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Temps de lecture estimé : 11 mn
16/12/16
Résumé:  Un rendez-vous avec une fascinante inconnue.
Critères:  fh inconnu trans fellation hdanus
Auteur : Candi      Envoi mini-message
Dans ce rêve, c'est toi le chasseur et moi la proie

Je passe, selon les périodes, beaucoup de temps sur internet, sur des sites de rencontres. Parfois à la recherche de nouvelles connaissances, d’autres fois en espérant des relations durables mais aussi des aventures sans lendemain. Cela fait des années que je pratique, et j’ai eu mon petit succès.


J’ai rencontré plusieurs de mes ex, et aussi quelques filles qui sont devenues des amies. À une époque cela m’a aussi permis d’enchainer les plans cul sans vergogne ! J’avoue aussi que cela m’a servi de psychanalyse. C’est fou ce que c’est facile de parler de soi avec une totale inconnue. Au final toutes ces rencontres ont joué un rôle important dans ma vie.



J’y suis revenu il y a très peu de temps. J’avais été en couple pendant 3 ans et les quelques mois qui ont suivi cette séparation, je m’étais attaché à les passer loin d’internet et de ses échanges virtuels. J’avais eu envie de profiter des amis et aussi d’essayer de rencontrer quelqu’un dans la vraie vie. Mais j’ai le même problème qu’avec les cigarettes … même avec l’impression d’avoir arrêté pour de bon, je finis par y replonger…


Cependant, moins pressé que d’habitude, j’ai pris le temps de faire le tri, et de ne rencontrer que des personnes que j’ai vraiment envie de voir et qui semblent correspondre à ce que j’attends. Difficile à définir mais je dirai une nana singulière, mais qui serait l’évidence pour moi…



Un soir j’ai finalement donné rendez-vous à une fille dans un bar parisien. On a bien discuté, le feeling est bien passé : de l’humour, de l’intelligence, et les photos font envie : une jolie blonde au regard à la fois perçant et malicieux, un corps assez fin, de longues jambes, une belle poitrine. Je me demande presque si je ne vais pas être très déçu tant cela parait trop beau.

Je suis à l’heure, elle est en retard. Jusque-là tout va bien.



Elle finit par arriver… ouch… le canon. Elle est vraiment très très belle ! Et très sexy en robe courte sous son manteau en feutre et un petit foulard de soie autour du cou. Je ne m’attendais pas à cette apparition. Elle m’avait donné l’image d’une fille à la cool, tendance alternative, comme moi. Et même trash parfois dans certaines de ses vannes. Je me suis complétement trompé à son sujet ! Mais je suis un peu déçu en fait. Le genre sophistiqué ce n’est pas mon truc et surtout elle semble beaucoup trop canon pour moi… Et puis je me sens vraiment con, je suis venu en jean avec un tee-shirt et chemise ouverte sous ma parka noire. Pas complétement débraillé mais quand même, très décontracté.



Autour de nous, je vois beaucoup de regards se tourner vers elle, elle inspire vraiment l’envie de tout le monde. Et je suis tellement gêné que c’est comme si la nature de notre rendez-vous sautait aux yeux.



Elle s’est vite aperçu de mon trouble, sûrement avait-elle même prévu son coup. Elle s’en amuse. En deux phrases le tableau disparait et laisse réapparaitre celle avec qui j’ai échangé : une fille très marrante, sympa, naturelle. Avec un peu de piquant et d’anticonformisme… Elle a aussi un petit je ne sais quoi d’atypique, et moi j’aime bien les physiques atypiques. Elle me rappelle un peu quelqu’un mais je ne sais pas trop qui …. En tout cas, l’image du canon inaccessible était complétement truquée. D’ailleurs elle jubile de savoir que son coup était à ce point réussi !


Finalement, on passe un très bon moment à discuter autour d’une bière puis d’une bouteille de vin, en regardant à travers la vitre du café les gens rentrer chez eux à la nuit tombée.



