n° 17631 | Fiche technique | 16974 caractères | 16974Temps de lecture estimé : 10 mn | 01/11/16 |
Résumé: Que je prenne le temps de vous narrer l'un de mes meilleurs souvenirs de voyeur à la petite semaine, et surtout de rencontre avec un couple dont la dame était un tantinet coquine. Installez-vous, je vous conte ceci comme si vous y étiez. | ||||
Critères: fhh inconnu magasin voir exhib fellation pénétratio confession -voyeuract | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Petite histoire inspirée de divers témoignages croisés sur le web.
Que je prenne le temps de vous narrer l’un de mes meilleurs souvenirs de voyeur à la petite semaine, et surtout de rencontre avec un couple dont la dame était un tantinet coquine. Installez-vous, je vous conte ceci comme si vous y étiez.
Alors que je remplis mon panier dans une grande surface (pas de publicité indue, sauf moyennant un petit chèque pour mes bonnes œuvres), je suis en train de mater en douce une charmante femme, une touriste peut-être, habillée un peu court, ce qui n’est pas déplaisant. Mon petit plaisir habituel de célibataire endurci, et puis ici, dans la Manche, les petits bonheurs sont parfois rares.
Je la regarde mieux, une belle femme ayant la quarantaine, ou la cinquantaine fringante, perchée sur des talons assez hauts dont la sonorité sur les dalles du carrelage avait attiré mon oreille puis mon œil, des talons aiguilles, un détail que j’apprécie beaucoup. Elle porte un chemisier blanc, ce qui, avec certains effets de lumière, offre une certaine translucidité bienvenue. Plus bas, une jupe assez courte, comme vous l’auriez deviné, puisque j’ai parlé auparavant d’habillage court, et encore plus bas, des bas nylon à couture. Oui, des bas nylon à couture, je suis affirmatif, je sais reconnaître certains détails, car les vrais bas font un certain type de petits plis aux genoux ou aux chevilles, c’est l’expérience qui parle.
Imaginez le tableau, fort charmant au demeurant. Du coup, délaissant mes courses devenues un peu insipides, je m’intéresse illico à cette charmante créature, que je me fais un plaisir de suivre, en tout bien tout honneur, dans le magasin, juste pour jouir du beau spectacle qu’elle m’offre. Durant ses pérégrinations, ci et là, elle se penche pour mieux attraper certains produits, ce qui me permet d’admirer ses fines gambettes, et rêver aussi à ce qu’il y a plus haut. Au début, je me suis posé des questions, surtout une : elle le fait exprès ou pas ? Mais quand on est un voyeur comme moi, on a souvent tendance à se laisser à croire que la plupart des femmes ont un côté exhib. Alors que je sais pertinemment, de par ma longue expérience en la matière, que les exhibitionnistes féminines sont, au final, assez rares. Hélas…
Alors que nous sommes à présent seuls dans une allée, elle se penche à nouveau, alors que je suis idéalement dans l’axe, ce qui me permet de voir les bandes noires de ses bas sous sa courte jupe. Exprès ou pas, c’est déjà la fête dans mon pantalon ! J’ai un mal de chien à décoller mon regard de cette vision idyllique !
Et donc disais-je, ce rêve éveillé se répète plusieurs fois, car elle a la manie de choisir les produits plutôt en bas des rayonnages. Et de plus en plus bas. Là, je dois admettre que le hasard ne doit plus être de la partie et que cette belle dame s’amuse avec moi, ce dont je ne me plains pas du tout, ce genre d’aventure est si rare de nos jours !
Alors, je m’approche d’elle, frôlant intentionnellement sa jupe, pour la dépasser de quelques mètres dans le rayon où nous sommes. Elle ne dit rien du tout, faisant comme si de rien n’était. Puis elle passe à son tour devant moi, un peu trop près, selon les règles de la bienséance, son parfum m’enveloppe. Le message est clair.
Alors, je recommence mon petit manège, frôlant à nouveau sa jupe alors qu’elle est penchée pour saisir un article décidément bien bas. Même topo, elle repasse devant moi, mais cette fois-ci, tout en m’adressant un discret sourire.
Après ce feu vert implicite, nous jouons au chat et la souris. Plusieurs fois, je m’offre le luxe de la frôler, puis j’ose caresser furtivement et délicatement les fesses rebondies qui se nichent derrière un tissu incongru. Et tout ceci, comme si de rien n’était.
