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Temps de lecture estimé : 14 mn
22/10/16
Résumé:  Comment j'ai couché avec des copines de ma grande sœur.
Critères:  fh jeunes copains fépilée vacances fdomine fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Gauthier

Série : Les copines de ma soeur

Chapitre 01
Adeline

Je me présente, je m’appelle Gauthier, j’ai 21 ans, brun, les yeux verts, 1,85 m pour 80 kg. Je voulais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a un an.


J’ai la chance d’avoir une grande sœur de quatre ans mon aînée, assez jolie je dois le reconnaître et très sociable. Elle a toujours eu de nombreuses copines dont une bande d’amies avec qui elle est très proche depuis le lycée. Mes parents étant assez cool, elle a souvent organisé des soirées avec ses copines à la maison et de nombreuses fois certaines d’entre elles restaient dormir. Autant vous dire que depuis que j’ai commencé à m’intéresser aux filles, j’avais un défilé assez continu de filles plus âgées que moi à la maison. Et je ne me gênais pas pour les mater à loisir, cherchant à voir la trace d’un string sous un pantalon ou un soutien-gorge au travers d’un décolleté. De même quand elles dormaient chez nous, je faisais tout pour essayer de les voir plus ou moins nues, chipant même quelques fois des sous-vêtements le temps d’égayer mes plaisirs solitaires.


C’est même au cours d’une de ces soirées qu’une des copines de ma sœur m’a dépucelé. Elle avait beaucoup bu et, alors que je pensais être seul et que je regardais les sous-vêtements qu’elle avait laissés négligemment sur son lit, elle me surprit. Elle éclata de rire à me voir respirer son string en dentelle, me demanda si j’étais puceau et me proposa de la voir nue. Elle ferma la porte et se déshabilla. Ce n’était pas la plus belle des copines de ma sœur, mais je découvris avec intérêt son corps. Alors que je lui caressai la poitrine, elle me proposa de me dépuceler. Mais ma performance ce soir-là ne mérite pas que je la détaille dans cette histoire.


Depuis ce jour, j’avais continué à côtoyer les copines de ma sœur. Après le lycée, la grande bande de copines se limita vite à ses amies proches bien que certaines aient déménagé pour leurs études. Elles avaient pour habitude de se retrouver quatre fois par an pour des fiestas de plusieurs jours mémorables. L’été, c’était ma sœur qui recevait dans la maison familiale alors que nos parents étaient en vacances. J’étais souvent là pour ces retrouvailles et j’étais devenu un peu le chouchou de ces dames. C’est ainsi que l’été dernier, elles se sont à nouveau retrouvées dans la maison familiale.


Elles arrivèrent dans la journée du vendredi et passèrent l’après-midi à se raconter toutes leurs histoires de filles tout en sirotant des cocktails maison. Peu avant le repas, alors que j’étais sorti pour aller au ciné avec des copains, elles étaient déjà un petit peu allumées. Vers 23 h, je rentrai de notre soirée et m’installai devant la télé avec une bière. Peu de temps après, j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir et je vis Adeline, l’une des copines de ma sœur entrer.


Laissez-moi vous présenter Adeline : rousse aux yeux verts avec de longs cheveux, de taille moyenne, elle avait des petits seins, mais un cul et des jambes fabuleux. À chaque fois que je la voyais, elle était toujours habillée sexy voir limite « allumeuse ». Ce soir-là, elle était vêtue d’une jupe noire moulante et courte, d’un haut zébré noir et blanc ainsi que d’escarpins noirs. Autant dire qu’elle était magnifique ! Si je devais lui trouver un défaut ? Un accent « cht’i » à couper au couteau qui surprend un peu quand on l’entend parler pour la première fois. Elle avait un sourire joyeux et à l’entendre parler, je compris vite qu’elle était passablement saoule. Elle entra dans le salon et vint s’asseoir, ou plutôt s’affaler sur le canapé à côté de moi. En rigolant, elle me demanda :



Elle allongea ses jambes sur la table basse, faisant remonter encore un peu plus sa jupe déjà bien courte. Alors que je ne pouvais m’empêcher de regarder ses jambes, je lui proposai :



J’allais donc chercher une bouteille de vodka au congélateur et revins avec deux verres à shooter.

Je posai le tout sur la table et remplis les deux verres. Je lui en tendis un. Nous trinquâmes et vidâmes nos verres d’un trait. Effectivement, cela n’eut pas l’air de lui faire beaucoup de mal !