Au fur et à mesure que la soirée passe, LA question pointe son nez. Comment enchainer ? Ça se passe bien, elle est vraiment trop belle et trop sympa. C’est clair : j’ai envie d’elle. Et à la limite pas que pour une nuit. Mais de son côté je ne sais pas … a priori elle a l’air de passer une bonne soirée, mais une nana pareille, je n’ose pas vraiment croire que je lui plaise, que je lui fasse envie, et encore moins qu’elle soit prête à baiser sur le champ avec moi… J’ai beau avoir compris qu’elle n’était pas le mannequin glacé que j’avais cru, elle est quand même vraiment canon, et de ce qu’elle me dit, elle ne manque pas de prétendants ! Je ne sais même pas quelle stratégie adopter… Conclure ce soir ou ne surtout pas essayer de conclure ce soir ?

Si je tente et qu’elle n’est pas du tout dans cet état d’esprit je passe pour un obsédé, si je ne tente pas en espérant un autre rendez-vous je vais peut-être attendre toute ma vie ! Bordel je suis complétement perdu là ! Pourtant en général je maitrise parfaitement ce genre de rendez-vous, j’avais même l’impression d’être passé maitre en conclusion de rencards !



Mine de rien les verres se sont enchainés, je suis un peu saoul, et je crois lire dans ses yeux qu’elle aussi est enivrée. Les idées pas très claires, cela fait un moment que je suis moins à l’aise, presque silencieux, redoutant la suite du rendez-vous. Finalement, ma torpeur ne fait que précipiter le moment fatidique : l’addition, les manteaux et nous voilà sur le trottoir dans la nuit de l’hiver parisien. Et je ne sais toujours pas quoi faire. Je suis complétement conscient qu’il faudrait que je prenne les opérations en mains mais je sais pertinemment que je vais rester spectateur, laissant probablement glisser mon destin devant mes yeux sans bouger.



Elle me fait face, elle sourit, je suis livide. Je me sens comme un gamin de 13 ans qui, dans sa tête, s’apprête, peut-être, à oser rouler sa première pelle. Je m’attends à ce que ce moment dure des heures, mais non. À ma grande surprise, c’est elle qui fait le premier pas et me dépose un chaste baiser sur les lèvres. Et c’est encore un peu incrédule que je la vois quelques instants après replonger vers mon visage pour me rouler une énorme pelle. Bien content de l’aubaine je ne demande pas mon reste, mais un peu stressé de faire un faux pas qui gâcherait tout, je sens ma guibole qui tremble. En attendant j’y vais de bon cœur, mais c’est bien sa langue à elle qui me fouille la bouche.



Quelques secondes plus tard, je crois rêver lorsqu’elle me propose de monter chez elle, « c’est à deux pas » a-t-elle ajouté. J’essaie de garder un peu de prestance, de faire comme si tout était normal pour moi, mais dans ma tête ça bouillonne, mon cœur bat si fort que ça doit se voir à travers mon manteau, et dans mon caleçon ça s’anime aussi !


Nous voilà arrivés dans son appart’. Petit, comme un appart’ de célibataire parisienne, mais cosy, hyper bien décoré. Lumière douce, elle m’installe dans son canapé et va nous chercher un verre. Qu’elle pose finalement sur la table avant de s’assoir à califourchon sur moi et de m’embrasser intensément.


Mes mains peuvent enfin partir en balade sur son corps. Et c’est un domaine dans lequel j’excelle : ses bras, ses hanches, sa nuque, alternant la douceur et la fermeté. Hum son parfum… j’adore. Toujours assise sur moi, elle retire mon tee-shirt puis se redresse pour tirer mon pantalon. De mon côté je fais glisser sa robe le long de ses bras et découvre sa poitrine bien lovée dans son soutien-gorge noir satiné. Je plonge entre ses deux seins et me régale de sa peau.


