Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17544Fiche technique8790 caractères8790
Temps de lecture estimé : 6 mn
31/08/16
Résumé:  Chiara a rendez-vous avec Houari dans un hôtel. Deux employés la "préparent".
Critères:  fh ff ffh fbi inconnu uniforme hotel soubrette fmast massage cunnilingu pénétratio attache
Auteur : Alqui
Chiara a un rendez-vous

Houari et Elsa avaient rencontré Pat et Chiara lors de vacances en Espagne. Ceux-ci les avaient invités chez eux, mais Elsa n’ayant pas pu se déplacer, Houari s’était seul rendu à Nancy. Accueillante, Chiara, le temps d’une nuit, avait partagé son corps et ses plaisirs entre son époux et Houari, à leur plus grande satisfaction à tous les trois.


Chiara avait aimé prendre et donner du plaisir à deux hommes enivrés par son corps. Elle avait joui en sentant dans son ventre la dureté de la bite de son amant du jour, qui l’avait régalée « comme une reine », sous le regard ambigu de son mari qui avait aimé voir les belles fesses de leur invité se crisper et se détendre en rythme pour accompagner les mouvements de son sexe dans la chatte de Chiara.


Ensuite, son vagin plein du sperme de son amant avait accueilli la queue de son aimé, qui y avait rajouté le sien dans un orgasme triomphant. Après un léger sommeil, les caresses de ses hommes l’avaient réveillée pour de nouvelles séances de baise qui leur avaient procuré moult orgasmes.


Rentré chez lui fort satisfait et comblé par sa nuit, Houari l’avait racontée à Elsa, mais celle-ci, excitée par son récit mais « emburkinée » par sa pudeur, n’osait pas accompagner son époux dans son aventure amoureuse. Alors Houari avait donné rendez-vous à Chiara dans une petite auberge de l’arrière-pays nancéen, où il avait réservé une chambre à son nom.


D’une voix chargée de sous-entendus, il lui avait conseillé de ne pas hésiter à se mettre à l’aise après ce long voyage, en attendant qu’il la rejoigne en fin d’après-midi…

Dans son désir de lui plaire, elle avait fait couler un bain chaud, s’y était glissée et, les yeux fermés, elle avait commencé à imaginer leur soirée, ses caresses qu’elle espérait depuis leur chaude nuit avec Pat…


Une douce langueur l’envahit, brûlante bientôt en son épicentre. « Je vous réserve quelques surprises… » lui avait-il dit. Elle ne pouvait s’empêcher de laisser libre cours à ses souvenirs, à ses fantasmes… sa main tentant d’apaiser le brasier que le souvenir de ses propos, de ses mains, de sa bouche, de sa belle queue allumait en elle.


Elle sortit de la baignoire, pensant qu’elle serait mieux étendue sur le lit pour laisser libre cours à son désir… sachant qu’elle n’en serait que plus disposée aux assauts de son nouvel amant, le plaisir appelant à plus de plaisir.

Elle n’entendit pas la porte s’ouvrir dans son dos, et fut surprise de découvrir un solide garçon en costume et nœud-papillon, serviette de bain en main, qui s’avançait vers elle en murmurant :



Il la fit pivoter face au miroir de la salle de bain, lui derrière elle, et entreprit de la sécher. Terriblement gênée, elle se voyait dans le miroir, nue, livrant son corps, ses seins, son ventre, aux mains de cet homme. Elle voulait protester, mais son corps déjà attisé par ses propres caresses et autres explorations ne pouvait résister et se cambrait, soumis au plaisir.


Le visage enflammé par la honte autant que par le désir, elle se regardait prendre plaisir à ses frictions, d’abord avec la serviette, puis à mains nues. Elle se tendit lorsque les mains lui pincèrent les tétons, massèrent ses seins, les soupesant délicatement, puis les pétrissant tendrement (bref, les pelotant sans vergogne !), puis descendirent vers son pubis, faisant rouler son clitoris entre des doigts habiles jusqu’à ce que, jambes écartées, arc-boutée contre un ventre durci par le contact des fesses de Chiara, elle s’entendit psalmodier d’une voix suppliante :