Je restai un peu interdit devant sa réponse même si je savais par ma sœur qu’Adeline, depuis une rupture douloureuse, collectionnait les aventures sans lendemain. Et vu comme elle était belle, elle ne devait avoir que l’embarras du choix…



Nous parlâmes de tout et de rien. Régulièrement, je remplissais nos verres et nous commencions tous les deux à être bien chargés !

Au bout d’un moment, alors que j’allais encore faire le plein, elle me demanda en riant :



À ces mots, elle se tourna vers moi avec un grand sourire interrogateur.



Elle s’approcha de moi et vint s’asseoir sur moi en me chevauchant. Sa jupe était complètement remontée, on aurait dit une ceinture. Bien évidemment, mon sexe se dressa instantanément dans mon pantalon et elle le ressentit.



Elle attrapa mes mains et les posa sur ses fesses, à moitié sur sa jupe, à moitié à même la peau.



Je n’eus pas le temps d’en dire plus qu’elle se mit à m’embrasser avec fougue. Ma langue rejoignit la sienne dans une danse endiablée au milieu de nos deux haleines alcoolisées. Mes mains caressaient ses fesses et finirent de remonter sa jupe pour découvrir son petit string en dentelle blanc. Rapidement, ses mains glissèrent entre nos deux corps, défirent ma ceinture et déboutonnèrent mon jean. Elle se saisit de mon sexe dressé et commença à le branler lentement. Puis, sans lâcher mon sexe, elle se glissa à mes pieds et s’agenouilla devant moi. Elle se contenta de le branler quelques secondes tout en approchant son visage de mon engin. Ces secondes me parurent interminables tellement j’avais envie qu’elle me prenne en bouche.


Après l’avoir inspecté, elle posa ses lèvres sur mon gland et avala mon sexe. Sous l’effet de sa succion, mon gland se décalotta et en quelques mouvements, elle m’avait presque entièrement avalé. Je la laissai faire, regardant sa tête monter et descendre sur mon sexe. De temps en temps, elle relâchait sa prise pour venir lécher et aspirer mes testicules ou faire remonter sa langue tout le long de mon sexe, me titillant avec des petits coups de langue. Elle me regardait par moment avec un sourire entendu, satisfaite du plaisir qu’elle me procurait. Je n’avais pas une grande expérience en matière de fellation, mais jamais je n’avais ressenti de telles sensations ! Forcément, avec un tel traitement, j’eus rapidement envie de jouir. J’essayai de la faire remonter en tirant un peu sur ses épaules. Elle stoppa son mouvement et me regarda interrogatrice :



Elle repartit de plus belle à faire monter et descendre ses lèvres autour de mon sexe tout en promenant sa langue autour de mon gland. Je me laissai donc aller, regardant cette chevelure rousse qui me donnait un plaisir de fou. Quelques minutes après, je lui annonçai que j’allais jouir. Elle accéléra franchement le rythme puis saisit la base de mon sexe entre son pouce et son index pour la branler vigoureusement alors que ses lèvres ne descendaient plus qu’à la base de mon gland. Dans un grand râle, je me déversai dans sa bouche et alors qu’elle sentit le premier jet de sperme arriver, elle descendit sa bouche plus bas sur mon sexe et l’aspira, tout en continuant à branler la base de ma queue. Je sentis qu’elle avalait mon sperme puis se remit à faire bouger sa bouche autour de mon sexe comme pour le nettoyer. Au bout de quelques secondes, elle releva la tête et me sourit. Je peinais à reprendre mes esprits. Quelques filles m’avaient déjà sucé avant Adeline, mais jamais d’une telle manière et en plus, c’était la première fois que je jouissais dans la bouche d’une fille !



Toujours à genoux devant moi, elle fit descendre mon jean et mon boxer complètement le long de mes jambes et me les ôta. Elle se releva, réajusta sa jupe puis me prit par la main. Je me levai derrière elle et nous nous dirigeâmes vers ma chambre dont elle ferma la porte à clef.



Alors que je m’exécutai et enlevai mon polo et mes chaussettes, elle enleva son débardeur dévoilant un joli soutien-gorge en dentelle puis fit glisser sa jupe le long de ses jambes, me montrant à nouveau son joli string blanc en dentelle, assorti au soutien-gorge. Elle alla s’allonger sur le lit, une main sur ses seins, une sur son ventre.



