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Temps de lecture estimé : 11 mn
07/12/16
Résumé:  L'auteur se fait faire une épilation qui se révéle pleine de surprises.
Critères:  fffh inconnu fépilée noculotte massage rasage fellation cunnilingu -masth
Auteur : P.R. De Montels            Envoi mini-message
Aux trois sœurs




Je me rendais en train à Montpellier pour une affaire en cours. Afin de me distraire durant le trajet j’avais acquis une revue dite « de charme ». Après la lecture de quelques articles de « fond » explorant plus les profondeurs vaginales et anales que celles du cerveau, je remarque un petit pavé publicitaire pour un salon d’esthétique, qui peut paraître bien banal, mais ce qui a attiré mon attention dans cette revue à portée nationale, c’est le numéro de téléphone. Ce numéro avait l’indicatif 04 68 80… qui est celui de la plupart des numéros de Canet-en-Roussillon, la ville où je vis présentement. Je regarde donc avec plus d’attention ce petit pavé publicitaire qui indique que le nom de ce salon d’esthétique s’appelle « Aux trois sœurs » et que les prestations suivantes y sont pratiquées : soins du visage et du corps – modelage du corps complet- épilations diverses. Pas d’adresse, seulement le numéro de téléphone. Je trouve cette publicité à la fois précise sur certaines prestations, mais bien imprécise sur le lieu.


Intrigué toutefois, le lendemain, je fais le numéro de ce salon. Une voix qui me paraît jeune me donne les renseignements que je demande. Je me fais communiquer des précisions sur l’adresse et sur les diverses prestations. Quand je parle des épilations, j’ai ma petite idée derrière la tête. Il y a un moment que j’ai envie de me faire éliminer tous les poils du bas-ventre, pubis et autour du sexe. Il m’est arrivé que des masseuses, arrivées à la finition, rechignent à pratiquer une fellation sous prétexte que tous ces poils c’est peu hygiénique et qu’elles se retrouvent à crachoter les quelques poils qui se sont perdus dans leur bouche. Pour ce qui est de l’hygiène, je peux garantir qu’elle est respectée, mais pour le reste je ne puis faire grand-chose effectivement à l’instant donné.


Pour me convaincre de venir chez elle pour cette opération, la jeune femme me vante la façon originale de leur procédé qui, dit-elle, est peu commun et très plaisant.

C’est ainsi que deux jours plus tard en début d’après-midi je me retrouve à chercher dans les rues d’une zone résidentielle de Canet une villa avec un panneau extérieur indiquant « Salon d’esthétique - Aux trois sœurs ». À vrai dire je ne m’étais pas attardé sur le titre qui ne m’avait pas trop intrigué, mais quand je pénétrai dans le vestibule qui faisait office de bureau d’accueil de cette villa j’en réalisai d’un coup toute la pertinence. J’étais accueilli par trois jeunes femmes aux environs de la trentaine, mais l’originalité était qu’elles étaient indistinguables l’une des autres en dehors de la couleur de leur chevelure courte et aux coloris différents. De même taille moyenne, de même âge apparemment, les corps minces avec des seins qui pointaient de la même manière sous leurs blouses blanches immaculées et passablement entrouvertes vers le bas laissant apparaître de jolies jambes et de magnifiques cuisses. L’une avait une chevelure brune, la seconde était blonde et naturellement, puis-je dire, la troisième était rousse. Je mis quelques secondes à réaliser que j’avais des sœurs triplées devant moi. Ma surprise était tellement évidente, qu’après le premier sourire d’accueil, elles éclatèrent de rire. Ce qui bien entendu détendit l’atmosphère. Un climat de drôle complicité se fit ressentir. Elles se présentèrent sous les noms de Cléa, Léa et Maria.


Je leur demandai laquelle des trois allait exécuter ma pilosité. Surprise me dirent-elles.

Elles me firent rentrer dans une pièce attenante très bien éclairée où une sorte de table de massage trônait au milieu. Un porte-manteau placé dans un coin accueillit mes vêtements qu’elles m’avaient demandé de retirer entièrement et je m’étendis sur le papier blanc de la table. Elles étaient sorties. Quelques minutes après, une musique douce envahit la pièce et voilà que les trois sœurs reviennent ensemble et ne sont plus vêtues que d’un string. Ce fut un nouveau choc pour moi de voir ces trois magnifiques corps dans leur nudité. Une fois de plus, elles rirent de mon air ahuri.


