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Temps de lecture estimé : 16 mn
06/09/16
Résumé:  Découverte des plaisirs que l'on peut apprécier en changeant de partenaires de jeu.
Critères:  2couples hbi dispute fellation fsodo échange yeuxbandés
Auteur : Isa13450            Envoi mini-message
Première fois à quatre

Depuis mon retour à la maison, je ressentais son impatience ; il crevait d’envie que je lui raconte les détails de mon escapade sexuelle mais il ne m’a pas questionnée immédiatement. Il a préféré attendre que nous soyons dans notre lit, nus, l’un contre l’autre, pour lancer les premières interrogations :



Je n’ai omis aucun détail, j’ai décrit toutes les pratiques sexuelles que j’ai vécues cet après-midi-là avec Corine et son conjoint. À ma plus grande surprise, malgré sa colère, son sexe restait bien bandé à l’écoute des détails croustillants que je lui décrivais. Tout en poursuivant la description du déroulement de ce fameux après-midi, lorsque j’ai attrapé sa verge pour la masturber, il a fermé les yeux avant de libérer plusieurs jets de sperme qui sont venus s’étaler sur mon ventre. Après un instant de silence, son sexe toujours dur dans ma main, il m’a regardée avec un petit sourire en coin pour me parler comme il ne l’a jamais fait en plus de vingt ans de vie commune :



Les jours passaient, mais mon acharnement à naviguer sur les sites de rencontre pour trouver la perle rare ne suffisait pas. Seule une majorité d’hommes ou quelques couples se proposaient pour une rencontre ; aucune fille seule ne semblait être disposée à vivre une telle situation. Un soir, Jean m’a relancée :



Bonjour, Isabelle. Je m’appelle Gilles, je suis en couple avec Carole ; nous avons énormément apprécié la lecture de vos récits qui nous ont beaucoup excités. Physiquement, je suis […] et Caro […] Nous avons quelques expériences échangistes. Je suis sensuel, très ouvert, bi léger. Avec les filles, je suis dominateur. Caro est très docile… J’aime les expériences nouvelles s’il y a complicité et respect. Nous souhaiterions échanger avec vous sur nos fantasmes et expériences réciproques, et pourquoi pas, nous pourrions nous donner l’occasion de nous rencontrer…



Gilles et moi avons poursuivi nos dialogues virtuels. Pour ma part, j’avais de plus en plus envie de les rencontrer : le courant passait très bien, les scénarios qu’ils nous proposaient pouvaient largement correspondre aux attentes de Jean. À la fois pour lui – mais je dois l’avouer, aussi pour moi – j’espérais que Jean accepte cette rencontre.



Yes ! Je me suis empressée de faire cette proposition à Gilles et Caro. La réponse ne s’est pas faite attendre bien longtemps.



Vous imaginez bien que durant la période qui nous séparait de cette date, les dialogues les plus coquins avec ce couple sont allés bon train, ce qui permettait à chacun de poser ses limites ou de décrire ses attentes. Jean et moi avons passé quelques soirées torrides alimentées par les fantasmes que nous nous apprêtions à réaliser avec ces nouveaux partenaires de jeu.

Ce samedi matin, avant de partir pour la gare TGV, nous avons fait une dernière fois l’amour de façon à soulager cette excitation omniprésente.


Nous sommes arrivés à destination en fin d’après-midi après plus de cinq heures de trajet. Leur accueil et premier contact furent très chaleureux ; ils ont su installer une ambiance détendue autour d’un apéritif pris sur leur balcon. Tout comme moi, Caro semblait assez réservée, contrairement à nos deux compères qui additionnaient les sous-entendus et allusions coquines dans la plupart de nos dialogues. Pendant plus d’une heure nous avons accumulé les descentes de notre apéritif alcoolisé favori, puis Gilles nous a proposé de poursuivre cet apéro dans leur salon. Afin de nous installer confortablement, nous nous sommes dirigés, Jean et moi, vers le double fauteuil qui se trouvait le plus proche de nous.



Devant notre sourire en guise de réponse favorable, Gilles m’a attrapé par la main pour nous diriger vers un fauteuil une place sur lequel il s’est assis avant de me basculer sur ses jambes en me guidant par ses mains posées sur mes hanches. J’ai dirigé mon regard vers le fauteuil opposé au nôtre ; j’ai pu apercevoir Caro s’asseoir à cheval sur les cuisses de Jean. Sous son air jusqu’ici réservé, elle semblait savoir ce qu’elle voulait en attrapant la tête de mon homme entre ses mains pour fixer son visage face à elle de façon à coller ses lèvres contre les siennes pour ensuite glisser sa langue dans sa bouche.


