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n° 17541Fiche technique9202 caractères9202
Temps de lecture estimé : 6 mn
30/08/16
Résumé:  J'ai été surpris de voir que ma voisine n'était pas une femme !
Critères:  hh voisins trans intermast fellation hsodo -transsex
Auteur : Etgland      
Homme ou femme ?

En ce mois de juillet, j’étais seul à la maison, ma femme s’étant absentée pour quelques jours. J’en profitais donc pour aller sur des sites internet coquins et satisfaire à quelques-unes de mes envies refoulées… Enfin la routine si je puis dire !


Ce jeudi, après avoir regardé le film du soir sur une chaîne publique, je décidai de descendre mes poubelles sur les coups de 23 heures. Je descendis l’escalier puis rejoignis le local-poubelle dans la cave. Dans celui-ci la lumière était allumée et je me retrouvai nez à nez avec ma voisine du dessus qui, elle aussi, était descendue jeter ses ordures dans le container prévu à cet effet.


Après quelques politesses d’usage, la conversation s’engagea.

Depuis longtemps je la reluquais et lui trouvais quelque chose de singulier, mais je n’avais jamais approfondi la question. Elle m’excitait terriblement et je pensais à elle et à ce que l’on pourrait faire ensemble avant de m’endormir dans les bras de Morphée… mais jamais je n’aurais imaginé ce que cette femme aurait pu être !


Elle était blonde avec de grands cheveux soyeux, de taille moyenne avec une poitrine assez volumineuse, habillée d’une jupe écossaise, lui arrivant à mi-cuisses ainsi que d’un chemisier blanc qui faisait apparaître au travers de celui-ci un soutien-gorge blanc dentelé.


La conversation dura quelques dizaines de minutes et, au vu des odeurs dans ce local et à la lumière qui s’éteignait toutes les trois minutes, elle m’engagea à terminer cette conversation chez elle en prenant un verre. Étant seul, je ne me suis pas fait prier pour accepter son invitation.


Elle me devança dans l’escalier ainsi je pouvais voir son derrière onduler, admirer sa croupe se balancer au rythme de ses pas et jeter un œil furtif sous sa jupe sous laquelle je devinais quelques trésors cachés. Ma queue commençait à se durcir dans mon pantalon en imaginant une pléiade de choses sexuelles. Mon esprit commençait à fantasmer sur cette femme qui m’emmenait chez elle.


Nous rentrâmes dans son appartement et elle me pria de m’asseoir sur le canapé pendant qu’elle allait chercher deux bières bien fraîches.

La lumière tamisait la pièce et étant curieux de nature, je me mis à farfouiller de-ci de-là dans quelques revues posées sur la petite table basse. En fouillant, je remarquai une revue de transsexuelles. Très intéressé par cette publication, je n’ai pu m’empêcher de la feuilleter jusqu’au moment où Murielle (c’était son prénom) arriva avec les deux boissons.


Gêné, je reposai aussitôt la revue et elle me demanda en souriant si je l’avais appréciée !



Elle vint prendre place en face de moi et écarta légèrement les jambes. Mon regard n’arrêtait pas de se poser sur son entrecuisse. Dans ma tête, j’avais envie de me lever et de la prendre, de la caresser, de la lécher et de la baiser comme une bête, mais Murielle engagea une conversation sur nos fantasmes, nos envies et nos goûts en matière de sexe. Ma voix tremblota au début de notre conversation n’ayant pas l’habitude de parler à des inconnues de mes désirs sexuels et dévoiler mes envies, mais elle sut très vite me mettre à l’aise. Elle se leva pour s’asseoir juste à côté de moi. J’avais envie de cette belle femme au corps de rêve et lorsqu’elle posa sa main sur ma cuisse, je décidai de poser mes lèvres sur les siennes pour un baiser langoureux. Nos langues se mêlèrent, fouillant ainsi nos bouches qui laissaient passer un brin de salive sur nos joues et nos mentons.


Sa main commença à caresser mon entrejambe puis remonta vers ma braguette. Je n’en pouvais plus, j’avais la queue tendue dans mon pantalon, prête à exploser. Elle dégagea ma queue emprisonnée par mon boxer puis elle se leva et défit son chemisier ainsi que son soutien-gorge. Je regardai ses seins portant chacun une petite cicatrice. Je ne pouvais défaire mon regard de ces mamelons provocants.


Elle me demanda de me mettre nu, ce que je fis avec une très grande rapidité. Elle s’allongea sur le canapé et moi debout avec ma queue bien tendue en main, je me mis à genoux devant elle et je décidai pour débuter de lui embrasser les tétons qu’elle avait de magnifiques et bien durs.


