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Temps de lecture estimé : 8 mn
26/10/16
Résumé:  Récit d'une expérience originale en camping.
Critères:  fh fplusag fagée inconnu poilu(e)s vacances douche fsodo init
Auteur : SmallMale      Envoi mini-message
Confession d'un épisode de ma jeunesse

Je m’appelle Alistair.

Cette histoire n’est pas un simple fantasme. Elle m’est vraiment arrivée quand j’étais plus jeune. Aujourd’hui j’ai 31 ans et une vie bien rangée. Mais à l’époque des faits, je sortais de l’adolescence avec une libido explosive et pas de partenaire.


Ça s’est passé en vacances, comme souvent avec les histoires un peu hors du commun. Je suppose que c’est parce que c’est l’occasion d’être confronté à de nouvelles personnes, à de nouvelles situations. Je disais donc, ça s’est passé en vacances. Je vivais avec ma mère et mon frère. Et tous les étés nous allions tous les trois dans un camping à Belle-Île-en-Mer. Je ne peux pas dire que j’étais ravi d’y aller. Je n’ai jamais été vraiment intéressé par autre chose que le sexe. Alors les ballades en ville ou dans les sentiers, avec le vent et la pluie… Mais cet été-là, les choses se sont passées différemment.


Nous sommes arrivés et avons installé nos affaires dans le bungalow. J’avais passé l’après-midi à m’ennuyer, allongé sur mon lit avec de la musique dans les oreilles. En ces temps reculés, nous n’avions pas encore les téléphones portables, et encore moins les smartphones. Et, comme je l’ai dit plus tôt, rien d’autre que le sexe ne m’intéressait. Nous avons mangé assez tôt ce soir-là, puis je suis allé prendre une douche dans les sanitaires. Notre bungalow ne contenait ni toilettes ni douche. Les sanitaires étaient propres, mais, comme toujours, le sol était recouvert d’eau froide ce qui rend les premières secondes sous la douche très désagréables. L’eau chaude est heureusement arrivée et je me suis prélassé, la laissant recouvrir mon visage, la bouche grande ouverte pour pouvoir respirer. Machinalement, j’avais la main sur le sexe, mais mon attention était focalisée sur cette eau bien chaude qui me détendait. J’avais eu la chance de tomber sur une des douches qui sont toujours bien chaudes quand les autres ne récupèrent que de l’eau froide.


Au bout de quelques minutes, je sortis mon visage de l’eau et commençai à détailler ce que je voyais du bloc sanitaire qui avait, semble-t-il, été refait depuis l’année précédente. La décoration du lieu n’a que peu de pertinence dans une histoire telle que celle-ci, à vrai dire. Ce qui compte c’est que lorsque j’ai examiné l’intérieur de la cabine de douche, j’ai remarqué un petit trou d’environ un demi-centimètre dans la cloison de séparation avec la douche d’à côté. Le trou était à hauteur de bassin. Curieux, j’ai jeté un coup d’œil, mais n’ai rien vu, car l’eau était entrée dedans. J’ai soufflé doucement pour la chasser et me suis rapproché, accroupi, pour en voir le plus possible. Soit il n’y avait personne, soit le trou n’était pas placé de façon à permettre de se régaler la vue. Je n’avais pas fait attention aux allées-venues, car j’étais bien trop occupé à me prélasser.


J’ai laissé ma douche s’arrêter quelques secondes pour voir si celle d’à côté coulait sur le sol dont je pouvais voir un bout. Mais rien, personne. Du coup j’étais un peu déçu. Ce petit trou m’avait donné l’espoir d’un moment de fun, l’espoir de vacances un peu moins blasantes qu’à l’habitude. J’étais de retour dans mes pensées, bercé par l’eau qui me ruisselait dessus.

La porte d’une cabine a grincé. J’ai espéré que ce soit celle contiguë. Mais espérer n’aura pas été d’une grande aide.


