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n° 17555Fiche technique49027 caractères49027
Temps de lecture estimé : 27 mn
09/09/16
Résumé:  Un homme consulte une dermatologue pour des grains de beauté sur le visage, ce qui conduit à un jeu de séduction entre les deux protagonistes.
Critères:  fh médical travail cérébral noculotte fellation cunnilingu fsodo
Auteur : P-hpassage            Envoi mini-message
Ablation de grains de beauté

J’ai réalisé, très tardivement, que les femmes pensent au sexe aussi souvent que les hommes. C’est quand ça paraît difficile, inaccessible, que j’aime tenter de séduire, parfois même sans le vouloir vraiment.



À l’aube de mes trente ans, j’étais allé chez une dermatologue pour faire soigner une mycose qui s’était installée à la base de mon cou. Saleté de champignon ! Heureusement, le remède a été efficace : la mycose a disparu deux semaines plus tard.


Cette dermato, connue sur la place d’une très grande ville, avait bien entendu un carnet de rendez-vous bien plus rempli que celui d’un ministre. Quatre mois d’attente pour consulter… il m’a fallu insister auprès de son assistante médicale pour obtenir un créneau plus tôt. J’ai fini par en obtenir un trois semaines après mon appel, grâce à un désistement.


De taille ne dépassant pas 1,65 mètre et très mince, elle était toujours en petite robe noire et sandales plates aux pieds. Coiffure mi-longue aux mèches blondes et bouclées, elle avait un joli visage. Les jambes bien dessinées, aux attaches fines, mais un peu trop minces à mon goût. Bref, elle n’était pas vraiment mon genre de femme, alors qu’elle était vraiment très belle.


Elle m’a reçu de manière très professionnelle, avec le ton de voix assuré d’une spécialiste consciente de ses compétences, limite arrogante.


J’ai été parfaitement bien soigné : deux semaines plus tard tout avait disparu. Elle m’avait donné un autre rendez-vous un mois plus tard, juste pour contrôler. Je ne me suis pas privé de l’observer, discrètement bien entendu ; à cette époque, j’étais pris par une charmante brune. Et puis cette dermato n’était pas du tout le genre de femme que j’ai envie de séduire.


Quinze ans plus tard, j’ai dû y retourner. Pas de champignon cette fois-ci : deux grains de beauté s’étaient installés au bas de mes tempes, de chaque côté du visage, au niveau des sourcils.


Elle m’a fait signe d’entrer en tenant la poignée de la porte. J’ai refusé en lui disant d’entrer la première. Un homme doit toujours laisser entrer une femme en premier, un reste de mon éducation. Elle a fini par céder en pénétrant la première.


L’intérieur du cabinet avait bien changé : immense plateau de verre posé sur des pieds en acier brossé, deux toiles de Charles Cambier accrochées aux murs. Son bureau n’était pas trop encombré : quelques chemises bien classées sur le bord du plateau, un Vidal, et le strict nécessaire pour écrire des ordonnances.


Elle aussi avait changé : bien que toujours aussi mince, de petits plis à la limite des paupières la rendaient plus douce que dans mes souvenirs, avec toujours ce ravissant visage aux traits bien dessinés. Elle avait éclairci ses cheveux pour faire plus jeune que son âge ; elle devait avoir au moins quarante ans, peut-être un peu plus. Et plus de petite robe noire, mais une blouse blanche règlementaire de médecin clinicien.


Je ne suis pas ce qu’on appelle un très bel homme : grand et mince, je n’ai rien d’un séducteur. Par contre j’ai un défaut, si c’en est un : je ne peux pas m’empêcher de complimenter une jolie femme. Rien de commun avec du harcèlement ; c’est surtout par politesse. Et sachant qu’une femme est toujours sensible aux compliments, ça facilite les rapports humains. Je le fais peut-être par provocation, inconsciemment. Mes copines aiment bien dire que je suis charmeur… Le vilain mot ! Elles exagèrent : je suis bien entendu très sage.


Bon, d’accord, pas si sage que ça. Après tout, c’est la faute des femmes : pourquoi faut-il qu’elles soient séduisantes et bien souvent sexy ?


Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j’ai éprouvé une envie irrésistible de tenter de la séduire. Alors, bien entendu, je ne me suis pas privé de la complimenter lors de cette consultation.