Aussitôt, je vins m’allonger au-dessus d’elle et l’embrassai avec fougue. Alors que nos langues jouaient ensemble, ma main droite descendit caresser sa poitrine, son ventre puis sa cuisse. Ma main allait et venait le long de sa jambe, glissant sous ses fesses et effleurant son sexe au travers du string. Puis ma bouche se déplaça vers son cou puis, lentement, mes baisers descendirent vers ses seins. Alors que je les embrassai à travers la dentelle, elle glissa sa main dans son dos et dégrafa son soutien-gorge. Je tirai légèrement dessus et découvris la peau blanche de ses seins ainsi que deux petits tétons qui pointaient fièrement. Je couvrais de baisers ses deux protubérances mammaires puis ma bouche s’attarda sur ses tétons. Je les léchai du bout de la langue puis je me mis à les aspirer entre mes lèvres. Ce traitement lui plut beaucoup et lui arracha des soupirs à chaque fois que je serrai un peu plus ses tétons. Au bout d’un moment, je repris mon exploration en descendant ma bouche vers son ventre puis vers son entrejambe. Alors que je commençai à embrasser son sexe au travers de son string, elle se débarrassa de son soutien-gorge. Je léchai sa peau de chaque côté du tissu, mais sans l’écarter, pour la faire lentement monter en température.


Puis je la fis se retourner sur le ventre, les jambes écartées. Je caressai et embrassai ses fesses si parfaites sans m’en lasser. Je fis glisser un doigt entre son sexe et le matelas, m’introduisant sous son string. Son sexe était tout humide et ses lèvres s’écartèrent au passage de mon doigt que je fis rentrer en elle tout doucement, lui arrachant un soupir. Je bougeai mon doigt quelques secondes en elle, puis je me décidai à retirer son string. Alors que je saisissais le tissu de chaque côté de ses hanches, elle souleva son bassin pour me faciliter la tâche. Je fis glisser le bout de dentelle jusqu’au-dessus de ses genoux puis elle se remit sur le dos, les jambes levées et serrées. Je finis de lui enlever son string et elle reposa ses jambes, écartées autour de moi, me faisant découvrir son sexe épilé de près. Elle ne gardait que quelques poils courts au-dessus de son sexe (maillot « américain » comme je l’appris plus tard), comme pour prouver qu’elle était bien rousse.


Je plongeai ma tête entre ses cuisses et je me mis à la lécher avec application. Lentement, de bas en haut le long de ses lèvres humides. De temps en temps ma langue s’introduisait un peu plus dans son sexe ou s’attardait sur son clitoris. Rapidement, elle se mit à pousser de petits soupirs qui s’intensifièrent progressivement. Une de mes mains se balada sur sa poitrine, caressant ses seins et ses tétons. Puis, au bout d’un moment, je glissai un doigt dans son sexe trempé et le bougeai en elle. En même temps, ma langue tardait un peu plus son clito, l’aspirant même par moment. Un second doigt vint vite rejoindre le premier en elle. La plupart du temps, elle avait les yeux fermés et se mordait la lèvre inférieure tout en retenant de petits cris. Et par moment, elle me regardait en souriant, m’encourageant du regard à continuer.


Alors que mes doigts allaient et venaient en elle, ma bouche remonta vers ses seins et je titillai à nouveau ses tétons du bout de ma langue ou les aspirai en les pinçant légèrement entre mes dents. Puis ma bouche revint sur son sexe pour continuer mon traitement. Je ne me lassais pas de m’occuper d’elle ainsi et je me délectais de son nectar. C’était la première fois que je faisais un cunni à une fille autant épilée et je dois avouer que je trouvais cela des plus agréables. Au bout d’un moment que je ne saurais estimer, elle m’interrompit en me soulevant la tête :



En effet, suite à la merveilleuse fellation qu’elle m’avait prodiguée, je ne rebandais toujours pas. Elle s’en aperçut, mais me rassura :



Je m’allongeai donc à côté d’elle et elle vint se mettre à genoux au-dessus de moi et entreprit de sucer mon sexe ramolli. L’effet fut presque immédiat. En quelques secondes, je sentis mon sexe grandir et se durcir dans sa bouche pour atteindre sa « taille opérationnelle ». Elle continua de me sucer quelques secondes, comme pour s’assurer que cela allait bien tenir puis vint me chevaucher et frotta son bassin contre le mien. Alors qu’elle m’embrassait, d’un habile mouvement des hanches, elle fit entrer mon sexe dans le sien. Je me retrouvai immédiatement entièrement planté en elle.


Quelle douce sensation de sentir son vagin chaud autour de mon sexe. Les mains de chaque côté de ma tête, elle resta quelques secondes sans bouger, me fixa dans les yeux puis se mit à monter et descendre sur ma queue. Mes mains caressaient son dos, ses fesses et ses jambes. Soit à pleines mains, soit du bout des doigts, je variai mes caresses, mais m’attardai beaucoup sur ses fesses si fermes et si magnifiques. Alors qu’elle faisait varier les mouvements de son bassin autour de ma queue tant en vitesse qu’en mouvement, je m’amusais soit à écarter ses fesses pour une pénétration maximale, soit à les serrer autour de mon sexe pour augmenter au maximum les frottements de son vagin sur mon sexe.


