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Temps de lecture estimé : 13 mn
09/11/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Adélaïde présente Paul à ses amies.
Critères:  fh fffh hsoumis fdomine exhib pénétratio hgode fouetfesse -sm
Auteur : Anacréon      Envoi mini-message

Série : Le manoir

Chapitre 02 / 03
Les copines d'Adélaïde

Résumé de l’épisode précédent : « Une rencontre singulière »

Paul – jeune garçon timide, étudiant à Montpellier – est initié aux plaisirs de la soumission par Adélaïde.



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Après cette expérience « à la Candide », Adélaïde et moi avions poursuivi notre relation de façon parfaitement conventionnelle. On se réunissait ensemble pour réviser nos cours, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre, faire les travaux que nous demandaient nos enseignants respectifs, sortir avec des amis. Nous faisions l’amour très souvent, de façon passionnée et sans inhibitions, mais sans que le rapport maître-esclave soit remis au goût du jour, bien que nous abordions le sujet de temps à autre. Un samedi après-midi de printemps, alors que je furetais dans les rayons d’une librairie universitaire, je reçus un SMS sur mon portable :


« Ça te brancherait une « séance » chez moi ce soir ? Moi, j’en ai très envie. Je t’aime. Ad. »



Je lui réponds de suite, les mains tremblantes :


« Oui. Je t’aime aussi. Paul. »


Suit un autre message d’Adélaïde :


« Je te réserve une surprise. »


Le soir arrive, je sonne chez Adélaïde. Elle m’ouvre la porte de l’immeuble par l’interphone. Je rentre chez elle, sa porte est ouverte. Adélaïde est assise sur le canapé.



Je referme la porte et je m’avance vers Adélaïde pour l’embrasser. Elle m’arrête d’un geste de la main.



Je me déshabille entièrement et me retrouve nu devant elle, déjà en érection, car impatient des humiliations qui m’attendent. Elle me commande alors de me mettre à genoux devant elle et de lui embrasser les pieds. Je lui embrasse dévotement les pieds, puis j’entreprends de les lécher. Elle me laisse faire en silence, me tendant son pied droit, puis son pied gauche.



Je pars à quatre pattes vers le frigo chercher la bière d’Adélaïde, puis je reviens debout. N’ayant pas oublié les bonnes manières qu’elle m’a inculquées lors de la première séance, je m’agenouille devant elle et lui tends sa boisson. Lorsqu’elle la prend, je me prosterne, embrasse ses pieds en la remerciant humblement.



Elle pose ses pieds à plat sur mon ventre. Je l’entends boire sa bière, allumer une cigarette, jouer avec son téléphone tandis que je reste là, couché en silence. De temps en temps, elle me caresse distraitement le sexe et les couilles avec ses pieds. Dussé-je passer toute la soirée comme cela, je ne m’en estimerais pas moins heureux. Soudain, le téléphone d’Adélaïde sonne.



Mais que se passe-t-il ? Elle fait venir des copines alors que nous sommes en séance ? Adélaïde se lève pour aller ouvrir à l’interphone.



Elle ouvre la porte, puis j’entends une cascade de rires féminins dans l’escalier.



Elles entrent toutes les deux. L’une d’entre elles est Céline, une jolie blonde en maîtrise d’Histoire que je connais parce qu’elle donne des cours de méthodologie aux première année. J’ignorais qu’elle fût amie avec Adélaïde. Oh, la honte, et moi tout nu devant elle, à genoux au milieu de la pièce. La deuxième est une fille aux cheveux châtains, que j’ai déjà croisée dans les couloirs de la section philosophie en allant chercher Adélaïde en cours. Coralie, si mes souvenirs sont bons. Elles embrassent toutes les deux Adélaïde sur le pas de la porte.



Puis elles entrent.



Malgré la honte, mon érection est plus dure que jamais. Adélaïde me commande de me mettre debout.



Je me retourne, les joues en feu. Adélaïde me caresse les fesses.



Et toutes trois se mettent à rire. Et d’ajouter :



Nouvel éclat de rire général, puis Céline commente :



Je m’exécute et fais quelques tours à quatre pattes dans le séjour. Chacune y va de son petit compliment sur mes fesses, sur ma démarche, sur mes belles couilles qui se dandinent à chacun de mes pas. Je sens le regard de mes maîtresses sur moi et à ce moment-là, je comprends ce que voulait dire Adélaïde quand elle me rappelait qu’un esclave était toujours fier de montrer ses couilles à sa maîtresse. À cet instant, je me sens parfaitement bien avec ma nudité devant ces trois jeunes filles avides de m’humilier.


Puis au bout de quelques instants, Adélaïde me demande de me mettre debout pour l’inspection. Je me lève, puis elle me dirige vers la grande table, me demande de me pencher et d’appuyer mes mains dessus. Elle prie ensuite Céline de procéder à l’inspection pendant que toutes regardent. Celle-ci écarte mes fesses, dévoilant mon anus.



