Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17598Fiche technique10233 caractères10233
Temps de lecture estimé : 7 mn
15/10/16
Résumé:  À quatre pattes entre ses jambes, telle une chienne avide et soumise, je lape les grosses couilles de mon Maître...
Critères:  fh couple nympho fsoumise hdomine humilié(e) contrainte fellation pénétratio coprolalie jeu sm attache fouetfesse -totalsexe -fsoumisah
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Obéissante

Voici venir un simple textouillet issu d’un court mail de ma coquine de femme (comme elle aime m’en envoyer, surtout quand je ne suis pas près d’elle), puis augmenté par mes soins.

Ne cherchez pas dans ces lignes une histoire en tant que telle.




À quatre pattes entre ses jambes, telle une chienne avide et soumise, je lape les grosses couilles de mon Maître et mari qui est debout, impassible et royal. Je salive sur sa belle queue bien raide, je la lèche, je la câline, je l’aspire.


Je suis sa chienne, sa pute, parée de mon collier et d’une laisse sous forme de chaîne, j’ai décidé d’être docile, très obéissante. Toujours à quatre pattes, totalement nue, je change un peu de façon d’être. À présent, je tourne autour de lui, donnant des petits coups de langue sur ses jambes, ses fesses, partout sur sa peau. Comme une vraie chienne. Puis toujours, je reviens à sa queue fièrement dressée, cette bite qui est le centre de ma convoitise, moi, sa femelle en chaleur.


Ah, ce pieu de chair palpitante, ce gros mandrin que j’adore savourer en bouche, ce viril braquemart… Quand il pénètre en moi pour me prendre, me posséder, quand il me pistonne, quand il se donne, quand il cède, quand il crache son jus pour m’en mettre partout… Que c’est bon, bon, bon !


Soudain, d’une voix impérieuse, mon Maître ordonne :



Obéissante bien qu’un peu intriguée, je m’écarte un peu. J’en profite pour contempler son admirable verge qui frémit ; je comprends alors qu’il ne faudrait pas grand-chose pour qu’elle cède, laissant jaillir des flots de sperme. Ce serait idiot que toute cette bonne semence soit si vite gaspillée ! Laissant mon Seigneur s’apaiser, reprendre son self-control, je déambule autour de lui, toujours à quatre pattes, le cul bien levé, me dandinant, mes fesses bien en exergue. Je sens son regard sur moi ; je suis fière d’attirer ainsi son attention.



Obéissante, je me fige, puis toujours à quatre pattes, j’écarte bien les jambes, faisant en sorte que mon accès soit facilité. Ma chatte est bien ouverte, pleine de ma cyprine. J’imagine très bien le spectacle de mes lèvres intimes toutes luisantes. Je sais, je ne suis qu’une grosse cochonne avide de bite. De sa bite à lui.


Après avoir flatté mes fesses de ses douces mains, mon Maître glisse à présent un doigt entre mes lèvres intimes toutes dégoulinantes. Humm, que c’est bon quand il farfouille de la sorte ! Ludique, il s’attarde un peu, jouant avec mon petit bouton rose. Il replonge une dernière fois, puis il présente son doigt maculé de cyprine à mes lèvres pour me le faire lécher :



Je fais oui de la tête. Consciencieusement, je lèche ce doigt visqueux telle une bonne sucette gluante. C’est à la fois rabaissant et excitant ! Je m’applique du mieux que je peux. Je sens ma propre cyprine glisser petit à petit au fond de ma gorge. Mon Maître semble content de moi ; il me le confirme peu après :



Il retire son doigt, me donnant ensuite quelques petites tapettes de satisfaction sur la tête. Puis il me demande de m’asseoir à même le sol, le dos contre le mur, près de la porte, jambes écartées. Je m’exécute aussitôt, me demandant avidement quelle sera la suite. Une fois que je suis en position, il attache alors ma laisse à la poignée de la porte toute proche, puis il m’intime :



J’écarte bien les jambes pour qu’il puisse jouir du spectacle, je glisse mes doigts sur mon ventre, je les laisse descendre lentement vers mon pubis sous son regard intéressé. Je taquine les replis de mes lèvres intimes, puis je me caresse doucement, lentement, vicieusement, puis je vais de plus en plus vite en ondulant bien du bassin, en parfaite synchronisation avec les caresses…


C’est bon, c’est divin de se masturber ainsi sous le regard de son Maître ! Je souffle, respirant fortement, pour mieux me contrôler. Puis, me sentant au bord de la rupture, au bord du grand gouffre, je décide de passer à la suite. Retirant ma main à présent luisante, je suce délicatement, sensuellement mes doigts gluants un par un, me délectant à nouveau de ma mouille. C’est si excitant, si finement pervers, que je suis au bord de l’explosion !


