Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17593Fiche technique23359 caractères23359
Temps de lecture estimé : 14 mn
07/10/16
Résumé:  Ania est convaincue que son mari la "prépare" discrètement afin qu'elle l'aide à obtenir une promotion. Elle est prête à se sacrifier. Et pourtant...
Critères:  hh fhhh fbi hagé couplus collègues voir vidéox fellation anulingus hsodo échange partouze confession -hhomo -exhib -transsex
Auteur : ViolaFleur      
Promotion canapé... et petits-fours

On parle de l’intuition féminine, mais dans mon cas il suffit juste de savoir relier les faits et les paroles.


D’abord, Antoine, mon mari depuis deux ans, ne cesse de me parler de ce poste qui est à pourvoir dans la petite société où il travaille.



Et j’ai droit à une entreprise de séduction.


Le deuxième point c’est que, sous prétexte de m’acheter une nouvelle robe pour cette occasion, Antoine est venu avec moi. Mais il a aussi tenu, sous prétexte de me remercier de l’accompagner, à ce que j’achète de la lingerie. Vous savez, de la lingerie un peu légère, aérienne, dont le prix est inversement proportionnel au poids du tissu. Bien sûr, cela m’allait bien. Toute femme paraîtrait élégante et un peu coquine avec cet ensemble, surtout qu’il avait insisté pour le porte-jarretelles. D’ailleurs, de retour à la maison, nous l’avons étrenné, et je dois dire qu’Antoine a plus qu’assuré. Il a même pris quelques photos en souvenir.


Évidemment, le troisième point, c’est le repas. J’avais déjà un doute, mais à la façon dont le patron m’a regardée, je me suis demandé si je n’allais pas passer à la casserole dans le calme d’un salon. Mais non, lui et Paul se sont longuement entretenus, et il me semble bien que l’écran du smartphone d’Antoine a montré sa femme dénudée à son patron. Pour le reste, tout s’est déroulé normalement.



---------------------





Eh oui, le samedi je bosse. D’ailleurs, j’imagine que ma présence est indispensable. Ainsi, j’ai fait bonne impression ! Mais une question me taraude : si je dois coucher avec Paul, comment cela va-t-il se passer avec mon mari ? Tout de même, je ne le vois pas attendre tranquillement en lisant un journal pendant que sa femme se fait sauter, même pour la bonne cause… Et puis merde ! Qu’ils se débrouillent pour l’intendance ; moi, je ferai ma part.


Beaucoup vont penser que je cède bien facilement, que j’envisage de coucher pour une promotion canapé, alors qu’Antoine n’a pas encore abordé le sujet. Mais je le connais, mon Antoine, tout en réserve. Le contraire de mon copain d’avant. D’ailleurs, mon copain d’avant n’est pas pour rien dans mon acceptation de ce rôle de femme soumise et prête à tout pour son mari.


J’aime mon homme. J’adore mon homme. Je ferais tout pour lui, n’en doutez pas. Antoine est un mari comme j’en souhaite à beaucoup. Gentil ! Prévenant ! Amoureux ! Beau mec ! Viril ! Et un amant parfait, toujours attentif. Vigoureux, inventif, pas macho. Je lui accorde beaucoup. Il sait satisfaire certaines de mes envies que d’autres jugeraient limite.

J’aime qu’il jouisse en moi. Dans ma gorge. Dans ma chatte. Dans mon cul. J’aime qu’il utilise des sextoys pour me caresser, me prendre afin que je sente sa queue encore plus grosse. Mais j’aime aussi que le même jouet passe de ma chatte à son cul. Oui, j’aime posséder mon mari ainsi. Je sais que je ne suis pas la première à le sodomiser. Des amies avant, peut-être, mais des expériences entre hommes aussi, au moment de l’adolescence. Après tout, il n’y a pas si longtemps.


Mais avant lui, avec Luis, mon copain précédent, j’avais une sexualité encore plus débridée. Luis était un garçon généreux qui pouvait offrir sa copine un autre à condition d’avoir sa femme en retour. Ainsi j’ai vécu beaucoup d’aventures, d’expériences plus ou moins réussies, mais toujours enrichissantes. J’ai connu beaucoup d’hommes et je dois avouer, à ma grande honte, que cette diversité me manque un peu. Mais jamais je ne tromperais Antoine pour satisfaire un désir physique.


Alors, cette "promotion canapé" me semble une opportunité. Si tout se passe bien, je pourrai enfin oser avouer à mon mari que je serais partante pour quelques expériences communes. Après tout c’est le premier pas qui compte ! En plus, le patron de mon mari, Paul, la cinquantaine, est plutôt bel homme.



---------------------



Le jour dit, je ne sais pas qui de mon mari ou de moi est le plus troublé.

