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Temps de lecture estimé : 8 mn
18/09/16
Résumé:  Une lycéenne assidue, une employée modèle et une cousine aigrie.
Critères:  f fh hplusag jeunes cousins collègues profélève travail école fmast intermast fellation pénétratio fsodo portrait -amourcach -exhib -mastf -bureau
Auteur : Sarah      Envoi mini-message
Histoires sans paroles

Vous voyez cette jeune fille, au premier rang de la classe ? Mais si, voyons, celle qui n’est assise à côté de personne, qui écoute le professeur attentivement et qui prend des notes. Celle qui répond aux questions et qui a toujours les meilleures notes. Première de la classe, mais pas d’amis car trop timide, trop studieuse, trop parfaite. Les filles ne lui parlent pas car elle ne s’intéresse pas à leurs commérages et à leurs discussions stériles sur les garçons. Les garçons ne la regardent pas, non pas qu’elle soit moche, mais elle est trop coincée, trop farouche.


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Vous voyez cette jeune femme, dans cette entreprise de téléphonie ? Bien sûr que vous voyez de qui je parle ; vous passez tous les jours devant son bureau. Première arrivée, dernière partie. Jamais absente. Toujours tirée à quatre épingles. Jamais à la pause café. Vous connaissez son nom, même si vous n’avez échangé que de simples « bonjour » depuis qu’elle est en poste ici. Lors des réunions, elle attend que ça commence, assise à sa table, son carnet et son crayon posés devant elle. Elle ne participe pas aux conversations, elle ne rit pas aux blagues salaces du collègue, et dès que le chef quitte la pièce, elle l’imite et retourne dans son bureau. Elle est toujours aussi jolie, sinon vous ne l’auriez pas remarquée du tout, mais elle est tellement distante, tellement froide qu’elle est inabordable.


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Vous voyez cette cousine aux réunions de famille ? Évidemment, la cousine rabat-joie comme on l’appelle dans son dos. Dans les repas, c’est elle qui gronde les enfants dissipés, qui rappelle à l’ordre les adultes quand la conversation dérive vers un sujet scabreux, qui dirige et organise tout, qui ne s’assoit jamais et veut toujours faire la vaisselle avant de partir. Vous vous dites que si elle n’était pas votre cousine, vous lui auriez mis une bonne fessée pour la détendre un peu. Sur ce postérieur qu’elle a si joli. Mais elle est tellement chiante, tellement aigrie… Et puis ses grands yeux verts qui vous assassinent lorsque vous faites un pas de travers.


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Et pourtant, cette lycéenne mignonne mais accaparée par ses études, que fait-elle le soir dans sa chambre ? Ses devoirs, oui, bien sûr, mais une fois terminés ? Elle ferme bien sa porte à clé, se déshabille, sort de sa trousse son stylo-bille qu’elle utilise quotidiennement. Oui, celui-là même que vous avez parfois aperçu franchir ses lèvres en buvant les paroles du prof de maths. Ce stylo est en train de glisser allègrement entre d’autres lèvres, et dans ses rêves elle imagine le sexe dur et puissant de ce cher prof de maths aller et venir entre ses cuisses et lui donner du plaisir.


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Et pourtant, cette collègue de boulot aux courbes aguichantes mais qui donne toute son énergie dans le travail et qui semble friser le burn-out, que fait-elle le soir dans son petit studio de banlieue ? Elle boucle ses dossiers et termine sa préparation pour le lendemain, oui, bien sûr, mais une fois rangés ? Elle ferme ses volets, se déshabille, extrait de son sac ce gros feutre rouge avec lequel vous l’avez déjà aperçue écrire l’ordre du jour sur le tableau de la salle de réunion. Ce feutre est en train de coulisser dans son vagin ; elle pense à son chef et imagine que c’est lui qui la prend violemment et la fait jouir.


