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n° 17556Fiche technique8074 caractères8074
Temps de lecture estimé : 6 mn
09/09/16
Résumé:  Initiation au gode.
Critères:  hh fellation anulingus 69 double hdanus hsodo
Auteur : Bihom69            Envoi mini-message
Ooh, my gode !


Bon, disons-le clairement : le récit qui va suivre aurait pu rester un simple fantasme, tant la pratique me semblait hors norme au regard de mes premières envies bi. Pour moi, l’idée de caresser un sexe d’homme, de pratiquer une fellation et, ultime étape, de me faire prendre mon petit cul, c’était déjà franchir des tabous et réaliser des envies enfouies en moi depuis mon adolescence.


Alors, quand parfois sur des sites de rencontre gay ou à l’occasion de rencontres réelles pour des plans sexe, mes contacts me parlaient de fist ou de double pénétration, je ne voyais aucun plaisir à ce type de pratique, n’arrivant ni à m’imaginer comment une main ou deux sexes pouvaient entrer dans un orifice aussi étroit, ni comment un homme pouvait prendre du plaisir à être ainsi pénétré !

Par curiosité, j’avais bien regardé quelques vidéos.


Bon, le fist, franchement, je n’y voyais aucun intérêt et rien d’excitant. Il est vrai que j’adore le sexe des hommes, voir leur excitation, leur sexe durcir pour moi avant qu’ils me pénètrent ; mais une main !


Côté double pénétration avec deux sexes, en revanche je me souviens d’avoir visionné sur Youporn un film dans lequel un jeune garçon était au début pénétré par un Black bien monté, puis pris en double avec un autre mec. Ses gémissements et ses rictus démontraient à quel point cette pratique devait être douloureuse.

Mais j’avoue tout de même avoir eu une érection assez forte et une belle jouissance en regardant les deux sexes s’activer en lui.


Tout ceci restait donc dans le domaine du fantasme et de l’excitation d’une pratique hors norme, et ce fut avec l’un de mes amants réguliers sur Lyon que mon initiation commença, bien malgré moi. Cet amant bien chaud et bien endurant savait s’occuper de moi, être à mon écoute et me donner du plaisir avec sa bouche, ses mains, sa langue avant, bien entendu, de finir avec son sexe.


Nous avions un rapport soft de dominé/dominant qui me convenait bien.


Les rapports étaient directs : pas de bla-bla. Souvent, il m’ouvrait la porte de son appartement nu, le sexe en demi-érection ; je m’agenouillais direct pour le sucer tout en me déshabillant, puis nous allions dans sa chambre ou dans son salon pour continuer nos ébats.

Parfois, il passait du temps sur ma rondelle à me lécher puis à m’ouvrir mon petit trou avec sa langue puis ses doigts, ce qui provoquait chez moi des spasmes incontrôlables.


Il y a donc un mois, il m’ouvre la porte, et direct il me montre un sextoy qu’il venait d’acheter et commence à me le donner à sucer une fois à genoux devant lui.



J’avoue qu’entre un sexe chaud et palpitant et un objet en plastique il n’y a pas photo, mais je m’exécutai. Il jouait à me donner parfois son sexe, parfois le gode, et parfois les deux à sucer, ce qui commençait à m’exciter.


Il me conduisit dans sa chambre et me demanda de me coucher sur le dos. Il se mit sur moi en position de 69, m’offrant alors en entier son sexe épais à sucer tandis qu’il massait ma rondelle avec le gland du gode, jouant parfois à me pénétrer juste à l’entrée de mon trou. J’étais aux anges : sucer une queue tout en me faisant masser mon trou, c’était mon plaisir suprême que j’ai rarement pu assouvir faute de trouver facilement deux partenaires actifs disponibles.


Luc, mon amant, avait toutefois une autre idée en tête. Il me demanda de me mettre sur son lit dans sa position favorite – la levrette – et, après avoir enfilé un préservatif, il me prit sans autre forme. Je couinai rapidement sous ses coups de reins ; il adorait m’entendre gémir.



Oups ! Je n’avais pas prévu ça… Mais bon, nous étions en confiance et je savais qu’il n’était pas du genre à me faire mal ou me prendre brusquement. Je me disais tout de même que, compte tenu que son sexe prenait toute la place en moi, alors quelle place pour le gode ?



Il fit ainsi, me préparant bien mon trou, puis me reprenant avec son sexe pour enfin engager le gode sur ma rondelle, forçant très lentement afin d’ouvrir le passage. Je restais bien ouvert, à la fois très excité par cette nouvelle expérience, mais aussi un peu inquiet d’être déchiré ou de sentir une douleur.

Je sentis d’un coup le gland du gode s’introduire en moi ; je fus surpris déjà que cela soit possible, et aussi agréablement surpris de ne pas ressentir de douleur.



La sensation de sentir mon anus se dilater au passage du gode et d’être rempli comme jamais, je n’avais jamais connue, et ça m’excitait de plus en plus. Ma confiance en Luc et mon envie de prendre du plaisir devait aussi faciliter l’ouverture de mon trou, et donc cette pénétration hors norme ! Une fois le gode rentré – il était tout de même plus court et moins large que le sexe de Luc – mon amant commença à me limer doucement.


Je dois dire que jamais je n’aurais cru prendre un tel plaisir à être ainsi pris. Mon anus s’était bien élargi et je sentais en moi les deux membres coulisser, aller et venir au fond de mon intimité. Mon amant aussi était très excité car il ne mit pas longtemps avant de jouir, alors qu’habituellement il prenait tout son temps, aimant changer de positions et me faire couiner avant d’éjaculer.



Il retira rapidement son sexe, ôta la capote et me jouit abondamment sur ma rondelle et mes fesses tout en continuant à me limer avec le gode… J’adore sentir le sperme chaud et épais sur mes fesses, cela me procure des frissons sur ma peau.

À mon tour je m’activai d’une main sur ma queue et j’éjaculai rapidement et abondamment sur ma main et sur les draps sur lesquels je m’étendis, épuisé et comblé par cette séance si particulière.


À peine remis de nos émotions, nous avons commencé à discuter autour d’un verre, histoire de reprendre nos esprits. Il me connaissait bien :



Mais dans ma tête, j’avais déjà l’idée de recontacter un couple gay que j’avais rencontré pour un plan sexe sur Avignon. Deux mecs super sympas et super membrés ; j’avais passé deux heures avec eux à les sucer et à me faire prendre à tour de rôle. J’avais adoré.


Je décidai dès mon retour de les contacter, et… Mais ceci est une autre histoire.