Bien entendu, j’ai mis ma robe et mes dessous coquins. Inutile de dire que je me suis fait faire par une collègue un rafraîchissement de mon épilation totale. Et je ne parle pas du nettoyage de peau, du gommage, et de tout ce qu’une femme peut faire pour se mettre en valeur. Antoine est lui aussi en beauté : le porteur du paquet cadeau se doit d’être au niveau.


Jusqu’au dernier moment j’attends que mon mari aborde le sujet, mais rien. En tout cas rien de clair.



C’est Paul qui nous ouvre la porte de cette belle maison en banlieue chic.



Nous pénétrons dans un salon.



Je ne m’attendais pas du tout à ce qu’une autre personne soit présente. Je ne savais pas – et mon mari non plus, vu la tête qu’il fait – que son patron vivait en couple. L’affaire se complique. Mais après tout, c’est à eux de gérer ; je ne vais tout de même pas prendre le mec par la main et lui dire « C’est où, la chambre, qu’on baise afin que mon mari obtienne sa promotion ? »


La femme m’examine avec insistance comme si elle me jugeait. Et puis elle vient vers nous et nous salue cordialement. Un instant, j’ai eu l’impression que je passais un examen. Dois-je penser qu’elle est informée de ce que son mari et le mien envisagent ? Je ne sais pas.


Finalement, le temps passe. Nous prenons l’apéritif, déjeunons, puis retournons dans le salon pour le café. Exactement comme pour une invitation classique où chacun fait preuve de courtoisie. Manifestement, je me suis fait un film, et il n’est pas question d’écarts à la règle. « Ma pauvre fille, tu fantasmes ! » Pourtant des regards s’échangent, et à un moment Paul se lève de son fauteuil et invite mon mari à le suivre dans son bureau.



Les deux hommes passent la porte du salon. Antoine me jette un regard étrange. Que dois-je penser ? Vont-ils m’appeler plus tard ? Décidément, tout est étrange. Je tourne à l’obsédée sexuelle ! La femme, Patricia, reprend la conversation.



Que répondre ? J’ai l’impression que je suis à côté de la plaque. Et si les hommes étaient partis afin que Patricia profite de sa proie ? Une proie qui regarde maintenant cette femme avec un autre œil.



« Ça y est. C’est avec elle que je dois coucher. Après tout, pourquoi pas ? Avec Luis, j’ai déjà eu des occasions de jouer avec d’autres femmes. »

Je me déplace et m’installe à côté d’elle. J’attends ses avances, mais elle se saisit d’une télécommande qui fait dérouler un écran. D’une pression il s’illumine. C’est une liste. J’ai juste le temps de lire "chambre" qu’en quelques secondes la liste disparaît pour être remplacée par une image. Une image. Une image vivante. Il me faut encore quelques secondes pour comprendre ce qui vient d’apparaître.

Deux hommes. Un lit. Une chambre. Ce sont eux. Nos deux maris. Ils nous ont quittées si naturellement que la surprise est totale. Totale pour moi, mais manifestement pas pour Patricia car elle sourit de mon étonnement.



Paul est nu et aide mon mari à finir de se déshabiller. Ils se font face. Les deux verges pendent, alanguies. Pourquoi ne suis-je pas étonnée alors que mon mari se penche, s’agenouille et entreprend de sucer son patron ? J’en ai la preuve sous les yeux : la proie, c’est lui, pas moi. Mais je me demande si ce n’est que cela. La façon dont Paul regarde dans notre direction ! Sa façon de sourire dans le vide. On dirait que… Non, c’est certain : il sait qu’on le regarde, sinon pourquoi lever le pouce dans la direction de la caméra qui nous transmet la scène ? Quelle perversité ! Profiter d’un mari alors que sa femme regarde… J’imagine qu’Antoine n’en sait rien.


Antoine qui s’active. Antoine que j’ai déjà vu simuler une fellation sur notre gode mais qui, ici, embouche un mandrin de chair. Un mandrin tendu. Car mon mari a transformé le sexe languissant en queue dressée. Queue que je ne peux m’empêcher d’admirer. Fine, longue, élégante, le gland maintenant totalement découvert. Il s’active, mon Antoine. Le bâton brille de salive, les couilles sont caressées par des paumes. Paul est plus centré sur son plaisir : plus de regards vers nous, mais une tête penchée vers sa bite et son suceur, guettant sans doute comme n’importe quel homme le regard de celle ou celui qui le suce.



Patricia me réveille de ma contemplation. Que dire ?



Je ne réponds pas, mais vois bien qu’a côté de moi Patricia dégrafe son corsage pour laisser apparaître deux lobes magnifiques. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et lorsqu’elle retire le corsage, les deux seins ne bougent pas d’un cil. Ce sont de faux seins, c’est évident : aucune femme n’a une poitrine si forte et ferme à la fois. Elle s’est fait refaire les nichons.



