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Temps de lecture estimé : 71 mn
27/09/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  L'histoire de deux collègues qui sont contraints de se rendre plusieurs jours à Paris pour suivre une formation.
Critères:  ffh collègues hotel rasage jouet
Auteur : Laurepeggy            Envoi mini-message
En formation à Paris




Première journée :



C’est prévu depuis longtemps, mais je ne suis vraiment pas très motivé de passer ces quatre jours à Paris pour une formation. Le programme n’est pas passionnant et l’idée de passer quatre nuits à l’hôtel loin de ma femme n’aide pas. Seul point positif, je suis accompagné par une collègue et nous avons déjà prévu de visiter la capitale pour occuper nos soirées.


Comme nous le redoutions, le programme de la formation n’est pas passionnant du tout, cela va être très long… mais il faut bien que je m’y intéresse si je veux obtenir l’augmentation que mon patron m’a promise. Par chance, c’est une formatrice, une belle brune d’une quarantaine d’années.


Dès la pause du matin, ma collègue me fait remarquer que la formatrice ne semble pas insensible à mes charmes et que j’ai dû bien me rincer l’œil quand elle est venue se placer en face de moi pour vérifier mon travail. Je lui réponds qu’elle se trompe, je n’ai rien vu, et je pense qu’elle est juste sérieuse dans son travail de formatrice.


Dès le retour de la pause, je repense au discours de ma collègue. Aurais-je loupé un beau spectacle ? Moi qui ai toujours eu un petit côté voyeur et qui adore apercevoir une dentelle dépassant d’un décolleté ou les prémices d’un string.

Suite à tout cela, je décide de m’intéresser beaucoup plus à la formatrice qu’au contenu de la formation et, arrivé à la fin de la première journée, il est vrai qu’elle vient beaucoup plus auprès de moi qu’auprès de ma collègue féminine et que j’ai pu apercevoir plusieurs fois un beau décolleté. Je termine la séance avec deux questions : cherche-t-elle à me séduire ? et que porte-t-elle, culotte ou string ? car la jupe de son tailleur ne m’a pas permis de le définir.


Finalement, je vais peut-être trouver un intérêt à ces quelques jours d’escapade.


Ma collègue me propose de nous retrouver vers 20 heures devant l’hôtel pour dîner ensemble, car elle souhaite faire quelques courses. J’en profite pour finir d’installer mes affaires dans ma chambre, de prendre une douche et d’appeler ma femme.


20 heures arrivant, j’enfile une tenue décontractée et descends attendre ma collègue au pied de l’hôtel. À ma sortie de l’ascenseur, je la croise qui rentre seulement de sa séance de shopping. Elle s’excuse, m’assure qu’elle va se dépêcher de se préparer et que je n’ai qu’à boire un verre au bar de l’hôtel. Elle me l’offre pour se faire pardonner. Je m’installe au bar et lui confirme que c’est normal qu’elle soit en retard vu le nombre de sacs avec lesquels elle revient.


La soirée se poursuit simplement avec dîner et promenade dans le parc du Luxembourg et remontée des Champs-Élysées où l’on s’installe pour boire un verre en terrasse. Nous profitons de la douce soirée de printemps en échangeant des banalités sur nos vies respectives. Il est vrai que nous nous connaissons assez peu, même si on travaille dans la même boîte depuis plusieurs années, puis revient le sujet de la journée :



Nous rentrons ensuite à l’hôtel en métro. Nous nous quittons dans l’ascenseur ayant des chambres à des étages différents.


Notre discussion a duré un peu et il est trop tard pour envoyer un petit message à ma chérie. Je décide de me coucher et m’endors très rapidement.




Deuxième jour :



Le lendemain, je retrouve ma collègue pour le petit-déj à l’hôtel. Visiblement, on a bien dormi tous les deux et l’idée de vérifier qui gagnera notre pari nous motive pour nous préparer et rejoindre la salle de formation située à quelques pas de l’hôtel. Le trajet nous permet de continuer la conversation:



Nous entrons dans la salle, la formatrice nous attend. Comme hier, nous sommes les seuls participants.

Cette fois, je vais faire attention à tous les détails, et commencer par étudier sa tenue. Elle porte de nouveau un tailleur assez strict, mais la jupe me semble plus courte que la veille et je pense qu’il sera possible d’apercevoir le haut de ses bas lorsqu’elle sera assise.


Profitant qu’elle a le dos tourné, ma collègue me fait un petit signe pour également me faire remarquer que la jupe est plutôt courte. Je lui souris et lui fais signe de se taire.


La matinée passe rapidement et pas de signe distinctif de séduction de la part de la formatrice, sauf quand elle s’est approchée de moi pour corriger un détail sur mon écran, j’ai pu plonger mes yeux dans son décolleté fort attirant, mais je ne pense pas que c’était volontaire.


À la pause, je chambre ma collègue, persuadé qu’elle va perdre son pari :



C’est une facette de ma collègue que je ne connaissais pas, joueuse et un peu coquine… ça promet.


Profitant d’un temps de relâchement en début d’après-midi, j’engage une conversation un peu plus personnelle avec notre formatrice : sa vie parisienne, son travail qui lui fait rencontrer beaucoup de monde… Elle m’envoie un grand sourire en précisant ce point. Voyant cela, ma collègue est prête à éclater de rire.


Il semble que ce moment ait été comme un déclic pour notre formatrice. A-t-elle senti que j’étais réceptif à son sourire ? Elle passe la fin de l’après-midi à m’aguicher discrètement. Cela commence par de nombreux jeux de jambes qui laissent apercevoir le haut de ses bas comme je l’imaginais. Puis elle vient de nombreuses fois vérifier mon travail en se mettant bien en face pour me laisser admirer son décolleté. Pour finir, j’ai senti sa main effleurer mes fesses lorsque nous quittions la salle à la fin de la journée. À cet instant, j’ai compris que j’avais perdu mon pari.


Dès la sortie de la salle, j’ai vu que ma collègue avait un très grand sourire, elle aussi a compris qu’elle avait gagné :



De retour dans la chambre, je file sous la douche pour enlever la pollution parisienne et me changer. Sous la douche, je repense à tout cela, et j’ai toujours des difficultés à admettre qu’une aussi jolie femme soit attirée par mes charmes, mais repenser à ce corps m’excite un peu et l’idée de me masturber me traverse l’esprit. Mon téléphone sonne, je sors de la douche en vitesse. Un message de ma femme, je la rappelle. Je lui raconte ma journée, elle aussi. Je lui confirme qu’elle me manque, n’étant pas habitué aux séparations. Bien sûr, je n’évoque pas l’opération séduction de la formatrice. Je retourne dans la salle de bain finir de m’habiller et de me préparer. Nouveau message sur mon téléphone, probablement ma femme qui a oublié de me dire un truc.


Non, c’est ma collègue, que veut-elle ? Probablement me prévenir qu’elle sera en retard pourtant, il est loin d’être 20 heures:


« J’ai besoin des services d’un homme, est-ce que tu peux venir dans ma chambre ? »


« OK, j’arrive dans deux minutes. »


Je finis de me préparer en réfléchissant à ce qu’elle peut vouloir. Si elle a besoin de quelque chose, elle pourrait appeler la réception, je ne suis pas là pour faire du bricolage.


Je descends les deux étages qui séparent nos chambres et frappe à sa porte.



Elle aussi s’est douchée et changée, on sent encore l’odeur du shampoing venant de la salle de bain et ses cheveux sont à peine secs. Elle porte un jean assez moulant et un petit chemisier très sympa. J’avais déjà remarqué sa poitrine très attirante, mais cette tenue lui va à ravir et met tout son corps en valeur.



Elle s’assoit sur son lit en face de moi et semble un peu gênée. Il est vrai que l’on ne se connaît pas beaucoup et que l’on parle rarement de chose personnelle et je comprends sa gêne du fait de se retrouver tous les deux dans la même chambre d’hôtel. Elle poursuit :



Elle sort plusieurs sacs d’un placard et étale trois tenues sur son lit. La première, un ensemble pantalon beige et un chemisier blanc classique. La seconde, une robe longue noire. La troisième, une jupe qui semble très courte. Elle précise qu’elle accompagnerait la jupe du même chemisier blanc.


Je ne sais pas trop quoi penser de tout cela, je n’ai jamais été très attiré par les vêtements et je ne veux surtout pas blesser maladroitement ma collègue.



Encore une fois, je suis surpris par ma collègue, je n’aurais jamais pensé parler de ses futurs câlins avec son mari. Je la découvre complètement et j’aimerais beaucoup en savoir beaucoup plus sur ses câlins, j’adorerais l’entendre parler de sexe. Je me laisserais bien tenter d’essayer de jouer avec elle.