Je pris ses seins dans mes mains, les malaxai avec mes doigts pour les prendre en bouche. Elle gémissait en posant ses mains sur ma tête. Je descendis ma bouche en la léchant le long de son corps jusqu’au nombril. Elle me disait de continuer. Je soulevai sa jupe, passai la tête dessous et au moment où je voulus lui faire un cunnilingus, quelque chose de dur et de raide cogna contre mon visage. Je compris à ce moment-là que notre chère Murielle n’était autre qu’une transsexuelle.


Je voulus me retirer et partir, mais Murielle écarta ses cuisses et m’obligea à la sucer. Je n’avais encore jamais sucé un homme ni un travesti ni une transsexuelle, mais le fantasme de le faire, ça oui !


Elle prit sa queue dans sa main, posa son autre main sur ma tête et m’obligea à la sucer. Sa queue d’environ vingt centimètres était fine et je la pris entre mes lèvres, la suçant avec un peu de maladresse certes, mais avec beaucoup d’excitation. Je pris son sexe dans ma main pour le porter à ma bouche. Je la suçai, la pompai comme une salope la sortant de ma bouche pour lécher sa hampe, son gland et ses couilles. De temps à autre, en la masturbant, je donnais des coups de langue sur son œillet déjà bien mouillé. Elle gémissait et me disait que pour une première fois, c’était pas si mal.


Je me masturbais en même temps que je la suçais, c’était divin, il n’y avait plus de frontière, j’étais prêt à tout. Elle le comprit rapidement puisqu’elle me demanda de me mettre à quatre pattes par terre un coussin sous ma tête. J’étais dans cette posture, offert à cette créature mi-homme, mi-femme, le cul bien relevé et prêt à subir les assauts de la belle.


Elle se positionna derrière moi, m’écarta les fesses et commença à me lécher le cul en me caressant le sexe et les couilles. Pour la première fois de ma vie, je mouillais du cul. Elle me traita de salope en me claquant les fesses. À chaque petit coup le plaisir montait en moi et je ne sais pas pourquoi, je lui ai dit de me prendre le cul ! Elle me doigta tout d’abord pour me préparer à cette future sodomie que je désirais et qu’elle voulait me faire subir. Un puis deux doigts entrèrent dans mon cul. Je les sentais forcer mon anus et bouger à l’intérieur de mon corps.


Elle se leva et alla chercher un préservatif dans la pièce d’à côté pour se l’enfiler sur sa longue et fine queue. Elle se rapprocha de moi, toujours dans la posture de la levrette et me fit sucer sa verge avec son gland luisant de mouille en me traitant de petite pute et de salope et se replaça derrière moi.


Elle dirigea sa verge tendue vers mon petit trou encore vierge et commença à s’introduire entre mes fesses. J’avais mal, mais elle me tenait par les hanches et me dit de ne pas broncher. Je serrais les dents puis son gland pénétra ma rosace jusqu’ici inviolée et sa hampe s’engouffra dans mon cul toute entière. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses et son sexe aller et venir en moi. La douleur avait fait place au plaisir. Elle me labourait les entrailles et je me branlais par dessous. Jamais je n’avais eu une érection aussi importante. Le plaisir commença à m’envahir, je lui disais de continuer, de fesser mon cul de salope et de me ramoner le cul comme une pute.


Elle accéléra ses mouvements de va-et-vient dans mon cul, sortant parfois sa queue de celui-ci pour mieux y replonger à l’intérieur.


Au bout d’interminables minutes où mon plaisir montait, elle sortit de mon cul, enleva sa capote et présenta sa bite à ma bouche. Elle se masturba et déchargea tout son foutre au goût sucré sur ma langue, dans ma bouche et sur mon visage. C’était bon de sentir ainsi son sperme m’éclabousser le visage. Elle me retourna sur le dos et entreprit de s’asseoir sur mon visage. J’avais son trou du cul sur ma bouche. Elle remuait sur mon visage pendant qu’elle me pompait divinement.


J’étais tellement excité que j’ai joui de grandes saccades de sperme sur mon ventre.

Elle se retira de cette position et prit ma liqueur entre ses doigts pour la porter à ma bouche.

Elle prit tout mon sperme et me le fit boire. C’était bon et jamais je n’aurais cru lécher ainsi ma semence. Elle voulut me faire essayer une de ses jupes, mais comme il était tard, je repartis chez moi, imprégné de toutes ces odeurs de sexe et de sperme. Arrivé chez moi, je pris une douche et en pensant à ma voisine je me suis masturbé.