À peine assis devant son bureau, j’ai attaqué :



En me remerciant du compliment, elle a marqué le coup en se redressant sur son siège, interloquée par ma sortie un peu cavalière.

En lui tendant ma carte Vitale, j’ai entamé la conversation en utilisant les toiles ornant les murs de son cabinet :



Elle a immédiatement compris.



Nous sommes passés dans la salle de soins attenante à son bureau.



Nous étions en mi-septembre ; il faisait chaud, j’avais certainement transpiré un peu, ce qui me mettait mal à l’aise. Alors, en retirant ma chemise, je m’excusai.



Elle a saisi une sorte de lampe qui émet une lumière bleutée, examine mon visage, mon cou, le torse, les jambes. Et là, problème ; très gros problème : je me suis mis à bander ! Impossible de me maîtriser. Pour une fois, c’est moi qui étais gêné. Presque nu sur la table, elle en train d’examiner chaque parcelle de ma peau, et ma queue qui formait une bosse disgracieuse dans mon boxer !


Être nu sur une plage ne me pose aucun problème, je ne me suis jamais retrouvé en érection. Par contre, nu ou presque sur une table d’examen avec une jolie dermatologue, dans l’intimité du cabinet, c’est autre chose.


La femme l’a vu, avec le nez à un mètre de ma peau ; elle devait rigoler intérieurement, mais elle a poursuivi son travail sans broncher. Peut-être avait-elle l’habitude de voir un homme bander tandis qu’elle l’auscultait.

Puis elle a fait le même examen sur mon dos et les jambes après m’avoir demandé de me retourner sur le ventre. Elle a même légèrement baissé mon boxer pour vérifier le haut de mes fesses. Pendant qu’elle m’examinait, je réfléchissais, cherchant la meilleure manière de calmer cette érection ridicule.



Avec un petit rire et sans se démonter, elle me répond :



Elle a ignoré la phrase que je n’avais pas volontairement terminée ; elle avait bien compris le sens tendancieux. Alors elle est revenue à son examen. J’avais le sentiment d’être allé un peu trop loin.



Elle a franchement éclaté de rire :



Elle est retournée dans son bureau. Je me suis rapidement rhabillé, avec toujours cette érection qui ne se calmait pas. Elle a feuilleté son cahier de rendez-vous, pointé un créneau avec son stylo. Alors j’ai décidé de tenter une dernière attaque pour faire semblant de ne pas être mal à l’aise :



Elle a rougi en marquant le coup, avant de dire :



En la quittant, je lui ai décoché un grand sourire, qu’elle m’a aussitôt rendu, certainement soulagée de me voir partir.



* * *




Deux semaines plus tard, je me suis présenté pile à l’heure pour l’ablation des grains de beauté.


La dermatologue est venue me chercher dans la salle d’attente, puis m’a invité à entrer dans son bureau. Elle portait toujours la même blouse blanche, enfilée sur un pantalon de toile noire et un tee-shirt fin, sandales plates aux pieds. Comme la dernière fois, je lui ai fait comprendre que je n’entrerais qu’après elle. Elle a cédé et est entrée la première dans son bureau.



Je ne m’attendais pas du tout à un tel accueil après ma mésaventure lors de la dernière consultation. Sa phrase a agi sur moi comme un coup de fouet.



Elle a bien réagi en me décochant un grand sourire. Je l’ai sentie très à l’aise cette fois-ci. Mon numéro lors du dernier rendez-vous n’avait pas dû lui déplaire tant que ça.



Elle s’est approchée, une seringue à la main. Je me suis vivement redressé :



Elle a enfoncé la seringue autour des grains de beauté avec beaucoup de délicatesse ; je n’ai pas senti grand-chose.



Pendant l’intervention, toutefois bien bénigne, nous avons parlé de tout et de rien. Nous plaisantions ; je la sentais à l’aise. Une sorte de complicité amicale s’était installée entre nous. Les deux grains de beauté retirés au bistouri, elle a fait un peu de couture en refermant avec des fils, puis collé des pansements transparents.



Elle a émis un petit rire avant de répondre :



Regrettant peut-être son intervention un peu sèche, elle a repris en souriant :



Puis elle a baissé le regard, m’a montré ses chaussures, des sandales plates :



Elle a ignoré ma réplique en enchaînant :



Je n’ai pas pu m’empêcher de répondre, par réflexe peut-être :



Elle a écrit une ordonnance ; du Doliprane en cas de douleur. J’ai payé et me suis levé.

