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n° 17675Fiche technique10409 caractères10409
Temps de lecture estimé : 7 mn
03/12/16
Résumé:  Petit plaisir à la plage !
Critères:  fh vacances plage nudisme fellation
Auteur : Rems
Les délices du naturisme - Coquineries

Je suis parti avec Cécile à Lacanau Océan cet été. Comme le coin est propice au naturisme, j’en ai profité pour lui faire tenter l’expérience, avec succès malgré des débuts un peu timides.


Vers le milieu de la semaine, elle bronzait nue à mes côtés, allongée sur le ventre et la tête entre ses bras. Les courbes de ses épaules, de son dos, de ses reins et de ses fesses formaient une succession de délicieux vallons qui attiraient sans cesse mon regard et me détournaient de la lecture de mon bouquin. Ne pouvant résister à la tentation, j’ai abandonné mon livre et posé une main sur ses épaules pour les caresser tendrement. Elle a d’abord tressailli à ce contact inattendu puis s’est vite détendue sous mes caresses familières.


Je suis descendu doucement le long de son dos en suivant du bout des doigts la ligne ondulée de sa colonne vertébrale. Arrivé à hauteur de ses reins, j’ai escaladé les courbes douces de ses fesses puis je suis redescendu par l’autre versant pour aller glisser mes doigts entre ses cuisses serrées.


À ce stade, je m’attendais à une protestation de sa part mais je n’ai eu pour seule réaction qu’un petit soupir de contentement pendant qu’elle ouvrait légèrement les jambes, ce qui m’a encouragé à poursuivre mon exploration.


J’ai plaqué mes doigts contre sa vulve et j’ai commencé à caresser ses lèvres intimes en constatant avec délice qu’elle se laissait faire et qu’elle se mettait même à bouger ses hanches pour accompagner mes caresses contre son sexe de plus en plus humide. Ma queue s’est gorgée de sang et je me suis demandé comment je pouvais l’inciter à passer à l’étape supérieure quand elle s’est retournée pour s’allonger sur le dos, tout en me disant :



Elle ne m’avait pas dit ça d’un ton réprobateur et j’ai remarqué qu’elle avait les joues un peu roses et que sa respiration faisait se soulever ses petits seins nus à une cadence un peu trop élevée pour être honnête. Il ne me fallait pas plus de signes de sa part pour que je repose illico ma main sur sa vulve exposée au soleil et que je recommence à jouer avec ses lèvres tout en lui glissant à l’oreille :



Elle s’est relevée sur ses coudes et elle a scruté de tous les côtés derrière ses lunettes de soleil tandis que je continuais de promener, l’air de rien, mes doigts le long de sa fente.

Sur notre droite, personne à l’horizon.

Sur notre gauche, un autre couple de naturistes profitait lui aussi du soleil, mais à une distance raisonnable.

Derrière nous, personne de visible dans les dunes.

Et devant nous, quelques promeneurs passaient le long du bord de mer qui, à cette heure de marée basse, était suffisamment loin pour que l’on soit tranquille.


Alors d’une voix fluette où transparaissait une petite dose d’excitation, elle m’a dit :



Puis elle s’est rallongée sur le dos et a ramené son pied gauche à hauteur de son genou droit de manière à ce que sa jambe pliée forme un semblant de barrière visuelle vis-à-vis de l’autre couple situé à quelques dizaines de mètres de nous. Très excité par sa bonne volonté, j’ai poursuivi plus en avant mon exploration.


D’un geste délicat, j’ai introduit le bout de mon majeur entre ses lèvres intimes et je lui ai enfoncé doucement tout en me penchant au-dessus d’elle pour léchouiller et suçoter ses deux tétons chauffés à blanc par le soleil. Je l’ai entendue pousser un petit gémissement de satisfaction et elle s’est cambrée légèrement tout en ouvrant un peu plus les cuisses pendant que je rentrais en elle. J’ai fait de lents allers-retours dans sa chatte pendant que je mordillais gentiment ses bouts de seins et j’ai dégusté avec délice sa belle poitrine toute bronzée tandis que j’enfonçais de plus en plus loin mon doigt dans son sexe bouillant.


De temps en temps, sans arrêter de la doigter, je relevais la tête pour surveiller les environs afin de vérifier que nous étions toujours seuls sur la plage. Autour de nous, seul l’autre couple de naturistes était visible mais, comme ils regardaient dans une autre direction que la nôtre, je me disais que nous étions tranquilles de ce côté-là.


Ignorant nos lointains voisins, j’ai replongé mon nez entre les seins de ma compagne qui se tortillait de plus en plus sous mes doigts et j’ai léché goulûment ses tétons durs comme la pierre tout en accélérant la cadence de mon doigt entre ses cuisses, la faisant gémir encore un peu plus.


