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n° 17660Fiche technique20326 caractères20326
Temps de lecture estimé : 13 mn
19/11/16
Résumé:  Une soirée au sauna se déroule d'une manière plutôt inattendue pour Nicolas, et il découvre quelque chose de nouveau...
Critères:  hhh inconnu sauna fellation anulingus préservati hdanus hsodo
Auteur : Arobase64  (50 ans à la sexualité débridée)            Envoi mini-message
Pris pour la première fois

Après avoir dîné en ville il fait encore bon et je me promène dans les rues pour profiter de la brise d’été qui souffle. Passant par les petites ruelles je vois tout à coup l’enseigne du sauna qu’il m’arrive de fréquenter de temps à autre. En repensant à certaines soirées que j’ai pu y passer, je ressens un picotement dans le bas-ventre et me dis qu’après tout je n’ai rien prévu de particulier et que demain je ne bosse pas… donc tout naturellement je me dirige vers la porte du sauna.


Après être passé au vestiaire, je rentre dans le dédale des couloirs et salles plus ou moins obscures. J’aime l’ambiance de ce sauna qui met en éveil tous mes sens, même s’il n’y a pas grand monde. Après tout nous sommes dans une ville de province relativement modeste ; je verrai bien ce que me réservera la soirée.


Mon premier arrêt est pour passer sous la douche et il y a déjà un couple sous l’une des trois douches, ce qui est (agréablement !) surprenant. Madame est en train de savonner le sexe de monsieur qui manifestement semble apprécier au plus haut point. Ils ont la cinquantaine bien conservée et la main de madame glisse sur la chair tendue de son homme tout en l’embrassant langoureusement. Cette vue me fait de l’effet et je sens mon sexe poindre sous la serviette que j’enlève pour pénétrer sous la douche à côté d’eux.


Je ne tente aucune approche mais je les mate tout en me branlant doucement sous le jet tiède de la douche. J’empoigne mon sexe en cadence avec les mouvements de madame tout en me massant la poitrine et en pinçant occasionnellement mes tétons, ce qui a le don de m’exciter encore davantage. Madame ne tarde pas à apercevoir mon manège et, tout en continuant ses manipulations, me fait signe de m’approcher. Je ne me fais pas prier, voilà une soirée qui commence vraiment bien !


Je m’avance donc et me place à côté de l’homme qui garde les yeux fermés, tout entier à savourer le traitement de madame. Cette dernière se met alors à genoux et prend son homme en bouche pour lui prodiguer une bonne pipe bien profonde tout en prenant mon sexe dans sa main libre pour me branler délicatement. Je me cambre en me massant les tétons et me concentre pour ne surtout pas jouir ; je me dis que la soirée ne fait que commencer !


Elle dégage ses lèvres du sexe tendu de son homme et, agrippant mon poignet, m’engage à le branler à mon tour, ce dont je ne me prive pas. Le sexe est assez épais et le gars a vraiment une belle érection ; je ne peux m’empêcher d’apprécier cet engin. Ce n’est pas la première fois que j’ai un sexe d’homme dans la main et je m’applique à bien le traire tout en laissant madame continuer sur mon chibre, lui aussi bien raide maintenant. Sous la direction des mains de madame, je me déplace pour me retrouver en face de l’homme que je branle maintenant à deux mains, l’une sur sa tige et l’autre en train de masser ses bourses. Il n’est pas rasé mais il n’a pas trop de poils. Du coup ça ne me dérange pas, même si je préfère les sexes rasés, je le suis moi-même.


Madame se glisse derrière moi et, tout en continuant de m’astiquer la tige, passe son autre main sur mes fesses pour les palper et masser en rythme. Ses doigts glissent sur ma raie et, petit à petit, elle s’approche de mon anus qui palpite sous ses caresses ; je lui fais comprendre que je ne suis pas insensible à ce genre d’attention, bien au contraire.


Elle semble recevoir le message car très rapidement elle pousse sur ma rondelle avec ce que je devine être son majeur. Sans arrêter mes propres caresses sur le sexe de l’homme, je me cambre davantage pour lui faciliter la progression et je ne tarde pas à sentir son doigt me fouiller, d’abord à l’entrée de mon trou puis de plus en plus profondément. Tout le savon que nous avons sur nos corps a rendu cette pénétration totalement indolore et je ne ressens que du plaisir à être ainsi possédé.