Alors que je lui tendais la main pour la saluer, elle m’a arrêté.



Elle répondit précipitamment :




* * *



Dix jours plus tard, je suis arrivé dans la salle d’attente à 18 heures 45 après avoir tourné cinq bonnes minutes pour garer mon véhicule. À cette heure-là les couloirs s’étaient vidés, les assistantes médicales parties, personne dans la salle d’attente.

Quinze minutes plus tard, une patiente est sortie de son cabinet, accompagnée par ma dermato en blouse blanche comme toujours.



Je me suis rassis ; mais nerveux, je me suis relevé pour faire les cent pas dans la salle d’attente, lisant et relisant les affiches punaisées aux murs. Au moins dix minutes plus tard, elle a ouvert sa porte en m’appelant :



Je suis resté scotché trois secondes : elle s’était changée ! Petite jupe beige légèrement plissée découvrant le tiers des cuisses, chemisier blanc et veste assortie à la jupe, un collant de couleur beige assortie à la jupe, et surtout des escarpins noirs vernis aux pieds, très hauts, aux talons fins. Elle était splendide. Ce n’était plus une dermatologue en pleine séance de travail que j’avais face à moi, mais une femme vêtue avec soin pour plaire.


En m’avançant vers elle, j’ai immédiatement remarqué ses lèvres recouvertes d’un rouge satiné, les yeux maquillés avec soin, bracelets aux deux poignets, collier de perles fines dont la boucle descendait à la limite de l’échancrure du chemisier.



Avec un grand sourire aux lèvres, elle a répondu :



J’étais sidéré : une dermato qui explique à son patient qu’elle s’est préparée pour plaire à un homme !



Elle a ri, n’a pas répondu à ma question, et s’est retournée pour fermer le verrou de la porte.



Elle a éclaté de rire, contournant son bureau.



Elle minaudait un peu ; le rapport expert-patient s’était inversé. Je la sentais nerveuse, inquiète de savoir si elle me plaisait. J’ai pris place face à elle, la dévisageant, intrigué par ce dialogue étrange. Le silence s’était établi, seulement rompu par le bruit de la circulation dans la rue. Elle a ouvert un dossier cartonné, en a sorti une feuille. J’ai immédiatement remarqué qu’elle croisait les jambes lentement tout en essayant de regarder discrètement si je l’observais. Bien entendu, grâce au plateau de verre fumé, je voyais tout de son manège. Un léger sourire éclairait son visage.



Sa réponse évasive m’a refroidi. Des scrupules m’ont envahi : je draguais une femme mariée, j’avais envie de la faire déraper. Je me suis trouvé désemparé, même déçu. Peut-être jouait-elle avec moi, mais très vite sa tenue vestimentaire a évacué mes doutes. À peine quelques secondes plus tard elle a plongé ses yeux magnifiques dans les miens en commentant les résultats de la prise de sang qu’elle m’avait demandé – ou plutôt imposé – de faire.



Elle a éclaté de rire, a décroisé et recroisé nerveusement les cuisses. Je ne me suis pas gêné pour observer ses mouvements. Elle a repoussé une mèche de cheveux d’un geste terriblement féminin et gracile.



Vêtue comme elle l’était, sexy à souhait, ce n’était pas un hasard. On ne reçoit pas un patient dans cette tenue. D’ailleurs, quand elle m’avait demandé d’attendre, elle portait une blouse blanche très professionnelle. Elle aurait très bien pu se changer après mon départ. Je raisonnais à toute vitesse… C’est bizarre comme on se retrouve rempli de doutes face à une évidence, mais justement tellement évidente qu’on a du mal à y croire.


Avant de quitter son fauteuil, elle a retiré ses bracelets, les a posés sur son bureau. Une évidence m’a sauté aux yeux : elle les avait mis pour me recevoir, mais le professionnalisme ayant pris le dessus, elle les a retirés pour travailler.


Puis elle a soulevé une jambe, bien haut, attrapant le talon de l’escarpin, faisant semblant de l’ajuster. La jupe a glissé sur les cuisses, les dévoilant en totalité. J’ai eu tout le loisir de détailler son entrejambe : elle portait un collant sans empiècement. Plus aucun doute : elle s’exhibait carrément. D’ailleurs, elle m’avait jeté un très discret coup d’œil pour s’assurer que je n’avais rien manqué de son exhibition.