Au bout de quelques secondes elle se lève, toujours au-dessus de moi, me regarde en souriant malicieusement. Moi je suis dans un état second, presque sonné. Elle attrape le bas de sa robe, et s’apprête à l’enlever mais s’arrête, ses yeux s’illuminent, son sourire aussi. Moi je me mords la lèvre. Elle retient finalement son geste et avance un doigt qu’elle pose sur ma bouche, réclamant mon silence. Machinalement mes lèvres s’entrouvrent imperceptiblement lorsque son doigt accroche ma lèvre inférieure. Elle décide alors de caresser l’intérieur de ma lèvre, puis le bout de ma langue. Je comprends le message et joue le jeu, m’amusant avec son doigt. C’est elle maintenant qui se mord la lèvre, témoignant de son émoi de me voir lécher son doigt. Ce petit jeu dure quelques secondes puis elle retire sa main, attrape sa robe, et avant de la faire passer par-dessus sa tête d’un geste assuré, me dit « je crois qu’on va bien s’entendre ».


Une fois sa robe sur le parquet, elle se remet à califourchon au-dessus de moi, et m’embrasse à nouveau passionnément. Cette nana me bouleverse vraiment ! Elle attrape mon visage et appuie davantage son baiser. Elle glisse sa langue au fond de ma bouche comme si s’y trouvait la dernière goutte d’eau sur terre. Elle émet aussi quelques gémissements pour mieux me faire comprendre qu’elle aussi apprécie ce moment.


Lorsqu’elle arrête son baiser, elle garde mon visage dans ses mains et me regarde d’un air défiant. Et moi je pense à une chanson …. « Dans ce rêve c’est toi, toi, toi… le chasseur et moi la proie… » c’est exactement ça. Lentement elle glisse entre mes jambes, s’agenouille et attrape à pleine main mon sexe à travers le caleçon, sans cesser de me fusiller d’un regard cannibale.


Elle me sert fort, très fort. Mais sa prise est tout aussi délicate que féroce. Cette nana vient d’ailleurs, elle est tellement incroyable. Elle ne fait rien comme personne. Je ne pensais pas que quelqu’un pourrait encore me surprendre simplement en touchant ma queue. Et elle, non seulement elle y arrive, mais c’est comme si d’un simple geste et d’un regard, elle remettait en cause tout ce que je pensais savoir sur le sexe…



J’en suis là. Et pourtant elle n’a même pas sorti sa victime de mon caleçon. J’ai bien compris que c’est elle qui allait s’amuser avec moi ce soir.


Et elle veut que je souffre. Et c’est le cas. Le désir est si fort, mon corps et mon cerveau sont comme à vif. Elle sait jouer avec moi comme si j’étais sa poupée. Une poupée vivante.

Pourtant je ne peux pas me plaindre. La voir mordre mon sexe à travers mon boxer me transporte. Je flotte sereinement au milieu d’une tempête de sensations. Elle finit par faire tomber le dernier obstacle. Le temps suspend son vol, le chasseur arme, et lorsque finalement la pauvre bête se fige, elle s’approche doucement et appuie sa langue contre mes couilles et remonte sensuellement jusqu’à la base du gland.


Elle s’enroule autour de moi, telle une vipère en plein combat. Elle joue avec sa proie, tantôt la piège, tantôt l’avale. Sa bouche coule sur mon membre et lorsqu’elle plonge et me dévore je crois mourir pour de bon. D’ailleurs ma tête tombe en arrière prouvant ma défaite à ma maitresse.


Après longtemps avoir joué avec moi de sa bouche, sûre de sa victoire, de sa maîtrise, de son emprise, elle se relève. Debout elle est comme une guerrière. Une amazone. Une reine. Son ensemble noir et le foulard … elle est sublime. Si j’étais un lion, elle ferait de moi un chaton. Si j’étais un ours, elle ferait de moi une peluche.


Debout face à moi, sûre d’elle et de son pouvoir, elle attrape le bord de sa culotte, la fait doucement glisser en se déhanchant légèrement, pour en faire jaillir une… queue.


