n° 17615 | Fiche technique | 9957 caractères | 9957Temps de lecture estimé : 7 mn | 24/10/16 |
Résumé: Un homme raconte sa première expérience bisexuelle au sein de son couple. | ||||
Critères: fhh hbi couplus cunnilingu fellation pénétratio hsodo confession | ||||
Auteur : SmallMale Envoi mini-message |
De multiples fantasmes incluant un homme me sont passés par la tête.
De multiples envies avec des femmes aussi.
Mais celui-ci a ceci de particulier qu’il réunit ces deux univers.
Je lui en ai parlé un soir. C’était difficile. Je ne savais pas comment elle réagirait. Oh nous sommes plutôt libres, du moins dans les mots. Mais faire une proposition c’est autre chose qu’uniquement évoquer un désir.
Elle a semblée un peu décontenancée. Et il y avait de quoi, je pense. Jusqu’à présent elle n’était pas touchée par mes envies envers les mâles. Cependant il m’a paru nécessaire de l’y inclure. Ainsi nous partagerions ce moment tous les deux, et même, tous les trois.
J’ai été assez précis dans ce que je voulais. Il fallait un homme bi actif. Il nous prendrait elle et moi au cours de la même soirée.
Elle a eu peur d’accepter ; peur que son regard sur moi change à jamais. Et j’ai eu peur qu’elle accepte. On perd parfois trop de temps à avoir peur.
Après de multiples discussions sur le sujet, nous avons réalisé qu’il s’agissait uniquement de me voir tel que j’étais, et elle a réalisé que ça n’aurait probablement pas de conséquences pour elle.
J’ai cherché cet homme pendant des semaines. C’était compliqué car je suis quelqu’un de perfectionniste et que je voulais que rien ne gâche la réalisation de ce fantasme. Le chanceux candidat était un homme de notre âge, la trentaine, avec un peu d’embonpoint, confortable, mignon, et avec une bite suffisamment grosse pour qu’elle nous mette à tous les deux l’eau à la bouche. Il était légèrement poilu et faisait attention à son apparence. On pouvait voir sur les photos qu’il avait mises en ligne qu’il se tondait les poils et ça mettait en valeur son pénis parcouru de nervures.
Pour nous éviter un moment d’hésitation assez gênant, nous avons décidé que nous commencerions les réjouissances dès qu’il passerait la porte de chez nous. Je lui avais expliqué que je n’avais pas spécialement de scénario en tête, mais que je souhaitais qu’on s’occupe les uns des autres, selon nos envies.
Le rendez-vous a été donné un samedi soir pour avoir la possibilité de se reposer la veille au soir. En réalité j’étais tellement excité ce soir-là que je me suis masturbé en pensant à ce qui se passerait le lendemain.
Le jour simultanément attendu et craint arriva. L’homme, qui se prénommait Olivier, a sonné à 20 heures, comme prévu. J’ai regardé Amandine, ma copine, et ai tenté de lui montrer ma détermination à aller jusqu’au bout. J’ai ouvert à Olivier et lui ai indiqué la direction du salon.
Amandine lui a fait la bise pour l’accueillir. Ils se sont enlacés, se sont sentis, et Olivier l’a embrassée dans le cou.
Je me suis placé dans le dos d’Amandine pour partager cette étreinte. Le parfum de l’homme et celui de la femme que j’aime me faisaient tous les deux vaciller, tant par la douceur de celui de mon amour que par les notes fraîches et viriles de celui de l’homme qui s’était joint à nous. J’embrassais moi aussi ma femme dans le cou, frottant légèrement mon bassin contre Amandine et découvrais Olivier du bout des doigts.
Lorsque la température a bien monté, Olivier et moi nous sommes écartés d’Amandine et l’avons déshabillée. Quand elle a été nue, ils se sont mis à deux pour me déshabiller. La scène n’était pas très sexy en elle-même. Il y a toujours un moment où la réalité de cette situation se confronte à l’image idyllique présentée dans les films. Ce qui en a fait un moment agréable, c’est la façon dont ils l’ont fait, comme celle dont Olivier et moi avions déshabillé Amandine, comme s’il s’agissait d’un cadeau. Quand ça a été fini pour moi, nous avons profité de pouvoir dévoiler le corps de notre amant.
Mes mains glissaient sur sa peau douce, aux côtés de celles d’Amandine. Nous étions heureux de cette nouveauté. Nos sexes étaient gonflés et se touchaient par intermittence. C’était bon de sentir le contact de sa queue contre la mienne. Il avait mis sa main sur la fente de ma belle, et la caressait en douceur. Elle, imaginait les fesses d’Olivier qu’elle sentait durcir lorsqu’il frottait sa queue contre nous. Nos langues passaient d’une bouche à l’autre avec une synchronisation inexplicable. Nos gémissements prenaient de plus en plus d’espace dans la pièce.
J’ai pris la main d’Amandine et lui ai donné celle d’Olivier. Puis j’ai pris Olivier par la main et les ai amenés dans la chambre.