Elle s’est prestement mise debout, et nous sommes passés dans la petite salle de soins attenante à son bureau. Prétextant que le soleil était trop fort – ce qui n’était pas tout à fait faux – elle a actionné la manette des persiennes de façon à les orienter face aux rayons lumineux, ce qui a créé une légère pénombre.



Une folle envie de caresser ses jambes m’a pris aux tripes. Au pire je risquais de prendre une baffe, mais après son exhibition elle devrait se laisser faire, alors je me suis lancé :



J’ai retiré mon bras de la table d’examen, le laissant tomber vers sa jambe. Mes doigts ont frôlé un mollet, la faisant tressaillir. J’ai lentement remonté la main, faisant crisser le tissu du collant. Je l’ai sentie frémir, tout en me laissant faire. Alors je me suis enhardi ; mes doigts couraient le long du nylon. Je la caressais lentement, tous les sens en éveil, guettant sa réaction pendant qu’elle s’affairait pour retirer les fils.


Je remontai encore plus haut ; cette fois-ci, ma main est passée sous la jupe, montant toujours en glissant les doigts à l’intérieur des cuisses. Elle a écarté légèrement les jambes pour me faciliter le passage. Mon excitation a monté d’un cran. Mes doigts ont fini par atteindre son entrejambe ; elle avait dû couler un peu : le tissu du collant était humide ! J’ai senti une crispation de sa cuisse tandis que ses doigts s’affairaient pour retirer les fils.



Je caressai l’intérieur des cuisses en évitant soigneusement de toucher le nylon au niveau de sa vulve. Je tentai d’attraper son regard ; ses pupilles glissaient avec rapidité de mes yeux aux fils qu’elle retirait avec délicatesse.


Elle s’est mise à respirer rapidement. Mon cœur battait à tout rompre, je bandais comme un malade. Dans une clinique, rien d’étonnant à ça, sauf que je n’étais pas malade ! Sa passivité me donnait une furieuse envie de fouiller entre ses cuisses.



Ma demande était inutile : avec complaisance, elle me laissait faire. Je pouvais caresser ses cuisses qu’elle avait volontairement séparées pour faire de la place à ma main qui se faufilait sous la jupe.



Elle m’a répondu d’une voix presque inaudible. Je me suis mis à pétrir ses cuisses, me régalant de sa chair élastique de femme. Mais je voulais sentir sa peau nue.



Elle n’a pas répondu. En tentant de maîtriser sa respiration, elle a lâché :



Je me suis relevé prestement et l’ai plaquée contre la table d’examen en la prenant dans mes bras. Nos lèvres se sont immédiatement jointes, les langues se cherchant en tournoyant avec sensualité. C’est fou ce qu’un profond baiser peut être excitant !

J’ai susurré à son oreille :



J’ai relevé sa jupe à la taille, l’ai agrippée aux hanches en la soulevant pour l’asseoir sur la table d’examen. Elle ne portait pas de culotte : son collant était très fin, sans aucune marque au niveau du pubis, ne cachant rien de sa vulve soigneusement épilée, hormis une petite touffe de poils au-dessus de la fente de son sexe. Fou d’envie, j’ai crocheté le collant en utilisant mes ongles, puis j’ai tiré vers les côtés pour le déchirer, découvrant une chatte luisante de mouille.


Elle me laissait faire, les lèvres entrouvertes, observant mes mains qui écartaient l’ouverture déchirée du nylon. Sa chatte sentait fort ; les grandes lèvres bien ouvertes débordaient largement, avec de petites gouttelettes accrochées aux bords.


J’ai fixé ses yeux durant quelques secondes ; elle avait le regard flou et les lèvres entrouvertes. Je me suis penché, approchant ma bouche, me soûlant de l’odeur forte qu’exhalait son sexe, puis j’ai plongé dans sa vulve, fouillant de la langue et des lèvres les replis de son con. Je me suis mis à laper les recoins de sa chatte imberbe, la bouche engluée de mouille. Son sexe dégorgeait abondamment un jus chaud, c’était délicieux ! Elle gémissait, les cuisses grandes ouvertes qui tremblaient légèrement. J’avais agrippé ses fesses de mes mains.