Approchant une petite table roulante sur laquelle trônent divers flacon et instruments, la blonde me positionna une serviette sur la poitrine, la rousse en disposa une autre sur le bas de mes jambes. Quant à la brune, elle se saisit d’un gant de toilette qu’elle trempa dans une cuvette d’eau tiède et savonneuse et entreprit de me laver, avec délicatesse, bas-ventre, pubis, et périnée après m’avoir bien écarté les cuisses. Pour faciliter cette opération, la rousse avait saisi mon sexe par le prépuce avec deux doigts et le tenait en l’air. La blonde pour me faire patienter certainement me caressait les cheveux et me gratouillait le cuir chevelu. L’initiative de ces 3 jeunes femmes eut rapidement le résultat suivant : la blonde dut ouvrir ses doigts et lâcher mon prépuce, car l’habitant prenait de l’ampleur et demandait à prendre l’air. Aussi changeant de tactique elle saisit l’ensemble de trois doigts et s’efforça de le maintenir en l’air. Rapidement elle n’eut plus beaucoup d’effort pour cela, car le sexe bien raidi se tenait quasiment droit tout seul.


Après la séance de nettoyage puis d’essuyage, la brune, à l’aide d’une bombe aérosol, me projeta un liquide refroidissant sur toutes les parties à dépoiler. Je ressentis un froid intense qui eut pour effet de diminuer la pression dans mon sexe et la main de la blonde n’était plus inutile pour lui garder la tête haute. Elle m’enduisit ensuite d’un produit assez visqueux qu’elle laissa agir quelques minutes. Pour me faire patienter, les trois se mirent à me masser les cuisses, le ventre et la poitrine. En fait de massage c’était plutôt des caresses du plat de leurs mains. Très agréable et surtout trop court m’est-il apparu. Le produit visqueux s’étant bien pris, il fallait passer à la phase suivante. L’opération pouvant être un peu douloureuse, la rousse me dit que ses sœurs vont essayer de la rendre quand même supportable. C’est ainsi que, tandis qu’elle se met à retirer la pâte qui a emprisonné mes poils, la blonde s’est saisi de ma verge et après l’avoir décalottée, sa langue vient en titiller le méat et tout le pourtour jusqu’au frein. Sa sœur s’est penchée sur moi et ayant posée ses lèvres sur les miennes, de sa langue s’efforce à m’entrouvrir la bouche, ce que je fais rapidement bien sûr, et nos langues entament une sacrée sarabande ! L’anesthésie est des plus efficace. Je ressens bien une certaine douleur quand la brune arrache ses bandes, mais celle-ci est compensée par le plaisir que je ressens au même endroit.


Ayant enlevée toute la matière et les poils avec, la brune me nettoie à l’aide de lingettes fraîches. C’est alors que je surprends un regard entre elles. La blonde avale carrément mon sexe et pompe en même temps que sa langue s’enroule autour de la hampe, la brune est venue mettre sa main dans mon entrejambe et ses doigts caressent ma pastille y exerçant pression et simulacre de pénétration tandis que son autre main est venue enserrer la base de mes bourses et les presse comme pour en sortir le jus. La langue de la rousse redouble d’efforts dans ma bouche tandis que ses doigts caressent et titillent mes mamelons qui se dressent de plaisir. À ce stade de l’opération et devant la virtuosité des opératrices je n’ai pu tenir bien longtemps. Une vague soudaine partie de la plante de mes pieds est subitement montée de long de mes jambes et de mes cuisses pour éclater dans les entrailles de mon bas-ventre. Mille étoiles m’apparurent et le long cri s’échappa de ma gorge. La blonde ne sentit sans doute pas venir le tsunami, car recevant une grande giclée au fond de sa gorge elle faillit s’étouffer avant d’avaler le tout sans rechigner et avec un petit air de délectation, histoire peut être de faire « bisquer » ses sœurs comme disait ma grand-mère. La rousse reçut mon cri dans le fond de sa gorge ce qui lui provoqua une surpression des tympans qui l’obligea à déglutir plusieurs fois pour se déboucher les oreilles. Tout cela finit par une grande rigolade. Nous fêtâmes la fin des poils, à poil et le verre de champagne, que j’avais eu la bonne idée d’amener, à la main.


Quelques jours plus tard, je décidai de voir ce que leur modelage de corps complet avait de particulier, d’autant plus que j’adore me faire masser. Nombreuses sont les officines de massage où ces dames confondent massage et simple sexe. Vous ressortez de la séance après un petit quart d’heure, certes délesté de votre foutre, mais le corps peu détendu par un bon massage. Quand je leur fais la remarque que c’est un peu rapide elles me rétorquent que la plupart des clients demandent d’abréger la phase massage pour passer plus vite à la phase finition sexuelle. Je m’efforce de leur expliquer que ce n’est pas mon cas, mais en général j’ai du mal à les convaincre, car cette rapidité leur convient. Je prends donc rendez-vous et me pointe à nouveau à la villa « Salon d’esthétique ».


