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Temps de lecture estimé : 10 mn
12/10/16
Résumé:  Camille est enfin en vacances, et elle espère bien se détendre.
Critères:  f hplusag inconnu voisins vacances piscine voir exhib nopéné uro
Auteur : Caennaise  (portée par mes fantasmes, je me suis décidée à ecrire...)            Envoi mini-message

Série : Les vacances de Camille

Chapitre 01
L'arrivée

« Enfin ! J’en avais plein le dos… » se dit Camille, garant sa voiture sur le parking du camping de cette côte landaise. Après une semaine de vacances chez sa grand-mère, elle avait décidé de partir profiter du soleil. C’était bien sympa chez mamie, mais bon, une semaine à la campagne, au milieu des agriculteurs du bocage normand, c’était pas non plus l’éclate.


Elle était partie la veille ayant, dans la matinée, réservé un emplacement pour elle et sa copine Claire qui devait la rejoindre trois jours plus tard. Presque 900 km de route dans petite 206, chargée de sa tente et de son sac.


Camille sortit de la voiture et s’étira. Brune, la peau pâle, juste vêtue d’un débardeur et d’un petit short blanc – chaleur oblige – elle bombait les fesses en se cambrant.

À 28 ans, Camille avait une jolie petite poitrine, un 90B bien ferme, des formes prononcées sans être ronde, des hanches larges, et surtout des grosses fesses qui l’avaient complexée plus jeune avant qu’elle ne se rende compte du pouvoir d’attraction qu’elles avaient sur les hommes. De petits yeux souvent rieurs, un nez fin, et surtout une magnifique bouche sur laquelle on l’avait souvent complimentée ; tant sur son aspect que sur ce qu’elle pouvait faire avec. Elle prit une grande inspiration :



Elle s’avança vers l’accueil ; sa démarche balançait légèrement, naturellement. Perchée sur ses sandales compensées, elle roulait des hanches un peu plus. Une fois la porte poussée, elle se présenta à la femme de l’accueil pour récupérer son emplacement. Ayant réglé la caution, elle prit le plan indiquant son lieu de villégiature et remonta en voiture.

Deux minutes plus tard elle serrait le frein à main après avoir garé sa voiture près de l’emplacement. Sortant de la voiture, elle vit le couple voisin, la quarantaine tous les deux, attablés pour leur apéritif.



Camille ouvrit son coffre et se pencha pour saisir son sac. Dans cette position, le tissu du short se tendait sur ses fesses et épousait les formes de son cul. L’homme profita d’être derrière ses lunettes de soleil pour reluquer à sa guise la croupe de sa nouvelle voisine. Charnues à souhait, le short se collait et laissait apercevoir un string fendant en deux ce magnifique cul.

Tirant son sac hors de la voiture, elle le déposa au sol puis replongea dans le coffre pour attraper la tente. Le voisin ne perdait pas une miette de la vue qui s’offrait à lui. Camille déplia la tente en deux secondes et s’accroupit pour planter les sardines. Face au voisin, légèrement penchée vers l’avant, elle offrait, sans le savoir, une belle vue de son décolleté à cet homme. Lui, sentant son membre s’éveiller, décida qu’il était temps d’aller jouer aux boules avec les autres campeurs, laissant sa femme lire son magazine et Camille finir de déplier sa tente, sa table et ses chaises.


Quand elle eut fini, elle s’épongea le front et soupira.



Camille sourit :



La jolie brune prit de quoi se changer et s’enferma dans ses sanitaires. Vite dévêtue, elle fit couler l’eau sur sa poitrine et son ventre. Elle souffla sous la fraîcheur, profitant de l’instant. Ses mains vinrent parcourir son corps, rencontrant ses pointes dressées par la fraîcheur de l’eau. Camille effleura les pointes, soupirante. Sans réfléchir, elle empauma ses seins et commença à les caresser. « Putain, un mois sans sexe, ça me manque ! » se dit-elle intérieurement. Continuant à masser ses seins, elle souffla puis fit glisser sa main entre ses cuisses qui s’ouvraient, rencontrant une moiteur qu’elle savait différente de celle de l’eau qui coulait. Quelques pressions sur son clitoris déjà dressé, quelques cercles, et elle enfonça en elle deux doigts. Ils pénétrèrent son sexe facilement, enclenchant rapidement un mouvement de va-et-vient qui la fit rouler des hanches. Bouche ouverte, cherchant l’air, Camille se fit jouir ainsi, une main serrant la barre de douche, l’autre fichée elle.