Elle avait oublié le vouvoiement. Appuyée d’une main sur la table, elle avait posé l’autre sur ma tête, caressant mes cheveux. Elle s’est mise à couiner, la respiration haletante. Les muscles de son corps se sont crispés. La bouche grande ouverte, elle s’est laissé tomber sur le dos.



Je me suis relevé, la bouche pleine des sécrétions de son con baveux. Elle a récupéré lentement, en respirant profondément. Elle a relevé le buste, s’est accrochée à mon cou.



Nous nous sommes embrassés longuement, mêlant les saveurs de son sexe entre nos bouches.



Son langage châtié a fouetté mes sens. L’entendre dire "enfile-moi" a décuplé mon envie d’elle. J’ai dégrafé ma ceinture, descendu la fermeture Éclair et, sans même baisser mon pantalon, je me suis enfoncé facilement en elle, bien profondément. C’était fort, terriblement érotique. Elle était juste à la bonne hauteur, assise sur la table d’examen. Elle s’est couchée sur le dos, les jambes pendantes, puis elle a commencé à gémir.



Elle se comportait comme si nous étions amants depuis longtemps. Ça m’a surpris, et aussi beaucoup excité, s’il le fallait vraiment car l’avoir léchée dans son cabinet m’avait mis dans un état d’excitation rarement vécu, comme un bon vin m’ayant un peu soûlé. Alors je l’ai baisée fort, en cognant contre la table, les mains agrippées à ses fesses. J’ai même glissé un doigt dans sa raie, en écartant les deux globes fessiers. Elle était tellement mouillée que ça glissait délicieusement jusqu’à son anus.


Certaines femmes sont muettes lorsqu’elles baisent. Ce n’était pas le cas de ma dermato ; elle ponctuait mes coups de reins de "Vas-y… vas-y… ouiii !"


J’ai fini par me vider en elle en gémissant. Je l’ai entendue crier, le corps tétanisé. Je me souviens avoir voulu envoyer mon sperme sur son collant pour le souiller mais, trop excité, je n’ai pas pu me retenir. Nous n’avons pas baisé très longtemps, juste quelques minutes de frénésie.


Nous avons repris lentement notre souffle, mon torse couché sur elle, ma bouche déposant de petits baisers sur son visage. Elle a enserré mon cou de ses bras, m’a serré fort. Nous ne nous étions pas déshabillés : elle en tailleur et chemisier, la jupe roulée aux hanches, moi en chemise et pantalon de costume. J’ai réalisé que je n’avais même pas vu ni caressé ses seins.


Je me suis redressé en la gardant contre moi. J’ai remué légèrement ma queue qui était encore bien dure dans son conduit ; ça glissait tellement facilement… Soudain, elle a presque crié en reprenant le vouvoiement :



J’ai baissé les yeux. Toujours enfoncé en elle, j’ai découvert du sang autour de ma queue. En me retirant, un mélange de sperme, de sang et de filaments s’est écoulé de sa fente. J’en avais sur le haut des cuisses et les testicules. La fermeture de mon pantalon, que je n’avais même pas baissée pour l’enfiler, était tachée de sang.



Confuse, elle a bafouillé :



Soulagée de voir que je ne le prenais pas mal, elle a repris le tutoiement.



Elle est descendue de la table d’examen, découvrant les dégâts causés par nos ébats.



Nous sommes tous deux partis dans un joyeux éclat de rire.



* * *



Deux semaines plus tard, nous avons effectivement dîné ensemble. Nous nous sommes retrouvés dans un parking résidentiel avant de partir à bord de mon véhicule pour un restaurant situé à quelque 60 kilomètres. C’est elle qui l’avait choisi, question de discrétion.


Il faisait encore doux malgré le début de l’automne. Elle est arrivée au volant de son cabriolet. Je me suis approché avant qu’elle ne sorte de sa voiture. Elle a souri, a sorti une jambe chaussée d’un escarpin au talon effilé. Les jambes minces se sont dévoilées, gainées de bas fins couleur chocolat, contrastant de façon délicieusement érotique avec la peau nue découverte en haut des cuisses. Elle avait dû remonter sa jupe à la taille pour pouvoir conduire car trop serrée, m’a-t-elle expliqué avec malice. Une culotte fine, presque transparente, recouvrait sa fente avec peine. Elle m’observait, cherchant à lire le désir dans mes yeux. Sous une veste de lin, elle portait un tee-shirt très échancré qui découvrait le sillon de ses petits seins.

