Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17589Fiche technique30428 caractères30428
Temps de lecture estimé : 18 mn
05/10/16
Résumé:  Qui eût cru que, d'une soirée de filles, quelque chose de bon, de très bon, adviendrait au gars que je suis !
Critères:  ffh amour init -couple+f
Auteur : Xetdemi            Envoi mini-message
Soirée de filles

Qui eût cru que, d’une soirée de filles, quelque chose de bon, de très bon, adviendrait au gars que je suis !



Nous, les gars, on ne sait pas trop ce qui se dit dans les soirées de filles. On s’en doute mais on ne sait pas. Ça tourne souvent autour des relations hommes-femmes et quand mon Amour-à-moi, Johanne, participe à de telles soirées on peut être certain qu’il y a un contenu sexuel assez explicite.


Jusqu’à quel point ? Peut-être est-il préférable que je ne le sache pas, non pas parce que j’ai peur qu’elle dise des choses désagréables sur moi, non, mais parce que je crois que l’homme est plus prude à ce niveau. Il peut fanfaronner sur ses conquêtes, le nombre de ses conquêtes mais sans entrer dans les détails de ses étreintes sexuelles.


Johanne et moi avons une vie sexuelle belle, pleine, riche, épanouie et joyeuse. Après trois ans, nous savons toujours nous réinventer, allant de découvertes en découvertes. Nous jouons terriblement bien ensemble, nous jouissons terriblement bien ensemble. Je ne crains donc pas qu’elle dise du mal de notre relation mais je pourrais être mal à l’aise qu’elle rende publique « nos » découvertes.



C’est en revenant d’un de ces soupers de filles que Johanne me dit que son amie Sophie a avoué qu’elle n’avait pas eu de relation sexuelle depuis sa séparation il y a un peu plus de cinq ans. C’est sûr que Johanne, la femme la plus sexuellement allumée que j’aie jamais connue, l’a quelque peu enjointe à se prendre en main, à réagir, à vivre pleinement sa vie de femme, à prendre des risques. Mais Sophie dit qu’elle s’habitue, que ce n’est peut-être plus pour elle.


Au déjeuner le lendemain matin, je dis comme ça, en blaguant :




Johanne me regarde, se demandant jusqu’à quel point je suis sérieux. Je la sais jalouse, très. Rien de maladif mais elle affirme sa mainmise sur moi ; elle n’aime pas que je dilue mon centre d’intérêt. Nous sommes tellement liés, elle ne supporterait pas une faille dans ce lien. Elle me regarde mais ne dit pas un mot. Ce n’est que lorsqu’elle est sur son départ pour le travail qu’elle finit par me dire :




Environ deux semaines plus tard je suis revenu sur le sujet. J’ai demandé à Johanne :




Quelque temps plus tard alors que nous nous caressions devant la télé – pour nous la télé n’est pas comme plusieurs le disent un tue-amour, au contraire. Nous nous mettons tous les deux en robe de chambre, uniquement en robe de chambre, et nous nous caressons mutuellement, longuement, tendrement. Nous nous donnons du plaisir, pour le plaisir. Elle joue avec mon pénis, le caresse, le fait bander à sa guise pendant que je caresse ses seins, sa vulve. Il arrive souvent qu’on ne finisse pas l’émission en cours quand ce n’est pas du hockey.


Alors, nous nous caressions devant la télé quand je lui ai dit, pour la piquer un peu :



Elle me réponds :



Puis le temps des fêtes est arrivé et bien sûr une autre soirée de filles qui finit habituellement dans un bar après un long souper. Je suis un peu mal à l’aise avec ça. L’alcool a beaucoup d’effet sur Johanne. Certains ont le vin joyeux, certains ont le vin triste, ou agressif. Johanne a le vin érotique.


Quand je suis avec elle, j’apprécie que le vin lui fasse ce merveilleux effet. Mais quand je la sais dans un bar entourée de gars qui n’attendent justement qu’un débordement, ça m’inquiète. À jeun, Johanne a parfois des paroles et des gestes très osés. Disons qu’elle n’a pas le même sens de ce qui est socialement acceptable que la plupart de ses contemporains. Alors quand elle est réchauffée… Mais elle connaît sa fragilité et ne prend jamais plus de deux consommations. Mais quand même, j’ai hâte qu’elle arrive.


Elle est arrivée tard, vers deux heures du matin. Très joyeuse. Moi je préfère ne pas poser de questions, ne pas savoir les débordements contrôlés ou moins contrôlés qu’elle a pu avoir. Elle est très allumée sexuellement, me fait du charme et se déshabille en me faisant un strip-tease langoureux. Elle en veut ! Elle a dû se retenir toute la soirée.

Va-t-elle revoir dans sa tête tous les beaux gars qu’elle a allumés dans ce bar pendant qu’on va faire l’amour ? Je suis jaloux… je vais lui montrer qu’il n’y a pas meilleur que moi. La nuit va être torride.