La Carole aux airs timides paraissait déchaînée : tout en embrassant fougueusement mon Jean, elle ondulait du bassin pour frotter son intimité sur la queue très certainement déjà raide de son amant d’un soir. Devant cette scène érotique, je percevais les secousses du sexe raide et dur écrasé sous ma cuisse avant que Gilles passe sa main derrière ma nuque pour diriger mon visage vers le sien, puis mes lèvres sur les siennes. Durant ce langoureux baiser, sa main a glissé sur mes seins pour ensuite descendre sur mes cuisses. Nous nous sommes embrassés, caressés les uns devant les autres avant que Gilles n’intervienne à nouveau :



Lorsque Caro a décollé sa bouche de celle de Jean, il en a profité pour enchérir :



Caro s’est redressée pour faire un aller-retour dans leur chambre et revenir ensuite avec un foulard qu’elle a tendu vers nous en nous questionnant :



Gilles, bon joueur, a répondu :



Caro a attaché ce foulard noir autour des yeux de Jean de façon à obturer 100% de sa vision. Elle l’a ensuite entraîné par la main pour le guider jusque devant une portion de mur dégagée de leur salon. Elle lui a fait faire un demi-tour de façon à ce que Jean se retrouve debout, le dos plaqué au mur. Elle a poursuivi en déboutonnant son pantalon pour pouvoir dégager son sexe qu’elle a laissé à l’air libre avant de nous rejoindre.



C’est en silence, par un signe de son doigt pointé vers elle, que Caro a répondu. Sans attendre l’accord de qui que ce soit, elle s’est redirigée vers Jean pour se mettre à genoux devant lui. Sans aucun autre contact que ses lèvres, sa langue et sa bouche sur le sexe de Jean, elle a entamé une fellation qui aurait fait réagir n’importe quel homme sur Terre. Elle avait une façon bien particulière de faire coulisser la tige dans sa bouche. Tout en la laissant glisser vers la sortie, elle semblait vouloir aspirer ce qu’elle avait en bouche comme si elle voulait faire un suçon géant. Jean semblait paralysé ; il ne répondait pas à la devinette du jeu, certainement trop concentré à apprécier ce plaisir dont il savait que je n’étais pas l’auteure. Surexcité par cette vision, Gilles m’a murmuré à l’oreille « Je vais aller aider Caro… » Je me suis alors retrouvée seule devant ce spectacle ô combien excitant de ce couple qui caressait avec leur langue parfois chacun leur tour, parfois ensemble, le sexe bandé de mon homme. Tout en me regardant, Gilles a serré les couilles de Jean dans une de ses mains avant de rompre le silence :



Le suspens était alors rompu. Même s’il avait très certainement deviné que jusqu’ici je ne faisais pas partie des deux personnes qui lui procuraient ces plaisirs, Jean en avait maintenant la certitude : il se faisait sucer par Gilles et Caro. Devant cette proposition, je me suis approchée pour profiter moi aussi un instant de ce sucre d’orge que l’on se partageait, mais la pression qu’exerçait ce sperme dans sa petite poche était beaucoup trop importante pour que Jean puisse résister plus longtemps. À l’approche imminente du premier jet prêt à jaillir, Gilles a attrapé la verge pour la diriger vers le visage de sa femme qui a pu profiter de la quasi-totalité de ce jus chaud et épais qui est venu s’étaler sur ses lèvres et son cou. Puis, toujours en plaisantant, Gilles s’est adressé à Jean :



Sa femme s’est empressée de lui répondre :



Puis, à l’issue d’un fou rire général, Gilles nous a rappelé leur proposition :



Caro n’a pas hésité un instant pour appuyer cette proposition en argumentant :



Étant moi-même de cet avis :



C’est ainsi que nous nous sommes dirigés vers deux chambres séparées, Jean et Caro dans la chambre d’amis, Gilles et moi dans leur chambre conjugale, mitoyennes l’une et l’autre.


Lorsque je me suis retrouvée seule avec mon amant d’un soir dans cette pièce isolée, je percevais nettement le rythme élevé des battements de mon cœur, signe d’une excitation sexuelle une nouvelle fois hors du commun. Je gardais en mémoire les discussions virtuelles que j’avais entretenues avec Gilles tout au long de nos échanges ; je ne cessais de me remémorer une de ses phrases qui pour lui n’avait certainement eu que peu d’intérêt mais qui pour moi faisait l’objet d’une envie de découverte :


- Je suis dominant ; Caro est docile… J’étais jusqu’ici impatiente, excitée à l’idée de bientôt découvrir ce qu’il entendait par « dominant », ou peut-être que j’étais tout simplement le parfait reflet de ce que nous nous étions dit tout à l’heure ; peut-être que tout simplement j’étais excitée par l’idée de découvrir ce qui se pratique par ailleurs, découvrir autre chose que ce que je vis au quotidien.