Un autre grincement s’est fait entendre, et j’ai supposé que c’était la porte de la même cabine. Mais une tache colorée est passée derrière le petit trou après quelques secondes.

J’ai regardé et ai aperçu quelqu’un. La personne était retournée et je n’ai pas compris s’il s’agissait d’un homme imberbe ou d’une femme. Elle se douchait comme si elle n’avait pas encore remarqué qu’elle pouvait être vue. Quand elle s’est tournée, j’ai vu sa chatte. Elle était couverte de poils noirs. Sa main a apporté du gel douche et ses grosses babines se sont légèrement écartées lorsqu’elle a glissé sur sa vulve pleine de mousse blanche épaisse. La femme a continué sa douche et moi je me suis relevé, savourant ma masturbation improvisée. Excité, j’ai voulu revoir ce sexe qui avait l’air si accueillant. Mais quand je me suis baissé, j’ai vu un œil. Je suis resté un peu abruti. Je n’avais pas réalisé que si je pouvais voir, je pouvais aussi être vu.


La femme était restée là à me fixer, et nous étions maintenant dans un certain dilemme. Ce serait à celui qui dévoilerait son visage et casserait ainsi son anonymat. J’ai décidé que ce serait moi et me suis légèrement éloigné, en souriant d’un air complice. Je l’ai vue faire de même et me suis collé à la cloison pour la voir. La surprise a été totale en découvrant une femme âgée, probablement autant que mes deux grands-mères. Mais voilà, elle n’était pas mes grand-mères et elle voulait jouer. Alors je me suis relevé et lui ai fait un véritable show. Je saisissais mes boules, tirais dessus, faisais glisser ma main sur mon gland puis m’astiquais d’une main, de l’autre et des deux à la fois. Je repensais à sa chatte que j’avais eu l’honneur de voir plus tôt et j’avais un peu l’impression d’échanger avec elle un moment intime bien que nous étions chacun dans notre cabine. Son âge n’était pas un problème pour moi. Elle n’était pas moche et elle représentait l’originalité. J’ai regardé si le spectacle lui plaisait. Elle m’a souri en voyant mon œil par le trou. Puis elle a fait un petit mouvement avec le doigt pour me dire de la rejoindre. J’ai été pris de panique à ce moment.


Si j’y allais, je passais du virtuel au réel. J’allais devoir être à la hauteur. J’allais devoir assurer. J’en étais là de mes pensées quand la douche s’est arrêtée. Il n’y avait plus un bruit. Elle a dit à voix basse "Ne t’en fais pas, ne réfléchis pas, viens. ". Alors je l’ai écoutée. J’ai mis une serviette autour de ma taille, pris mes affaires et poussé sa porte qu’elle avait entrouverte. J’ai posé mes affaires sur les siennes. Elle a dénoué ma serviette et l’a accrochée avec la sienne. Elle a pris mes deux mains et m’a attiré vers la douche qu’elle a mise en marche. Je ne savais où regarder. J’étais intimidé, un peu dépassé. D’une main sur le menton, elle m’a fait la regarder dans les yeux et elle m’a souri. D’un coup je me suis senti en sécurité, rassuré. Elle m’a caressé le cou et a posé mes mains sur ses hanches. C’était un peu comme si nous dansions.


J’ai eu envie d’aller plus loin. Nos corps se sont collés. Je l’ai embrassée doucement, sensuellement. C’était exquis, plein de tendresse. Ça a fait gonfler mon sexe qui jusqu’à présent était totalement flasque. Elle l’a senti contre sa cuisse et ça l’a amusée. Mes mains sont parties à l’aventure. J’ai peloté ses fesses, ni vraiment flasques ni vraiment fermes. J’ai aimé ça. Elle faisait comme moi, en miroir. Aussi, quand j’ai passé un doigt sur son anus, elle a fait de même et j’avoue que cela m’a troublé. Je n’avais pas encore exploré cette zone chez moi. J’ai retiré mes mains par réflexe et me suis écarté. Elle n’a pas semblé s’en émouvoir. Elle me regardait, sereine et souriante. J’ai compris que c’était la règle du jeu. Ses seins me faisaient face et je me suis laissé tenter à les toucher. Bien évidemment, elle s’est attaquée à mes tétons, les a légèrement pincés et fait rouler entre ses doigts. Ça me faisait des frissons dans tous les membres à la fois. J’ai soupiré de plaisir. J’ai tenté de reproduire les mêmes mouvements sur elle, et elle a semblé apprécier. Après quelques minutes elle s’est penchée et m’a dit au creux de l’oreille :