Fascinée par son image dans le miroir, offerte, impudique, elle assista à sa déroute, à sa complète reddition. L’homme obéit à ses injonctions et descendit son pantalon, délivrant un vit long et roide. Il lui lâcha les seins pour saisir ses hanches, son vit raide trouvant tout seul le chemin de la chatte qui s’offrait à lui, il empala lentement Chiara qui, debout, pliée en avant, appuyant ses mains contre le lavabo, souhaita la bienvenue à cette queue dans un long soupir de contentement. Sans lui laisser de répit, avec des mouvements plus vigoureux, il la baisa, consciencieusement, efficacement, attendant qu’elle jouisse dans un long cri de soulagement pour noyer son con de son sperme.


Sentant que ses forces l’abandonnaient, il la porta sur le lit. Chiara, rougissante, hésitait entre la honte et la satisfaction quand on frappa à la porte. Avant même qu’elle puisse se couvrir, une femme entra, les cheveux tirés en chignon, l’uniforme amidonné. Son visage était aussi passible que celui de l’homme.

Comme si tout cela était des plus naturels, elle s’approcha du lit, remettant en ordre les plis de la courtepointe puis, l’inspectant avec le même détachement, elle mit de l’ordre dans sa chevelure, lui tapotant les joues, lui pinçant le menton.



Elle sortit des rubans de sa poche et, tout en douceur, elle lui attacha les poignets aux montants du lit. Chiara sentait que son "collègue" faisait de même avec ses chevilles. Puis elle entreprit de la maquiller légèrement, quelques touches de pinceau sur les joues… « Bien, bien… » dit-elle d’un air satisfait. Elle s’attarda sur ses seins ; une moue un peu critique. Elle en pinça les bouts, leur donna de légers coups de ci de là, les empoignant pour finir dans un massage très professionnel qui toutefois ne laissait pas Chiara de marbre.



Pour son plus grand trouble, Chiara sentait son ventre s’enflammer à nouveau et recommencer à sourdre de ses profondeurs une humidité qu’elle connaissait bien.

La femme lui maquillait maintenant les tétons de blush avec son petit pinceau.



Chiara essayait d’imiter son calme, malgré la fournaise qu’elle sentait monter de son vagin.

Le regard implacable de la femme se posa sur sa toison ou gouttait le sperme du garçon.

« Tsst-tsst ! » fit-elle d’un ton réprobateur en regardant avec un peu de jalousie le serveur toujours planté de l’autre côté du lit, le vit encore luisant de la mouille de Chiara, qui commençait à reprendre de la vigueur.


Sortant un chiffon de sa poche, elle entreprit d’éponger le jus qui coulait du con de Chiara, glissa son doigt dans la grotte pour la vider, la nettoyer… en aggravant les dégâts. D’un air résigné, constatant qu’à chacun de ses gestes Chiara mouillait davantage, qu’elle se tendait et gémissait doucement, elle soupira « D’accord… » comme on cède à une enfant déraisonnable et, glissant ses doigts manucurés dans sa fente, elle branla Chiara avec une douceur et une dextérité que celle-ci n’avait jamais connues.


Quittant un instant son air professionnel imperturbable, elle lui fit un sourire en coin avant de plonger sa tête entre ses jambes et de la sucer jusqu’à ce que Chiara explose dans une succession de vagues cosmiques. Excité, l’homme vint se placer derrière la femme et, lui retroussant sa courte jupe, il tenta de la baiser elle aussi. Celle-ci, tout au plaisir lesbien qu’elle donnait à Chiara, lui refusa l’entrée de sa chatte. Dépité, il rengaina son braquemart.

Tant d’orgasmes en si peu de temps alors qu’elle s’était préparée depuis des mois à jouir de son amant, et de lui seul, Chiara était décontenancée, hors du temps.


Ils la redressèrent chacun sur le lit, entreprirent de la laver, de la sécher, et… remirent en place la courtepointe, sans équivoque cette fois.



Et, se dirigeant vers les miroirs de ce qu’elle avait pris pour un placard mais qui se révélait être la porte d’une suite, ils ouvrirent les deux battants et elle vit Houari, un air de contentement sur le visage, qui s’avançait vers elle, conquérant…