Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17535Fiche technique15971 caractères15971
Temps de lecture estimé : 9 mn
24/08/16
Résumé:  Manon et Fred ont des contacts érotiques, mais presque sages.
Critères:  jeunes freresoeur vacances jardin magasin noculotte odeurs
Auteur : Benoberna      Envoi mini-message

Collection : Manon et Fred, jumeaux
Manon et Fred cueillent des cerises




Longtemps, nous avons partagé le même lit. Enfants, nos parents nous couchaient dans des lits séparés, mais devenus un peu plus grands ils ont bien été contraints d’accepter que nous dormions ensemble, car le matin ils nous trouvaient dans le même lit. Les jumeaux que nous étions ne pouvaient accepter d’être séparés.

Nous allions à la même école, fréquentions la même classe, avec donc les mêmes horaires. La fac ne nous sépara pas non plus, car nous avions décidé de faire les mêmes études. Nous ne nous quittions jamais et c’était très bien ainsi.


Nos parents, commerçants débordés, rentraient tard le soir, partaient tôt le matin, nous laissant, jeunes, livrés à nous-mêmes. Nous n’avions pas de copains, car notre complicité ne leur laissait aucune place. Nous n’étions bien qu’ensemble. Les neuf mois passés, collés l’un à l’autre, dans le ventre de maman nous avait totalement soudés. Nous ne pouvions rien faire l’un sans l’autre.

Nous savions tout de l’autre ; je connaissais même la date de ses règles.

Lorsque nous nous couchions, nous bavardions jusqu’à tard dans la nuit au désespoir de nos parents :



Nous parlions, lumière éteinte, ma tête posée sur la poitrine osseuse d’une Manon, enfant un peu maigre, mais que les années et une puberté précoce, rendirent beaucoup plus confortable. Ou bien Manon s’asseyait entre mes jambes, moi-même assis adossé à la tête de lit, se laissant aller son dos contre mon torse, sa tête sur mon épaule, restant ainsi jusqu’à ce que le sommeil nous emporte.



Mais nous avons résisté longtemps, trouvant tous les prétextes à reporter cette séparation.

Un jour pourtant un deuxième lit fut installé.

Nous avions accepté de ne pas dormir dans le même lit, même si nous ne comprenions pas trop pourquoi, mais nous avions catégoriquement refusé de faire chambre à part. Nous pouvions ainsi continuer à nous parler comme nous en avions l’habitude.


Nous vivions près d’une grande ville, mais déjà à la campagne et, lorsqu’un orage menaçait, que le tonnerre grondait, Manon effrayée me rejoignait, se blottissant dans mes bras et nous finissions la nuit ensemble sans que maman ne trouve à redire.


Nous avions un grand terrain qu’un jardinier entretenait et quelques arbres fruitiers nous régalaient. Cette année, un vieux cerisier était couvert de fruits. L’échelle dressée contre son tronc nous attendait. Manon fut la première à grimper, me demandant de lui tenir l’échelle.


Je suivis du regard son ascension, tenant le panier, mais je fus rapidement troublé par cette situation, ma sœur en mini-jupe, grimpant de branche en branche, effectuant un grand écart, calant son dos contre une grosse branche. Et j’étais dessous, les yeux captés par le fil de son string ne cachant plus rien du fait de la position.



Ce que je fis, regardant bien où je mettais les pieds, tant et si bien que ma tête vint heurter ma sœur, entre ses jambes, puisqu’elle me barrait le passage.



Je levai donc le panier à bout de bras, soulevant l’avant de sa jupe, mon visage à vingt centimètres de l’entrejambe de Manon.


Un bonheur ? penserez-vous. Oui, un bonheur, mais quel supplice !


Pendant que Manon remplissait consciencieusement le panier, je détaillais ce qui m’était exposé que j’aurais pu toucher de mon visage si j’avais grimpé une marche de plus, mes mains étant occupées, l’une à tenir le panier, l’autre à me tenir à l’échelle.