Reprenant ses esprits, elle se sécha, enfila une culotte noire en coton, un short gris et un débardeur blanc. Les pieds dans ses tongs, elle sortit, souriant à Céline qui l’attendait, deux verres d’orangeade posés sur la table.



Elles échangèrent un sourire complice et continuèrent à discuter de tout et de rien tout en sirotant leurs boissons. Au bout d’une heure, l’homme de Céline revint.



L’homme vint vers Camille et se pencha pour lui faire quatre bises, profitant de sa position pour jeter un œil dans le décolleté de la jeune fille. L’échancrure lui permit d’avoir une vue quasi complète sur son sein droit, libre de tout soutien-gorge. Un joli sein, rond, tout blanc, avec un téton rose, dressé.


Camille ne vit pas le sourire ravi et furtif sur le visage de Tom.



Tom hocha la tête puis, s’adressant à sa femme :



Camille se leva.



Elle partit dans la direction de l’épicerie du camping afin de faire quelques courses.

Tom regardait la croupe de la jeune brune se balancer en partant, une main dans sa poche flattant sa queue à moitié dure.


Quelques heures plus tard, Camille avait fait ses emplettes : pâtes, riz, quelques légumes, de quoi prendre l’apéro…

Après avoir pris un rapide repas, elle était partie se coucher, éreintée par la route. Dans la tente, la chaleur était quasi étouffante. Elle se retournait, le duvet ouvert, seulement vêtue de sa culotte en coton, ne supportant même plus un tee-shirt. Elle buvait régulièrement, et fatalement l’envie de soulager sa vessie lui vint. Elle s’extirpa de sa tente, sa lampe de poche à la main afin de s’éclairer plus que ne le permettaient les rares lampadaires du camping.


S’approchant de ses sanitaires elle se rendit compte que tirer la chasse ferait du bruit et dérangerait ses voisins qui avaient été si sympathiques. Et puis Camille adorait pisser dans la nature. Depuis ses jeunes années, elle avait toujours aimé ça. D’abord, c’était amusant ; et puis, avec le temps, elle y prenait une certaine sorte de plaisir. Sentir l’air sur son entrejambe, se soulager impudiquement, c’était un de ses plaisirs secrets.


Elle orienta donc la lumière de sa lampe autour d’elle, cherchant un endroit quand même discret. Elle jeta son dévolu sur un petit espace pas loin de sa voiture, avec des buissons. Ni une ni deux, la voilà s’accroupissant dans les hautes herbes. Deux doigts de chaque côté de l’élastique de sa culotte tirèrent vers le bas. Oouups ! Le contact des herbes sur son sexe glabre la fit sursauter. Elle gloussa et poussa. Sa vessie se vida, un long jet vint tomber sur le sol. Dans un bruit de cascade, Camille se soulagea en soupirant. Elle pencha la tête en arrière trop vite ; elle glissa. « Merdeeeee, putain ! » Le cul dans l’herbe, elle n’arriva pas à s’arrêter d’uriner et mouilla sa culotte. Elle se redressa tant bien que mal, finissant son affaire en se maudissant d’avoir été aussi maladroite. Se redressant, elle retira complètement sa culotte. « Bah, foutue pour foutue… » se dit-elle en utilisant le tissu pour essuyer son sexe. « De toute façon, il fait trop chaud pour garder ça. »


Repartant vers sa tente, elle éclaira le sol, sa culotte à la main. Arrivée devant l’entrée, elle glissa à quatre pattes et entra… offrant à Tom une vue magnifique sur son entrecuisse et ses grosses fesses blanches, faiblement éclairée par le lampadaire de l’allée. Ce dernier, derrière la vitre du camping-car se masturbait doucement, n’ayant rien perdu de l’exhibition involontaire de Camille. Il se maudit de ne pas avoir avec lui son téléphone qui lui aurait permis de garder un souvenir.


Camille avait mal dormi. La chaleur lui a pesé toute la nuit, et ses retournements incessants étaient désagréables. Elle attrapa une culotte, un tee-shirt et un short ample. S’attifant rapidement, elle regarda l’heure. 9 heures, c’était tôt, mais au moins elle profitera de la journée. Elle s’assit à la table en plastique près de sa tente après avoir essuyé la rosée du matin. Un verre de jus d’orange, une part de quatre-quarts, elle se réveilla, regardant la nature autour d’elle.



Elle sursauta. Tom était là, sortant de son camping-car, en short de bain, torse nu.



Tom se tenait debout dans l’entrebâillement de la porte du camping-car. Camille le détailla rapidement. Une belle gueule, ça, c’est sûr ; pas de bedaine comme un homme de son âge. Il serait même assez bien bâti. « Elle a de la chance, la Céline ! » pensa-t-elle.