Aller je tente ma chance avec un petit subterfuge.



Je laisse un petit blanc volontairement pour voir sa réaction. Elle n’a pas l’air étonnée alors je continue.



Elle prend l’ensemble pantalon et chemisier et va s’enfermer dans la salle de bain.


J’attrape la brochure de l’hôtel et l’interpelle à travers la porte:



J’abandonne ma collègue quelques instants pour descendre à la réception commander des cocktails et de quoi grignoter pour la soirée.

En remontant par l’ascenseur, j’ai toujours du mal à réaliser que je vais assister à un défilé de mode de ma collègue. En rentrant dans la chambre, une petite voix me rappelle : pas de bêtise, tu peux jouer, mais n’oublie pas que tu es marié et elle aussi.


Je me réinstalle sur le canapé et ajoute:



Elle sort de la salle de bain vêtue du pantalon et du petit chemisier blanc, se place devant moi et fait un tour sur elle-même.



En effet, le pantalon moule parfaitement ses fesses, et l’ensemble a un côté secrétaire sévère qui lui va parfaitement.


Nous sommes interrompus par le service d’étage.



Je m’aperçois qu’elle est un peu gênée par ma remarque. Tant pis, j’ose continuer:



Elle s’éclipse de nouveau dans la salle de bain.



J’ai hâte de la voir ressortir, il m’a semblé que la jupe était très courte quand elle l’a étalée sur le lit. Non, je ne vais pas commencer à fantasmer sur elle. Il faut absolument que je reste sage, je ne vais pas ruiner mon mariage et le sien pour une petite partie de jambes en l’air. Et puis rien ne me dit qu’elle serait d’accord. Mais bon, rien ne m’empêche de jouer avec elle et d’essayer d’apercevoir quelque dessous ou un petit décolleté.


Mes pensées sont interrompues par le bruit de la porte qui s’ouvre. Elle effectue le même manège, se place devant moi et tourne sur elle-même.



Aussitôt, elle s’assoit sur le lit en face de moi et retire ces chaussettes. En s’asseyant, sa jupe déjà très courte a remonté très haut sur ses cuisses, mais pas suffisamment pour que j’aperçoive le début d’une dentelle. Par contre, quand elle s’est penchée, j’ai pu apercevoir par l’échancrure de son chemisier une belle dentelle blanche et la naissance de sa poitrine que je n’imaginais pas si généreuse.


Elle reste assise sur le lit, attrape son verre et me remercie de l’avoir resservie. Mes yeux sont littéralement attirés par ses cuisses et cette jupe. Je pense qu’elle s’en aperçoit, car elle a l’air gênée, tire un peu sur sa jupe et essaye de se mettre un peu sur le côté.



Elle attrape rapidement la robe qui reste sur le lit et file dans la salle de bain. J’aperçois un petit sac qui était caché sous la robe. C’est un sac d’une boutique de lingerie. Elle ne m’a pas tout dit, la coquine.


Je profite d’être encore séparé par la porte pour lancer innocemment:



Elle sort de la salle de bain et se place de dos devant moi.



Je m’exécute confirmant au passage qu’elle porte bien un soutien-gorge blanc. Dans cette position, elle aperçoit tout de suite le petit sac de lingerie et comprend d’où vient mon intuition. Elle le prend et le met sur le côté un peu plus loin.



Je sens que nous venons de passer un autre cap, et l’alcool aidant certainement un peu, j’ai bien l’intention de poursuivre mon petit jeu.

Sans que je lui demande, elle sort les deux ensembles du petit sac.



Je la sens amusée par ce petit jeu qui s’installe entre nous. Serait-elle beaucoup plus coquine que ce que j’ai pu imaginer ? A-t-elle décidé également de jouer avec moi ? Ou est-ce simplement les effets de l’alcool ? Ou peut-être qu’elle fantasme sur moi depuis longtemps ?



Elle sort délicatement du petit sac, deux ensembles d’une très belle lingerie, qu’elle dépose sur le lit. Le premier, bleu clair, en dentelle. Le soutien-gorge est très échancré avec quasiment des demi-bonnets qui doivent couvrir très peu les seins. Le bas est un shorty assorti entièrement en dentelle. Le deuxième est blanc, mais totalement différent. Le soutien-gorge a des bonnets très couvrants, mais avec de nombreuses zones transparentes. Le bas est une culotte très échancrée, limite tanga, avec pareil, de nombreuses zones transparentes. Je remarque une transparence devant, probablement très bien placée…



On s’installe dans un petit resto sympa. Il n’y a pas grand monde, c’est plutôt calme. Je lui offre l’apéro pour que l’on reste dans l’ambiance de ce début de soirée. J’ai dans l’idée d’en savoir un peu plus sur elle et en particulier de déterminer si elle est plutôt, coquine, très coquine, cochonne ou très cochonne. Je commence doucement :



On dirait que ça marche, elle n’a pas l’air contre le fait de me dévoiler un petit peu sa vie intime. Allez, essayons d’en savoir beaucoup plus.



Au moins je suis fixé, je sais qu’elle ne cherche pas à coucher avec moi. Tant mieux, moi aussi je suis fidèle. Par contre, ça confirme qu’elle est joueuse et coquine et que ce qu’elle fait avec moi est probablement uniquement pour s’exciter en prévision de sa soirée.



Je ne voyais pas du tout de quoi elle parlait, ça a l’air assez intime donc je comprends qu’elle n’ose pas me l’avouer, mais d’un autre côté, elle n’essaye pas de changer de sujet.



Là, je sens que l’on a de nouveau passé un cap. Les plats mettent du temps à venir, et je crois que le deuxième apéro l’a beaucoup aidée. Vu son enthousiasme dans la discussion, je pense que c’est le moment d’en savoir plus.



On se redirige donc vers l’hôtel. Elle me fait comprendre que la journée a été longue et qu’avec l’alcool, elle irait bien se coucher.

On se sépare de nouveau dans l’ascenseur.



Arrivé dans ma chambre, je me rends compte que j’ai oublié d’appeler ma femme. J’espère qu’elle ne va pas se poser de question.


Elle a raison, la journée a été longue… Au lit.




Troisième jour :



On se retrouve pour le petit-déj, la soirée a été longue et les heures de sommeil manquantes commencent à se faire sentir. On échange juste quelques banalités en suivant la chaîne d’info qui passe sur l’écran au fond de la salle.


On se traîne jusqu’à la salle pour notre troisième jour de formation. Avec tout ce que l’on s’est raconté hier soir, j’en ai presque oublié ma formatrice allumeuse. Sa tenue du jour me rafraîchit très rapidement la mémoire, une jupe assez courte, un petit top débardeur couvert par un gilet très léger.


La matinée est très studieuse ; avec quelques signes distinctifs de notre formatrice envers moi… il ne faut pas oublier qu’un pari est en cours.

La matinée est relativement longue, à la pause, ma collègue m’interpelle discrètement :



La formatrice étant de retour, on se réinstalle en salle. Mon téléphone est sur la table, mais je ne vois vraiment pas comment je pourrais faire une photo discrètement. Il va falloir que je trouve un stratagème.


La journée suit son cours. La formatrice continue de m’allumer discrètement. J’ai bien profité tout au long de la journée de son décolleté et je pourrais presque décrire entièrement son soutien-gorge, mais je ne vois vraiment pas comment je pourrais faire une photo.


Dans l’après-midi, ma collègue s’éclipse aux toilettes. Profitant de cette interruption, j’en profite pour poser une question technique à la formatrice sur le logiciel pour la faire approcher de moi. Mon téléphone est prêt au cas où une occasion se présenterait. Je sens dans son regard quelque chose de troublant, a-t-elle compris quelque chose ?



Assise en face de moi, elle me fait un très joli jeu de jambes. Elle se lève, ôte son gilet et s’approche en face de moi. Lorsqu’elle se penche devant mon écran, l’échancrure de son débardeur me laisse apercevoir quasiment toute sa poitrine. Il est clair qu’elle le fait exprès, mais mes yeux ne peuvent se détacher de ce charmant spectacle. Elle est tellement proche de moi, que je ne peux même pas attraper mon téléphone. C’est mort pour la photo.



Je ne m’attendais pas à cette réponse. Un peu pris de cours, je reprends :



Profitant de cet interlude, je saute sur l’occasion pour arriver à mes fins.