Le lendemain matin au déjeuner je lui demande comme ça, en passant, je ne veux pas vraiment le savoir mais…




Et le vendredi soir du souper à trois est enfin arrivé. Johanne et moi sommes assis au restaurant depuis à peine quelques minutes quand Johanne me dit qu’elle voit Sophie qui arrive en taxi. Sophie est petite. Avec son gros manteau d’hiver, il est difficile d’évaluer…

Elle arrive à notre table ; petits becs sur les joues. Elle enlève enfin son lourd manteau. Belle surprise. Elle porte une belle petite jupe à volants gris souris révélant de belles jambes, de belles fesses rondes. En haut, un chandail blanc, moulant, mettant en valeur de beaux seins ronds. Sophie est ronde. Tout est rond chez elle, son visage, ses yeux, sa bouche. La rondeur lui va bien. Je sais que tout va se jouer dans les premières minutes. Pour moi, je sais que le contact se fera facilement. J’ai déjà le goût de retrousser sa petite jupe et de caresser ses fesses. Reste à savoir si elle…


Nous avons une banquette à quatre. Sophie est assise en face de nous, Johanne et moi. Sans m’en apercevoir, vraiment sans m’en rendre compte, je regarde les seins de Sophie qui sont bien mis en valeur. J’essaie de deviner leur forme une fois libérés, la grosseur de ses tétons, la grandeur et la couleur de ses aréoles. Tout ça se passe en une fraction de seconde, une petite absence, quand j’entends Sophie me dire :



Je rougis. Je veux balbutier quelque chose.



Je rougis encore. J’arrive enfin à lui dire :



Les deux femmes partent à rire. Comme entrée, c’est réussi !


Mais la glace est cassée. C’est un souper sous le signe de la bonne humeur. On se sent bien ensemble. Je me sens à l’aise avec Sophie, espiègle et coquine. Johanne ne donne pas sa place. Enfin, j’ose une question directe à Sophie :



À intervalles plus ou moins réguliers la main de Johanne quitte la table et vient me caresser l’entrejambe. Mon pénis sait lui faire comprendre que j’apprécie ce petit apéritif. Je me demande si Sophie s’aperçoit de ce qui se passe. Il me semble que Johanne n’est pas très discrète.




En disant les dernières paroles, elle me regarde droit dans les yeux, avec un petit sourire narquois. Elle sait que je n’aime pas que Johanne parle de ce qui se passe entre nous. Elle m’agace.



Johanne a cessé de me caresser, comme si l’intérêt qu’elle porte aux propos de Sophie l’empêchait de bouger la main.



S’en suit un petit silence. Alors que je me demande si les propos de Sophie s’adressent aussi à moi, je regarde Johanne qui me dit :



Et elle m’embrasse tendrement, un baiser du cœur.



À la fin du repas il faut se poser la question. C’est Johanne qui la pose :



Moi je réponds tout de suite que j’aimerais bien. Sophie quant à elle semble hésiter un instant puis elle dit avec un grand sourire :



On se lève enfin de table. Johanne, sous prétexte de l’aider à enfiler son manteau, passe une main sur les fesses à Sophie en lui disant :







Avant de partir pour le restaurant je m’étais assuré de monter le chauffage et j’avais mis du vin au frais. Nous arrivons donc chez nous. Je mets une lumière douce, pas trop tamisée ; je veux voir, bien voir. J’ouvre une bouteille de vin – je sais quel bienheureux effet il va avoir sur Johanne – et nous portons un toast « Au plaisir d’être ensemble ».


Puis je dis à Johanne qu’elle devrait très gentiment souhaiter la bienvenue à Sophie. Johanne s’approche d’elle et l’embrasse d’abord tendrement puis de plus en plus goulûment. Puis je vois la main de Johanne qui quitte le bas du dos de Sophie et qui vient caresser ses fesses. Sophie répond à cette caresse en appuyant fermement son ventre sur celui de Johanne. Elles se soudent l’une à l’autre. Et je vois leurs langues qui se cherchent, qui se trouvent, qui se caressent. Quelle scène érotique… et mon pénis qui veut défoncer ma braguette.


C’est Johanne qui s’éloigne la première. Elle me regarde, regarde la bosse dans mon pantalon, s’approche de moi et caresse doucement ce pénis qui étouffe presque et elle me dit :



Je me dirige vers Sophie qui ouvre les bras pour m’accueillir. C’est drôle, ce petit geste d’accueil m’émeut. Il y a dans ce geste un peu plus que le désir de plaisir. Je l’embrasse. Elle a la bouche étonnamment humide. Ses rondeurs bien appuyées sur ma poitrine m’excitent. Et ma main descend sur ses fesses. Je retrousse sa jupe et ma main découvre la douce rondeur de sa fesse. C’est alors qu’on entend Johanne s’exclamer :



Je m’éloigne un peu de Sophie et lui dis :



Et on s’embrasse de nouveau, laissant Johanne à sa contemplation. Sophie frotte son ventre sur mon sexe qui n’en peut plus. Mieux vaut que je m’éloigne un peu.