Amandine s’est allongée sur le lit. Nous l’avons rejointe et eux deux se sont embrassés à nouveau. J’ai approché ma tête de la chatte d’Amandine et elle a écarté les jambes pour me permettre de la lécher. Elle était bien mouillée par toute cette expérience et son goût dans ma bouche m’excitait énormément. Je suis remonté près de leur visage et nous nous sommes embrassés à trois.
La langue d’Olivier nous a quittés puis il l’a entrée en Amandine. Le parfum de sa chatte l’enivrait autant que moi. Je les entendais gémir en sentant la langue douce de mon amour jouer avec la mienne. J’étais focalisé sur la douceur et la sensualité de ce baiser quand j’ai senti la chaleur de la bouche d’Olivier sur ma queue. Je n’étais plus à ce moment-là que sensualité, me dandinant sur un rythme inné. Il a abandonné mon sexe pour retourner lécher celui de ma copine. J’ai quitté la douceur de la bouche de ma belle pour sucer ses tétons tendus. Comme à mon habitude dans ces moments-là, j’ai joué à les étirer entre mes dents, à les chatouiller du bout de ma langue, à les lécher tendrement, à les sucer, alternant sensation de froid et de chaleur.
Après quelques minutes comme cela, Olivier est remonté et, d’une main, a poussé son gland rose et gonflé dans la vulve d’Amandine qui s’est ouverte pour l’accueillir. Ce spectacle d’une chatte qui se déforme pour laisser pénétrer une grosse queue a toujours eu quelque chose de fascinant à mes yeux. C’est une image qui sublime la douceur de la chatte et la puissance de la queue.
J’ai embrassé Olivier pendant qu’il pilonnait ma belle. Cela semblait le motiver davantage. Ensuite, j’ai essayé de trouver un peu d’espace pour la lécher mais sans succès. Le missionnaire n’est pas la meilleure position pour ça. Elle a repoussé Olivier afin de se mettre en levrette et je me suis placé sous elle, en soixante-neuf. Elle se faisait baiser et lécher en même temps. Elle avait pris ma bite dans sa bouche et tentait une gorge profonde. Moi j’étais en transe, hypnotisé par la vue d’une queue entrant et sortant d’une chatte, en boucle, et sentant les couilles d’un mâle excité étaler la mouille de ma copine contre mon visage.
Elle a lâché ma queue et s’est mise à haleter de plus en plus fort. Les spasmes de son vagin l’ont anéantie. Elle s’est effondrée sur moi et Olivier, qui n’avait pas atteint l’orgasme, m’a baisé la bouche. J’ai décalé Amandine sur le côté et me suis placé sur le dos, les jambes relevées. Olivier s’est approché de moi. Il a entré son gland en moi. J’étais détendu par toute cette excitation. Lui était devenu brusque à force de sentir le plaisir monter. Il faisait cependant des efforts pour ne pas me faire de mal. J’ai senti son gros pénis entrer en deux poussées successives et j’ai jubilé quand ses couilles se sont posées sur mes fesses. J’ai attiré son visage près du mien d’une main pendant que je caressais ses fesses de l’autre. Nos langues se sont mêlées et ses va-et-vient ont continué.
À chaque poussée il me transmettait un peu plus de son excitation. J’aimais me sentir entièrement habité, j’aimais être l’objet de son plaisir. Il a accéléré, en continuant à m’embrasser, léchant et suçant ma langue. Enfin j’ai senti qu’il allait craquer. Il a poussé un gémissement qui s’est transformé en grognement sourd. Son bras qui faisait le tour de mon cou me maintenait en place quand il s’est enfiché au plus profond de moi et s’est vidé les couilles. J’étais tellement excité par cette étreinte que son dernier coup de reins m’a fait éjaculer entre nous deux. Il est resté dans mon corps jusqu’à ce que sa queue se ramollisse.
Quand elle est sortie de mon anus et qu’il s’est mis sur le côté, je me suis senti complètement vidé de toute énergie, totalement mou.
Amandine, qui avait repris ses esprits entre-temps, profitait de la vue.
Après de longues minutes, nous avons évoqué l’idée de prendre une douche afin de dormir dans de bonnes conditions.
Ça a été fait rapidement, sans aucune sensualité, uniquement pour être propres.
Puis Amandine et moi-même avons raccompagné Olivier jusqu’à la porte et l’avons remercié pour ce moment de plaisir intense. Il a dit avoir lui aussi beaucoup aimé ces instants partagés nous lui avons donc proposé de recommencer une autre fois.
À peine la porte fermée, nous sommes retournés nous coucher, Amandine et moi, et nous nous sommes endormis en faisant un câlin dans ce lit humide qui portait encore l’odeur d’un autre.
Le lendemain, elle a ré-abordé le sujet. Elle m’a assuré que son regard sur moi n’avait pas été bouleversé par cette expérience. La discussion nous a inspirés et nous avons fait l’amour.
Nous avons revu Olivier de façon assez irrégulière, quand l’occasion s’y prêtait.
Aujourd’hui c’est devenu un ami et il fait partie de notre vie.