Je profite que ma collègue n’est pas encore revenue pour lui expliquer notre pari. On convient, afin que je gagne, qu’elle continue son petit jeu et que l’on trouvera un arrangement pour faire discrètement une photo.


La journée se termine ainsi. Sur le trajet du retour à l’hôtel, ma collègue me taquine gentiment concernant la future perte du pari. Beau joueur, je ne réponds pas et la laisse espérer…


Comme depuis le début, on se donne rendez-vous à 20 heures pour dîner ensemble.


Une fois dans ma chambre, je reprends ma routine du soir : douche, appel à ma chérie, changement de tenue…


Installé tranquillement sur mon lit en regardant les nouvelles du monde à la télé, je repense à cette journée. C’est quand même dommage tout ce gâchis… car j’avais une immense ouverture pour une super partie de jambe en l’air avec une femme sublime, coquine et joueuse. Ça doit être le pied de coucher avec elle. J’essaye d’imaginer si je lui avais dit oui. Qu’aurait-elle voulu ? Une soirée avec finition à l’hôtel ou sauvagement dans les toilettes ou directement sur le bureau de la salle de formation ? Avec ma collègue en prime… Waw, le fantasme !


Mes pensées sont interrompues par un message sur mon téléphone. Probablement ma femme. Ah non, c’est ma collègue. Que veut-elle ? Probablement encore me chambrer sur notre pari.


« Help, peux-tu venir vite, stp »


À quoi veut-elle jouer ? La soirée s’annonce encore très bien. Je vais peut-être avoir droit à un nouveau défilé.


Je descends les deux étages et frappe à sa porte.



Je pousse la porte et entre dans la chambre, mais je ne vois personne.



La porte de la salle de bain est légèrement entrouverte. Je m’approche :



En poussant la porte, je découvre ma collègue, enroulée dans une serviette, complètement pliée en deux. Elle semble souffrir.



Faisant le tour de la pièce, je comprends qu’elle devait être en train de prendre une douche. L’eau coule encore, elle n’a pas dû bien fermer le robinet et tous les shampoings sont en vrac au fond du bac de douche, il y a même un rasoir.


Je ne m’attendais pas à ça. Je l’attrape en passant ses bras autour de mon cou pour qu’elle se tienne à moi. Nous arrivons tant bien que mal jusqu’au lit où elle s’affale sur le ventre.



Je récupère le tube et, arrivé près du lit, je m’aperçois d’un problème. Je vais devoir déplacer une partie de sa serviette pour atteindre son dos.



Je m’assois à côté d’elle, baisse au minimum la serviette pour atteindre le bas de son cou et dépose une petite portion de crème.


C’est dingue, je suis prêt à faire un massage à une belle femme vêtue uniquement d’une serviette et je suis gêné. C’est peut-être le respect que j’ai pour elle qui me fait ça ou de la voir souffrir ou bien, je ne veux pas faire de bêtises pour ne pas perdre ce que l’on a construit ces derniers jours…


Peu importe, je reprends mes esprits et pose ma main sur son dos pour étaler la crème. Pour ne rien risquer, je fais glisser ma main sous la serviette sans la descendre. Sa peau est douce et la texture de la crème est parfaite.


Après quelques minutes, elle semble déjà un peu plus détendue.



La crise passée, l’atmosphère se détend et on recommence à discuter pendant que je lui passe de la crème sur tout le dos. Pour ne pas tomber dans une situation embarrassante, je continue en passant mes deux mains sous la serviette en prenant bien garde de ne pas descendre trop bas.



Suivant ses consignes, je retire mes mains de ce bel écrin tout en restant assis à côté d’elle. Afin de se repositionner sur le lit, elle se met sur le côté en prenant bien garde de maintenir la serviette pour ne pas qu’elle glisse et qu’elle couvre bien toute sa poitrine. Par contre, elle n’a pas pensé que la serviette est relativement courte dans cette position et que le faite de la tirer vers le haut pour couvrir sa poitrine à découvert la partie basse de son corps, me laissant admirer son intimité.


Je découvre ainsi l’intimité de ma collègue qui ne s’est aperçue de rien. J’arrive dans un dilemme, que dois-je faire ? Me lever et faire semblant de n’avoir rien vu ou profiter au maximum du spectacle sans rien lui dire et garder ce secret pour moi ?


Je choisis une troisième possibilité, l’humour, qui je l’espère ne la gênera pas trop:



Elle ne comprend pas tout de suite mon allusion et après un instant de réflexion, elle comprend que j’ai pu tout apercevoir de son intimité, y compris sa tentative de rasage ratée.

Elle rajuste sa serviette pour cacher au maximum son corps et plonge sa tête, rouge de honte, dans l’oreiller.

J’essaye de la rassurer :



Là, l’espace d’un instant, je doute. Dois-je tenter de lui proposer mes services ou sera-t-elle choquée ? Me disant que je n’ai pas grand-chose à perdre et que c’est le moment ou jamais de tenter une expérience particulière qui devrait être loin d’être désagréable. Je me lance :



Bien motivé par cette expérience, je file dans la salle de bain récupérer une serviette et le rasoir. Quelque chose me turlupine. Elle a quand même accepté très facilement, attend-elle autre chose de moi ? La tâche s’annonce très délicate, il faut que j’arrive à lui faire plaisir tout en veillant à ne pas être trop excité, car cela risquerait de se voir. Mais bon, il faut que j’en profite, ce n’est pas tous les jours que je pourrai poser mes doigts sur le sexe de ma collègue.


Je reviens à proximité du lit avec ma serviette et le rasoir.



Je m’assois à sa droite au niveau de ses cuisses.



J’ironise pour détendre la situation en ajoutant :



En prononçant cette phrase, elle relève le bas de sa serviette et écarte légèrement les cuisses laissant apparaître son sexe recouvert d’une toison, disons particulière… J’admire cette toison assez abondante. On peut voir sur la partie supérieure, des traces de rasoir maladroites qui sont très loin d’avoir formé un cœur.



Je pose ma main gauche sur le bas de son ventre et approche le rasoir sur le haut de sa toison. Dès le début, je comprends que je n’arriverai à rien de bien avec cela, surtout à sec sans crème ou mousse.



Une idée me traverse l’esprit.



Je file dans ma chambre récupérer mon rasoir. Et dire que ce matin il me servait à raser ma barbe… En passant dans ma chambre, je jette un coup d’œil à mon téléphone. Mince cinq appels en absence de ma chérie et deux SMS. J’envoie un petit mot en trouvant une excuse bidon et je retourne à ma tâche.


En revenant dans la chambre, ma collègue n’a pas bougé et est toujours dans la même position : allongée, les jambes écartées et relevées, c’est presque une invitation.


Je me repositionne près d’elle et allume mon rasoir. Au premier contact, les petites vibrations la font un peu sursauter.



Je commence sérieusement la tâche pour laquelle je me suis engagé. Une fois la partie haute préparée, je me rends compte que je ne pourrai pas faire un joli cœur comme habituellement.



Me voilà parti à la raser quasiment entièrement, posant mes mains au fur et à mesure de plus en plus près de son sexe. Concentré sur mon travail, je ne regarde pas ses réactions. Toute la scène se passe en silence. Seul le ronronnement de la tondeuse se fait entendre.


Mon rasoir est tout à fait adapté à la situation et elle se retrouve rapidement avec un joli petit cœur juste au-dessus de son intimité. Je relève un peu la tête pour voir sa réaction et me repositionner pour attaquer les finitions. Surprise, elle est totalement apaisée, détendue et a les yeux fermés. Est-ce pour oublier la situation ou au contraire pour en profiter et ressentir au mieux les petites vibrations et mes caresses. Je n’ose pas interrompre ce moment et retourne à ma tâche. J’arrive dans la partie la plus délicate, autour de ses lèvres intimes. Pour faire cette zone correctement et sans la blesser, il faut quasiment que je pose mes doigts sur ses lèvres.


Je m’exécute au début en faisant le maximum pour éviter de la toucher trop intimement. Je jette un œil, toujours pas de réaction de sa part et ses yeux sont toujours fermés. Ma tâche étant quasiment terminée, je me dis que l’occasion est vraiment trop belle. Même s’il n’y a plus grand-chose à raser, je pose maintenant mes doigts de façon beaucoup plus insistante, effleurant son intimité. Et progressivement, je fais glisser un de mes doigts sur son clitoris et le laisse dessus. Pas de réaction de recul, je prends cela pour un encouragement. Je pose mon rasoir et poursuis, en titillant son clitoris avec deux doigts et glisse plus bas vers son intimité. J’ai la preuve qu’elle a pleinement profité de ma petite séance de rasage, car ses lèvres sont brûlantes et déjà toutes humides. Après quelques caresses, son intimité s’ouvre pour accueillir mes doigts en elle. Mon regard passe de son intimité à son visage. Elle a toujours les yeux fermés et sa bouche légèrement entre ouverte laisse échapper des petits gémissements. Je commence de longs et lents va-et-vient, la pénétrant au plus profond avec mes deux doigts. Son intimité s’ouvre peu à peu me laissant toute la liberté dans mes mouvements. Je viens poser ma deuxième main sur son clitoris afin de l’exciter au maximum. Sa réaction ne se fait pas attendre, elle gémit maintenant de façon forte et régulière à chaque mouvement de mes doigts.