Elles rient.

Céline écarte encore plus mes fesses. Je me penche davantage.



Je m’empresse de lui obéir, puis Adélaïde propose à ses deux invitées d’enlever leurs chaussures avant de s’installer sur le canapé.



Je cours à quatre pattes vers le fauteuil où s’est assise Coralie et je me place à genoux devant elle.



Je délace ses chaussures, les enlève, puis lui enlève ses chaussettes. Ensuite, je prends son pied droit dans mes mains et le couvre de baisers, sur la plante des pieds, sur les orteils, sur le dessus, puis sur les chevilles.



Aussitôt, je me retourne pour me mettre en position de soumission. Elle m’octroie une longue caresse sur les couilles tandis que je frissonne de plaisir. Puis c’est au tour de Céline.


Elles s’assoient toutes les trois sur le canapé tandis que je leur sers à boire de la façon dont je l’ai appris. Chacune d’entre elles m’octroie une récompense une fois que je l’ai servie dûment. Puis pendant qu’elles boivent et discutent, je suis allongé à plat-ventre entre la table basse et le canapé, leur servant de confortable repose-pied. Céline a les pieds sur mon dos, Adélaïde sur mes fesses et Coralie sur mes mollets. De temps en temps, on me fait tirer quelques bouffées du joint qui circule.


Une fois qu’elles ont fini leur verre, Adélaïde décrète qu’il leur faut un peu d’exercice avant d’en reprendre un deuxième. D’après elles, une séance de fessées s’impose.



Coralie s’installe sur le fauteuil pendant que je me tiens à quatre pattes au milieu du séjour. Elle tape sur sa cuisse, signal du départ. Je marche à quatre pattes jusqu’au fauteuil et j’y grimpe, jambes ballantes du côté gauche et ma tête reposant sur l’accoudoir droit. Mes fesses sont en face d’elle. Elle me caresse, puis le premier coup part :



Puis Céline et Adélaïde comptent : « 1, 2, 3, 4, … » jusqu’à dix. Je descends du canapé, puis je lui embrasse les pieds avec ferveur. C’est ensuite au tour de Céline de m’administrer la raclée. Elle frappe dur et mes remerciements sont empreints de reconnaissance. Quand je me retrouve enfin sur les genoux d’Adélaïde pour recevoir ma punition, mes fesses sont en feu. Elle me les caresse doucement, puis dépose un baiser. Et après le baiser, s’ensuit le déluge de coups, plus vigoureux que jamais. Mon érection est énorme, j’ai l’impression que mon sexe va exploser. Après que j’aie embrassé ses pieds, elle ordonne :



Je m’empresse de leur servir la deuxième tournée de vodka-Red Bull. Après les cérémonies d’usage où mes couilles ont reçu les caresses que mes maîtresses ont jugé qu’elles méritaient, Céline propose une partie de jeu de balle.



Céline sort la balle et une longue tige métallique terminée par une petite main sculptée dans un bois clair. Elle tend la balle à Adélaïde puis m’ordonne de me placer à quatre pattes à sa droite devant le canapé. Une fois que nous sommes prêts, Adélaïde lance la balle à travers la pièce. Celle-ci retombe juste devant le frigo. Je m’élance et je cours, tandis que Céline donne des petits coups précis sur mes fesses pour me faire avancer. J’attrape rapidement la balle tandis qu’elle continue à asséner des coups sur mes fesses, je fais demi-tour et m’élance aux pieds de ma maîtresse, toujours poursuivi par les coups de la badine de Céline. J’adore ! Adélaïde avait raison, c’est beaucoup plus amusant quand plusieurs filles jouent. Je dépose la balle aux pieds d’Adélaïde et je les lui embrasse avec ferveur. Je reçois ma récompense. Après, c’est au tour d’Adélaïde de me guider ; c’est Coralie qui lance. Je la rattrape peu après, je reviens, je fais mes hommages respectueux aux pieds de Coralie, puis c’est elle qui guide alors que Céline lance. La balle se perd en dessous d’un meuble et Coralie me punit sévèrement : quinze gros coups sur mes fesses. Elle est ravie. Moi aussi.


Les maîtresses terminent leur verre. Céline se roule un joint tandis qu’Adélaïde s’absente quelques instants. Elle revient avec le gros phallus en plastique dont elle m’avait honoré la dernière fois et un pot de crème lubrifiante.



Céline et Coralie applaudissent. Je me tiens à genoux devant la table basse, les mains derrière le dos. Adélaïde se place à côté de moi puis me demande de me lever. J’obéis. Elle ordonne de la déshabiller entièrement. J’enlève donc son tee-shirt, puis sa robe en jean. Elle ne porte désormais sur elle plus qu’un soutien-gorge en dentelle noire et un string de la même couleur.



