus, mais heureux ; j’aurais bien recommencé, mais elle me demanda de me rhabiller, de la laisser, refusa encore que je la touche, se réajusta tant bien que mal en préservant ses seins.


Je la pressai de questions, essayant de savoir quand nous pourrions nous revoir, m’évertuant à obtenir un nouveau rendez-vous. « Au hasard de la vie… » répondit-elle, énigmatique. Elle ne voulut pas en démordre ni s’engager pour une nouvelle rencontre et me mit pratiquement à la porte.



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Cet été-là, cette expérience se répéta une bonne dizaine de fois, toujours à son initiative, la plupart du temps chez elle et deux fois de suite dans un sous-bois où je l’avais emmenée avec ma R5. La seconde fois, la voiture tomba en panne et il fallut faire du stop pour rentrer chez nous.


À chaque rencontre, toujours le même rituel. Nous commencions par torturer ses seins le plus longtemps possible, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Puis elle m’accordait le droit de la baiser ou même de l’enculer et, plus rarement, elle me suçait. Par contre, elle refusait tout baiser sur la bouche et toute marque de tendresse ou d’affection. Elle ne voulait que du sexe : du sexe violent, profond et sans état d’âme.


Par la suite, j’ai déménagé pour mes études, mais lorsque je revenais chez mes parents, c’était toujours avec le secret espoir de m’éclater avec Ginette. Malheureusement, les circonstances étaient rarement favorables pour un tête-à-tête torride. Son mari à nouveau souffrant, cloué au lit, en longue maladie, et ma famille aux petits soins pour moi, pour profiter de mes rares visites. Quatre ans d’abstinence donc, privé de mes tétines favorites, le temps pour la mère Tellier de prendre un peu plus d’âge et pour votre serviteur de se trouver une fiancée.

Je n’aurais donc jamais cru téter Ginette à nouveau !



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Nous étions l’autre week-end chez mes parents quand une dispute éclata avec Maryse. Il faut dire que ma promise est enceinte jusqu’aux dents et très à cran, ces derniers temps. On ne peut absolument rien lui dire sans qu’elle se sente agressée et, ce jour-là, elle avait complètement pété les plombs et s’était monté le bourrichon pour une poignée de pacotilles. Aussi sanguine qu’elle peut être chaude quand l’envie lui en prend (c’est d’ailleurs pour cela que je l’adore et que nous nous entendons si bien au lit), elle avait été vraiment infecte. Ensuite, sans se démonter, elle avait piqué ma bagnole et s’en était allée sans demander son reste, me laissant le soin d’expliquer à ma mère le pourquoi du comment, qu’il ne s’agissait sans doute que d’un petit mouvement d’humeur… mais le week-end était gâché.


Sur ce, dame Ginette, à laquelle cette dispute tonitruante n’avait pas échappé, flaira sans doute le bon plan puisqu’elle ouvrit ses persiennes pour nous faire un petit coucou. Nous discutâmes un bon quart d’heure et elle m’apprit que son mari était décédé depuis l’été dernier, ce que je ne savais pas.



Elle s’arrangea alors pour insister lourdement sur le fait que la porte de la maison côté jardin était à moitié cassée et qu’elle ne fermait plus à clef :



Elle ne pouvait guère en dire plus sans éveiller les soupçons de ma mère qui écoutait poliment et qui tint d’ailleurs à rassurer notre chère voisine. Mais le message était pour moi très clair : la porte resterait ouverte pour que je vienne à la tombée la nuit retrouver Ginette dans son lit. Sans doute voulait-elle que je m’occupe à nouveau de ses grosses tétines.


Durant tout le dîner, je fus torturé par les remords. « J’y vais ou j’y vais pas ? » Tromper Maryse avec cette vieille femme, c’était probablement dégueulasse, surtout dans l’état où était ma moitié. Mais après tout, il ne s’agissait que d’amour très physique, et ma fiancée avait peu de chance d’être au courant de cette incartade. De toute façon, ma décision était déjà prise, car j’avais vraiment trop envie de baiser à nouveau Ginette.


Une fois tout le monde au lit, j’ai sauté par la fenêtre dans le jardin et je suis allé discrètement chez la voisine. La porte était ouverte et la mère Tellier m’attendait entièrement nue sur son lit, ses longs tétons ornés d’une chaînette qui pendait sur son ventre replet. C’était la première fois que je la voyais ainsi, entièrement nue, à la fois grassouillette et ridée, avec une chatte entièrement glabre. Cette cochonne s’était fraîchement rasé l’entrecuisse.



Ce en quoi elle n’avait pas complètement tort. Maryse avait beau avoir une très jolie poitrine, opulente et bien ferme, gonflée en plus par la maternité, elle n’était pas aussi exotique que celle de la voisine. Je pris tout mon temps pour téter avidement la retraitée qui, entièrement vouée au massacre de sa poitrine, ne faisait que m’encourager à la maltraiter. Les gémissements succédèrent aux soupirs, les cris aux gémissements. Elle voulut que je tire aussi très fort sur la chaînette que je lui allonge ses bouts rougeoyants qui n’en pouvaient plus de tant de souffrance. Explosions de plaisir ou douleur tyrannique, elle finit par me repousser avec un hurlement de bête.

Elle mit encore un temps infini à retirer ses chaînes, un simple effleurement la faisait souffrir et, alors que je me proposais de venir la saillir, elle s’y refusa avec force :



Elle s’allongea alors lentement sur le lit, me demanda de lui donner le tube de crème qu’elle étala avec largesse, mais très lentement, partout sur sa poitrine balourde.



Le lendemain après-midi, profitant du fait que mes parents faisaient la sieste, je suis allé retrouver madame Tellier et, comme promis, harnachée cette fois d’un soutien-gorge très confortable, elle s’est offerte par les trois trous. Nous avons baisé jusqu’à mon départ, au désespoir de ma mère qui se demandait où j’étais passé.

Quant à Maryse, quand je l’ai retrouvée, la crise était passée. Elle m’a accueilli à bras ouverts, s’est même proposée pour me tailler une petite pipe, sauf que ce soir-là j’étais vraiment trop crevé. Forcément, après un tel voyage !


Je ne regrette en tout cas pas de l’avoir trompée, et je sais que si j’ai à nouveau l’occasion de téter dame Ginette, je le ferai à nouveau avec plaisir.

Après tout, on ne vit qu’une seule fois.