Elle semble apprécier cette simple caresse, je décide donc de ne pas brusquer les choses, même si j’adorerais y goûter en accompagnant mes doigts de ma langue. Pour consolation, ma position me permet de pouvoir admirer son visage et tout particulièrement quand elle atteindra l’orgasme.


Mes doigts glissent tout seuls en elle et j’alterne les mouvements lents et rapides. Son ventre se contracte à chaque fois que je vais au plus profond d’elle. Elle doit vouloir profiter au maximum de ces caresses, car elle n’accompagne pas mes doigts avec des mouvements de son bassin. Elle se laisse totalement faire, entièrement offerte. Je l’observe, ne manquant aucune réaction de plaisirs jusqu’au plaisir ultime. Son visage se fige, les yeux fermés, la bouche entrouverte puis tout se relâche dans un long gémissement. Elle est a-craqué quand elle a joui. J’ai pu ressentir les mêmes contractions au niveau de son sexe. Je retire mes doigts, chauds et détrempés. Je profite qu’elle a toujours les yeux fermés pour les lécher et goûter son plaisir. Elle finit par rouvrir les yeux avec un petit sourire :



Cela nous amène à un dur retour à la réalité et une certaine gêne s’installe. Je décide de la laisser.



Je remonte dans ma chambre avec un besoin terrible de me soulager. La voir ainsi offerte et jouissant sous mes caresses m’a fortement excité.


Je profite de la douche pour me soulager. Il y avait très longtemps que je n’avais pas eu ce genre de caresse. Mais là, j’avais vraiment trop envie.


L’après-douche est un dur retour à la réalité. J’ai plusieurs messages de ma femme. Je l’appelle, lui raconte quelques banalités sur ma journée. Bien évidemment, aucune allusion à ce qui vient de passer. Je viens quand même de quasiment la tromper. Si elle le découvre, je peux lui dire adieu.


On se retrouve comme prévu au pied de l’hôtel pour aller dîner.



L’accueil est plutôt froid. Mince, aurais-je tout gâché ? Si c’est le cas, tant pis, au moins j’aurais eu un beau spectacle.


On avance sans un mot dans les rues de la capitale et on s’installe dans le même endroit que la veille. Nous serons ainsi très au calme.


Je brise le silence :



Le repas se passe tranquillement où l’on échange ensuite sur des sujets banals.


Je suis rassuré. Elle ne m’en veut pas du tout pour ce que j’ai fait. Elle a bien apprécié et je pense qu’elle ne sera pas contre l’idée de jouer à nouveau si l’occasion se représente. Il faut que je sois attentif et peut-être que j’arriverai de nouveau à mes fins. Maintenant que j’ai passé le cap de tromper ma femme, autant en profiter un maximum, mais je ne veux pas non plus ruiner ce que je viens de construire avec ma collègue.


La fin du repas arrive.



Heureux d’avoir réussi mon coup, on se dirige vers une boutique pour adultes que je connais un peu. L’endroit est vraiment très bien, on y trouve beaucoup de lingerie et d’accessoire, mais très peu de vidéo ou DVD qui attirent principalement des hommes. Ici, la clientèle visée est clairement les femmes et les couples.


En entrant dans la boutique, ma collègue est tout de suite à l’aise grâce à l’accueil de l’hôtesse féminine et à la vue des nombreux rayons de lingerie. Je la laisse flâner dans les rayons, elle semble intéressée par deux ensembles. Je m’imagine déjà l’accompagnant dans la cabine d’essayage…



Elle repart avec les deux ensembles et me suit dans la deuxième partie de la boutique dédiée aux jouets. Il y a trois grands rayons avec différentes vitrines. Nous faisons un tour rapide pour la mettre dans l’ambiance.



Voyant la scène, une hôtesse nous aborde et nous propose son aide. Ma collègue accepte et nous écoutons attentivement son passage en revue de tous les types d’objets présents dans les vitrines en insistant sur les points forts de chaque modèle. Elle a bien compris que ma collègue était novice et elle l’oriente rapidement vers plusieurs modèles dits pour débutantes. La seule chose que notre hôtesse n’a pas saisie, c’est que nous ne sommes pas un couple. Elle fait très bien son rôle de commerciale et réussit à convaincre ma collègue de repartir avec deux jouets : un anneau vibrant pour en profiter à deux et un de ces œufs vibrants pilotés à distance par une télécommande. En tant que spectateur de la scène, je suis ravi.


En nous dirigeant vers la caisse, nous sommes interpellés par l’hôtesse:



Profitant de l’occasion, je ne peux m’empêcher d’ajouter :



Surprise, ma collègue se retourne vers moi. Son regard est entre fureur et amusement. La vendeuse nous oriente vers les cabines d’essayage. Bien évidemment, je suis ma collègue qui s’enferme dans une cabine. Je m’installe dans un fauteuil espérant assister à un beau spectacle. Malheureusement, elle a très bien fermé le rideau et je ne peux pas admirer grand-chose.

Il y a bien également une femme seule dans une autre cabine, mais le rideau est aussi très bien fermé.


Après quelques instants, la vendeuse revient vers nous et sans aucune gêne passe la tête dans la cabine de ma collègue.



Mon petit jeu fonctionne, la vendeuse est parfaite.



Je m’empresse de me lever et la vendeuse ouvre un peu plus le rideau pour me laisser une petite place.


Le spectacle est magnifique. Je découvre ma collègue dans un superbe ensemble noir très sexy. Elle est à croquer. Cet ensemble me permet de découvrir sa poitrine, seule zone qui m’est encore inconnue, que je n’ai pu voir encore entièrement nue ou toucher.



Ma collègue est rouge de honte. Je ne sais pas pourquoi, car je l’ai déjà vue dans une situation beaucoup plus compromettante. Peut-être à cause de la vendeuse ou bien elle ne s’attendait peut-être pas à ce que je continue mon petit jeu.



Je me réinstalle dans mon fauteuil et la vendeuse s’éclipse pour laisser un peu d’intimité à ma collègue pour enfiler le deuxième ensemble.


Dans la précipitation de son départ, le rideau de la cabine n’est pas complètement refermé. Ma collègue n’y fait pas attention, ou peut-être, le fait elle exprès… Je vais pouvoir profiter en direct du changement.


Elle commence par enlever le bas. Comme toutes les filles dans ce genre d’endroit, elle ne peut s’empêcher de regarder ses fesses dans le miroir. Elle n’a pas à avoir honte, elles sont magnifiques. Pour mon plus grand plaisir, elle ne met pas le bas du deuxième ensemble, mais elle continue en enlevant le haut. Je peux ainsi l’admirer entièrement nue. Sa poitrine est parfaite, juste comme il faut. À sa façon de faire, je sais maintenant qu’elle n’a pas fait exprès de laisser le rideau entrouvert.


Elle enfile rapidement le deuxième ensemble, je trouve qu’il lui va moins bien. Elle aussi probablement, car elle ne le garde pas longtemps et commence à se rhabiller. Elle porte une petite culotte en coton très classique et un soutien-gorge blanc. Son pantalon et son chemisier sont vite remis à leur place. Elle ouvre en grand le rideau afin de remettre ses chaussures.


Je ne fais aucune allusion à ce que j’ai pu voir. Nous nous dirigeons vers la caisse nous retrouvons notre vendeuse.



Ma collègue saute sur l’occasion de se venger.



Mince, je me suis fait avoir à mon propre jeu.


Je règle la note de ma collègue pour : un ensemble de lingerie, un anneau vibrant et un œuf vibrant télécommandé.


Nous sortons de la boutique, ma collègue a un grand sourire. Nos regards se croisent et amusé par ce petit jeu, nous avons un fou rire commun.



Nous rentrons à l’hôtel et on se quitte comme habituellement dans l’ascenseur.