Madame est très experte car je sens son doigt buter contre ma prostate et cela envoie des petites décharges de douleur/plaisir jusqu’au bout de ma verge tendue et toujours emprisonnée dans cette main qui maintenant me serre bien juste à la base de la queue, augmentant encore mon érection. Le souffle chaud de madame se fait sentir sur mon cou et elle me susurre à l’oreille :



L’homme, qui a maintenant les yeux grands ouverts, se recule un peu en appuyant des deux mains sur mes épaules, me forçant à baisser mon visage à la rencontre de son sexe qui tressaute devant moi. Docilement, j’ouvre la bouche et mes lèvres viennent entourer cette tige de chair que j’avale avec plaisir et concentration. Ainsi penché en avant, j’offre en même temps mon cul à madame qui ne se prive de rien. Je sens une de ses mains m’écarter les fesses alors qu’elle me branle le trou de balle avec deux doigts. La bouche remplie, j’ai un peu de mal à émettre le moindre son mais je gémis néanmoins de plaisir, tout en m’activant pour bien pomper le gars. Par moments je lâche son sexe pour passer ma langue sur son gland et bien le mouiller. Je peux sentir qu’il y a déjà quelques sécrétions qui s’échappent de son méat ; c’est clair, il est excité et le traitement lui convient.


De mon côté je suis également aux anges et commence même à bouger mon cul en rythme avec les doigts de madame, allant m’empaler presque tout seul sur ses deux doigts inquisiteurs. Même si ma queue se trouve délaissée, je suis de plus en plus excité et m’applique à bien aspirer le sexe qui envahit ma bouche ; je me sens comme une vraie salope et j’aime ça !


C’est alors que, presque simultanément, monsieur me repousse et madame cesse de me doigter. Je manque de m’effondrer par terre. Un peu étourdi, je me redresse et monsieur me dit :



Sur ces paroles, tous les deux quittent les douches et me laissent seul. Me remettant doucement de toute l’excitation accumulée, je décide de prendre une bonne douche afin de retrouver mes esprits. Malgré la terrible envie de me branler je me contente donc de cette douche que je règle volontairement assez froide pour faire baisser la tension.


C’est imparable, mon sexe devient flasque au contact de l’eau. Prenant plein de savon liquide dans la main, j’en profite pour bien me laver le cul et me doigte avec application en repensant aux gestes de madame. Une fois sommairement séché, une serviette autour des reins, je décide d’aller dans le sauna.


En longeant le couloir qui y mène, je peux constater que seule une ou deux des pièces individuelles sont occupées et qu’il y a surtout des hommes ce soir. Par contre, la cabine de sauna, elle, est vide. J’entre néanmoins et m’assieds sur la banquette supérieure, les pieds sur celle d’en dessous. Je me positionne face à la porte afin que ma présence puisse se voir depuis l’extérieur, on ne sait jamais.


Je dénoue ma serviette, qui tombe de part et d’autre, et m’abandonne à la chaleur du sauna tout en laissant vagabonder mes pensées sur ce début de soirée et d’autres rencontres passées. J’aime assez être ainsi, en train de me laisser aller à la rêverie, tout en sachant que, d’un coup, je peux basculer dans du sexe hard… ou pas du tout. J’ignore combien de temps je suis resté les yeux fermés mais, ce que je sais, c’est que je transpire abondamment lorsque je sens une bouche se refermer sur mon sexe.


Ouvrant les yeux en sursautant, je vois un gars d’à peu près mon âge, agenouillé sur la banquette du bas, en train de me pomper et me lécher avec application. Le gars est plutôt doué car presque instantanément il me fait bander à fond. Je prends sa tête à deux mains pour l’accompagner dans ses mouvements. Il alterne les passages de gorge profonde et des moments d’une douceur incroyable, saisissant ma queue pour la lécher de la base de mes bourses jusqu’au bout du gland avant de la reprendre en bouche. Deux autres types entrent dans le sauna et se touchent tout en nous regardant. Je me laisse aller à la caresse buccale qui me comble et lance mes mains vers les deux chibres tendus pour accompagner les gars dans leurs branles respectifs.


Comme j’aime cette situation, pleine de sexe, de baise, de chaleur et d’excitation ! Aucun mot n’est échangé ; nous sommes tous en train de nous concentrer sur nos sens et nos corps dégoulinants, que nous nous massons avec volupté. Et pour moi, cerise sur le gâteau, cette bouche merveilleuse me pompe avec dextérité et m’emmène doucement vers la jouissance. Je peux sentir ma sève monter en moi. Mon suceur aussi, car il ne fait aucunement mine de vouloir ralentir ou arrêter, il me pompe avec la ferme intention de me faire jouir et j’ai beaucoup de mal à ne pas m’abandonner, à ne pas décharger tout mon foutre au fond de sa gorge. Mais est-il d’accord ? Peut-être ne se rend-il pas compte à quel point je suis proche de l’explosion ? Si j’aime le goût du foutre, ce n’est peut-être pas son cas !


