Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/

Les délices du naturisme - Initiation

J’ai commencé à sortir avec Cécile depuis l’hiver dernier et, pour nos premières vacances estivales ensemble, nous avons loué un petit studio à Lacanau-Océan.

Comme je connaissais l’endroit pour y avoir été auparavant, je savais que le lieu était magnifique, mais aussi que les grandes plages qui encadrent la station sont réputées pour accueillir un grand nombre de naturistes. J’en ai parlé à Cécile en la prévenant que j’avais déjà tenté l’expérience, que j’avais bien envie de recommencer et que ce serait sympa de le faire ensemble. Je m’attendais à devoir sortir des trésors de persuasion pour la rallier à cette idée, mais, à ma grande surprise, elle se laissa convaincre assez vite, à condition toutefois que nous nous mettions à l’écart et que, si cela ne lui plaisait pas, je ne devais pas insister.

Nous nous sommes donc dirigés dès le premier jour de notre séjour vers la plage de l’Alexandre. On a avancé tranquillement le long du rivage, main dans la main et pieds nus dans le sable, en profitant du soleil matinal et de la tranquillité qui régnait à cette heure de la journée. Au bout de trois bons quarts d’heure de marche, nous avons atteint notre but.

Les bâtiments de Lacanau-Océan étaient loin derrière nous, ceux de Carcan à peine à portée de vue devant nous et seule l’immensité de la plage vide nous entourait. On s’est alors éloigné du rivage pour nous installer au pied du cordon de dunes.

On a balancé nos sacs sur le sable et étalé nos serviettes, puis chacun a commencé à se déshabiller. Moi j’ai tout de suite viré T-shirt, short et maillot de bain pour me mettre tout nu tandis que Cécile retirait seulement son T-shirt et sa jupette pour rester en maillot de bain. C’était un très joli bikini bleu ciel qui la rendait terriblement sexy, mais je n’avais qu’une hâte, c’était qu’elle l’enlève complètement ! Je lui dis donc, avec une impatience à peine dissimulée et une petite crainte qu’elle ne se dégonfle :

• — Alors ? Toujours partante ?
• — Oui, oui. Ne t’inquiète pas, m’a-t-elle répondu.

Son attitude démentait légèrement son discours, car elle a passé de longues secondes à regarder tout autour de nous afin de s’assurer que nous étions bien seuls, avant de se décider à sauter le pas et d’entamer son petit strip-tease.

Elle a passé ses mains dans son dos pour dénouer le flot qui tenait le haut de son maillot de bain. Seulement retenus par le fil qui passait autour de son cou, les deux triangles de tissu se sont mis à flotter au gré du vent devant ses jolis petits seins puis, après d’ultimes coups d’œil à gauche et à droite, elle a enfin osé enlever son haut et a exposé sa jolie poitrine aux rayons du soleil.

Elle a jeté sur son sac de plage ce bout de tissu devenu superflu puis, seins nus et seulement vêtue de son slip de bain, elle s’est timidement avancée de quelques pas vers le centre de la plage pour explorer une dernière fois les environs.

Elle a fait un tour complet sur elle-même, l’œil aux aguets, pour couvrir toutes les directions à la recherche d’éventuels intrus, elle est revenue vers moi sans cesser de regarder de tous les côtés puis, en me regardant avec un petit sourire crispé, elle a glissé ses doigts dans l’élastique de sa culotte et a baissé son slip de bain en disant :

• — Bon ben, allez hop !

Son entrejambe est apparu au grand jour et Cécile s’est penchée en avant pour faire glisser sa culotte le long de ses jambes. Dans le mouvement, ses deux petits seins nus, libres de toute entrave, se sont mis à pendouiller sous elle et à gigoter joliment pendant qu’elle levait un pied puis l’autre pour retirer définitivement sa culotte. Puis, après avoir posé son slip de bain sur son sac, elle s’est redressée dans toute sa nudité pour exposer son mètre soixante et ses cinquante-cinq kilos de pure féminité au soleil. Elle a même essayé de se donner une contenance en posant les mains sur ses hanches et en me disant d’une voix pas tout à fait assurée

• — Eh ben voilà ! Ce n’est pas si terrible finalement.