Après avoir verrouillé la porte de notre chambre, Gilles s’est collé à moi, dans mon dos. Je sentais le souffle de sa respiration sur ma nuque ; je restais immobile, comme hypnotisée par cette expression qui tournait en boucle dans ma tête « Je suis dominant », comme si cette simple phrase lui donnait toute autorité sur moi.


Tout en éparpillant plusieurs baisers humides sur mes épaules, il a posé ses mains sur mes seins, par-dessus mon chemisier pour les malaxer un instant avant de défaire un à un les boutons de ce haut qu’il était impatient de retirer entièrement. Une fois mon torse entièrement dévêtu, il a attrapé à nouveau mes seins, cette fois nus, pour les masser tout d’abord lentement avant de les compresser plus énergiquement. La légère pression qu’il exerçait avec ses dents sur la chair du haut de mes épaules m’a procuré un frisson de plaisir qui s’est éparpillé sur l’ensemble de mon buste. Plus bas, dans mon corps, au niveau de mon bas-ventre, la sensation d’un feu bouillonnant s’est installée à cet instant. Toujours immobile, sans aucune prise d’initiative, je pense que Gilles avait parfaitement cerné ma soumission, comme si je portais sur mon visage l’expression « Je suis soumise. » Une de ses mains a libéré mon sein pour descendre lentement vers mon nombril avant de se frayer un chemin entre ma jupe et mon string pour aboutir sur mon clitoris qu’il s’est amusé à frotter avec deux de ses doigts.



Le temps de retirer les derniers tissus qui recouvraient le bas de mon corps, Gilles s’est lui aussi dévêtu entièrement pour ensuite me demander de m’asseoir sur le bord du lit. Il s’est approché de moi, debout entre mes jambes écartées, son sexe raide à hauteur de mon visage.



Il a basculé son bassin de façon à faire pénétrer son sexe entre mes lèvres. Les premiers va-et-vient qu’il exerçait étaient lents. Je restais immobile, je le laissais s’agiter ma bouche. Il a ensuite posé une de ses mains sur ma tête pour me maintenir fermement avant d’accélérer ses mouvements, mais lorsque sa verge est venue en butée au fond de ma gorge, j’ai eu pour réflexe de positionner mes mains à la base de sa queue de façon à limiter la profondeur de sa pénétration dans ma bouche. Il s’est arrêté, il a dégagé son sexe de mes lèvres avant de m’envoyer sur un ton ferme :



Sur la table de chevet, il a récupéré un collier en plastique, un collier qui est habituellement utilisé sur les chantiers électriques pour attacher les câbles ; j’avais également déjà vu à la télé la police utiliser ce type de menottes sur les manifestants lors des mouvements. C’est sans résistance aucune que je l’ai laissé lier mes poignets dans mon dos avec ce lien improvisé. Il s’est ensuite repositionné debout entre mes jambes face à moi. Il a posé sa main derrière ma nuque avant de faire glisser sa tige le plus profondément possible au fond de ma gorge avant de s’immobiliser ainsi en moi.



Sur ma langue, je percevais les secousses des contractions de son sexe qu’il tentait de calmer. Après quelques secondes de repos, il a repris par de lents va-et-vient avant d’accélérer à nouveau ses mouvements. Il bougeait sur un rythme identique à celui que je connais lors d’une pénétration vaginale ; pour la première fois de ma vie, je me faisais baiser la bouche dans une complète passivité. Je n’ai pas attendu bien longtemps avant de recevoir son jus chaud et gluant au fond de ma gorge qu’il a accompagné d’un cri de délivrance.


Durant le moment de répit qui s’en est suivi, j’ai pu concentrer mon audition sur les bruits qui provenaient de la chambre d’à côté. Les gémissements de Caro étaient rythmés par les bruits du lit qui cognait contre notre cloison mitoyenne, et Gilles en a profité pour commenter tout haut ce que je pensais tout bas :



Mon désir d’être soulagée de cette excitation qui ne cessait de s’amplifier était enfin sur le point d’aboutir. Je ne savais pas ce qui m’excitait le plus. Le contexte ? La situation dans laquelle je me trouvais ? Gilles qui me prenait pour son jouet sexuel ? Le fait d’avoir été prise dans la bouche de la sorte, ou peut-être bien tous ces éléments réunis ?