Au bout d’un moment, elle se redressa et mes mains allèrent naturellement vers ses seins. Je les caressai tendrement et jouai avec ses petits tétons. Son bassin faisait de petits mouvements circulaires autour de mon sexe, apparemment pour son plus grand plaisir. Les yeux fermés, elle faisait frotter son entrejambe contre la mienne. Puis elle se repencha sur moi, m’embrassa à nouveau avec fougue et nous fit rouler sur le lit. Je me retrouvai donc au-dessus d’elle, en position du missionnaire. Je me mis à bouger en elle lentement. Parfois, je ressortais presque entièrement mon sexe pour le replonger au plus profond dans son vagin. Par moment, je m’amusais à faire semblant d’accélérer franchement comme si j’allais jouir, mais je stoppais mes mouvements au bout de quelques coups de reins. Même si elle voulait paraître énervée par mon jeu, je sentais bien que cela ne faisait que l’exciter encore plus.



En souriant, je repris mes mouvements en elle. Une de mes mains caressa sa jambe et la fit remonter vers son visage. D’elle-même, elle remonta l’autre jambe de la même façon et vint poser ses mollets sur mes épaules. Les deux bras en appui sur le lit, je commençai à la prendre par de lents mouvements puis rapidement, je me mis à la pilonner de plus en plus vite. Les yeux et la bouche grands ouverts, elle poussait un cri à chaque coup de reins de ma part. Au bout d’un moment, sentant que j’allais jouir, je m’arrêtai, voulant encore profiter de cet instant magique. Elle reprit son souffle et reposa ses jambes de chaque côté de mon corps. Alors que j’allais reprendre une pénétration lente, elle saisit mes fesses, plaqua mon ventre contre le sien, me maintenant profondément fiché en elle et se mit à bouger son bassin contre le mien.


Elle me murmura à l’oreille de la laisser faire. Rapidement, elle se mit à soupirer de plus en plus fort. Je lui servais de jouet sexuel, mais c’était loin de me déplaire de sentir les mouvements infimes de son vagin autour de mon sexe, mais néanmoins source de beaucoup de plaisir. Alors que sa respiration s’accélérait beaucoup, elle me dit d’essayer de me retenir de jouir. Elle accéléra franchement ses mouvements puis finit par pousser un grand cri alors qu’elle s’immobilisa. Je regardai son visage déformé par le plaisir alors que son vagin se contractait fortement autour de mon sexe planté en elle. Nous restâmes ainsi de longues secondes. Quand elle eut repris ses esprits, elle ouvrit les yeux et me sourit. Elle me fit me retirer d’elle et se retourna sous moi, me présentant son fessier si magnifique. Les jambes légèrement écartées, elle saisit mon sexe et le présenta à l’entrée son vagin. Je rentrai d’un coup en elle, mais elle me freina :



Je me contentai donc d’aller et venir en elle lentement, tout en l’embrassant dans le cou. Puis, au bout d’un moment, je la saisis par le bassin et la fit tourner avec moi. Nous nous retrouvâmes allongés sur le côté en position de la cuillère. Je commençais à la prendre un peu plus rapidement alors que ma main libre caressait alternativement ses seins ou son clitoris. De son côté, elle caressait mes fesses et mes testicules. Sentant que ma jouissance approchait, je me retirai, la fit se mettre à quatre pattes et je vins la prendre en levrette pour le grand final. Je la saisis fermement par le bassin et commençai mes derniers allers-retours en elle. Au fur et à mesure que j’accélérais, elle poussait des cris de plus en plus fort elle vint enfouir son visage dans les bras, s’appuyant sur les avant-bras. Je bougeais le plus possible que je pouvais en elle et je finis par jouir dans un grand cri rauque et je me vidai en elle. La jouissance passée, j’arrêtai mes mouvements et restai planté en elle. Elle releva la tête, me regarda en souriant et d’un mouvement de bassin, fit sortir mon sexe du sien. Alors que je m’allongeai à côté d’elle, elle resta à quatre pattes. Elle se pencha au-dessus de moi, m’embrassa et me dit en souriant :



Puis elle se leva, ramassa ses affaires et sortit. Même si elle m’avait prévenu qu’elle repartirait dans sa chambre une fois que nous aurions eu fini, je ne m’attendais pas à ce qu’elle parte si vite ! Épuisé et un peu surpris, je restais allongé sur le lit alors que je l’entendais prendre une douche. Je m’endormis avant qu’elle ait terminé sa douche…



À suivre…