Sur ce, elle se retourna et se pencha en avant, me tendant son postérieur. Je posai les mains dessus, le caressai, jouai avec ses fesses en les faisant bouger. Elle ramassa le gel douche posé au sol dans un coin, et s’en mit un peu sur l’anus.


Elle poussa doucement avec ses doigts pour bien lubrifier. Elle se retourna et me dit :



Elle s’est accoudée contre le mur et m’a tendu son cul. J’étais bien dur. Cette situation m’excitait énormément. J’ai pris mon pénis de la main droite et l’ai agrippée par la hanche de la main gauche. Mon gland positionné sur son anus, j’ai savouré ce moment. Juste avant d’entrer en elle, j’étais déjà capable de la sentir sur mon sexe. Elle ondulait légèrement et même si nous ne parlions pas, j’ai vraiment eu la sensation de partager ce moment avec elle. J’ai poussé mon gland avec difficulté. J’imaginais que ce serait plus facile. Alors j’ai ressorti la moitié de mon gland, j’ai passé ma main entre ses fesses pour récupérer un peu de gel douche et me suis enduit le gland avec. Seconde tentative, je me plaçai, et je poussai doucement, mais fermement. Je la sentis tendre ses fesses en arrière pour m’aider et l’entendis gémir un « hummmmmmmmmm » quand son anus s’ouvrit et que ma queue entra à mi-longueur. Un léger mouvement de ma part en arrière, puis en avant et je m’enfonçai entièrement en elle. Je restai là quelques secondes, pour me calmer et pour profiter. Elle fit des mouvements de bassin pour bien me sentir. Elle me dit :



J’entamai de lents va-et-vient sur toute la longueur de ma bite. Je la ressortais presque entièrement à chaque fois pour admirer le spectacle.

Plus ça allait et plus elle était détendue et accueillante. Je la baisais par le cul, de plus en plus fort. Je ressortis lentement puis la pénétrai d’un coup. Je me penchais sur elle, contre son dos, et touchai ses seins qui pendaient et qui bougeaient à chaque fois que ma queue la pénétrait. L’excitation montait de plus en plus et l’image de mon pénis se déversant en elle me vint en tête. Elle, elle gémissait, elle ronronnait, pas trop fort pour ne pas ameuter tout le quartier, mais en continu. J’entamai la montée finale. Je la sodomisais de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle se tapait littéralement le cul contre mon pubis à chaque fois pour bien se l’enfoncer. Je sentis que j’allais éjaculer.


Un dernier mouvement, je m’enfonçai au plus profond de son cul et mes couilles se vidèrent en elle. Ma bite se contracta en rythme pour envoyer chaque giclée. Cet orgasme dura une éternité. Je crois bien jamais n’avoir giclé autant. Elle se calma et reprit sa respiration. Je retirai mon sexe et vis son anus béant avec mon sperme qui en sortait. Elle le resserra et se redressa. Nous nous sommes souri. Elle remit la douche en route et nous nous sommes lavés. Nous nous sommes rhabillés, en silence, mais heureux et souriants. Avant de sortir, elle me glissa à l’oreille :



Il s’est passé d’autres choses croustillantes pendant ces vacances, mais je ne les raconterai pas ici. Ce sera peut-être l’occasion d’un autre récit.

Cet épisode a été un moment hors du temps, un moment où seuls le plaisir et la rencontre ont compté ; un vrai moment d’exception.



Alistair