n° 17563 | Fiche technique | 16864 caractères | 16864Temps de lecture estimé : 10 mn | 18/09/16 |
Résumé: Amalie, une jeune fille bien sous tous rapports mais d'une perversité sans nom, est en soirée... | ||||
Critères: f jeunes complexe fête humilié(e) cérébral ffontaine fmast nopéné portrait humour -occasion | ||||
Auteur : Azmandias Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Amalie Chapitre 01 | Épisode suivant |
C’était le premier échange que nous avions eu avec Fred. Peu de temps après ma rentrée à la fac, je l’avais rencontré à une soirée chez un ami commun. La première chose que je me suis dit, c’est qu’il était idiot. Et pour dire la vérité, je n’étais pas loin du compte. Mais à sa décharge, il était plus que mignon. Au premier regard on pouvait savoir qu’il était un de ces fanas de musculation, et qu’il devait passer à la salle plusieurs fois par semaine. Alors que j’étais petite et plutôt ronde, il était grand et athlétique. Ses yeux bleus délavés et ses cheveux blonds faisaient qu’on ne pouvait pas le manquer. J’avais déjà vu plusieurs filles s’approcher de lui au cours de la soirée, mais étrangement, c’était lui qui était venu à moi.
Moi, la petite boulotte aux cheveux châtain, aux yeux marrons et dont la seule particularité était d’être affreusement normale à tous points de vue. Sauf dans ma tête. Ce soir-là, j’avais fait un effort vestimentaire, et le temps clément de ce début septembre m’avait permis de passer une petite robe bleue qui tombait au-dessus des genoux, à dos nu et que je trouvais plutôt osée étant donné que l’ouverture ne s’arrêtait qu’à quelques centimètres de mes fesses. Plutôt rondes, les fesses, mais il paraît que les hommes aiment ça, non ?
Cette brève discussion s’était terminée aussi vite qu’elle avait commencé, Fred s’étant senti quelque peu refroidi par ma réponse peu amène. Je m’étais alors assise un peu à l’écart des gens, buvant mon verre en me traitant de tous les noms. Ce n’était pas tous les jours qu’un beau mec m’abordait, et pour tout dire ce n’était pas tous les jours qu’un mec m’abordait tout court. Je l’avais rembarré plutôt sèchement et je le regrettais, maintenant.
Je n’avais pas exactement prévu de me le taper dans la soirée ou d’aller le sucer dans les toilettes, mais un peu de compagnie m’aurait fait du bien. J’avais passé tout l’été chez mes parents, et je n’avais pas eu l’occasion de fréquenter les garçons, qu’ils soient mignons ou non. J’aurais été plutôt gênée de ramener un mec d’un soir devant mon père. Mes parents avaient de moi l’image d’une fille sage, et pas exactement très au fait des choses sexuelles. Et je ne l’étais pas. J’avais eu une première fois désastreuse durant le lycée, avec un type de ma classe dont le seul but était de crier sur tous les toits qu’il avait perdu sa virginité. Moi, j’avais perdu la mienne, et tout le bahut était au courant. Les deux mois qui avaient suivi furent parmi les pires de ma vie, et cette brève incursion dans la vie de vraie femme m’avait périodiquement guérie de toute envie.
Il avait fallu du temps et la rencontre d’un gentil garçon, bien sous tous rapports, pour que je me laisse retenter par la chose. J’avais alors découvert le plaisir qu’on pouvait prendre avec un homme, moi qui m’étais contentée de ma pauvre main et d’un jouet vibrant offert par une copine à moi qui avait vainement essayé de me décoincer.
Ces sessions de masturbation me laissaient très souvent insatisfaite, même alors que j’essayais de les agrémenter de pensées excitantes. Je me faisais des scénarios avec de beaux messieurs – parfois avec de belles dames – mais je finis bien vite par trouver que ça manquait de piment.
Au fur et à mesure, mes rêveries érotiques avaient doucement glissé vers des scénarios plus crus, plus durs, voire carrément plus sales. Mes études de psycho m’avaient bien fait comprendre que l’interdit était excitant, et je m’employais à démontrer ce fait. Je me rêvais en soumise, aux mains de multiples pervers qui profitaient de moi sans me laisser le moindre répit ; aux pieds de ma maîtresse, nue et en laisse, obligée de marcher à quatre pattes comme une chienne le long de ruelles mal éclairées ; offerte dans une cave sordide, attachée à un mur alors qu’une demi-douzaine de lascars me regardaient avec envie avant que la curée ne commence. Je terminais mes affaires, en nage, le rouge aux joues, mortifiée par ces envies vicieuses. J’en avais tellement honte qu’à chaque fois je me promettais de ne pas recommencer.
