n° 17534 | Fiche technique | 17061 caractères | 17061Temps de lecture estimé : 11 mn | 22/08/16 |
Résumé: Fait vécu, vraiment ? Parfois la réalité dépasse la fiction, parfois. | ||||
Critères: ffh piscine pénétratio confession -extraconj | ||||
Auteur : Xetdemi Envoi mini-message |
Dans une semaine ce sera les vacances, mais en attendant, il faut la passer la semaine. On annonce 34 degrés aujourd’hui avec un indice humidex élevé. Arrivé à mon lieu de travail, j’apprends que mon collègue sera absent aujourd’hui. Je vais devoir faire l’ouvrage seul, la journée va être longue. Je suis horticulteur. La patronne me montre, photos à l’appui, le travail à faire aujourd’hui. La cliente, Véronique H., architecte, désire que l’on crée une plate-bande d’environ quatre mètres sur un mètre à l’arrière de sa maison. Il s’agit d’installer la bordure de plastique, de détourber le gazon à l’intérieur du périmètre ainsi défini, d’enlever 10 cm de mauvaise terre à remplacer par 10 cm de bonne terre de plantation, d’installer les plantes choisies et de terminer en étendant généreusement un paillis naturel.
Juste à charger le camion, mettre la terre dont j’aurai besoin, les sacs d’amendements, les plantes, les outils, brouette, pelles, râteaux, etc., je suis déjà en sueur. Heureusement je supporte bien ces temps de canicule. Je ne serais pas horticulteur si je ne supportais pas la chaleur, le froid, la pluie. Arrivé chez ma cliente, je commence par inspecter les lieux. Voir comment installer mon ouvrage pour être le plus efficace possible avant de décharger le camion. Il s’agit d’une belle grosse maison dans un quartier chic, piscine creusée à l’arrière, une grande pelouse et trois magnifiques arbres en fond de cour. L’orientation est plein sud et aucune ombre là où je vais travailler. Il va faire très chaud, un four !
Pendant que je décharge le camion, la cliente sort et vient à ma rencontre. C’est une belle femme, fin trentaine, en petite robe de chambre qui me laisse voir de belles jambes, parfois un peu de ses cuisses et je peux voir un peu de ses seins quand elle se penche. En ce matin déjà si chaud, voir cette peau déjà perlée de sueur, cette peau qui semble si douce, si invitante, me fait du bien. La vie bouillonne en moi. Madame Véronique est tout à fait charmante. D’après l’expérience que j’en ai, il y a deux genres de femmes riches. Une majorité qui pense que l’argent est la preuve de leur supériorité et qui considère de haut les gens qui travaillent pour elles. Elles sont exigeantes, jamais satisfaites et prennent plaisir à afficher leur mécontentement pour bien écraser le travailleur. Mais il y a une minorité de ces femmes qui a conscience de la chance qu’elles ont, qui se savent privilégiées et qui veulent faire bénéficier d’un peu de leur aisance aux gens qui travaillent pour elles. Elles sont décontractées, simples, avenantes. C’est un plaisir de travailler pour elles. Heureusement Véronique est de ce deuxième type. Elle me dit de prendre mon temps, de prendre les pauses nécessaires qu’impose la chaleur, de ne pas me gêner si j’ai besoin d’eau, de jus. Je n’aurai qu’à demander. Si elle doit s’absenter, Consuela, sa femme de ménage, veillera à ce que je ne manque de rien.
Je commence à travailler. Je déboutonne un peu ma chemise. Non, on ne travaille pas torse nu chez les clients et de toute façon ce n’est pas une bonne idée de s’exposer ainsi au soleil pendant dix heures. Vers 9 heures ma cliente m’avertit qu’elle doit aller faire une course, qu’elle sera de retour dans une heure. Elle est vraiment belle dans sa petite robe-soleil avec ses petites bretelles si minces qui tombent parfois sur son avant-bras, le dos libre, nu. Ce matin, j’aime beaucoup mon métier. Alors que je suis en pause à l’ombre, Véronique revient et par inadvertance, alors qu’elle passe sur le bord de la piscine, elle échappe ses clés dans la piscine, pas dans le plus creux, mais quand même dans les 8 à 10 pieds. Elle ne sait pas quoi faire pour les récupérer. Elle avoue avoir une phobie : elle nage très bien, mais elle est incapable de mettre sa tête sous l’eau. Elle appelle sa femme de ménage, sa bonne, en réalité, une petite Mexicaine de 25 ans environ, légèrement rondelette, habillée simplement d’une petite robe vert pâle qui lui descend aux genoux. À l’aide d’une longue épuisette, Consuela tente de récupérer les clés. Elle ne fait que les repousser un peu plus creux. C’est suite à cette mauvaise manœuvre que les choses sont devenues… intéressantes.