Dans ma tête résonne le "Une sorte de conseillère extérieure", chargé de sous-entendus du genre "Moi aussi j’ai mon mot à dire sur la promotion de votre mari. "

Surtout ne pas détruire le "sacrifice" d’Antoine par une réaction maladroite. Je m’exécute. Pour enlever la robe, je dois me lever. Sous les yeux de cette femme, je joue le jeu. La robe, je ne la fais pas tomber d’un geste. Non, je le fais comme si c’était un homme qui me regardait.



Elle me montre la place à côté d’elle. Le cuir du canapé est froid. Qu’attend-elle de moi ?



J’avais quitté l’écran des yeux, et dans la chambre ils ont bougé. Antoine est en train de s’allonger sur le lit, guidé par son patron. La première chose que je remarque, c’est qu’il bande. Oui, mon mari est en érection. Cela me saute aux yeux, comme une évidence. Sucer une bite d’homme bien chaude le fait bander.



Je me sens presque vexée que seul mon mari fasse l’objet de tant de désirs.



Sur l’écran, mon mari est maintenant allongé en travers de ce lit assez étroit. Sa tête déborde d’un côté, et tout de suite j’en comprends la raison. C’est étrange de le voir dans une de ses positions favorites. Mais normalement, c’est moi qui suis à sa place. C’est moi qui ouvre la bouche pour accueillir sa queue. Ici, ce sont ses lèvres qui étranglent le mandrin. Le mandrin de Paul, bâton dur qu’il pousse dans la gorge de mon mari. Lorsque la bite est au plus profond, les couilles surplombant le visage, Paul regarde de notre côté, sourit et fait un signe de la main.



Patricia se lève. Quelques secondes plus tard elle apparaît sur l’écran.


J’étais venue, prête au sacrifice afin d’aider mon mari à gravir les échelons de sa boîte. Bon, d’accord, "sacrifice" n’est pas tout à fait exact, mais tout de même… Et me voici en petite tenue dans ce salon en train de visionner la transmission de son "sacrifice" à lui. Oh, pour lui aussi, le mot "sacrifice" paraît un peu fort. D’ailleurs, il sait peut-être qu’il est déjà promu et que ce qui se passe dans cette chambre n’est plus que pour le plaisir.


Voilà Patricia qui entre. Antoine ne la voit pas. Ne peut pas la voir : la bite et les couilles ne lui en laissent ni la vue ni l’audition.


Je sais tout ce qu’il ressent. Son visage n’est déjà plus qu’un champ de bataille où sa salive ruisselle. Des larmes viennent s’y joindre. Larmes que la possession virile et profonde déclenche en particulier lorsque le gland heurte le fond de la gorge. Je ne le savais pas capable de tout gober. Mais peut-il refuser ? Son amant – cela me fait bizarre d’appeler son patron ainsi, mais après tout, qu’est-il d’autre pour l’instant ? – utilise sa gorge comme une grotte sans fond. Mais une grotte chaude, aux parois lisses, à l’ouverture qui s’adapte au mandrin.


Antoine n’entend plus que le bruit étrange de cette bite qui avance et recule dans un océan humide. En plus, ses oreilles sont couvertes par des mains puissantes qui maintiennent sa tête. Pourrait-il s’échapper de ce tourment ? Oui, bien sûr, il pourrait se lever et s’enfuir. Mais il ne le veut pas.


Il sursaute lorsque Patricia se saisit de sa queue pour se la glisser dans la gorge. Que peut-il bien penser ? Est-ce qu’il se pose la question de savoir qui le suce ? La femme du patron ? La sienne ? Peut-il imaginer que, dans sa grande perversité, le couple s’est arrangé pour que moi je puisse assister à tout ce qui se passe dans cette chambre ?


Mais la présence de Patricia a donné des ailes au mari baiseur de gorge. Nul doute que son plaisir soit imminent à la façon dont il accélère ses mouvements. Je sais combien – pour l’avoir vécu – c’est difficile mais bon, ce moment où la folie s’empare du baiseur. Entièrement guidé par la montée de la jouissance, il pousse si fort qu’on prie pour qu’il crache son jus.


Paul regarde son amie alors qu’il balance sa purée. Il a heureusement reculé afin que seul le gland reste entre les lèvres. J’imagine le sperme chaud, gluant, odorant jaillir pour se projeter plus loin, certainement stoppé par une langue qui se charge de le guider.


J’ai honte, mais le spectacle m’excite. Depuis un moment, en vérité depuis l’arrivée de Patricia dans la chambre, je me caresse. Voir cet homme juter dans la bouche d’Antoine me perturbe. Découvrir le visage de mon mari, maintenant libéré du mandrin, souillé par la salive, les larmes et maintenant le foutre que les lèvres laissent suinter, est un plaisir coupable.