De retour dans ma chambre, je fais un peu le bilan : Waw, quelle journée. Je me suis fait draguer très fortement par la formatrice. Je suis quasiment sûr qu’elle me laissera photographier son décolleté pour que je gagne le pari. J’ai fait jouir ma collègue avec mes doigts. Je l’ai emmené dans un sex-shop. J’ai réussi à lui faire acheter des sextoys. J’ai pu l’admirer dans la cabine d’essayage.


Je m’endors ainsi, pensant qu’il va être difficile de faire mieux demain.




Quatrième jour :



Je retrouve ma collègue qui m’attendait pour le petit déjeuner. L’ambiance est calme, peut-être un peu nostalgique, car c’est le dernier jour de notre escapade pour cette formation.


On convient de se retrouver dans trente minutes, le temps de préparer nos valises que l’on viendra récupérer avant de prendre le train.


Une fois ma valise prête, j’envoie un petit message à ma chérie pour lui indiquer que j’ai très hâte de la revoir et que j’ai envie d’elle. Eh oui, il faudra bien que je me fasse pardonner de mes petits jeux infidèles avec ma collègue et surtout que tout cela m’a énormément excité. J’ai été idiot, j’aurais dû profiter de notre visite au sex-shop hier pour lui en acheter un en cadeau.


Ma collègue étant prête, on se dirige vers la salle pour notre dernier jour de formation. J’espère que la formatrice tiendra parole et que l’on pourra faire les photos qui me feront gagner mon pari, car j’ai déjà une petite idée du gage que je pourrais demander à ma collègue perdante.


On s’installe dans la salle et on attend. Au bout de trente minutes, toujours pas de formatrice. On commence à espérer qu’elle a un empêchement et que ce dernier jour sera annulé. Cela nous permettrait de rentrer plus tôt chez nous.


L’attente commençant à être longue, on décide d’aller chercher un café. En sortant de la salle, nous tombons sur la formatrice en train de pester contre les grévistes qui la font arriver en retard.



La formatrice s’excuse pour son retard, nous explique son périple du matin suite à cette grève et nous commençons la dernière partie de notre formation.


Je remarque que son petit chemisier blanc du jour est très adapté pour une belle photo de décolleté… J’ai hâte d’être à la pause pour que ma collègue s’éclipse. Je pense que la formatrice n’a pas oublié, car elle joue à la perfection son petit rôle d’allumeuse.


Après avoir pu admirer de nombreux jeux de jambes et un magnifique décolleté, la pause arrive enfin. Comme prévu, ma collègue s’éclipse aux toilettes. Moi, j’attends pour voir si la formatrice réagit.



C’est dingue, c’est elle qui insiste et qui a pensé à tout pour que je puisse photographier son décolleté.



Nous voilà partis pour une petite séance photo improvisée. On se met dans un coin de la salle au cas où ma collègue reviendra et nous faisons les deux photos prévues. Ce n’est pas du grand art, mais sur la deuxième, on voit très bien la magnifique poitrine de la formatrice soutenue par un très sexy soutien-gorge qui lui fait un décolleté à ravir. J’y plongerais volontiers.


À peine ai-je eu le temps de vérifier la photo qu’elle s’est déjà reboutonné… dommage !



Notre petit jeu terminé, nous allons en pause prendre un café.


La formation reprend et j’en profite pour envoyer la première photo par SMS sur le téléphone de ma collègue.


Le stratagème fonctionne à merveille. Elle me répond par message que l’on ne voit rien de bien et que cela ne justifie pas ma victoire. En retour, je lui demande si j’ai droit à une deuxième chance. Elle accepte et m’autorise à lui envoyer une autre photo, mais avant ce soir 16 h.


Je décide de la laisser attendre et d’envoyer l’autre photo plus tard.


La journée continue tranquillement avec toujours le petit jeu de la formatrice qui vient s’exhiber devant moi et qui a tendance à laisser ses mains frôler mes épaules lorsqu’elle passe derrière moi. Après réflexion et au point où j’en suis dans ma fidélité, j’aurais dû succomber à ses avances, car elle est chaude comme la braise. Tant pis, cela restera un fantasme, c’est probablement mieux ainsi.


Pendant la pause de l’après-midi, j’informe discrètement la formatrice de l’avancement de notre petit jeu et je lui dis de regarder ma collègue vers 15 h 55, heure à laquelle je lui enverrais la deuxième photo.


Vers 15 h 50, j’engage la conversation avec ma collègue par message:



La formatrice remarque notre discussion et me sourit.



Avec ce dernier message, je joins la deuxième photo de la formatrice sans son chemisier. En même temps, je fais un petit clin d’œil à la formatrice pour qu’elle comprenne.


Je peux suivre la surprise de ma collègue lorsqu’elle découvre la photo. Elle reste un instant, puis semble vérifier qu’il ne s’agit pas d’un montage. La photo est tellement naturelle qu’elle n’a pas de doute longtemps. Elle se retourne vers moi et je lui fais un très grand sourire de victoire.


Pour conclure, je lui envoie un dernier message :



L’épisode s’arrête ainsi. Je n’ai plus qu’à réfléchir au gage que je vais lui imposer. Il me reste que quelques heures pour trouver et si possible pour finir en beauté que cela soit coquin et que je puisse en profiter. Mon esprit divague rapidement… elle a eu un orgasme grâce à mes doigts, serait-elle prête à accepter de me rendre la pareille ? À méditer…


La journée et la formation se terminent ainsi. J’ai hâte de rentrer à la maison et de retrouver ma petite chérie.


Après le bilan et les remerciements habituels de la formatrice, ma collègue ajoute :



Je m’interpose pour me défendre :



On se quitte ainsi après une bise qui semble bien chaste après toute cette aventure.


Direction l’hôtel pour récupérer nos valises, il ne faudrait pas que l’on loupe notre train. Après, un peu de métro, nous arrivons à la gare, il y a beaucoup de monde. Lorsque nous arrivons devant le panneau d’affichage, nous voyons pour la plupart des trains : annulé, retardé… et des annonces passent à propos du mouvement de grève. On se regarde avec ma collègue, dépités. Après renseignement auprès d’un agent, il semblerait que tous les trains de notre destination soient annulés sauf peut-être un vers 21 h 30. On décide d’aller boire un verre en attendant que la situation se décante et pour avoir plus d’informations. On fait le point, s’il faut attendre 21 h 30, cela fait plus de trois heures d’attente et on ne sera pas rentré chez nous avant 1 h du matin. J’envoie un message à ma femme pour la prévenir que je serai en retard. Ma collègue fait de même. On prévient également la personne de notre boîte qui s’occupe des réservations de train pour savoir comment faire. Pas de soucis, nos billets sont valables pour le train de 21 h 30.


Pour nous donner un peu de courage, nous allons manger dans une brasserie de la gare. On trinque à notre petite escapade à Paris qui a pris une tournure à laquelle on ne s’attendait pas et il est probable que le retour au boulot sera difficile et monotone. Par contre, il est certain que je ne regarderai plus jamais ma collègue de la même façon maintenant que je sais qu’elle est plutôt coquine et surtout parce que je l’ai fait jouir avec mes doigts.


Je relance le sujet qui est à l’initiative de beaucoup de choses qui se sont passées entre nous.



À la suite, je lui raconte l’histoire en détail, avec les avances qu’elle m’a faites, son côté très joueur, sa proposition que cela aille plus loin entre nous et son idée de photo pour que je gagne le pari.



Notre conversation est interrompue par une annonce :


« Le train initialement prévu à 21 h 30 est annulé. »



Après avoir prévenu nos conjoints respectifs, nous refaisons le trajet en métro en sens inverse.



….



J’interroge ma collègue du regard qui regardant l’heure et étant fatiguée par ce contretemps, me fait signe qu’elle accepte, mais ajoute :



On se dirige donc tous les deux vers notre chambre. Dans l’ascenseur, ma collègue ne dit pas un mot. Est-elle épuisée ou est-ce la situation qui ne l’enchante pas ?


J’ouvre la porte et la laisse entrer.


Nous posons nos valises chacun dans un coin, puis on s’assoit tous les deux au bout du lit, dépités, face à la télé éteinte. Ne sachant pas dans quel état se trouve ma collègue, j’attends qu’elle engage la conversation:



Je m’éclipse sous la douche, laissant ma collègue farfouiller dans sa valise.