Après ma dernière caresse un peu plus appuyée que la précédente, elle m’adresse un nouveau sourire puis détourne un peu la tête. Je suis son regard. C’est alors que je réalise que nous ne sommes pas seuls dans notre petit jeu, mais qu’un autre homme semble s’être invité. Un autre voyeur, peut-être…
Ses talons claquant toujours sur les dalles, elle s’approche de lui, puis le prend carrément par le bras. Le mari ou le compagnon, sans doute. Tant pis. À la fois ravi de cette petite séance de cache-cache et déçu que ce soit fini, alors que je m’apprête à retourner à mes courses, l’homme m’adresse un signe de la tête tandis que ma belle exhibitionniste lui murmure quelque chose. Puis elle tourne la tête vers moi, et son regard en dit long. C’est alors que j’ai compris qu’elle dévoilait ses charmes intentionnellement, avec l’accord de son homme, afin d’attirer une mouche dans sa toile de nylon… Mission parfaitement réussie !
Nous continuons notre petit jeu muet, mais cette fois sous l’œil intéressé du mari, elle qui se penche, moi qui mate ce qu’elle m’offre. Je comprends assez vite qu’il serait bon que je m’enhardisse un peu plus, sans toutefois franchir une certaine limite. Un jeu d’équilibre.
Alors qu’elle est à nouveau penchée, je m’accroupis pas loin d’elle pour saisir un bocal, mais surtout pour avoir une magnifique vue sous sa jupe. J’y découvre deux cuisses blanches bien contrastées par la bande noire des bas, mais surtout une culotte tout aussi noire, mais fendue !
Avant que je ne revienne de ma surprise, elle est déjà au bout du rayon. Nous recommençons, elle penchée, moi accroupi, je découvre alors avec ravissement des lèvres intimes parfaitement glabres par la fente du tissu. Mignonne fente de chair entraperçue entre la fente d’un tissu sombre, étonnant contraste. Vision ô combien paradisiaque, l’un des summums de ma carrière de voyeur ! Un énorme coup de chaud et une bandaison d’enfer !
Mais quand on est au sommet d’une montagne, il faut en redescendre. Mon couple se dirige maintenant vers les caisses. Malgré mon panier incomplet, je passe aussi, puis je les suis à distance respectueuse. Dans le hall, de temps à autre, l’homme regarde derrière lui. Sur le parking, une petite brise fait voler sa jupe, et découvrir à nouveau ses belles jambes aguichantes. Rêveur, je songe alors à ce que j’ai découvert par-dessous et plus haut…
Après un dernier sourire de mon inconnue, leur voiture démarre. Mais elle ne semble pas pressée de partir. Je cours à la mienne, et je les suis à travers la zone commerciale. Pas bien longtemps, puis que leur voiture s’arrête un peu plus loin, dans une partie nettement plus déserte. Je me gare quelques mètres derrière eux. Je n’ai pas longtemps à attendre, le mari sort de la voiture, appareil photo en main. Il me fait signe d’aller me poster sur le côté, pas trop loin de la portière passager. J’obéis.
Celle-ci s’ouvre sur sa femme, assise à présent au bord du siège, jambes toujours gainées de leurs bas noirs, mais largement écartées sur une absence totale de jupe et de culotte !
Il la mitraille, debout, incliné, accroupi, ne perdant aucune miette de ses minauderies face à l’objectif. Moi, debout derrière lui, à deux mètres maximum, je n’en perds pas non plus une seule miette, bandant comme un damné, d’autant que l’homme se décale, me laissant une vue imprenable entre des cuisses accueillantes et surtout un mignon abricot glabre. Il y a des spectacles qui vous marquent !
N’y tenant plus, je fais prendre l’air à ma queue qui est raide comme un gourdin et à me caresser. Mon exciteuse le remarque, elle fait signe à son homme de s’approcher. Celui obéit, et dès qu’il est à sa portée, elle ouvre lentement, posément sa braguette pour en extirper un mandrin de fière allure qu’elle met aussitôt en bouche, tout en me regardant fixement. Elle le suce longuement, suavement, sensuellement. Ce qui décuple mon envie !
Quelques instants plus tard, alors que j’étais doucement arrivé à ma limite, le mari me fait signe de m’approcher. Je me demande bien ce qu’il a en tête. J’ose espérer que c’est pour profiter des bonnes dispositions de sa femme, mais je n’en suis pas sûr. À peine, suis-je arrivé près de ma charmante inconnue, qu’elle s’empare avec un naturel désarmant de ma bite toujours bien raide et dressée, et après quelques caresses, sous l’objectif de son mari, elle pose ses lèvres sur mon mâle engin. J’en frémis d’aise, rassemblant toute ma concentration pour ne pas éjaculer tout de suite !
Néanmoins, j’en profite pour lui peloter les seins par-dessus son chemisier. Elle a la poitrine un peu languissante, ce qui n’est pas désagréable. J’adore tripatouiller les chairs un peu molles, il y a nettement plus de choses à faire avec cette élasticité légèrement pâteuse qu’avec une poitrine trop ferme, sans parler du plaisir subtil de sentir ses doigts s’enfoncer doucement dedans, comme dans un bon gâteau.