J’ai eu tout de suite envie d’elle, de la punir d’être aussi excitante, mais l’endroit ne s’y prêtait pas.



Satisfaite de l’effet qu’elle produisait sur moi, elle est sortie de sa voiture avec sa classe habituelle pour venir se glisser dans le siège de la mienne, les cuisses bien découvertes jusqu’à l’aine, exhibant la peau nue et satinée au-dessus de la lisière des bas.


À peine quelques minutes plus tard, elle m’a avoué qu’elle aurait voulu me sucer tout de suite.



Je me suis engagé dans un chemin de terre bordé d’arbustes touffus. Je suis sorti de mon véhicule, l’ai contourné par l’arrière pour me positionner debout contre sa portière. Je l’ai découverte torse nu, les seins à l’air ! Elle avait retiré son tee-shirt et baissé son soutien-gorge pour dégager les deux petits globes, qui finalement n’étaient pas si petits. Elle a baissé sa vitre en bombant le torse, les pointes des seins très érigées.



Je les ai caressés en triturant les pointes, observant sa réaction. Elle a soupiré en m’invitant à être moins doux. Alors je les ai malaxés, j’ai pincé les tétons en les faisant rouler entre mes doigts, tirant dessus au fur et à mesure de ses gémissements.



Je me suis dégrafé et me suis collé contre la portière. Elle a saisi ma tige de ses doigts fins, s’est penchée pour l’engouffrer dans sa bouche. Elle a sucé ma bite comme on s’occupe d’un bâtonnet de glace, en salivant beaucoup, le regard plongé dans mes yeux. C’était terriblement excitant. Puis elle a recraché ma tige en la tenant fermement dans sa main, l’observant avec un air de quelqu’un qui réfléchit en fronçant les sourcils. Elle a soupiré avant de me dire :



Sa décontraction vis-à-vis des choses du sexe contribuait à renforcer mon excitation. Nous nous connaissions à peine, et pourtant elle se comportait comme si nous étions amants depuis longtemps, n’hésitant pas à employer des mots grossiers.


Je n’ai pas tenu longtemps ; elle faisait ce qu’il fallait pour que je jouisse vite. Je me suis répandu dans sa bouche en tirant comme un sourd sur les pointes de ses nichons.


D’habitude, c’est moi qui mène le jeu avec les femmes. Avec ma dermato, c’était l’inverse : elle semblait assoiffée de sexe, utilisant la provocation avec justesse.


Calmés, nous avons repris la route. Elle a voulu rester seins nus, pour entretenir mon excitation, disait-elle.



* * *



Dans le restaurant qu’elle avait choisi en réservant une table à mon nom, nous étions assis côte à côte devant une table ronde, sur une terrasse bien abritée.


Elle m’intriguait ; tout s’était passé trop facilement, trop vite. Alors je l’ai questionnée pendant le repas, en essayant de ne pas être trop intrusif.


Son mari était en séminaire dans un pays lointain. Elle avait deux fils, tous deux médecins également. Leur couple était tombé dans une routine au bout de vingt-deux années de vie commune, mais ils s’entendaient bien. Côté sexe, ils avaient des dérivatifs. Elle m’a expliqué que dans le domaine médical, ils vivaient des choses difficiles, parfois terribles. Alors, pour oublier les moments difficiles, il y avait de temps en temps des soirées entre eux un peu spéciales.



Je lui ai demandé si, dans le domaine du possible, elle pouvait me dire quelques mots sur ces fameuses soirées. Il s’agissait bien sûr de soirées basées sur le sexe, où tout le monde se lâchait. Je n’ai pas insisté, à part lui demander de me décrire sa tenue vestimentaire préférée pour ce genre d’activité. Elle m’a répondu, en me fixant du regard, "entièrement nue sous une robe longue fendue à l’arrière jusqu’à la raie des fesses". Puis elle a ajouté, avec un sourire malicieux : "Je crois que ça te plairait, pour infiltrer ta main très haut."


J’ai tout de suite compris le message. J’ai posé la main sur son genou, glissé les doigts entre les cuisses, jusqu’à remonter très haut, là où la fente de son sexe était brûlante. Brûlante, effectivement : elle n’avait plus de culotte !