Soudain, sa respiration s’est accélérée, ses gémissements se sont faits plus bruyants, sa tête s’est penchée en arrière, son ventre s’est creusé, son dos s’est cambré, sa main s’est agrippée fortement à mon avant-bras et tout son corps s’est crispé brusquement sous l’effet d’un orgasme qui l’a laissée haletante.


J’ai ressorti mon doigt humide de son ventre chaud et j’ai attendu que sa respiration redevienne normale. Alors j’ai pris sa main et je l’ai amenée contre mon sexe en érection.

Ses doigts fins et délicats ont effleuré mes deux couilles avec délicatesse et sont remontés le long de mon membre avant de l’empoigner fermement. Sa main a commencé à coulisser le long de ma bite et les grands coups de poignet qu’elle m’a prodigués m’ont fait un bien fou.


Je crois que je n’ai jamais été aussi excité de ma vie !

Mais pourtant, cela ne me suffisait pas…

Enhardi par sa bonne volonté et surexcité par la situation, je me suis collé à elle pour l’embrasser tendrement dans le cou et lui murmurer à l’oreille :



Surprise par ma proposition, elle s’est arrêtée de me branler et a paru réfléchir d’interminables secondes durant lesquelles je n’ai plus osé prononcer un seul mot. J’ai attendu, le cœur battant, une réponse qui semblait ne jamais venir et c’est juste au moment où je me disais que ma hardiesse ne serait pas récompensée qu’elle m’a répondu sur un ton feutré :



Je me suis mis debout sans me soucier de la gaule monumentale qui pointait sous mon ventre, j’ai aidé Cécile à se lever et nous nous sommes dirigés vers le pied du cordon dunaire.

Juste avant de gravir la pente derrière elle, j’en ai profité pour jeter un dernier coup d’œil au paysage. À l’autre bout de la plage, quelques promeneurs innocents se promenaient au bord de l’eau sans faire attention à nous mais, en regardant sur notre droite, j’ai constaté que nos voisins naturistes, toujours assis sur leurs serviettes, regardaient dans notre direction. Je ne savais pas trop quoi en penser mais il était clair que, à part Cécile et moi, il n’y avait rien d’autre à voir dans le secteur et je me suis demandé s’ils n’avaient pas surpris notre petit manège et compris nos intentions.


J’ai donc hésité à suivre Cécile qui avait déjà commencé l’ascension de la pente sableuse mais, comme ils se contentaient de nous regarder sans bouger et semblaient vouloir nous laisser tranquilles, je l’ai finalement suivie sans m’occuper d’eux.


Arrivés au sommet, on est redescendu de l’autre côté et on s’est avancé dans le cordon dunaire jusqu’à une petite cuvette de sable bien cachée. Je suis resté debout de façon à pouvoir guetter les alentours tandis que Cécile s’est mise à genoux devant moi et a saisi mon pénis qui avait dégonflé durant le trajet.


Au simple contact de ses doigts sur mon sexe, celui-ci s’est remis au garde-à-vous et j’ai présenté à Cécile un membre bien dur et bien raide qu’elle s’est empressée de mettre dans la bouche pour le pomper de toutes ses forces. Contrairement à son habitude, elle ne semblait pas vouloir faire durer le plaisir et elle s’est démenée comme une morte de faim sur ma queue pour en finir le plus vite possible. Une telle rapidité d’exécution aussi inhabituelle de sa part a augmenté encore plus mon excitation !


J’ai bien essayé de penser à autre chose et de me retenir le plus longtemps possible pour profiter au maximum de ce magnifique et unique moment, mais son savoir-faire inégalé a fini par venir à bout de ma résistance après quelques minutes d’une bataille perdue d’avance.

Sa langue agile qui s’enroulait comme un serpent autour de ma queue, ses lèvres douces qui aspiraient et recrachaient à toute vitesse mon gland, ainsi que sa main caressante qui faisait rouler mes deux couilles entre ses doigts ont eu rapidement raison de moi et j’ai senti un immense orgasme m’envahir. Me sentant venir, Cécile a retiré au dernier moment mon sexe de sa bouche et s’est écartée juste à temps pour éviter les grandes giclées de sperme qui ont jailli de ma verge et se sont écrasées sur le sable à côté d’elle.


Elle a regardé mes couilles se vider pendant qu’elle continuait de me branler doucement en veillant à ne pas laisser du foutre couler sur ses doigts puis, satisfaite du résultat, elle a levé la tête vers moi, m’a regardé par dessus ses lunettes de soleil avec de petits yeux coquins et m’a dit tout simplement avec un petit sourire aux lèvres :



Encore sous le charme de cette magnifique pipe au grand air, je lui ai tendu la main pour l’aider à se relever et, après avoir déposé un baiser de remerciement sur sa bouche, j’ai glissé mon bras autour de sa taille.


Nous avons retraversé les dunes sans nous presser pour retourner sur la plage et nous nous sommes réinstallés sur nos serviettes comme si de rien n’était, sous le regard de nos voisins naturistes qui n’ont certainement pas été dupes sur le motif de notre petite escapade !