Je changeai de pied pour avoir un meilleur appui faisant en sorte, pendant cette brève manœuvre, d’avoir un bref contact de mon visage avec ce sexe si peu dissimulé. Elle ne pouvait me voir, car sa jupe en corolle me cachait totalement.



Par deux fois, mon nez et ma bouche entrèrent en contact avec l’intimité de Manon. Quelle odeur, mon dieu ! Quelle odeur !


Et je repris ma position, élevant le panier à nouveau, mais mieux installé pour ne rien perdre de la vue.



Le panier était hélas déjà plein.



J’avais suspendu le panier à une branche coupée :



Et ma main largement ouverte soulagea sa descente sur mon épaule, un doigt sur son sexe dont la chaleur me surprit. Lorsqu’elle fut assise, sa jupe recouvrait ma tête.



Elle reprit appui sur ses pieds pour que je puisse descendre avec le panier, posant ses fesses sur une petite branche qui cassa rapidement, lui griffant la cuisse au niveau de l’aine.

Elle descendit et, une fois par terre, je relevai l’arrière de sa jupe, lui demandant de se pencher en avant. Accroupi derrière elle, j’auscultai méticuleusement sa blessure qui manifestement nécessitait une désinfection. Du bout des doigts, je fis le tour de ces griffures, profitant un peu de la situation pour oser toucher le fil de son string, l’écartant même pour constater qu’il faudrait désinfecter jusque-là.



Dans la salle de bains, sa jupe quittée, nous constations qu’il est très difficile de trouver la bonne position pour prodiguer les soins nécessaires, Manon devant se pencher et moi m’accroupir.



Cette position est parfaite, me présentant parfaitement les parties à traiter que je m’appliquai, assis confortablement, à désinfecter.



Et me voilà, saisissant le string sur les hanches de ma sœur, le descendant jusqu’aux genoux, et hélas pour mon petit cœur, me présentant son intimité sans entrave. Je nous vois, dans le grand miroir, ma sœur à genoux, la tête dans l’oreiller, son string baissé, me présentant son postérieur et moi, derrière elle, agitant mes mains autour de son sexe.

Cette image est surréaliste. Je lui fis remarquer.



J’eus, je l’avoue, un instant d’hésitation avant de commencer ce pour quoi nous étions installés dans cette position. Je ne pus m’empêcher de regarder ce qui m’était si innocemment présenté : ses poils si clairs qu’ils ne cachent rien, ses lèvres roses légèrement ouvertes, sa rosette imberbe… Je commençai à tamponner les griffures avec un désinfectant, d’abord les cuisses et ensuite remontant vers le sexe près duquel se trouve l’essentiel des lésions.



Je constatai rapidement que ces lésions ne sont que superficielles, même si quelques gouttes de sang étaient apparues, mais je m’appliquai à tout bien nettoyer, n’hésitant plus à soulever d’une main les poils pour mieux accéder à ces trésors exposés que je nettoyais de mes doigts, ayant laissé tomber le désinfectant profitant, je l’avoue, de la situation.



Mais là, je ne me rendis compte de l’ambiguïté de la situation que lorsque mon nez fut chatouillé par ses poils et que, fermant les yeux, je ne pus m’empêcher d’inspirer fortement pour profiter de cette si douce odeur.



Ce qui me surprend encore, c’est que je pus me retenir. Tout ceci me perturbait certes, mais je gardais mon sang-froid, contrôlant parfaitement mes réactions, car j’avais bien conscience qu’avant d’être une femme, Manon est ma sœur.


L’après-midi se passa ainsi, Manon sans culotte sous sa jupe, parcourant les rayons de l’hyper où nous étions venus passer le temps, puisqu’elle ne pouvait s’asseoir. Fouillant dans les CD, je la cherchai du regard quand j’aperçus au rayon BD, un homme dont j’ai tout de suite compris le manège. Connaissant Manon, elle devait s’exhiber sans se souvenir qu’elle n’avait pas de culotte et le bonhomme l’avait repérée. Je contournai le rayon pour me retrouver derrière lui et découvris ma chère sœur accroupie devant le rayon, genoux largement ouverts, présentant à qui voulait bien se donner la peine de regarder, un tableau dont elle n’avait nulle conscience de l’indécence et de la puissance érotique. Je feignis de n’avoir rien vu, me disant qu’il n’allait tout de même pas la violer ; et puis le tableau était si beau que j’éprouvais une certaine fierté à ce qu’un homme regardât ainsi celle qui était ma sœur à moi. Le manège dura un certain temps, revenant moi-même regarder, attiré comme par un aimant.