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Et pourtant, cette cousine aux formes parfaites mais qui plombe les repas dominicaux avec sa mauvaise humeur et sa froide raideur, que fait-elle le soir dans son petit pavillon ? Elle nettoie et range toute sa cuisine, oui, bien sûr, mais une fois terminé ? Elle baisse ses stores, se déshabille, s’empare de ce balai avec lequel elle vous menace quand vous entrez dans sa cuisine. Ce balai est en train de pénétrer son anus ; elle rêve de son cousin et imagine qu’il laboure ses entrailles avec son sexe raide et épais.


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Et puis un jour – c’est le dernier jour des cours – elle prend son temps pour ranger ses affaires dans son sac. Ses camarades ont quitté la salle en courant, impatients de rejoindre l’extérieur et plonger dans les vacances. Toujours assise, elle regarde son professeur de maths qui n’a pas vu qu’elle était encore là. Il est beau, penché sur son bureau, en train d’écrire.


Elle retrousse sa jupe, glisse sa main dans sa culotte et commence à se masturber. Sans discrétion. Elle soupire d’aise en le fixant. Surpris, il lève la tête et son visage se décompose. Il reste sans bouger à la regarder se faire du bien. Elle ne le quitte pas yeux et jouit doucement. Il ouvre la bouche pour parler, mais elle pose son doigt sur sa bouche et lui intime l’ordre de se taire. Il faut faire vite : la porte est ouverte, il reste peu de monde, mais sait-on jamais…


Elle retire sa culotte, la lui jette et s’approche de lui. Elle le prend par la main, le fait se lever et remarque avec plaisir la bosse qui déforme son pantalon. Rapidement, avec ses doigts agiles, elle défait la boucle de la ceinture, ouvre la braguette et extirpe une belle verge raide. Elle soupèse l’objet, prend conscience de sa vigueur et le branle quelques courts instants. Puis elle s’assoit sur le bureau de son professeur de maths et l’attire à elle. Avec ses pieds, elle fait descendre le pantalon jusque sur les chevilles de son propriétaire, écarte ensuite largement les jambes et colle leurs deux corps. Les sexes se frôlent. Enfin, en un instant, il est en elle. Elle a un petit hoquet de surprise ; il a glissé en une seule fois dans sa chaleur.


Finalement, elle se couche de tout son long. Le professeur passe les mains sous les fesses de son élève, se positionne confortablement et entame un va-et-vient lent mais puissant. Elle se laisse emporter, et l’orgasme la submerge rapidement. Elle pousse de petits cris étouffés tandis que son partenaire la regarde jouir. Elle se redresse, son professeur se retire, elle se saisit de sa hampe luisante et le branle. Très vite, il éjacule en longs jets qui s’écrasent sur le sol, sauf le premier qui atterrit sur sa cuisse. Elle essuie avec son doigt, lèche le sperme puis quitte la salle de classe après s’être rajustée et avoir pris son sac.


* * *


Et puis un jour – c’est un vendredi soir – elle range son bureau. Tous ses collègues sont partis depuis longtemps. Elle prend l’ascenseur pour rejoindre les locaux de la direction quatre étages plus haut. Son chef, exceptionnellement, y est encore. Une affaire en cours avec des Américains, décalage horaire oblige. Dans l’ascenseur, elle retire son tailleur et ne garde que ses sous-vêtements. Elle apparait ainsi en soutien-gorge et culotte assortis, dans l’encadrement de la porte du bureau de son chef. Il éteint son ordinateur ; elle s’avance.


Arrivée devant son fauteuil, elle s’agenouille et libère le sexe à demi-bandé de son supérieur. Elle le suce avec application pour lui donner une érection digne de se nom. Pendant ce temps, l’homme dégrafe son soutien-gorge et libère une paire de seins lourds qu’il caresse avec délectation. Le sentant prêt, elle se relève et s’accoude sur le bureau, les fesses offertes. Il descend le string, et sans douceur s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Il reste immobile, fiché en elle, la laissant profiter de sa présence au fond de sa matrice moite de désir.