Levant la tête, je le regarde. Mes yeux se posent sur son beau sexe gonflé aux veines palpitantes ; j’ai la nette impression qu’il est encore plus raide, plus dur que tout à l’heure. Visiblement, ma petite prestation lui a fait de l’effet. Du coup, échauffée, j’ai une énorme envie de le reprendre dans ma bouche ! Tendant la main, mon corps se tend vers lui et je tente d’engouffrer ce pieu de chair d’un seul coup, mais mon Maître m’arrête en plein vol :



Sans trop de douceur, il m’oblige à me remettre à quatre pattes, puis posément, il se met à me fesser. Je sens la brûlure de ses mains qui virevoltent sur ma peau ! Sous cette farandole sadique, je me tords, je gémis ; j’ignore si c’est à cause de la douleur ou de l’excitation… ou des deux en même temps.


Mes fesses cuisent ; elles doivent être écarlates ! Soudain la fessée s’arrête. Je sens alors son sexe m’enfiler sans préambule d’un coup sec qui va se nicher tout au fond de ma grotte humide et avide. Je soupire d’aise ! Enfin, il daigne assouvir ma faim de bite ! Ses mains agrippant fermement mes hanches, il commence alors un féroce pitonnage de ma chatte détrempée. La brûlure de mon cul associée aux va-et-vient sans pitié, à son bas-ventre qui vient claquer sur mes fesses écarlates, tout ceci me fait hurler de plaisir !



Aucune réponse orale, mais un redoublement de l’assaut qui me vrille. Je continue à demander, à implorer, à quémander :



Je me tords, je cherche ce plaisir qui est tout proche, comme étant juste derrière la porte à laquelle je reste attachée par ma laisse. Oui, j’adore cette queue en moi, cette bite qui me prend, qui s’impose en moi, qui me comble, qui m’envahit ! Je suis chienne, truie, louve, peu importe : je me sens à la fois avilie et sublimée.



Il s’agite en moi, me barate. J’adore le sentir se démêler, quand sa queue coulisse en moi, quand elle m’échauffe, quand elle me brûle les entrailles. Quand je me sens tellement chienne, quand il me possède ! J’ai envie d’un petit plus ; je le lui réclame sans aucune honte :



Toujours bien campée sur mes genoux et mes bras, allègrement secouée par ses va-et-vient infernaux, je grogne, oubliant de le vouvoyer :



Je suis presque déçue qu’il ne veuille pas m’enculer. J’aime qu’on me défonce le cul quand c’est comme ça. Le côté « pute » de la chose m’excite à fond ! Mais se faire tringler normalement est aussi très bon ; il ne faut pas non plus rechercher à tout prix les choses un peu spéciales… Et puis, sa bouffée d’autorité m’émoustille !


Ses coups de piston deviennent de plus en plus puissants ; on dirait qu’à chaque fois mon Maître arrive à s’enfoncer plus loin encore en moi. Quelque part, c’est vrai que s’il était dans mon cul, je dégusterais sévère ! Est-ce un bien, est-ce un mal ? Douleur et plaisir font parfois bon ménage.


Soudain, telle une vague immense et démesurée, je jouis. Tout mon corps s’enveloppe d’une sensation de bien-être fulgurante, je vois des étoiles partout. Tandis que je manifeste mon plaisir par des petits cris, je l’entends grogner derrière moi, ses doigts toujours bien agrippés à mes hanches. Sa semence chaude vient inonder mon ventre, tel un flot impétueux quand le barrage cède ! Je me sens bien, je me sens pleine, comblée. J’aime ce plongeon dans la luxure avec lui. Luxure, débauche, dépravation, perversion, vice, peu importe le mot !


Maintenant, je vais m’assoupir un peu, profiter de cette jouissance intense que j’ai eue, me laisser bercer par cette quiétude qui m’envahit, me laisser sombrer, les entrailles bien remplies de sperme, de ce foutre qui bientôt dégoulinera hors de moi, me souillant les cuisses. Mais ça m’amusera de voir sortir cette preuve qui était en moi. Peut-être que nous recommencerons, peut-être pas. Qui peut le dire ?


Aujourd’hui, j’avais envie de me sentir chienne entre ses mains.

Et la prochaine fois, ce sera encore pire… Je l’espère !



Un énorme merci à ma chère femme adorée pour le mail initial, et surtout pour tout le reste !