Elle se releva enfin, me vit, s’approcha, prit mon bras et me dit :



L’homme s’en alla, déçu que le spectacle prît fin aussi rapidement, rejoindre son épouse qui poussait son caddie.

Rentrés à la maison Manon me demanda :



Soulevant sa jupe, je lui demandai d’écarter les jambes pour que je puisse mieux inspecter. Du bout des doigts, je parcourus la partie blessée, ne négligeant pas la plus petite éraflure. Tout semblait parfait à l’exception d’une vilaine griffure encore pas sèche entre les cuisses, près de la vulve.



La position était inconfortable, pour elle et pour moi.



Me voilà prêt à intervenir, assis sur une chaise entre les cuisses de ma sœur, mon visage à vingt centimètres de sa fourche, en train de désinfecter une petite plaie en fait déjà guérie, mais humide de sa chaleur intime. Je fis bien sûr durer un peu le plaisir, m’attardant à toucher ses poils, à sentir le parfum qui s’en dégageait.



Et je lui fis un bisou, sans hésitation, sans que cela paraisse me troubler, ni la troubler davantage, pas sur les griffures, mais sur son sexe, sur ses poils, sur ce que j’avais eu beaucoup sous les yeux aujourd’hui.

Elle sauta sur ses pieds et à son tour m’embrassa, mais sagement sur la joue :



À son retour, maman nous félicita pour la cueillette des fruits.



Très, très dure journée pour mon petit cœur ! Heureusement que la masturbation existe, activité que je pratiquais frénétiquement avant d’aller me coucher, ce qui me permit de m’endormir sans repenser aux épreuves que je venais d’affronter. Le lendemain, alors que nous nous habillions, et après une petite inspection visuelle de ses plaies, je lui dis :



Je n’avais pas pensé à ça, mais à cette saison il y a peu de personnes au tennis et puis ils ne remarqueront pas forcément cette absence de culotte.

Et puis j’adorais cette idée que des hommes regardent ma sœur. Et nous voilà partis, à vélo, Manon pédalant devant moi, comme si de rien n’était, sa jupette volant, ses fesses directement en contact avec la selle. La journée commençait bien avec un tel spectacle, surtout en grimpant la dernière côte avant l’arrivée, Manon en danseuse devant moi, belle comme le jour.


La partie nous fit bien transpirer et je pense que personne ne remarqua la tenue de ma sœur, si ce n’est cet ado boutonneux qui s’était proposé pour ramasser nos balles, et qui revenait toujours s’accroupir derrière elle. Le vestiaire rudimentaire disposait d’une seule douche en fonctionnement dans laquelle nous fîmes notre toilette, un peu à l’étroit à deux.

Nous croyant seuls, nous ressortîmes nus, mais le gamin de tout à l’heure était là, feignant de chercher quelque chose après avoir détaillé Manon des pieds à la tête.


Retournant à la maison nous roulons côte à côte, lorsque ma sœur me dit :



J’en avais un paquet dans le sac attaché sur son porte-bagages. Je couchai mon vélo et entrepris de nettoyer la selle, totalement trempée.



Et me voilà, nettoyant ma sœur qui tenait le guidon des deux mains, jambes écartées, avec un Kleenex détrempé, mais qu’importe, glissant mon doigt entre ses lèvres, cherchant à éponger toute trace d’humidité. Prenant un autre mouchoir pour finir le travail, je repassais consciencieusement un peu plus avant dans sa vulve.



J’attachai sur sa selle une serviette éponge pour que le retour se passe bien et il se passa bien.