Mon problème, c’était que les histoires de prince charmant me laissaient de glace. Petit à petit, je ne parvenais plus à m’exciter sans un bon scénario bien ficelé où je me faisais salope et où je me livrais à des actes bestiaux. Mes pensées salaces avaient commencé à déborder sur ma vie courante, et quand je croisais des hommes ou des femmes que je trouvais beaux ou particuliers, j’avais souvent des images crues qui passaient à toute vitesse dans ma tête, et je sentais même parfois que l’excitation me gagnait sans que je puisse faire quoi que ce soit. Il y a eu des moments où je suis restée bête, debout en pleine rue, sentant ma mouille couler le long de mes jambes après avoir vu un mec un peu trop mignon.
Fred m’avait fait cet effet-là. Avant même qu’il ne m’adresse la parole, je l’avais déjà imaginé s’approchant, m’attrapant doucement mais fermement par la nuque et me traînant vers la salle de bain. Là, il m’aurait penchée au-dessus du lavabo, et sans même une parole m’aurait pénétrée d’un seul coup. Pas besoin de préliminaires : j’étais déjà trempée, de toute façon.
C’était peut-être à cause de ce fantasme que je lui avais répondu sèchement. Mon cerveau était tellement encombré par cette image de lui en train de me baiser sauvagement que je n’avais rien trouvé d’autre à répondre.
Je m’étais assise à l’écart parce que je ne voulais pas qu’on voie que l’arrière de ma jupe était taché. Je me disais que les gens allaient penser que je m’étais pissé dessus, et vu le peu d’amis que j’avais, je ne voulais pas risquer une humiliation en public. J’étais donc à l’écart, buvant doucement un verre de je-ne-sais-quoi lorsque Fred était revenu me voir.
J’ai tout de suite eu une image de lui s’arrêtant devant moi et sortant son sexe pour le présenter devant mon visage. J’aurais ouvert la bouche et tiré la langue, attendant impatiemment qu’il me l’enfourne au fond de la gorge. Cette pensée acheva de me liquéfier, et j’ai bien cru que ma tête entière avait rougi sous le coup de l’émotion. Il s’était arrêté à un mètre de moi et m’avait fait un petit clin d’œil.
Mon premier réflexe avait été de commencer à ouvrir la bouche. Je me suis même sentie saliver. La part consciente de moi avait réussi à rattraper le coup en me forçant à refermer la bouche, mais j’avais été incapable de répondre quoi que ce soit.
Il avait rigolé et avait ouvert la fenêtre lui-même avant de s’asseoir à côté de moi.
Fred en train de me défoncer le cul.
Fred en train de me tordre les tétons.
Je ne devais pas avoir l’air très malin non plus.
Fred me prenant en levrette, tirant mes cheveux en me mettant des claques sur les fesses.
Fred me giclant sur le visage et les seins, me forçant à tout récupérer pour l’avaler.
À force de fantasmer, j’étais aussi trempée que si je m’étais vraiment pissé dessus.
Il s’était alors levé et avait traversé les groupes de gens en train de danser, boire ou discuter, pour disparaître en quelques secondes.
Fred me baisant dans toutes les positions, Fred me cravachant les seins, mes gémissements étouffés par un bâillon. Fred me faisant lui sucer la bite au fond d’un bus, et moi avalant tout pour qu’il n’ait pas de taches sur son pantalon.
Je n’en pouvais plus. J’étais tellement excitée que je sentais que le moindre contact, le moindre effleurement sur ma peau m’aurait fait jouir instantanément. Mes mains s’étaient glissées un peu plus loin sous mes cuisses, et je sentais le bout de mes doigts sur le point de toucher mon entrejambe. Je les remuai un peu, et rien que ce mouvement m’électrisa.
J’étais en train de pousser sur mes mains pour les rapprocher encore de mon sexe quand je vis Fred revenir vers moi. Je me rendis compte que je m’étais mis à transpirer à grosse gouttes. Il se rassit à ma droite avec encore un petit sourire.
Fred en train de me baiser. Comme une salope. Violemment.