Je le dégrafe délicatement, je passe devant elle pour le lui enlever. Puis elle tourne le dos au canapé où sont assises les deux autres maîtresses et me demande de m’agenouiller derrière elle pour lui enlever son string. Je m’agenouille et je descends son string le long de ses jambes. Elle lève un pied, puis l’autre, pour que je puisse l’ôter. Je dépose le tout sur le fauteuil.



Je me place derrière Adélaïde, toujours à genoux, et je contemple amoureusement son merveilleux cul rebondi. Ensuite, je couvre ses fesses de fervents baisers devant le regard admirateur de Céline et Coralie.



Dos au canapé, je m’exécute. Sans perdre de temps, Adélaïde couvre mon anus de crème, puis enfonce un doigt pour bien la faire pénétrer. Ensuite, elle présente le phallus devant ma bouche et m’ordonne de le sucer. Je le fais.



C’était la première fois que j’entendais parler du manoir. Je m’en faisais une idée médiévale, de hautes salles où une aristocratie décadente se prélassait, des cachots humides et des punitions raffinées pour les esclaves récalcitrants. Je frémis. Mais dès lors, je sentis le gros gode à l’entrée de mon anus et me cambrai davantage pour le recevoir.



Je gémis. Elle me l’enfonce plus, puis repart en arrière. Et encore.



Adélaïde poursuit ses mouvements, de plus en plus exigeante, de plus en plus frénétique, tandis que je crie des « Oh, oui, Maîtresse. » et des « Encore, encore ! », ainsi que des remerciements. Bientôt, je ne peux plus m’exprimer, je n’ai plus aucune retenue. Mes gémissements se font de plus en plus forts, de plus en plus passionnés. Du coup, Adélaïde ralentit la cadence.



Ni une ni deux, Coralie fait ce qu’on lui demande. Adélaïde m’ordonne de lui donner du plaisir avec ma langue tandis qu’elle continue à m’enfoncer le gode avec des mouvements rythmiques et doux. Je pose mes lèvres sur le sexe de Coralie, merveilleusement ouvert devant mes yeux. Sa toison pubienne est de la même couleur que ses cheveux, poils châtains tirant sur le roux, très abondante, montant presque jusqu’au nombril. J’ouvre grand la bouche et j’étends la langue au maximum pour embrasser son sexe le plus possible et je donne de grands, de larges coups de langue de bas en haut à ce bijou qui m’est offert.


Coralie tarde cependant à jouir, je la soupçonne de retarder son orgasme pour prolonger le plus possible le plaisir. Malgré cela, le tour de Céline vient enfin. C’est un autre genre de merveille qui est offert à mes sens. Une fente longue et étroite, entièrement épilée, si ce n’est une petite touffe de poils blonds au-dessus du mont de Vénus. Je m’y prends d’une autre façon, dardant des coups de langue délicats ici et là, m’attardant de chaque côté sur le creux entre les grandes et les petites lèvres puis abandonnant ma langue profondément dans son vagin. Un petit coup de la pointe de la langue sur le clitoris et je redescends plus bas ; ensuite je reviens le taquiner. La maîtresse finit par céder elle aussi à l’esclave dans un crescendo de gémissements aigus. Puis Adélaïde augmente la cadence et je sens des spasmes de plaisir qui irradient de mon anus vers mon sexe. Enfin, elle retire l’objet de mon intérieur et je m’effondre sur la moquette, anéanti de plaisir, ce qui ne m’empêche pas de déposer furtivement un dernier baiser sur la fente entrebâillée de Céline.



Je me mets à genoux devant les filles, je leur embrasse les pieds et je monte dans la chambre d’Adélaïde, je me couche sur le lit dans la position indiquée puis je l’attends patiemment.


J’entends Adélaïde qui prend congé de ses copines, puis je sens qu’elle monte l’échelle qui mène à sa chambre. Elle marche derrière moi, puis s’exclame :



Elle m’envoie un coup sur la fesse gauche. Je tressaille.



Je l’enlace puis je blottis ma tête entre ses seins. Je suce ses tétons avec délice, puis elle se penche et commence à donner de grands coups de langue sur mes couilles. Ensuite, elle décalotte mon gland et commence à le lécher tout autour. Elle s’arrête puis se met à quatre pattes sur le lit en faisant des mouvements du bassin.



Je m’approche et je donne un grand coup de langue sur son sexe béant, je titille son clitoris du bout de la langue puis je m’attarde à lécher son anus. Elle gémit. Je me redresse alors, je caresse ses fesses puis je la pénètre profondément. J’agrippe ses hanches et je la pilonne avec furie tout en criant à chaque coup de reins :



Elle crie de plaisir puis, au bout de quelques minutes, nous nous effondrons tous les deux dans une explosion d’extase.