Mais l’air fanfaron qu’elle se donnait n’aurait trompé personne et c’était évident qu’elle n’était pas très à l’aise. Et pourtant elle était magnifiquement belle, toute nue sur cette splendide plage absolument déserte.

Elle avait déjà eu l’occasion de prendre le soleil avant notre départ et elle était déjà bien bronzée, sauf au niveau des seins, des hanches, des fesses et du pubis qui étaient restés blancs comme du lait.

Entre ses cuisses, sa toison pubienne amenait une petite touche de couleur et contrastait joliment avec la blancheur immaculée de sa peau à cet endroit tandis que, au niveau de sa poitrine, ses deux minuscules tétons bruns paraissaient perdus au milieu des deux triangles laiteux dessinés sur chacun de ses seins. En tout cas, moi j’avais bien du mal à rester de marbre vu qu’elle était sacrément bandante !

Du coup, pour me calmer, je lui ai proposé d’aller nous baigner. Elle a un peu tiqué à l’idée de s’avancer à découvert sur la plage, mais, rassurée par les grands espaces déserts qui nous entouraient et où l’on ne voyait âme qui vive, elle s’est laissé convaincre à condition de ne pas nous éloigner trop longtemps.

On s’est dirigés côte à côte vers le front de mer, main dans la main et nus comme des vers. Je sentais qu’elle n’en menait pas large et qu’elle était un peu tendue à l’idée de traverser toute nue cet immense espace découvert, mais on a franchi sans encombre les quelques dizaines de mètres qui nous séparaient de l’océan et nous sommes rentrés tous les deux dans l’eau.

Comme l’océan était un peu frais, Cécile s’est arrêtée quand le niveau de l’eau lui est arrivé à mi-cuisses et elle m’a laissé continuer tout seul en m’attendant sur place, les bras croisés sur la poitrine, tout en guettant sans cesse les alentours.

Comme je voyais bien qu’elle était pressée de retourner près de nos affaires, je me suis contenté de faire quelques brasses rapides sans m’attarder et on a fait tranquillement le chemin du retour, toujours aussi seuls au milieu de ce magnifique paysage naturel, avec pour compagnons le soleil, le vent et l’océan.

Une fois revenus à nos sacs, Cécile s’est allongée sur sa serviette sans remettre son maillot de bain et s’est confortablement installée sur le ventre pour exposer son dos nu et son petit cul tout blanc aux chauds rayons du soleil.

Finalement, nous avons passé toute la semaine à bronzer nus sur ce petit coin de plage. Nous y avons passé d’excellents moments de calme, de tranquillité (et même de coquineries…), en étant à peine dérangés par les inévitables mateurs de service qui nous observaient parfois du haut des dunes afin de se rincer l’œil.

De temps en temps, certains descendaient sur la plage pour venir nous tourner autour ou profitaient que nous allions nous baigner pour croiser, comme par hasard, notre chemin. Ces hommes de tous âges en profitaient pour jeter quelques coups d’œil sur le corps complètement dénudé de Cécile qui s’y est très vite habitué, à tel point que ces longs regards plus ou moins discrets qui glissaient quotidiennement sur elle et se posaient de façon un peu plus appuyée sur ses seins, ses fesses ou son sexe la laissèrent très rapidement de marbre.

À leur décharge, il faut avouer que, à force de traîner toute nue sur la plage à longueur de journée, son joli corps avait vite pris une très jolie couleur ambrée et les marques blanches qu’elle avait sur sa peau en arrivant avaient rapidement disparu. De plus, ses tétons avaient joliment bruni tandis que sa toison pubienne, initialement châtain, avait légèrement blondi au contact quotidien du soleil et de l’eau de mer.

Bref, elle repartit de Lacanau en étant encore plus sexy qu’à notre arrivée !