Antoine peut maintenant voir qui le suce avec tant de vigueur. Il doit découvrir la splendide poitrine de Patricia. Un moment il regarde, mais il lui faut pour ça soulever la tête et, comme rassuré, il se laisse aller de nouveau en arrière. Maintenant la femme le branle, titillant de sa langue l’anus de mon homme.


C’est beau. Quel dommage que je n’aie pas le son ! Ma main abandonne mon sein pour descendre. Elle glisse sous ma culotte et découvre une fente humide. Je suis une garce, incapable de me retenir. J’étais venue ici pleine d’espoir afin de briser une routine de couple, et me voici simple salope spectatrice, obligée de me caresser pour me satisfaire. Promotion canapé ? Mon cul !


Là-bas, Patricia enlève sa jupe d’une chiquenaude. La culotte suit. Elle me tourne le dos. Elle a un beau cul. Le reste doit être à l’avenant. Je l’imagine déjà, montant sur le lit, enjambant mon mari et chevaucher un mandrin qui n’attend plus qu’elle. Mais… mais… Merde ! Une queue ! C’est une queue bien raide, un étendard de virilité ! Oui, la belle Patricia est un homme ! Enfin, elle en a les attributs. De profil, la vision est étrange. Visage fin, longue chevelure. Poitrine magnifique bien qu’artificielle, mais ô combien désirable. Ventre plat, et dessous, ce bâton viril !


Un bâton qu’elle… un bâton qu’il… Merde, je ne sais que penser ! En tout cas, ce bâton, c’est vers le cul de mon mari qu’il se dirige. Lorsqu’il appuie sur la rondelle, Antoine s’étonne : mais oui, c’est Patricia qu’il voit entre ses cuisses. Pourtant ! Pourtant… Je vois sa bouche s’ouvrir. Il parle peut-être. Mais non, déjà il retombe en arrière. Cette bouche qui a vu la queue du mari ne peut qu’exprimer sa surprise de sentir son cul envahi par un dard "féminin" mais puissant. Patricia s’est saisie des cuisses d’Antoine, en faisant des appuis pour mieux l’enculer. Déjà les couilles heurtent ses fesses.


Ainsi Paul et Patricia forment un couple hors norme. Qui aurait pu se douter de cette virilité cachée sous ce corps de femme ? Quel secret ! Quelle confiance que de se découvrir devant nous ! Ils ont flashé sur mon mari. Mon mari qui se fait labourer le cul par une bite bien raide, bien grosse, bien longue. Pourquoi est-ce que cela m’excite ? Mon mari qu’un homme branle pendant qu’un autre l’enfile. Car Paul est venu se greffer au duo. Paul qui astique le manche d’Antoine, le regard rivé sur la belle bite de son "amie" qui entre et sort dans ce cul qui reste ouvert, obscène, hurlant silencieusement qu’il veut être défoncé. Et pour être défoncé, il l’est !


C’est perturbant de voir son homme devenir le jouet, ô combien consentant, de ces deux hommes. Ma main s’active sans même que je m’en aperçoive. Je ruisselle de mes caresses, mais surtout je me repais de la scène devant moi.


Un jet monte au ciel et retombe, éclaboussant la main qui le guide. Antoine éjacule. Son foutre est une source sans fin. Ses couilles ont toujours été généreuses, mais dans cette chambre, c’est le "Old Faithful". Patricia continue son doux labeur. Elle/lui aussi jouit. C’est un délice de voir le cul de mon mari laisser suinter le foutre de son amant. Les trois hommes reposent sur le lit. Le regard de deux d’entre eux est dirigé vers moi. Sarcastiques, souriants, provocateurs. « Et si… Il suffit que je me lève… Que je franchisse la porte de la chambre… »


Tous trois me regardent. Oui, je suis belle, désirable et, putain, que vous m’avez excitée ! Une branlette solitaire ne peut être que des prémices. Regardez bien. J’enlève mon soutien-gorge. Mes seins ne sont pas si gros, pas si fermes, mais… Oui, regardez ma chatte, la fente humide que ma culotte libère. C’est la seule dans cette pièce. Oui, regardez mon cul : c’est celui d’une vraie femme. Et mes lèvres humides…


Pourquoi j’attendais ce geste ? Antoine se lève et vient vers moi. Et moi, salope, pute, cochonne, je l’embrasse. Je lèche son visage comme une chatte, comme une chienne. Je goûte sur ses lèvres le goût du foutre de son amant.


Trois hommes ? Pas vraiment, mais en tout cas trois queues, trois bites. Trois bites rien que pour moi ! Mais je peux être partageuse. J’en vois bien une – celle d’Antoine – se glisser dans le cul de Patricia pendant qu’elle me baise. Quant à Paul… ma gorge, mon cul… Il a l’embarras du choix !


Venez, mes agneaux. Je vais vous manger tout crus.