Manifestement, elle se foutait bien du regard des gens attablés sur cette terrasse. Je l’ai portée à mes narines ; le tissu était imprégné de sécrétions : elle avait dû couler dans la voiture. En chuchotant, elle m’a expliqué :



Je lui ai souri en enfonçant deux doigts dans sa fente. Elle a gémi en ouvrant largement les cuisses.



Je l’ai effectivement baisée sur le capot ; ou plutôt nous avons baisé, avec tendresse d’abord, puis avec férocité. Elle m’a mordu la langue quand j’ai forcé son cul avec deux doigts.



* * *



Nous nous sommes vus de temps en temps, uniquement pour baiser. Elle venait chez moi, vêtue ultrasexy mais toujours avec classe.


Elle était belle, bien sûr, mais un peu trop mince à mon goût. Chez une femme, j’aime bien en avoir plein les mains. Mais son comportement de femelle ayant le feu au cul m’excitait toujours autant. Alors un jour je suis allé à son cabinet, à dix-neuf heures, sans la prévenir. Je n’étais pas certain qu’elle serait là, mais j’avais une telle envie de la baiser que j’ai tenté le coup. Je suis quand même venu avec une rose à la main.


Dix minutes après mon arrivée, elle est sortie de son cabinet avec un patient. Elle m’a aperçu, est restée figée trois secondes, puis m’a demandé d’attendre deux minutes.


En effet, quelques petites minutes plus tard, la porte s’est entrouverte et elle m’a appelé sans se montrer. Je suis entré en refermant derrière moi, la fleur à la main. Elle était derrière la porte, entièrement nue, avec juste des escarpins aux pieds qui lui allongeaient les jambes. Elle s’est collée contre moi, m’a tendu ses lèvres pour un long et profond baiser.



Elle a ignoré ma réplique et a pris un air sérieux pour m’annoncer :



Elle a ri en s’échappant vers la salle de soins. Elle a ouvert un tiroir, en a extrait un tube de vaseline. Avec l’air amusé de celle qui va faire une grosse bêtise, elle a commenté :



Elle a ouvert le tube de vaseline, s’est mise de dos en se courbant pour déposer une noisette de crème sur son anus.



Puis elle s’est accoudée sur la table de soins en cambrant les reins pour bien faire ressortir son derrière.

J’ai voulu la prendre de face : je voulais voir son visage en m’enfonçant dans son cul.



Je l’ai prise à la taille, l’ai soulevée pour la déposer sur la table. Elle a relevé les genoux pour mieux s’offrir. J’ai glissé ma bite le long de sa fente en descendant lentement vers son petit trou. Bizarrement, je n’ai pas vu le fil du tampon qu’elle devait porter, mais je n’y ai pas porté attention plus que ça. Elle a remonté les genoux pour bien s’ouvrir. Le nœud au bord de son anus, j’ai poussé. C’est entré d’un seul coup grâce à la vaseline. Je me suis enfoncé jusqu’au fond, les couilles collées contre ses fesses.

La bouche ouverte, un son guttural est sorti de sa gorge.


Je me suis reculé sans sortir complètement, puis j’ai investi son trou et entamé un pilonnage régulier de son antre. Plus que le plaisir d’investir son cul avec ma bite, c’est le fait de l’enculer dans son cabinet qui était terriblement excitant. Elle gémissait sans discontinuer, m’insultait à voix basse, m’incitait à y aller plus fort. Je l’ai vue porter ses doigts à son clito qu’elle s’est mise à frotter de manière désordonnée.


Quand je me suis vidé dans son cul en gémissant, submergée elle aussi par la jouissance, elle a émis un long cri rauque, tous les muscles du corps tendus à l’extrême.


Nous avons lentement repris notre souffle. Une forte odeur de sexe avait envahi la salle de soins.




* * *



J’avais décidé de ne plus la revoir ; je n’étais pas amoureux d’elle. Physiquement, ce n’était pas mon type de femme, bien qu’elle fût très belle. Mais à chaque appel, je ne pouvais résister : une envie dingue, dévastatrice de la baiser dans son cabinet, de prendre son cul prenait le dessus sur mes bonnes résolutions. Tout cela à cause de son attitude de vicieuse excitée, de femelle ne désirant qu’une chose : se faire enfiler par moi sur sa table d’examen.