Durant ce temps, elle me suce langoureusement, et croyez-moi, il est flagrant qu’elle avait une certaine expérience de la bite des hommes. C’est trop bon, trop suave, trop moelleux ! Je baigne dans une douce quiétude, ma queue entre ses lèvres et mes mains en pleine prise de seins mous et doux. Un premier spasme survient, incontrôlable, et à mon grand désespoir, je glisse sur la grande pente, ne sachant plus à quoi à me raccrocher. Je jouis sans retenue, inondant sa bouche.
Après avoir faiblement récupéré, afin de ne pas passer pour un goujat de la pire espèce, je m’excuse auprès de ma belle suceuse :
Elle ne dit rien, me souriant, ses lèvres encore luisantes de mon sperme. Son mari me place l’appareil photo dans les mains ; je comprends que c’est à mon tour de jouer les photographes. Et quelque chose me dit que sa femme va pouvoir profiter de l’évidente bonne forme de son mari. D’une façon impérative, dotée d’une pointe d’accent, il lui demande de se mettre à quatre pattes sur le siège de la voiture, me laissant admirer un adorable cul tout nu bordé plus bas d’un abricot de la plus belle espèce !
Puis il la prend en levrette, tandis que je mitraille ce couple en train de baiser sous mon nez. Il la pistonne à coups de grands mouvements de bassin, claquant son bas-ventre sur ses fesses. Elle gémit doucement sous ses coups de boutoir. J’en profite pour prendre quelques gros plans de leurs sexes humides et encastrés. Puis à son tour, il jouit, au plus profond, bien emboîté en elle, comme soudé. Léonin, il se secoue comme pour expulser ses dernières perles de sperme.
Puis il retire, son sexe déjà mollissant, libérant une chatte luisante. Peu après, du sperme s’en échappe lentement. Mû par une impulsion subite, j’ose caresser ses lèvres dégoulinantes. Elle frémit d’aise. Vivement intéressé, son homme me fait signe de continuer. Incité, je m’enhardis, et pour toute réponse, sa femme écarte délibérément les cuisses afin de me faciliter la tâche.
Alors, y allant de bon cœur, je commence à la branler doucement, plongeant petit à petit quelques doigts en elle, tandis que mon index câline son clitoris détrempé, puis j’accélère sans pitié le rythme. Je veux la voir jouir sous mes doigts, la chatte toujours remplie du sperme de son mari, sa bouche ayant encore des traces du mien. Elle se tortille sous ma douce torture, haletante, gémissante, palpitante, sous l’œil amusé de son mari. Mes doigts dansent dans sa fente, virevoltant sans relâche avec grâce. Puis, se raidissant, elle cède, jouissant dans plein de petits cris étranges, désarticulés, incongrus.
Puis haletante, épuisée, avachie, elle s’affale impudiquement sur les sièges, peu soucieuse de l’étrange position qu’elle offre à mes yeux, la chatte luisante encore plus en évidence. Malgré ce beau spectacle salace et un tantinet vulgaire que je contemple sans retenue, je me trouve un peu embêté par mes doigts empoissés de ce mélange de cyprine et de sperme. Amusé par mon embarras, l’homme me dit de m’essuyer carrément sur les fesses bien évidence de sa femme. J’hésite un peu, puis je m’exécute ; elle ne bronche pas, toujours perdue dans les spasmes de sa jouissance.
Puis, quelques instants plus tard, elle s’essuie, puis elle se rhabille devant moi, sans aucune honte, sans aucune pudeur, le tout sous l’objectif de son mari. Et voilà, c’est fini, il faut se séparer. Étant d’une nature polie, je les remercie chaleureusement pour ce bon moment improvisé, ils me remercient eux aussi, toujours dans leur accent. Suite à ma question, c’est celui de l’Est, me précise l’homme. À ma grande surprise, sa femme, dont j’ignore toujours le prénom, se penche sur moi, et dépose un baiser sur ma joue :
Elle sourit, elle ouvre complaisamment son chemisier. Je plonge mon nez avec délectation dans son corsage, déposant deux baisers bruyants sur ses deux seins. Un vrai délice que ces masses toutes tendres délicatement molles et chaudes !
Puis quand, heureux, je relève la tête, chemisier toujours largement ouvert, elle s’adresse à son homme, lui disant qu’il faut y aller, que la route est longue. Ce qu’ils font aussitôt. Je regarde leur voiture s’éloigner. Puis quand elle n’est plus qu’un simple point au lointain, je me décide à revenir à mon véhicule. Je sais que je ne les reverrai plus, ils étaient seulement de passage par ici, et maintenant, ils retournent chez eux, loin d’ici, loin de ma Manche natale. Je songe alors à la chanson de Michel Fugain, C’est un beau roman, c’est une belle histoire.
Indubitable mon meilleur souvenir, hélas…