Une fois sous la douche, j’essaye d’imaginer la fin de la soirée et le moment tant redouté où l’on va se coucher tous les deux dans le lit. Dois-je tenter quelque chose ? Car elle n’a pas beaucoup insisté auprès du concierge pour essayer t’obtenir une deuxième chambre, et même, on aurait pu essayer de trouver un autre hôtel si cela la dérangeait vraiment. Est-ce un signe ? Je relativise, je l’ai vue plusieurs fois nue, elle sait qu’elle me plaît et si elle avait vraiment envie, elle aurait pu me sauter dessus depuis longtemps. Ou peut-être, n’ose-t-elle pas si elle se pose le même genre de question. À voir, mais cela pourrait être sympa, et tant pis pour mon mariage, cela sera un secret de plus. Quelle tenue peut-elle bien porter pour dormir ? Nuisette ? Nue ? Ou gros pyjama ? Mes pensées sont interrompues :



Mince, c’est vrai que je suis resté un moment sous la douche.



J’enfile rapidement ma tenue, je vérifie que tout est propre et je libère la salle de bain. Ma collègue est toujours assise sur le lit avec des vêtements dans les mains.



Sur cette invitation, elle s’enferme dans la salle de bain.


Je ne pensais pas que cela se passerait aussi bien. Elle avait l’air fatiguée et je savais bien qu’elle refuserait ma proposition de sortir. Par contre, je ne m’attendais pas à ce qu’elle souhaite quand même un verre. La situation se présente très bien : un peu d’alcool, à deux dans le même lit, des discussions très orientées sur le sexe… Là, je suis certain d’arriver à mes fins. Il est probable qu’on le regrette demain… mais tant pis.


Je commande les mêmes cocktails qu’au début de la semaine. En attendant, j’essaye de trouver sur internet des infos concernant la grève. La situation semble s’améliorer dans la matinée.



On frappe à la porte pour livrer le plateau avec les cocktails. Le serveur le pose sur la petite table devant la télé, je découvre que les verres sont accompagnés d’une rose rouge.



Espérant ainsi réorienter la conversation vers notre petite aventure.



Je la découvre dans un mignon petit pyjama ou vêtement de nuit. C’est entre le confortable et le sexy, cela lui va parfaitement. C’est vraiment très mignon. Elle porte un grand tee-shirt assez ample en bas, mais plutôt moulant en haut avec pour motif un gros nounours en peluche qui tient un cœur. En bas, elle porte un short assorti très court qui me laisse admirer ses cuisses. Le short est également assez moulant, mais semble ample entre ses cuisses. Une grande question se profile, est-elle nue en dessous. Pour le bas, impossible à dire, il faudrait que je la voie de dos. Pour le haut, difficile à savoir également, mais normalement, on ne porte rien sous ce type de vêtement. Il n’y a pas de trace de bretelle, mais ses seins ont l’air très bien maintenus. Soutif ou alors sa poitrine est parfaite ? J’espère le découvrir rapidement.



Souhaitant arriver à mes fins, je me suis installé sur le lit en déposant le plateau au milieu. Ma collègue s’installe en face assise en tailleur. Cette position est parfaite. Elle m’offre une magnifique vue sur ses cuisses, voire presque sur son entrejambe. Et lorsqu’elle se baisse pour attraper son verre, je peux enfin confirmer qu’elle ne porte rien sous le haut de son pyjama.



Mince, première tentative manquée. Il va falloir que je sois plus malin. De toute façon, c’est décidé, je la veux. Soit elle est d’accord, soit je la fais boire ou sinon je la viole dans la nuit.

Espérant qu’elle soit plutôt d’accord, je relance la conversation.



En prononçant ces mots, ma collègue s’allonge en diagonale du lit, toujours en face de moi. Elle pose sa tête dans sa main et replie une de ses jambes. Elle a la position d’une belle pin-up. La soirée prend une autre tournure. Cette position me permet d’admirer d’autant plus son décolleté et l’échancrure de son petit short me laisse apercevoir le début de sa toison.


Je me lève pour prendre mon téléphone et commander nos cocktails.



Là, je pense être sur la bonne voie, ces petits jeux vont bien m’aider. Espérons qu’elle réagisse bien.

Pour qu’elle découvre la surprise, je m’éclipse aux toilettes. Ma technique a fonctionné, j’entends le serveur frapper à la porte. Je prends mon temps pour lui laisser le temps d’aller ouvrir et de commencer à découvrir ce qui accompagne nos verres. Pas de réaction de sa part, je sors des toilettes, ma collègue m’interpelle aussitôt :



Elle sort de la boîte, un petit écrin contenant un assortiment de préservatifs et un plateau de jeu avec un dé.



On se réinstalle sur le lit, l’un en face de l’autre avec nos verres et elle installe le plateau de jeu entre nous deux. On trinque et je la laisse lancer le dé la première. Le jeu est très simple, il suffit en lançant le dé d’arriver le premier à la fin et certaines cases sont agrémentées d’un bonus. Le bonus, qu’il faut lire à chaque fois est écrit en petit sur le côté.


Au premier lancer, nous tombons tous les deux sur une case neutre. Au deuxième, elle aussi, mais moi, je tombe sur une case spéciale. Elle s’empresse de lire l’action à réaliser : « Embrassez votre partenaire sur la joue »


Je me lève et dépose un baiser sur sa joue. Effectivement, c’est très soft comme action, espérons que cela soit mieux vers la fin. En tout cas, ma collègue à l’air de jouer le jeu. Au tour d’après, idem, elle n’a rien à faire et commence à avoir beaucoup d’avance sur moi alors que moi, nouvelle case bonus qu’elle s’empresse de lire : « Embrassez tendrement votre partenaire dans le cou ».


Comme au tour d’avant, je me lève et viens l’embrasser tendrement dans le cou. Ainsi positionné, j’ai une magnifique vue sur son décolleté. Elle ne fait aucun commentaire, donc je suppose qu’elle apprécie.


Au tour suivant, elle tombe enfin sur une case bonus : « Montrez à votre partenaire, trois poses sexy, comme lors d’un shooting photo ».


Elle se lève et m’offre trois poses sexy même en pyjama. Lors de la dernière où elle est entièrement cambrée devant moi, je dois me retenir pour ne pas lui sauter dessus.



À ce tour, je n’ai pas d’action à réaliser et grâce à un bon lancer de dé, je rattrape mon retard.



La chance semble tourner vers moi, car elle ne fait qu’un 2 et tombe de nouveau sur une case bonus qu’elle lit : « En dansant devant votre partenaire, caressez vos fesses et vos seins, à travers vos vêtements ».



Après avoir bu une gorgée de cocktail pour se donner de la force, elle m’offre un magnifique spectacle, tout en douceur. Elle commence dos à moi pour m’offrir ses fesses vêtues de son petit short qui remonte à chacune de ses caresses puis termine plus longuement par un pelotage en règle de sa poitrine. Cela me confirme que malgré leur belle taille, ses seins ont un maintien parfait. Quand elle se rassoit, son pyjama me laisse apercevoir ses tétons qui pointent légèrement. Encore un signe d’excitation qui me confirme que cela va aller loin ce soir.


Cette fois, je tombe aussi sur une case bonus et c’est à mon tour de prendre trois poses sexy.


Elle continue et me re distance de nouveau en faisant un 6.



Elle lit : « Retournez à la case départ ou enlevez un vêtement ».


Cela va très vite dans mon esprit. Comme elle semble avoir beaucoup l’esprit de compétition, il y a une chance qu’elle accepte d’enlever un vêtement et si je ne me suis pas trompé, elle ne porte que deux vêtements. Mais bon, la connaissant, je pense qu’elle va essayer de négocier.



Là, c’en est trop. La vision de ma collègue à moitié nue assise à quelques centimètres de moi commence à avoir des effets dans mon caleçon. Et j’avais raison, elle doit commencer à être excitée, car ses tétons sont bien tendus.


Je relance et fais un 2, case bonus, ma collègue a le sourire : « Faites un petit suçon à votre partenaire à l’endroit de votre choix ».



Ne pouvant résister à cet appel, je me lève, m’approche d’elle et de son cou. Au dernier moment, au lieu de poser mes lèvres sur son cou, je viens sucer un de ses tétons, mais ayant un peu peur de sa réaction, je ne reste pas longtemps.



Elle lance le dé, mais tombe sur une case simple. À la suite, je tombe sur une case bonus:



Je me retrouve donc en tee-shirt et caleçon pour le prochain tour. La chance semble avoir de nouveau tourné, car elle tombe de nouveau sur une case simple alors que je me retrouve de nouveau avec une action à faire.



C’est vrai qu’il y a de grandes chances pour qu’elle gagne, mais ça ne me dérange pas du tout de perdre et d’être obligé de lui faire un massage. J’espère même perdre et faire déraper le massage.



