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Plage atlantique

Les plages de l’Atlantique avec leurs dunes en bordure de forêt de pins sont pour moi les plus beaux lieux de rencontres gay en France. Après avoir essayé, depuis des années, tous les types de lieux possibles un peu partout, de l’aire d’autoroute aux forêts, saunas ou autres clubs, au moins à la plage, tu peux savourer l’endroit avec les yeux s’il ne se passe rien et profiter de l’océan.

Avec quelques nuits réservées au seul camping du coin, la plage que je connais depuis un certain temps n’est pas si simple d’accès. Sans voiture, il me faut marcher au moins deux ou trois kilomètres mais les 10 à 15 km à pied tous les jours, dont une bonne partie dans le sable, ont bien musclé mes mollets, cuisses et cul.

Il fait un temps magnifique, j’ai bronzé nu toute la journée sur la plage, en alternant siestes et baignades. Il n’y a personne à moins de cent mètres à la ronde, quelques promeneurs, souvent nus aussi, zieutent un peu mais ne tentent rien. Je savoure le soleil, la chaleur agréable, l’océan magnifique, les gens qui passent n’hésite pas à regarder mon entrejambe bien exposé… J’ai de temps en temps de petites érections que je ne cache pas, je suis bien excité.

Aujourd’hui, j’ai décidé d’aller terminer la journée dans le coin de rencontre que je connais bien. Il me faut retraverser la dune de sable et marcher quelques centaines de mètres. La zone s’étend le long de l’entrée de la forêt qui borde la dune. Le sable rencontre les arbres dont les feuillages sont à tête d’homme, ce qui crée des labyrinthes de végétation avec des coins très discrets et tranquilles. J’en choisis un, m’y installe, étale ma serviette et totalement nu j’attends les éventuels passages. L’endroit est très calme, les gens sont peu nombreux et peu décidés comme partout.

C’est souvent à nous de faire le premier pas. Après quelques passages, sourires et culs qui s’éloignent, je décide de changer de place. J’en trouve une plus dégagée ce qui me permet de voir au loin, je scrute la dune et je vois quelques personnes éparpillées qui rentrent de la plage. Le soleil est un peu plus bas, la température est chaude sans excès, je savoure le sexe à l’air, je suis excité et compte bien baiser avec quelqu’un. Je me touche le sexe, debout en écoutant les éventuels bruits, en surveillant l’arrivée d’un prétendant. Mon sexe gonfle légèrement pour atteindre une belle taille qui me permet de mieux le prendre en main.

Soudain, un mec apparaît sur ma droite, il surgit d’un p’tit chemin discret. Je le reconnais, il était déjà passé à l’autre endroit. Cette fois-ci voyant que je me masturbe il s’arrête. Je le fixe du regard pour lui faire comprendre que j’ai envie de sexe en lui présentant ma queue maintenant tendue par sa présence.

Il s’arrête, pose ses affaires près de moi et s’agenouille. Il prend ma queue direct en bouche, l’avale goulûment et entièrement d’un coup. Sa bouche est chaude et très agréable, je suis aux anges, je sens qu’il va bien me sucer. La situation m’excite et je lui attrape la tête pour lui imposer mon rythme, j’enfonce ma queue dans sa gorge, il déglutit mais encaisse très bien. J’adore, il me fait bander un max, son cul a l’air magnifique.

Il se retire pour respirer un peu, la langue pendante, me lèche les couilles rasées pour l’occasion naturiste. Me regarde avec ses yeux de salope, reprend mon chibre dans sa bouche… Ce mec m’excite grave. Il est super bien foutu, malgré son torse viril et son cul légèrement poilu. Ce dernier est comme deux balles de handball parfaitement rondes… Sa rondelle est serrée et bien marquée. Je ne me souviens pas avoir baisé un cul aussi beau. Il a également une belle bite, qui me donne envie de la goûter. Je me baisse pour la gober, son liquide est succulent, je lèche chaque goutte qui perle à son gland. Il m’attrape la tête et m’enfonce sa queue dans la bouche, j’adore… Il est aussi viril et chaud qu’il semble être salope, je bande très dur.

Il me relève, on s’emballe à pleine langue, j’adore sa salive que je savoure… Il se retourne légèrement, pour me tendre son cul, que je fesse et caresse de manière alternée, il couine, je comprends qu’il a envie de se faire enculer.

Je lui demande de se mettre à quatre pattes sur la serviette, je lui prépare le cul avec du gel, il est sublime, j’ai hâte d’être dedans. Capote mise, je m’approche de sa rondelle, je lui tapote le cul avec ma queue, je lui malaxe les fesses en alternant avec quelques fessées. Je vais aussi attraper sa belle queue, en l’embrassant dans le cou, en lui léchant ses lèvres avec ma langue, lui cambré, le cul bien tendu contre ma queue.

Mon gland introduit son anus doucement, je me retire, le remets, il me donne des coups de cul, pour m’inviter à aller plus loin… Doucement, je l’enfile entièrement, je m’affale sur lui ma bite bien au fond de son cul, pour qu’il bouge moins et pouvoir l’embrasser et le lécher à nouveau… Je l’entends respirer plus fort, il gémit, il trémousse son cul que je maintiens maintenant des deux mains, alternant toujours une petite fessée ou deux pour le stimuler…

Une fois que je le sens près, je commence un va-et-vient plus soutenu, je fais en sorte de toujours ressortir presqu’entièrement pour revenir le planter à fond. Au bout d’un moment mes va-et-vient sont de plus en plus rapides et puissants, il couine plus fort…

• — T’aimes te faire enculer p’tite salope ! T’aimes ça te faire bien baiser !…
• — Oui, j’adore ta queue, encule-moi bien, je suis ta salope, baise-moi !…

Je me maintiens à ses fesses que j’agrippe maintenant fermement, je me suis relevé sur mes pieds afin d’avoir un bon appui et une bonne balance… Je lui impose tout mon poids dans son cul. Il est musclé et encaisse super bien… J’adore, la situation m’excite énormément, j’ai une superbe salope super bien foutue entre les mains. Je continue à le pilonner, je résiste pour ne pas jouir. Je fais une pause, au fond de son cul. Il doit sentir ma queue et ses spasmes de retenue pour ne pas éjaculer. Je prends sa bite dans la main, je suis contre lui, collé, nous sommes en sueur. Je lui lèche le cou, il tourne la tête, me tend sa langue, je l’emballe comme je peux.

Ne tenant plus, je me relève et commence à l’enculer de plus en plus vite et fermement. Après quelques instants, je finis par jouir bien au fond de son cul, mon pubis collé à ses fesses, ma main agrippant ses cheveux pour qu’il me regarde jouir. Encore dans son cul, la capote pleine, il commence à se branler pour jouir rapidement.

A ce moment-là, j’ai regretté de ne pas lui avoir mis une capote et de ne pas avoir pris sa queue dans le cul allongé sur le dos.

Il s’est relevé et est parti assez rapidement. Je n’ai pas eu assez de temps pour savoir si nous aurions pu nous revoir un jour quelque part. Ce que je regrette un peu. S’il me lit et se reconnaît, qu’il n’hésite pas, on ne sait jamais.

Je suis rentré au camping encore excité par ce moment, je me suis branlé sous la douche, puis dans ma tente la nuit et encore en me réveillant le matin en repensant à ce que nous avions fait et ce que nous aurions pu encore faire…

Il y a des rencontres et moments comme ceux-là, qui sont plus intenses et excitants que d’autres. Encore une fois, cet endroit a été magique.