L’homme la regarda.



Hochant la tête, Tom sourit :



Camille sourit :



Elle rangea son verre dans l’évier des sanitaires et retourna dans la tente prendre ses affaires de toilette. De son côté, Tom fit la moue : ce short était trop ample pour lui permettre de deviner à nouveau les formes de la brunette. Il rentre dans le camping-car.



Après avoir pris sa douche, Camille décida d’aller bronzer à la piscine ; elle n’avait pas envie de conduire jusqu’à la plage, et puis il fallait qu’elle soit là pour déjeuner avec ses voisins.

Ayant enfilé son bikini vert, elle se dirigea vers la piscine, traversant les allées du camping. Elle a bien senti les regards des jeunes de l’emplacement 35, attablés à leur petit déjeuner. Trois paires d’yeux braqués sur elle, la suivant lors de son passage. Son côté chipie l’a amenée à rouler des fesses plus que la normale et elle dut rapidement replacer sa culotte de maillot au risque de leur en montrer trop. Elle sourit intérieurement en arrivant à la piscine.


Regard circulaire : seul un couple de sexagénaires était installé sur des transats, profitant du soleil moins chaud du matin. La femme avait la tête couverte de son chapeau, l’homme lisait son journal. Chauve, des poils gris sur le torse, un peu bedonnant, il portait un slip de bain bleu.


Camille les salua d’un sourire et alla s’installer sur un transat ; elle étendit sa serviette et s’allongea sur le dos, lunettes de soleil sur le nez. Profitant de la chaleur sur sa peau, elle somnola quelques instants. Les rayons du soleil chauffaient sa peau. Elle sortit sa crème pour protéger sa peau. Elle posa une noix de crème sur sa gorge et commença à masser le haut de sa poitrine, étalant la protection solaire. Sa main passa sur la naissance de sa poitrine puis glissa dans les bonnets du maillot afin de couvrir le décolleté.


Derrière son journal, l’homme fixait la jeune fille, les yeux braqués sur ses doigts qui massaient sa poitrine. Camille fit maintenant couler la crème sur son ventre, et dans le même manège étala celle-ci sur son ventre, ses hanches, à la lisière de sa culotte de maillot. Elle finit par ses jambes, les levant l’une après l’autre pour les couvrir de crème.

Dans cette position, le sexagénaire avait une vue imprenable sur le renflement du sexe de Camille. La position tendait le tissu, et ses lèvres épaisses et charnues étaient clairement dessinées sous le tissu.


Levant la tête après s’être protégée, Camille croisa le regard de l’homme qui lui sourit. Elle lui rendit son sourire avant de s’allonger de nouveau. Au bout de quelques minutes, elle releva les genoux, posant ses plantes de pieds à plat sur le transat.

L’homme face à elle regarda vers sa femme, toujours endormie, puis braqua son regard vers Camille. Une nouvelle fois la brunette offrit une vue imprenable sur le renflement de son sexe. La chaleur conjuguée à la vision de cette vulve fit rougir l’homme.


Ouvrant les yeux, Camille vit l’homme suant et rouge lui sourire. En l’observant, il lui sembla que le slip de bain était plus tendu que tout à l’heure. Prenant conscience de sa position, elle gloussa intérieurement. « Bah alors, papy, on se fait plaisir… » Son petit côté exhib’ se réveilla en elle. Oh bien sûr, elle ne se baladerait pas à poil n’importe où, ni ne s’exhiberait comme une traînée. Mais Camille a toujours aimé être regardée, et depuis qu’elle sait ce qui plaît aux hommes, elle aime parfois en jouer un peu.


Alors elle écarta lentement les cuisses en fermant les yeux, elle tira légèrement sur l’élastique de son maillot ; les lèvres s’écrasèrent contre le tissu. Le papy déglutit, mal caché derrière son journal. Elle joua ainsi quelques minutes puis se leva pour se placer à quatre pattes sur le transat, bombant ses grosses fesses. La culotte s’étira, découvrant la moitié de ses fesses. Riant intérieurement, elle s’allongea sur le ventre, les jambes pas assez écartées pour paraître vulgaire mais suffisamment pour que l’homme pût se rincer l’œil. Dans cette position, elle bougea par moment ses fesses.


Au bout de quelques minutes, elle entendit l’homme :



Elle sourit, se doutant surtout qu’il ne pouvait rester ainsi à la regarder sans risquer de faire jaillir sa queue raide de son maillot. Le sourire aux lèvres, elle se laissa aller à sa séance de bronzage.



[à suivre]