Alors je lâche les deux queues et reprends la tête du garçon entre mes mains afin de lui faire comprendre qu’il faut ralentir les choses, laisser la pression retomber un peu et ne pas passer tout de suite le point de non-retour. Il comprend parfaitement car il ralentit immédiatement la cadence de sa fellation et, aidé de sa main enserrant ma verge il me fait revenir à la réalité. Ma queue est prise de soubresauts mais j’arrive à me contrôler et ne pas juter.



Il se relève, sa queue pointe sous sa serviette, il est manifestement bien chaud, dans tous les sens du terme…


J’acquiesce et nous sortons tous les deux du sauna pour nous diriger vers une des salles. Le gars semble hésiter mais finalement je le vois entrer dans une pièce où se trouve déjà un couple d’hommes ; l’un est sur le ventre avec le cul relevé et l’autre est en train de le pilonner sauvagement. Avec les miroirs qui entourent le grand matelas surélevé, je peux voir la queue entrer et sortir du type qui manifestement prend un plaisir dingue à se faire défoncer. Je ne peux m’empêcher de l’envier. Si j’ai souvent eu des godes ou d’autres objets dans le cul, je suis encore vierge de bite et jamais je n’ai eu l’occasion de me faire sodomiser autrement que dans mes fantasmes ou mes rêveries masturbatoires.


Mon suceur du sauna monte sur le matelas et s’installe assis contre la paroi pour ne rien perdre du spectacle. Il enlève sa serviette et laisse apparaître une belle queue longue et raide. Je le suis et me glisse vers lui à quatre pattes pour prendre son sexe en main. Tout en regardant l’autre gars se faire limer, je commence à branler la queue. Lentement mais fermement, ma main monte et descend sur la tige que je décalotte bien avant de remonter ma main vers le gland. Le type gémit doucement et avance son bassin pour m’encourager à continuer.


N’y tenant plus, je m’avance à sa rencontre et prends sa bite dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation que j’espère être aussi bonne que celle qu’il m’a donnée auparavant. Je l’aspire, le lèche, le mordille et alterne les caresses avec les mains sur toute sa tige raide. Ses couilles sont fermes et je les aspire avec envie, les mordillant et les suçant alternativement. Je veux être une vraie salope et tout mon objectif est de le faire gicler, si possible dans ma bouche ou au moins sur moi. Je m’applique vraiment et je peux sentir qu’il y a déjà du liquide qui s’échappe de sa verge ; le gars est vraiment bien excité et semble apprécier le traitement.


Alors que, toujours à genoux et penché, je suis en train de faire courir ma langue sur sa hampe tendue, je sens tout à coup un mouvement derrière moi. Quelqu’un est en train d’agripper mes fesses et de se mettre en position pour m’enculer ! En tournant la tête vers l’autre couple de mecs qui sont maintenant en train de se caresser mutuellement, je vois un des deux types du sauna qui, agenouillé derrière moi, enfile une capote sur son sexe tendu.



Dans le feu de l’excitation je n’ose me dérober et, au contraire, trop content d’avoir enfin l’occasion de cette expérience, je me cambre et je m’ouvre :



Je n’arrive pas à y croire, je vais enfin avoir une queue en moi et non pas un gode ! Décidément, quelle soirée !


Et ça y est, le gars agrippe fermement mon cul et je sens sa bite se frayer un chemin entre mes fesses. Mon Dieu que c’est bon comme sensation ! Je me relâche autant que possible afin de lui faciliter la tâche, je le veux en moi, tout au fond de moi. Inexorablement il avance. Sa queue est assez grosse et il s’enfonce méthodiquement au plus loin qu’il le peut avant de marquer une pause.


J’oublie complètement la fellation que j’étais en train de faire pour me concentrer sur cette nouvelle expérience et profiter de la chaleur qui m’envahit les entrailles. À quatre pattes, je pousse sur mes bras pour aller à la rencontre de ce sexe qui m’envahit, me remplit, me prend… Oui, j’ai envie de le sentir bouger maintenant. Qu’il me laboure, me baise, me prenne sans pudeur.



Je ne me reconnais plus, je suis en transe. Tout mon corps est en ébullition et je ressens cette sodomie de tout mon être. Je veux sentir ce sexe m’explorer, me défoncer, aller au plus profond de moi. Cette sensation d’abandon m’enivre et me désinhibe totalement ; je vais au-devant de cette lance qui me pénètre, à chaque mouvement je la sens progresser dans mes entrailles et je veux qu’elle aille chaque fois plus loin.