Ça fait déjà une dizaine de minutes que je suis en état de choc… alors je réagis à peine. Pourtant je suis complètement abasourdi, scotché. Et puis … putain mais quelle bite en plus. Magnifique … Je fixe son sexe comme si je n’en n’avais jamais vu de ma vie. D’ailleurs jamais de ma vie je n’en avais vu un accroché à un corps pareil ! Je reste silencieux, ne comprenant pas vraiment la situation. Tout ce que je comprends c’est que ça ne va pas se passer comme je l’avais prévu.



D’ailleurs, elle tient à ce que j’en sois sûr et me sort de ma torpeur.





Toujours sous le choc et n’ayant pas esquissé le moindre geste, c’est elle qui pose ses mains sur ma tête et m’attire vers son sexe qu’elle a bien l’intention de mettre dans ma bouche.


Hypnotisé, je me laisse faire et ma bouche vient cueillir son gland à demi-décalotté. Pour être honnête ce n’est pas la première fois que je suce une queue. Une fois ma curiosité m’avait poussé à saisir l’opportunité d’y goûter, alors que je m’étais retrouvé dans un plan à trois. Je ne pensais vraiment pas me retrouver ce soir à déguster un gland mais la vérité c’est que j’aime ça. Je lève les yeux vers elle, elle semble ravie de la docilité avec laquelle je me laisse faire. Ma bouche descend doucement le long de ce vit majestueux … hum je crois que j’aime vraiment ça en fait.





C’est comme un électrochoc pour moi de l’entendre. Je me rends compte des signes que je n’avais pas vus depuis le début de notre rencontre, je réalise que c’était moi la proie de ses envies et non l’inverse.

Et puis quoi finalement ? Je préfère ne pas y penser et me rue de plus belle sur sa longue queue, je la dévore, la lèche, la mouille, la pompe… hum quelle est bonne. Sa taille est parfaite, grosse et longue mais pas trop, droite et très légèrement veinée … une œuvre d’art… à son image. Il ne pouvait en être autrement…





Ses doigts s’accrochent à mes cheveux et la voilà qui joue avec ma tête, baisant ma bouche au gré de ses envies, tantôt doucement, tantôt rapidement. Parfois elle me tire la tête en arrière, me demande d’ouvrir grand la bouche, et y fait couler un long filet de bave avant de replonger sa bite au fond de ma gorge. Elle avait été langoureuse jusqu’à présent, mais je sens qu’elle devient maintenant très crue, dominatrice. Et ce n’est pas pour me déplaire.


Je ne m’explique pas la facilité avec laquelle elle m’a mis dans cette position. Je sais aussi bien qu’elle que maintenant je ne pourrais rien lui refuser. Elle va faire de moi ce dont elle aura envie. Je pourrais la sucer ainsi pendant des heures, j’avais oublié comme ça peut être bon, et je crois qu’en fait ça n’a jamais été aussi bon ! Elle est magnifique, mignonne, charmante, sexy et il est évident que ne pas prendre son pied avec elle n’est pas une option ! Je suis presque déjà amoureux…



Finalement c’est elle qui met fin à ma fellation, elle se retire doucement, me pousse sur le sofa et se penche vers moi. Son baiser est doux, malgré ma bouche baveuse. Elle attrape langoureusement ma lèvre inférieure avec ses dents et la mordille amoureusement. Je sens ses bras qui passent sous mes jambes pour les relever et je sens son sexe entre mes fesses.



Je ne m’étais jamais retrouvé dans une telle position. Je suis sous elle, les jambes grandes écartées, elle me sourit, me regarde, et glisse ses doigts sur mon cul. C’est tout froid, je sursaute de surprise. Elle avait enduit ses doigts de gel et je n’avais rien vu. Je n’arrive pas vraiment à réaliser la situation, je suis comme en transe… le mot est… vraiment approprié !


Sur le dos, jambes relevées, je m’apprête à me faire sodomiser sans opposer la moindre résistance. Elle est tellement belle, et je me sens tellement bien. J’ai envie d’être tout ce qu’elle veut que je sois …

Et finalement, dans une moiteur indescriptible, c’est moi qui lui susurre :