Mon excitation ne cessait d’évoluer vers un niveau encore jamais atteint, certainement du fait de ne pas savoir à quoi m’attendre pour la suite. Je me suis ainsi installée à genoux sur le lit, les fesses en l’air, la tête posée sur le matelas et les mains toujours liées dans mon dos. Gilles s’est approché pour déposer quelques baisers humides sur mes fesses avant de faire glisser sa langue le long de ma raie pour ensuite tourbillonner sur mon petit orifice avant de plonger entre mes lèvres intimes.


La caresse de sa langue qui s’ensuivit autour de mon clitoris me faisait un bien fou ; j’étais prête à jouir d’un instant à l’autre. Contrairement à ce que j’avais imaginé, ses mouvements étaient lents, doux, sensuels et non rapides et brutaux. Il s’est amusé à exercer plusieurs rotations légères autour de mon bouton avant de remonter plus haut pour atteindre l’entrée de mon vagin qu’il a pris soin de caresser dans les moindres recoins. Je m’attendais à un retour de sa langue vers mon clitoris pour me mener à l’extase, mais au contraire, c’est encore plus haut que sa langue s’est dirigée pour aller exercer une pression humide sur mon petit orifice.


Ses mains sont venues accentuer l’écartement de mes fesses, ce qui a eu pour effet de mettre au grand jour la partie la plus intime de mon corps. Les rotations très agréables du bout de sa longue sur mon petit anneau détendaient tous mes muscles. Si seulement j’avais osé, à cet instant je lui aurais demandé d’accompagner cette caresse par la pénétration d’un doigt dans mon petit conduit, mais je n’en ai rien fait ; je l’ai laissé poursuivre par ses propres initiatives.


Sans avoir pris la peine de redescendre avec sa langue jusque sur mon petit bouton pour me faire monter au septième ciel, Gilles s’est redressé pour venir s’installer à genoux derrière moi. Il a maintenu mes fesses écartées avec ses mains avant de positionner son gland contre mon petit orifice. Son sexe dur a coulissé lentement jusqu’à ce que ses cuisses se plaquent contre mes fesses. Il accompagnait ses premiers allers-retours de petits gémissements de plaisir. Les pénétrations étaient très lentes ; son extase était si proche qu’il a du s’immobiliser un instant dans mon conduit de façon à calmer son plaisir qui ne demandait qu’à s’échapper.


Après quelques secousses de sa verge contre ma paroi interne, il a repris ses mouvements, mais cette fois de façon intense ; son excitation était retombée, il pouvait désormais reprendre sur un rythme énergique ses va-et-vient au plus profond de mes boyaux. Pour accompagner ses mouvements, il a attrapé mes cheveux pour tirer ma tête en arrière. Le rythme de ses pénétrations ne cessait de s’accentuer, son sexe paraissait de plus en plus dur et rigide. Pour ma part, l’intensité de mon excitation poursuivait sa progression et me dirigeait inévitablement vers une extase de plus en plus proche. Sans réellement pouvoir expliquer pourquoi, le point déclencheur de mon passage au septième ciel a été ses paroles inattendues :



Il a retiré son sexe de mon conduit. Son sperme chaud s’échappait de mon anus pour dégouliner entre mes lèvres intimes avant d’atterrir sur les draps. Jusqu’ici, je n’avais jamais eu l’occasion de jouir par une pénétration anale. Au-delà du plaisir procuré par cette pratique, je pense que c’est surtout le contexte dans lequel s’est produit cet acte qui m’a permis de passer ainsi au septième ciel.


Gilles a libéré mes mains de ce lien et s’est allongé sur le lit à mes côtés. J’en étais presque déçue : je concluais à la fin de nos actes sexuels alors que des gémissements et toutes sortes de bruits persistaient dans la chambre voisine.

Après quelques minutes de silence qui nous ont permis de nous concentrer sur les sons qui provenaient de la chambre mitoyenne, Gilles m’a proposé de nous diriger vers cette chambre si bruyante afin de voir ce qu’il s’y pratiquait.


Durant les heures qui ont suivi, Jean a enfin pu profiter d’une partie de jambes en l’air avec deux filles rien que pour lui. Nous avons alterné les actes sexuels, les uns avec les autres, les uns devant les autres en alternant toutes sortes de combinaisons qui sont possibles à quatre partenaires.


Ce week-end-là, nous sommes rentrés chez nous en ayant franchi un pas supplémentaire vers les plaisirs que l’on qualifie hors du commun.