Ne faisant pas de cas de ma présence, Véronique demande à Consuela de sauter dans la piscine pour aller chercher ses clés. Consuela, lentement, déboutonne sa robe et l’enlève. Wow ! Ses dessous beiges sur sa peau mate sont d’un effet tout à fait bandant. Elle a les seins généreux, de belles fesses rebondies.
Cette femme devrait s’appeler Désir. Il devrait être interdit qu’une petite robe insignifiante vienne cacher de tels trésors. Consuela ne plonge pas à la hauteur des clés, elle décide plutôt d’enter doucement dans l’eau à l’endroit prévu à cette fin. Elle descend lentement les marches, elle s’enfonce doucement dans l’eau. Je voudrais être cette eau qui l’enveloppe peu à peu, qui la caresse partout, qui vient maintenant enrober ses seins. Elle nage jusqu’à l’endroit où sont les clés et plonge en offrant à mon regard son cul magnifique. J’aimerais l’admirer longtemps. Je suis en peu mal à l’aise d’être ainsi à côté de Véronique en train de regarder Consuela demi-nue alors que je sens une violente érection qui pointe malgré moi. Consuela descend, étire les bras, mais n’arrive pas à atteindre les clés. Elle s’y reprend à trois fois, sans succès. Elle doit renoncer.
Nous voilà les trois, moi au milieu de ces deux belles femmes à regarder les clés sous l’eau. Alors Véronique me regarde et me dit :
Ce serait facile, mais je ne suis pas habillé pour faire de la plongée. Véronique devine mes pensées. Elle reprend :
Ce qu’elle ne sait pas c’est que mon pénis est bien enflé dans mon pantalon et le fait de me retrouver presque nu devant ces femmes si belles n’arrange rien. Je dois me ressaisir… Je finis par accepter. Je me déshabille là, sur le bord de la piscine. J’ai bien conscience que les deux belles me regardent. Je les sens qui m’examinent de la tête aux pieds, en portant moins attention à la tête et aux pieds qu’au milieu de mon corps. Je plonge rapidement. Cette eau fraîche va me faire du bien et va probablement calmer mon sexe qui a bien de la difficulté à se tenir tapi sereinement. Je récupère facilement les clés. Je me donne un élan pour sortir de la piscine. Dans la manœuvre mon caleçon a glissé à mi-fesses. Consuela regarde la scène avec un grand sourire et une belle flamme dans les yeux. À la voir, je sais qu’elle aimerait… Véronique dit alors à Consuela :
Je reste seul quelques instants avec Véronique qui me remercie chaleureusement pour le service rendu. Elle touche mon épaule, caresse doucement mon avant-bras. Consuela revient avec les serviettes.
Véronique me tend l’autre serviette en me disant de l’enrouler autour de mes hanches pendant que j’enlève mon caleçon pour qu’elle le fasse sécher. Me voilà nu sous cette serviette avec Consuela qui m’essuie le dos, le bas de mon dos. Elle ne se gêne pas pour frotter aussi mes fesses. J’aurais cru que Véronique se précipiterait pour aller faire sécher mon caleçon. Elle reste là.
Consuela se laisse aller. La voilà qui essuie l’intérieur de mes cuisses. Elle passe sous ma serviette et je sens qu’elle essuie doucement mes testicules. Elle est devant moi, tout près, si près. Je sens ses seins qui s’appuient sur ma poitrine. La serviette autour de mes reins n’arrive pas à cacher ma forte érection, mon pénis se frotte sur le ventre de Consuela qui défait ma serviette. Je suis nu entre ses mains. C’est plus fort que moi, j’oublie tout et je commence à embrasser Consuela, à caresser ses seins, à les palper, à les malaxer, à les pétrir. Véronique se place alors derrière Consuela et dégrafe son soutien-gorge en me disant :
Alors qu’on s’embrasse à pleine bouche, Véronique fait glisser le slip de sa bonne jusqu’à ses pieds et me dit :
Et je la pénètre, là, debout, en lui tenant fermement ses fesses si douces.
Sans trop s’en rendre compte, on se retrouve étendus sur le gazon. Je suis sur elle. Comme elle est confortable ! Elle gémit de plaisir à chaque coup que je donne puis je sens mon pénis complètement enveloppé d’une douceur infinie, enserré de volupté et je viens brutalement. Sous mes derniers coups de bélier, Consuela vient aussi en laissant entendre une longue plainte.
Puis c’est comme si je me réveillais. J’ouvre les yeux et je vois Véronique penchée sur moi dans sa petite robe-soleil. Dans sa position, je vois ses seins qui me regardent. Je suis au paradis. Mais la réalité reprend sa place. Me voilà mal à l’aise. Qu’est-ce que je fais là étendu sur le gazon ayant fait l’amour à la bonne de ma cliente ?