Cléa, Léa et Maria sont à nouveau ensemble à l’accueil, drapées dans leur blouse blanche peu boutonnée. La première surprise c’est que leur coiffure ne les distingue plus. Elles sont certes en cheveux courts, mais les trois sont châtain clair. C’est leur couleur naturelle, l’autre jour elles avaient mis des perruques, m’expliquent-elles. Impossible pour moi de savoir qui est qui. Mais, au fond, cela n’a pas grande importance.


Elles m’invitent à passer dans une pièce occupée en son centre par un futon et me demandent de me « mettre à l’aise » ce qui, traduit en jargon commun, signifie « vous vous déshabillez ». Durant mon déshabillage, elles disparaissent, mais reviennent rapidement en tenue d’Ève, la feuille de vigne en moins. Elles sont splendides. J’ai beau chercher un défaut dans ces corps de taille moyenne, mais aux formes harmonieuses, en parfait équilibre, en parfaite proportion entre la masse du corps et celle des seins, haut perchés, fermes, en pommes parfaites et aux aréoles brunes et à grandes pastilles qui évoquent sensualité et sensibilité. Mon regard émerveillé descend des seins vers leur ventre plat, où les abdominaux sont juste marqués, et s’attarde sur les pubis rasés, à part une petite flamme châtain clair juste au-dessus de fentes aux grandes lèvres brunes, bien détachées et prometteuses de futures luxures. Arrivé aux jambes, d’un galbe parfait, ni trop mince ni trop musclées, mon regard est tellement expressif d’admiration et de désir qu’elles en rient.


Fini l’examen de ces amazones. Elles m’entraînent dans la salle de bain attenante et me positionnent dans une grande douche à l’italienne. L’une s’empare du pommeau de la douchette et me mouille tout le corps. La seconde me badigeonne de savon liquide et la troisième munie d’un gant de toilette entame mon nettoyage. Je suis récuré de la tête aux pieds, mais tout particulièrement mon sexe, qui ne me semblait pas en avoir un besoin spécial. Me faisant écarter les jambes Maria ? Cléa ? Léa ? frotte avec énergie son gant dans ma raie des fesses, n’oublie pas le périnée et les bourses, se saisit de mon membre à plein gant pour le frotter énergiquement, et sa sœur le décalottant elle peut ainsi récurer, avec délicatesse, dois-je reconnaître, tout le pourtour du gland.


Ce traitement a un effet immédiat qui, en fait, facilite la tâche de ces dames, ma queue grossit, mon gland restant raide et sorti et l’ensemble n’a plus besoin (!) d’être tenu. C’est à ce stade qu’elles décident que je suis suffisamment propre et m’enroulent dans une grande serviette. Et chacune me frotte tout le corps pour bien l’essuyer en insistant chacune sur mon bas-ventre où la serviette laisse apparaître un renflement curieux. Et plus elles essuient et plus le renflement semble s’amplifier. Et plus je commence à perdre pied, ayant l’impression que je ne vais pas tenir encore longtemps. Renonçant finalement à faire disparaître cette excroissance, elles me ramènent dans la pièce de massage et me font coucher sur le ventre, positionnant mon membre raide en arrière entre mes jambes.


L’une prend position à genoux devant ma tête tandis que les deux autres s’installent, également à genoux, sur un côté et l’autre derrière mes pieds. Mon corps se trouve prisonnier de six mains qui le malaxent, le caressent, le chouchoutent, dans une ambiance de lumière tamisée, de musique relaxante et de parfum d’encens. Je me laisse doucement entraîner dans une douce torpeur bien reposante qui me fait oublier tout tracas quotidien. Je somnole donc quand je ressens que deux mains qui assouplissaient mes fesses en écartent les globes tandis qu’un doigt inconnu en parcourt la raie, s’attardant sur la pastille, la titillant et faisant mine de vouloir pénétrer. Un autre doigt caresse le méat de mon sexe et en tapote la hampe qui ne tarde pas à durcir et s’allonger facilitant sa prise en main. Et il est curieux et fort agréable qu’au fur et à mesure que le sexe grossit, se durcit (bande quoi !) son gland et les parties attenantes deviennent plus sensibles ce qui a pour effet d’accélérer le processus de « bandaison » et du plaisir ressenti. Mais les mains qui me manipulent sont expertes, car, amené à la limite du non-retour, elles s’effacent et reprennent le massage des cuisses.