C’est encore loupé, elle tombe sur la seule case sans action et moi je refais un 2, cette fois c’est sûr que je vais perdre… chouette… Par contre, j’ai une action à réaliser : « Dévoilez vos fesses nues à votre partenaire ».



Debout, je me lance dans une petite danse strip-tease où je baisse tout doucement mon caleçon. Mon sexe étant déjà un peu tendu, je fais en sorte qu’elle ne puisse pas le voir. Dos à elle, je la laisse apprécier le spectacle et je m’approche petit à petit. Voyant qu’elle veut approcher sa main, je m’écarte et remonte mon caleçon.



Elle lance le dé ce qui lui permet d’avancer son pion jusqu’à l’arrivée. Elle met ses bras en l’air soulevant magnifiquement sa poitrine et lance:



Et contrairement à toute la partie, c’est moi qui lis l’action à réaliser : « Simulez un orgasme devant votre partenaire ».


Elle se réinstalle, termine son verre et en fermant les yeux commence par de petits gémissements. Elle poursuit, les jambes croisées en tailleur devant moi à gémir de plus en plus fort, elle ne peut s’empêcher de garder les yeux fermés et de placer ses deux mains sur son entrejambe. Elle semble apprécier et moi aussi. Elle simule parfaitement, mais après un dernier gémissement un peu plus long, elle rouvre les yeux et s’allonge sur le ventre au milieu du lit.



Je n’attendais que ça, et intérieurement, je me dis que moi aussi je compte bien savourer ma défaite. Je débarrasse le lit du jeu ainsi que de nos verres, j’attrape la bouteille d’huile de massage et m’installe juste sur le lit à genoux à côté d’elle. Je m’enduis les mains d’huile et commence par masser le haut de son dos. L’huile est très bien, elle glisse parfaitement sans être collante et embaume la pièce d’un doux parfum. Je n’hésite pas à recouvrir entièrement son dos afin que mes mains glissent parfaitement. Bien évidemment, mes mouvements sont de plus en plus larges et je n’hésite pas à venir caresser la base de ses seins. Elle ne se plaint pas de ces débordements. Heureusement, après m’avoir allumé toute la soirée, ce serait quand même dommage qu’elle me repousse. Ayant bien profité de cette position, je décide de changer.



Ayant une petite idée derrière la tête, je m’installe entre ses cuisses, toujours à genoux, juste derrière ses fesses. Je reprends un peu d’huile dans les mains et continue mon massage. Dans cette position, mon sexe se tend un peu plus et maintenant, on le voit nettement à travers mon caleçon et il se passe exactement ce que je pensais… Dans cette position, je suis obligé de me pencher en avant pour atteindre ses épaules et lorsque je me cambre, mon sexe vient appuyer entre ses fesses. Elle ne réagit pas, pourtant je suis certain qu’elle le sent. Après quelques mouvements comme cela, je découvre que cela a coincé son short dans la raie de ses fesses. Je m’attarde de plus en plus sur le côté de ses seins, je meurs d’envie de les prendre à pleine main, mais elle est vraiment trop collée au lit et je ne peux passer mes mains en dessous, il faudra être patient. Je décide dons de rediriger mon exploration vers ses fesses qui semblent m’appeler.


Mince, dans cette position, je n’ai pas beaucoup d’amplitude pour essayer de titiller innocemment le haut de ses fesses. Pour bien faire, il faudrait que je lui fasse un massage des jambes et des cuisses pour remonter petit à petit sous son short, mais, je ne suis pas sûr qu’elle accepte. Même si je suis décidé à aller au bout ce soir, j’attendrai quand même un appel de sa part, je ne veux pas tout gâcher en essayant d’aller trop vite. Mon objectif étant quand même t’atteindre un peu ses fesses, je me remets dans ma position précédente, à genoux à côté d’elle et cette fois, un peu orienté vers le bas de son corps et je reverse un peu d’huile sur mes mains pour espérer glisser facilement sous la ceinture de son short.



Je reprends le massage en faisant tout pour me rapprocher de mon objectif. Mes essais de passages furtifs sous la ceinture de son short n’aboutissent pas, mais j’ai quand même réussi à le faire descendre de quelques centimètres, mais ce n’est pas assez à mon goût. Pour que tout cela paraisse naturel, je passe sur l’intégralité de son dos, des épaules à la naissance de ses fesses. Grâce à quelques gestes un peu plus appuyés, je réussis de nouveau à baisser un peu ce maudit short et j’entrevois enfin l’espoir de réussir à glisser mes doigts sous cette ceinture. Je touche enfin mon objectif, mais juste le haut pour ne pas la brusquer, j’attends toujours un petit signe de sa part me confirmant qu’elle est ouverte à toute proposition ce soir. En tout cas, je ne me lasse pas de ce massage, je connais maintenant parfaitement tout son dos et j’espère pouvoir découvrir aussi bien le reste de son corps.


Profitant d’un instant où mes mains ont quitté son dos, elle se retourne, se met sur le dos et en me regardant bien dans les yeux me dit:



Un peu surpris, j’ai du mal à la regarder dans les yeux. Mon regard est attiré par ses seins, exhibés devant moi, à quelques centimètres de mes mains.



Et là, désignant sa poitrine :



Moi, qui attendais un signe de sa part, je ne suis pas déçu. Ce n’est pas un message qu’elle m’adresse, mais carrément une invitation. Son invitation a un effet immédiat sur l’intérieur de mon caleçon et cela commence à être vraiment visible.


Ne pouvant refuser cette offre, je m’enduis les mains d’huile et commence à lui caresser le ventre, je remonte jusqu’à son cou en faisant le tour de sa poitrine puis je place enfin chacune de mes mains sur ses seins. Je fais bien le tour afin de les couvrir entièrement d’huile. Ses tétons sont bien durs et sensibles au vu de sa réaction lorsque je les titille. Ils sont doux et fermes comme je l’imaginais. Profitant de ce moment d’excitation, je passe une de mes mains sous son short et viens poser mes doigts sur sa toison en forme de cœur. Aussitôt, elle écarte un peu plus les cuisses pour me laisser descendre un peu plus. Mes doigts atteignent son intimité brûlante et inondée. Je glisse dessus, elle s’ouvre et ferme les yeux. Deux de mes doigts entrent en elle et ressortent couverts de son nectar. Je les porte à ma bouche pour goûter ce plaisir avant de replonger ma main sous son short pour la pénétrer à nouveau et exciter son clitoris. En même temps, je me penche pour venir sucer ses seins et exciter un peu plus ses tétons avec ma langue. Elle profite de ma position pour poser une de ses mains sur mes fesses et me caresser à travers le tissu.


Mes doigts jouant avec son intimité, on fait descendre son short sur le haut de ses cuisses et grâce à un très joli jeu de jambes, elle le retire complètement et l’envoie au pied du lit. Je me place entre ses cuisses et place enfin ma bouche sur son sexe. Je joue avec ma langue et elle commence à gémir. Tout en continuant à l’exciter, mes mains caressent sa poitrine. J’adore cette position, d’autant plus qu’elle commence à jouer aussi avec ses mains, les passant sur les miennes quand je titille ses seins ou les passant dans mes cheveux pour appuyer quand ça lui fait du bien. Certains de ses gémissements me font comprendre qu’elle apprécie particulièrement certaines caresses de ma langue.


Avec ses mains, elle me relève la tête. Ma bouche est couverte de son nectar. Elle me regarde avec envie, se redresse et se jette sur ma bouche pour m’embrasser. Je n’aurais pas imaginé qu’elle m’autorise ce genre de geste que l’on effectue en général qu’avec la personne pour laquelle on a des sentiments.


Profitant de ma surprise, elle m’allonge sur le lit et se met directement en position pour me rendre mes caresses et pose sa bouche sur mon sexe. Elle alterne les caresses entre sa bouche et ses mains. Mon sexe qui était déjà bien excité, se tend au maximum. Il ne faudrait pas qu’elle joue trop avec, car sinon, cela ne durera pas longtemps vu l’état dans lequel je suis depuis le début de la soirée. A-t-elle compris ? Car elle se lève et s’éloigne de moi pour faire le tour du lit.


La voyant attraper l’écrin contenant les préservatifs, je comprends la raison de sa fuite. Elle en choisit un, se replace entre mes cuisses, ouvre la pochette et vient délicatement dérouler le préservatif sur mon sexe. À peine ai-je le temps de l’ajuster qu’elle s’empale sur mon sexe et commence des mouvements de va-et-vient. Cette position me permet de profiter au maximum d’elle, je peux voir ses seins suivre ses mouvements et caresser ses fesses avec mes mains. Elle, préfère profiter au maximum du plaisir en gardant les yeux fermés. Étant tous les deux très excités, nous jouissons rapidement quasiment ensemble.