Je le suivis, et vis que mes tétons pointaient outrageusement à travers ma robe. Bien sûr, j’avais mis une robe sans soutien-gorge. On aurait dit qu’ils allaient percer le tissu. À ce moment précis, ma jambe s’écarta juste assez pour que mes doigts touchent ma chatte, et leur contact, la situation, ma perversité, Fred frottant sa bite gluante de ma salive sur mon visage, le tout combiné me fit décoller.
Je me suis brusquement contractée, j’ai mordu mes lèvres, et dans un gémissement à moitié étouffé j’ai joui comme une furie. J’ai senti un jet s’échapper de moi durant la jouissance, s’étalant entre mes jambes et sur le canapé, trempant un peu plus celui-ci. Je me mis à trembler, et pendant un temps qui me parut incroyablement long, j’ai senti la jouissance m’emporter, sans s’arrêter, par vagues lancinantes.
Quand l’orgasme finit par s’arrêter, j’ai pu voir Fred – mon baiseur infatigable – me regardant avec des yeux comme des soucoupes, les joues rouges, probablement en train de saisir ce qui venait de se passer. Il avait forcément compris. Ou pas. Comme je l’ai dit, il ne brillait pas non plus par son intelligence. Mais là… là, il devait avoir compris. Il s’en était forcément rendu compte.
J’étais mortifiée. J’ai senti les larmes me monter aux yeux, et je me suis brusquement mis à regarder mes chaussures, sans savoir quoi dire. Soudain j’ai senti sa main sur mon épaule. À ma grande horreur, son contact m’excita immédiatement. Une partie de moi me fustigea, me traitant de tous les noms, mais une partie disait tout autre chose. Fred allait enfin me mettre son gros chibre, putain !
Ce fut à mon tour d’ouvrir de grands yeux. Mon honneur était sauf : cet idiot de Fred pensait que j’avais la nausée. Et il allait me baiser, oui. J’ai hoché la tête, toujours larmoyante, et Fred se releva en disant qu’il allait chercher un seau. « Baise-moi Fred ! » J’étais repartie de plus belle : chaque petit geste, chaque petite attention de sa part me faisait monter dans les tours, encore et encore. Il fallait que je trouve un moyen pour qu’il s’en aille avant que la rivière que j’avais entre les jambes ne se transforme en chutes du Niagara. La tache sous moi avait déjà dépassé mes jambes et formait une auréole sombre autour de mes fesses. Il fallait qu’il parte loin. Mais il fallait aussi que je boive son sperme, alors j’étais tiraillée.
Il revint avec le seau promis, et je sortis mes mains de sous mes cuisses, constatant qu’elles luisaient sous le faible éclairage de la pièce, couvertes de mouille. Je puais le sexe à plein nez. Fred ne se rendait compte de rien. Fred me dilatant le cul avec ses doigts d’une merveilleuse façon… C’est pas donné à tout le monde, quand même !
Je saisi le seau et le plaçai entre mes jambes. Les vagues de l’orgasme précédent refluaient à peine, tandis que celles du prochain se faisaient sentir. Je me penchai en avant pour cacher la tache sous moi et, la tête dans le seau, j’en profitai pour mettre une main entre mes jambes, un peu comme si je tenais mon ventre douloureux. Les images de Fred me faisant des choses plus cochonnes les unes que les autres ne s’arrêtaient plus de tourner derrière mes yeux. Du sexe plein la tête, mes doigts trouvèrent leur chemin jusqu’à mon vagin et s’enfoncèrent dedans, culotte et robe comprises. Sous le regard plein de bienveillance de Fred qui me faisait des choses dégueulasses mais tellement bonnes, je jouissais à nouveau par à-coups, poussant cette fois des petits gémissements à intervalles réguliers, faisant tout mon possible pour ne pas hurler tellement le plaisir était fort.
Je restais tétanisée pendant deux bonnes minutes, la tête toujours dans seau, mon idiot et pervers de Fred en train de me regarder. Finalement, quand je pus enfin relever la tête, je sentis un filet de bave couler de mon menton. J’avais joui tellement fort que je m’étais bavé dessus. J’essayai vainement de cacher le petit bruit de succion qui accompagna la sortie de mes doigts, et par pure perversité je les portai à mes lèvres comme si je voulais me couvrir la bouche. L’odeur de sexe qui s’en dégageait était affolante. Je me sentis repartir, mais cette fois je gardai le contrôle.
Il revint bientôt avec un plaid léger que je fus plus que soulagée de pouvoir déposer au-dessus des lieux du crime sans pour autant que je puisse moi-même sortir de l’étang que j’avais déversé en quelques minutes.