Le gars me lime maintenant sans retenue et me claque les fesses pendant que les 3 autres regardent, fascinés, comment je me laisse défoncer. J’entends des commentaires :



Phrases auxquelles je peine à répondre tellement je râle sous les coups de boutoir, mais qui ne font que décupler mon plaisir. Jamais je n’aurais cru que cela puisse être tellement fort de se faire baiser…


Après un dernier coup de reins tout au fond de mon cul, je sens le gars se retirer et, instantanément, une immense frustration me tombe dessus. Non ! Pas maintenant ! Il ne peut pas arrêter maintenant, c’est trop bon… Mais en fait, il me fait pivoter sans ménagement sur le dos et attrape mes chevilles pour me faire glisser vers le bord du matelas. Lui est maintenant bien campé sur le sol et, m’écartant les jambes en les remontant, il me fait lui offrir mon cul luisant et coulant. En tournant la tête, je vois dans le miroir mon trou béant et ouvert, comme s’il criait son envie de se faire bourrer.


Toujours en me tenant, le gars s’avance un peu et sa bite me pénètre de nouveau, sans résistance, et il recommence à me pilonner sans retenue. Dans cette nouvelle position je le sens encore mieux s’enfoncer en moi et me posséder. Je me pince les seins pendant qu’il me baise et je ne peux plus qu’émettre des râles confus de plaisir. Je me sens totalement soumis et offert, comme une vraie pute en chaleur. Le chibre qui ne cesse de me défoncer est tellement bon !


L’autre gars du sauna se met debout au-dessus de moi et offre sa queue raide à celui qui me baise. Celui-ci se met à la sucer pendant qu’il m’emmanche et je sens qui est aussi de plus en plus excité.


Le couple qui était là quand nous sommes arrivés vient se joindre à nous. Chacun à genoux de part et d’autre de moi, les gars s’astiquent la queue devant le spectacle. Le type que j’étais en train de sucer lorsque je me suis fait enculer est lui aussi debout, à côté de celui qui me baise et est en train de se branler furieusement. Je suis excité comme jamais par cette situation et ne cesse d’aller du regard de l’un à l’autre alors que des deux mains j’écarte autant que possible mes fesses pour faciliter les allers et retours qui me défoncent. Sentir une bonne queue me ramoner et voir tous ces types en train de se branler est inespéré et je suis aux anges !


C’est alors que je sens un liquide s’écraser sur mon ventre ; c’est le gars au-dessus de moi qui vient de jouir de la fellation de celui qui continue à me limer ! Mon Dieu, je me fais gicler dessus en plus ! Toujours en transe, je prends ce foutre à pleine main et l’étale sur mon corps : je suis une pute dépravée et j’aime ça ! Comme j’aime ça !


Dans un dernier cri, mon baiseur s’enfonce jusqu’à la garde en moi et s’immobilise ; je sens sa queue secouée de spasmes dans mon cul ; il est en train de jouir en moi ! Enfin, dans la capote… Mais j’arrive néanmoins à distinctement sentir cette jouissance et je suis fier, tellement fier de l’avoir fait jouir avec mon cul ! Il ne perd pas de temps pour se retirer en poussant un râle de satisfaction. Il enlève la capote et vide le contenu sur mon sexe.



C’est à ce moment que les trois autres gars déchargent presque en même temps sur mon corps ; j’ai du foutre sur la poitrine, le ventre et le sexe ; comme une traînée je me suis fait asperger par toutes ces queues et c’est terriblement excitant. Devant eux j’étale tout ce jus sur mon corps en me tortillant. J’aime cette sensation d’humiliation et de sexe pur et, surtout, j’adore sentir mon cul qui vient enfin de se faire véritablement prendre, je ne sais plus bien où j’en suis à force de sensations. L’atterrissage est du reste quelque peu frustrant car tous les cinq quittent tout à coup la pièce en me laissant seul, toujours en proie à l’extase que je viens de ressentir. Mais moi, je n’ai toujours pas éjaculé.


Mon corps poisseux de sperme, je suis en train de doucement me branler afin de maintenir mon érection, tout en repassant le film de cette soirée dans ma tête en ébullition. Pendant que ma main astique mon sexe tendu je glisse mon index dans mon cul pour me branler le trou en rythme. En poussant bien j’arrive à toucher ma prostate et je sens la sève monter le long de ma tige. Dans un dernier râle arrive enfin la délivrance et je jute en longues saccades comme je crois que je n’ai jamais joui auparavant. Mon foutre s’étale sur mon pubis et mon ventre, venant se mêler à celui des autres et je me termine en me massant le corps avec cette crème si particulière.


Mon Dieu que cette soirée a été intense ! C’est les genoux un peu tremblants que je récupère ma serviette et me dirige de nouveau vers les douches. S’il est sûr que je reviendrai dans ce sauna, je ne suis pas sûr de pouvoir atteindre une telle intensité de nouveau… mais j’essaierai, c’est évident !