Et je les vois qui s’éloignent, Véronique caressant les fesses nues de Consuela. Je suis persuadé qu’elles vont continuer ensemble. Je me rhabille, sans caleçon, et me remets au travail.
À l’heure du dîner, on m’invite à entrer. J’ai mon lunch et je préfère m’installer dans la balançoire à l’extérieur. Je n’ai qu’une demi-heure pour dîner. J’ai du retard à reprendre dans mon travail. Vers la fin de ce court repas, les voilà qu’elles viennent me rejoindre. Consuela s’assoit auprès de moi, Elle m’a apporté un café. Elle met sa main entre mes cuisses. Véronique me sourit et me dit en me regardant :
Ma demi-heure est passée. Je dois me remettre au travail. Je dis à Véronique que ma patronne ne comprendra pas que si peu de travail ait été effectué. Je me sens un peu inconfortable avec ça.
Je reprends le travail. La chaleur est accablante. Vers 16 heures, je vois Véronique sortir de chez elle. Elle porte un très beau petit bikini rouge. Elle vient me voir. Elle se penche sur moi. Elle a les seins très près de mon visage. Elle me félicite pour le travail effectué en me caressant l’épaule, le dos. Cette femme est magnifique. Je ne peux faire autrement que de me demander laquelle, entre elle et Consuela, est la plus belle. Elles sont tellement différentes, mais tellement désirables toutes les deux. Ce que je sais, c’est que Consuela est très chaude, qu’elle mouille d’une mouille si caressante.
Véronique m’invite à me baigner avec elle. Elle n’aime pas être seule dans la piscine. Alors que j’hésite, je la vois au bout du tremplin. Elle plonge, nage toute la longueur de la piscine sous l’eau et réapparaît tout près de moi.
Elle me regarde en souriant :
Pendant qu’elle dit ça, elle a collé ensemble l’index de sa main droite et le majeur de sa main gauche et fait un mouvement de va-et-vient très explicite, très indécent. Qu’une femme aussi distinguée fasse un geste aussi cochon m’excite sur-le-champ. Ma queue ne se pose pas de question, sa décision est prise, elle va se faire cette magnifique femelle et elle l’affirme haut et dur. Je me déshabille et je plonge, loin de Véronique. Par cette chaleur l’eau est si caressante. Je nage sur le dos, lentement, ma queue érigée, sortie de l’eau, semblant regarder les nuages. Véronique ne peut résister à cet appât et me rejoint, et caresse tendrement ma queue avant de se la mettre en bouche. En peu de temps nous nous retrouvons dans la partie la moins creuse de la piscine. Je l’embrasse et je caresse ses seins si fermes. Je ne peux m’empêcher de penser qu’ils sont refaits, mais ils répondent si bien à mes caresses que je leur pardonne leur manque de naturel.
Comme je les caresse et que j’embrasse le haut de ses seins, voilà qu’elle dégage un sein de son bonnet et qu’elle me l’offre.
Alors que je la tète et la suce à grand bruit, elle dégage l’autre sein.
Pendant que je la caresse, Véronique frotte son sexe sur le mien. Elle se masturbe sur ma queue. Je n’en peux plus, j’écarte le peu de tissu qui lui couvre l’entrejambe et je la pénètre. Elle me regarde comme surprise tout en jouant du bassin pour que j’aille au plus creux d’elle et me demande :
Je la besogne longtemps, puissamment puis écartant ses fesses, je caresse son anus ce qui déclenche chez elle de violents spasmes de plaisir. J’aperçois en levant les yeux Consuela qui nous regarde. Elle a relevé sa robe et se caresse. Quand Véronique pense s’en remettre, je viens en elle rudement ce qui déclenche chez elle une deuxième vague de plaisir qui la laisse toute pâmée.
Avant de partir, je dis bien à Véronique que demain nous serons deux et qu’il faudra finir le travail. Plein d’autres clientes m’attendent. Elle me remercie du travail effectué et me dit qu’elle a beaucoup apprécié mon « attitude ». Elle me dit aussi que son mari sera présent le lendemain. Elle se rembrunit quand elle parle de son mari. Elle me dit ceci :
Et elle me remet sa carte en me disant qu’elle aimerait que je travaille quelques fois pour elle pendant ma saison morte. Elle aurait de la peinture à faire, de la neige à pelleter, etc.
Et elle ajoute :
Arrivé à la maison ma femme m’a demandé comment s’était passée la journée.
Je crois que cette journée a été la plus chaude de ma vie, vraiment !