Le système de chauffage a bien fait son travail. Il fait effectivement chaud. Je dis à Johanne :



Elle dit cela en regardant la bosse dans mon pantalon. Elle ajoute :



Elle s’approche de moi, s’agenouille, défait ma ceinture, baisse ma braguette et d’un coup descend mon pantalon et mon slip. Et voilà mon sexe libéré qui pointe hardiment vers ces deux femmes si belles. C’est Sophie maintenant qui s’exclame :



Je suis trop excité. Ce serait vraiment bête de venir là, comme ça. Je m’éloigne une fois de plus en disant :



Johanne enlève le chandail de Sophie, révélant sa chair blanche qui semble si douce. Johanne tombe sous le charme et se met à caresser les seins de Sophie, à les embrasser. C’est moi qui viens en arrière de Sophie, mon pénis érigé lui caressant le bas du dos, dégrafer son soutien-gorge. Johanne peut maintenant en profiter tout à sa guise, les prendre à pleine main, les sucer, les téter à son goût. Mais elle ne veut pas être seule à savourer cette tendre chair. Elle me dit :



Sophie a les seins ronds et pleins. Ils sont faits pour bien tenir dans la main. Ses mamelons sont un peu petits mais ils gonflent bien sous l’effet de nos caresses. Ça ne prend pas longtemps que Sophie se met à gémir de plaisir.


Mais nous sommes toujours là au milieu de la place. Après un moment, je prends Sophie par la main et lui dit :



Je l’amène dans notre chambre à coucher. Je lui indique le lit. Elle s’installe et je lui enlève ses bas et sa culotte. Je lui laisse sa petite jupe. J’aime une petite jupe retroussée qui révèle tout… Je crois que je suis un fétichiste de la jupe. Et je dis à Johanne :



Johanne, nue, se couche avec Sophie. Elles s’embrassent, se caressent partout, se triturent, se pénètrent, se doigtent. Elles jouent longtemps, elles jouissent souvent. Quel spectacle divin. Moi je ne fais pas partie prenante de leurs ébats. Je me caresse en faisant attention de ne pas trop insister. Je suis tendu au maximum, à faire mal. Si je me laissais aller, je les éclabousserais toutes les deux de mon sperme.


Quand je vois que l’une ou l’autre est sur le point de jouir, je me permets une caresse bien sentie. Quand je vois que Sophie est sur le bord de la pâmoison je caresse fermement son sein, j’étire son mamelon en le tordant un peu. Elle me regarde alors d’un regard qui dit toute sa reconnaissance avant qu’elle convulse presque. Quand c’est Johanne qui est au bord de l’orgasme, je caresse discrètement son anus en le pressant un peu. Je sais que cette caresse amplifie de belle façon son orgasme.


Alors que Sophie revient à peine d’un dernier spasme de plaisir, je suis à la tête du lit me caressant tout près du visage de Sophie quand elle regarde Johanne dans les yeux et lui dit :



C’est plus qu’une demande, c’est une supplique.


Johanne me dit :



Je m’installe au-dessus de Sophie et c’est Johanne elle-même qui guide mon pénis et l’insère dans le vagin de Sophie. Comme elle est prête, comme elle mouille. Ça lui coule entre les fesses et à chaque coup que je donne, parfois tout en douceur, parfois quasi violemment, Sophie s’exclame :



Puis elle ne dit plus rien. Un long silence. Elle se cambre, serre très fort mon pénis en elle. Elle jouit pendant que j’éjacule en elle. Nous retombons ensemble. J’ai perdu la conscience des choses quelques instants. Johanne me caresse tendrement le bas du dos et les fesses. Après quelques instants je me relève, je regarde Johanne qui a les yeux plein d’eau. Oui, elle pleure.


Nous avons eu une belle soirée, une très belle soirée. Je ne m’étais pas fait d’idées précises quant au déroulement de cette petite sauterie. Nous avons navigué avec le vent ; le voyage fut parfait. Il n’y a que les larmes de Johanne qui mettent une ombre au tableau. Il est temps que j’aille reconduire Sophie chez elle. En revenant je vais demander à Johanne la raison de ces larmes.


Sophie demeure à environ dix minutes de chez nous. Tout le long du voyage elle me dit comme elle a aimé sa soirée :



Arrivée chez elle, elle m’a dit comme ça :



Puis elle m’a embrassé, un baiser long et appuyé. Puis j’ai senti sa langue qui cherchait la mienne. Et pendant ce baiser elle caressait mon sexe qui répondait fermement à ses douces attentions. Ça n’a pas duré longtemps. Elle s’est retirée, m’a regardé d’un air coquin en me disant :



Elle est partie.


De retour à la maison, Johanne m’attendait au salon. Elle avait mis sa petite nuisette noire, ce qui était une invitation, une très belle invitation. Elle m’a dit :



Et ses yeux se sont encore emplis d’eau. Je l’ai prise dans mes bras et je lui ai dit en riant :



Johanne n’a pas hésité une demi-seconde avant de répondre :



Et on s’est embrassés et on s’est caressés. À un moment donné Johanne s’est un peu détachée de moi, elle m’a regardé dans les yeux et m’a dit :



Ma réponse ne lui a pas plu. Elle a commencé à me taper les fesses, je l’ai maîtrisée…


La nuit fut belle et longue.