C’est elle qui rompt le silence, tout en restant empalée sur moi:



Elle se retire et me laisse évacuer cette petite protection.



Mince, loupé… moi qui espérais continuer la soirée et pourquoi pas remettre ça. En tout cas, elle ne semble pas regretter ses écarts à son mariage. Réfléchissons, comment puis-je de nouveau l’orienter pour une nouvelle partie de jambes en l’air ? Mais peut-être qu’elle est fatiguée, nous avons eu une longue journée et il est minuit passé maintenant.


Elle ressort de la douche couverte uniquement d’une serviette.



Je prends sa place dans la salle de bain afin d’être tout propre pour aller dormir à côté d’elle. Je ressors également entouré dans une serviette, mais j’ai pris la précaution d’enfiler un caleçon. Je retrouve ma collègue couchée dans le lit, sous les draps.



Je vais de mon côté du lit et je soulève les draps, volontairement assez haut pour pouvoir admirer sa tenue. Comprenant mon petit jeu, elle se tourne vers moi et dit:



Alors que je la découvre entièrement nue.



À peine suis-je couché à côté d’elle, qu’elle pose sa main sur mon sexe à travers mon caleçon. Ma réaction est instantanée et mon sexe est déjà bien tendu. Moi qui espérais une suite, je ne suis pas déçu. Après une petite séance de préliminaires, je lui tends l’étui de préservatifs:



Elle se retourne et se place à quatre pattes afin que je la prenne en levrette. Je profite encore une fois de pouvoir la pénétrer tout en caressant ses fesses et ses seins. Son orgasme est un peu plus long à venir que la première fois. Le mien l’accompagne. Elle se blottit sous les draps, je la rejoins après m’être débarrassé du préservatif. Elle est couchée sur le côté, dos à moi. Je me place derrière et l’enlace, plaçant mon sexe contre ses fesses et mon bras contre sa poitrine.



Elle s’endort rapidement dans cette position et je ne tarde pas à la rejoindre, je jette un dernier coup d’œil à l’heure sur la TV : 3 h 11… Quelle soirée !




Cinquième jour :


Je me réveille vers 5 heures du matin, nous avons dû bouger dans la nuit, car nous ne sommes plus enlacés. Je me lève sans faire de bruit pour atteindre les toilettes. En revenant, je m’arrête un instant pour l’admirer. La lumière d’un lampadaire me permet de la découvrir allongée sur le dos, les draps baissés sur le côté découvrant un de ses seins.


Je me replace dans le lit et me rendors quasiment aussitôt.


Au petit matin, j’ouvre un œil, je suis tourné vers le mur, je regarde : 6 h 48. Ça bouge un petit peu à côté de moi, je vais attendre qu’elle se réveille, on n’est pas pressé, le train n’est que dans la matinée. Elle bouge un peu plus et vient se coller à mon dos. Aurait-elle une envie du matin ? La réponse arrive rapidement et elle est très claire, sa main est sur mon sexe. Elle glisse sous les draps et place sa bouche sur mon sexe. Elle me suce jusqu’à ce que je devienne bien dur, se relève, m’embrasse et s’allonge sur le dos. À mon tour de la caresser. Je parcours tout son corps avec mes mains, m’attarde sur ses seins et finis par poser mes lèvres sur son sexe. Souhaitant effectuer les mêmes gestes qu’elle, je me relève et viens l’embrasser tout en laissant l’extrémité de mon sexe venir frotter son intimité. Je le plonge un peu en elle, me retire, viens glisser entre ses lèvres pour titiller son clitoris… elle semble apprécier. Je lui murmure que l’on devrait se protéger. Pour réponse, elle pose ses mains sur mes fesses et au moment où mon sexe est à l’entrée du sien, elle appuie sur mes fesses pour que je la pénètre profondément. Une fois bien au fond, elle me répond qu’il n’y a aucun risque et qu’elle veut sentir mon sperme couler en elle. Ne pouvant résister à cette proposition, je la fais jouir dans cette position et après quelques va-et-vient supplémentaires, je jouis également. Lâchant en elle mon sperme comme elle le souhaitait. Je l’embrasse et m’écroule à côté d’elle. On se regarde et on sourit tous les deux amusés par la situation.



Je ramasse les affaires qui traînent, prépare un peu ma valise et remets un peu le lit en état. Les draps ont beaucoup souffert… Ne pouvant résister et avec pour excuse de préparer ma valise, j’entre dans la salle de bain.



Après la douche et le rangement, on se dirige vers le petit déjeuner qui est assez rapide, car même si on passe de bons moments, on a tous les deux quand même envie de rentrer chez nous. On récupère nos valises et direction la gare.


Cette fois-ci, tout va bien, plus de grève, les trains sont à l’heure et on a trouvé deux places l’un à côté de l’autre, même si le train est complet. Encore quelques heures et on sera dans les bras de nos conjoints respectifs.



Elle met son jouet dans son sac à main et se dirige vers les toilettes. Quand elle se dégage de son siège et passe devant moi, j’en profite pour lui mettre une petite main aux fesses et elle, en profite pour déposer la télécommande de son jouet dans ma main.


Pendant son absence, j’ai tout le temps d’étudier la télécommande et ses nombreuses fonctions. Il y a plusieurs types de vibrations, intensité à faire varier manuellement et plusieurs séquences automatiques. Ma poche vibre, un message sur mon téléphone, probablement ma chérie qui s’inquiète. Non, c’est ma collègue, est-ce qu’elle revient sur sa décision ? Il y a du suspense, elle m’envoie une vidéo depuis les toilettes. J’appuie sur play et je découvre en plan très serré l’intimité de ma collègue qui s’insère l’œuf. Je regarde plusieurs fois la vidéo, ébahi. Je ne m’attendais pas à ça, elle arrive toujours à me surprendre. Je finis par répondre :


« Viens vite que je te fasse vibrer. »


Elle revient et reprend sa place contre la fenêtre. J’ai caché la télécommande dans ma main opposée afin qu’elle ne voie pas mes gestes, j’ai envie de commencer au moment où elle ne s’y attend pas. Pour faire diversion, je relance la conversation:



Je profite de cet instant pour actionner le premier bouton que j’avais préparé, juste une petite vibration très courte. Tout ce passe comme je le voulais, elle sursaute, surprise par cette nouvelle sensation. Elle me regarde, me sourit, amusée et excitée par la situation. Je continue de jouer avec les boutons et enchaîne les petites et longues vibrations. Elle semble apprécier et comme à son habitude, elle ferme les yeux et tourne sa tête vers la vitre probablement pour rester la plus discrète possible. Ce petit jouet semble magique, j’ai littéralement le pouvoir sur elle. Afin de profiter au maximum de ce spectacle, je lui tourne la tête vers moi et lui murmure:



Pour réponse, elle m’attrape et m’embrasse longuement. Je regarde autour de nous, personne n’a l’air de s’être rendu compte de notre petit jeu. J’ai une sensation assez bizarre, autant j’ai l’impression d’avoir le pouvoir sur elle, mais je me sens totalement inutile. Pour la faire atteindre l’extase, je sélectionne le programme « crescendo jusqu’à l’extase » et je l’admire. Pour vaincre un peu ma frustration, je glisse une de mes mains entre ses cuisses. Je sens la chaleur se dégageant de son intimité à travers son pantalon et j’arrive à percevoir certaines vibrations.


Je revérifie, personne n’a l’air de soupçonner notre petit jeu. C’est vrai que cela serait difficile, car elle est vraiment très discrète, seule sa respiration saccadée pourrait trahir son état.


Je sens à travers ma main toujours entre ses cuisses que les vibrations sont de plus en plus fortes et de plus en plus intenses. Elle finit par enfouir sa tête dans mon épaule, serrer fortement ma main entre ses cuisses puis relâche tout. Pour ne pas faire durer le supplice, je stoppe les vibrations de l’œuf. Elle relève la tête, me sourit et m’embrasse. Elle est magnifique.


Après quelques instants, le temps de reprendre ses esprits, elle retourne aux toilettes pour enlever son petit jouet qu’elle semble beaucoup apprécier. De retour à sa place, elle me dit :



Notre voyage se termine tranquillement et nous nous quittons sur le parking de la gare, chacun retournant dans sa voiture et reprenant son chemin. On échange un dernier baiser pour la forme et je lui rappelle qu’elle devra me raconter toute sa soirée avec son chéri dès lundi, au boulot.