C’est elle qui donne le signal du départ de la cavalcade en roulant des hanches. Il se saisit d’elle par les fesses et commence à la pilonner par de grands coups de reins amples. Il la pénètre de toute sa longueur ; elle pousse un petit cri de plaisir chaque fois qu’il tape au fond de son vagin trempé. À ce rythme-là, il lui faut peu de temps pour atteindre le plaisir, et au terme de plusieurs coups plus chaotiques, il s’enfonce une dernière fois et se déverse en elle. Elle sent son épaisse semence la remplir ; les contractions de son dard expulsant le sperme la font jouir à son tour. Leurs cris se confondent, leurs souffles sont haletants, les corps sont tremblants.


Il se dégage d’elle et se rassoit. Elle se relève, ramasse ses habits et quitte la pièce pour rejoindre son étage.


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Et puis, le soir est tombé, les convives sont partis. Seul le cousin est resté ; il habite loin et vit seul. Il dort à la maison et repart le lendemain matin. Il est dans la salle de bain, se préparant pour la nuit. Elle, dans sa chambre, retire tous ses habits, les plie soigneusement avant de les poser sur sa chaise, puis elle sort de la pièce et se dirige vers la salle de bain. Elle ouvre la porte, nue. Le cousin la voit dans le miroir et se retourne vivement ; sa cousine est une belle femme, avec des seins fermes aux pointes tendues, un ventre lisse, une toison fournie mais bien taillée. Il a du mal à regarder son visage, subjugué par sa beauté.


Elle se colle à lui, se frotte contre son torse puissant. Elle glisse une main dans le bas du pyjama et flatte la verge encore molle. Elle caresse les bourses lourdes et insinue même un doigt entre les fesses. Le sexe du cousin a pris des proportions impressionnantes. Elle le prend en main et le décalotte. Une goutte pointe sur le méat dilaté. Elle le prend en bouche et le lubrifie de salive, puis elle se tourne, prend appui sur le lavabo, et d’une main écarte ses fesses. Ainsi offerte, il comprend le désir de sa cousine.


Il suce son index et l’introduit dans le petit orifice. Voyant que le doigt coulisse aisément, il pose son gland à l’entrée de l’anus et dilate lentement le trou en poussant. Peu à peu, les muscles se détendent et le gland s’enfonce. Elle s’accroche au lavabo pendant qu’il progresse centimètre après centimètre. Enfin, il est en elle. Elle sent son pieu de chair dilater ses entrailles et ses testicules coller ses lèvres. Le cousin se retient à grand peine pour ne pas jouir précipitamment, mais les palpitations venues de la plus profonde intimité de sa nièce ont raison de lui, et sans avoir esquissé le moindre mouvement il la remplit de son foutre chaud. Elle sent le liquide couler en elle, l’inonder, tapisser ses parois intestinales. Elle jouit à son tour car elle joue de ses doigts sur son clitoris.


Essoufflé et un peu penaud, le cousin quitte lentement la caverne étroite de sa nièce qui se retourne, lui donne une bise sur la joue et retourne dans sa chambre.


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Je suis dans ma chambre ; je me réveille de mon fantasme de lycéenne.

Je suis dans ma chambre ; je sors de mon rêve de collaboratrice d’entreprise.

Je suis dans ma chambre ; j’abandonne mes envies de cousine.


Toi, mon camarade de classe qui connais maintenant mes fantasmes les plus cachés, oseras-tu m’aborder et me parler malgré mon apparent attachement exclusif à ma scolarité ?


Toi, mon collègue de boulot qui découvres mes rêves débridés, te décideras-tu à engager la conversation malgré mon apparente froideur et ma rigueur professionnelle ?


Toi, mon cousin qui sais mes envies les plus viles, t’adresseras-tu à moi comme à une femme malgré mon apparente rigidité et ma mauvaise humeur de façade ?


Venez vite, Messieurs, je vous attends…