Maintenant qu’elles m’ont demandé de me retourner, j’en ai une qui s’occupe de ma tête, de mon cou, de mes épaules, une autre me masse de mouvements circulaires le ventre et la troisième s’occupe de mes pieds, étirant chaque orteil. Pour mieux masser ma poitrine, Maria (?) se met à califourchon sur mon ventre. Ces seins fermes sont à portée de mes mains et celles-ci ne peuvent résister à l’envie de les caresser. Ils sont doux, leurs bouts que je tapote du plat de mes mains sont durs. Se penchant en avant Maria me permet ainsi de les embrasser, de les sucer, de les titiller du bout de ma langue. Le contact de mes mains et de ma langue sur cette peau chaude et douce à l’odeur de lavande donnée par l’huile essentielle utilisée dans l’huile de massage a un pouvoir extrêmement aphrodisiaque et mon sexe se dresse contre le dos de Maria.


Aussitôt je sens qu’une main (celle de Cléa ?) s’en empare et le martyrise de caresses douces, de frottements et même de petits baisers qui viennent recueillir le liquide séminal qui s’écoule doucement de son méat. C’est sublime. Mais voilà que nous passons à la phase suivante. Les sœurs intervertissent leurs positions, mais pour moi c’est identique, car je suis incapable de les reconnaître. L’une d’elles se positionne à califourchon sur mes cuisses et me masse le pubis d’une main tandis que son autre main me branle lentement. Estimant sans doute qu’il devait être à point elle vint s’asseoir dessus, sa vulve collée à lui. Son bassin entame des mouvements de va-et-vient qui font que sa vulve, que je sens chaude et humide, parcourt toute la longueur de ma hampe. Des doigts se saisissent de mes bourses et les chatouillent. Ce petit exercice de cavalerie dure un temps que je ne peux plus contrôler.


Je rouvre les yeux quand je sens une masse au-dessus de mon visage et je distingue parfaitement les grandes lèvres brunes d’une chatte qui s’offrent à ma bouche, à ma langue. À genoux, Léa ? m’offre son con à lécher tandis qu’avec Maria elles se bécotent et se caressent les seins. Ma langue parcourt toute la longueur de la fente, titille le clito qu’elle parvient à faire sortir de son manteau de chair, provoquant des gémissements de sa propriétaire et s’efforce de pénétrer dans la cavité qui s’est entrouverte, laissant couler une mouille tiède que je m’empresse de laper. Mais des doigts continuent à faire d’agréables misères à ma queue, une bouche chaude s’en empare et la pompe, je ne suis plus de ce monde, je me sens décoller et posé sur un petit nuage, je perds peu à peu conscience du moment présent, mon corps n’est plus qu’un sexe de jouissance, je ne puis même plus me concentrer sur ma langue qui maintenant parcourt lentement et mollement le magnifique con qui lui est offert.


Des fourmillements commencent à remonter de mes pieds, s’emparent de mes jambes, de mes cuisses, mon sexe me semble devenu énorme et mes reins se soulevant malgré le poids de l’amazone qui y est assise dessus, il me semble exploser et un jet puissant de foutre en sort, allant emplâtrer le fond de la gorge de son tortionnaire. Un énorme cri s’échappe de ma gorge qui se prolonge en feulements aux intensités variables suivant les spasmes qui me secouent, prolongeant le plaisir. Mes fesses retombent, mais je sens qu’une langue parcourt délicatement ma hampe encore bien raide pour recueillir les parcelles du liquide blanchâtre qui s’en échappe encore, ce qui prolonge d’autant mon plaisir et ma jouissance. Des mains parcourent doucement l’ensemble de mon corps, de petits baisers et léchouilles y sont déposés, des mots doux et tendres m’entourent. Je reprends, pas pressé à vrai dire, ma conscience. Je redescends de mon nuage. Des sourires m’accueillent. Ces dames, agenouillées autour de moi, ne me demandent pas si c’était bon. Elles ont pu voir et entendre ma jouissance sans retenue. Elles sont satisfaites de leur adresse et moi donc !


Une douche, mais très sage celle-là, vient conclure cette séance de douceur et de plaisirs. Après un thé que je pris avec un nuage (en souvenir ?) de lait, je quittais ces dames de la villa, les jambes un peu « flagadas », mais le cerveau lavé de tout miasme et le moral à bloc.